Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

"Marchandise" de 1er choix!

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Cyriel Raffaëlli

Humain(e)

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 15 vendredi 21 février 2014, 02:14:52

Tout se passe bien, jusqu'ici. Lentement et avec une prudence princière, je contrôle son niveau d'excitation. Ses anecdotes, prenant forme dans mon esprit, y font naître des images divinement aphrodisiaques. Peut-être ces dernières sont-elles un peu trop piquantes, d'ailleurs... car je sens peu à peu ma propre libido croître à grande vitesse. Je ne sais pas très bien me maîtriser lorsque mon désir est trop fort. Par mégarde, la chose qui fait de moi un homme, et non une femme vient brièvement heurter le garçon. Il ne manque pas de me le faire remarquer, ce qui m'agace.

-Oh, tais-toi, je lui ordonne, toujours assez bas, mais plus sèchement.

En fait non, qu'il ait découvert cela avant que JE l'ai décidé fait plus que m'agacer. Cela m'énerve. Avant, j'avais ce secret pour le dominer, maintenant, je suis obligé de m'y prendre autrement. Je ne vais pas me mettre à le frapper. Même si c'est assez tentant, ça pourrait être dangereux, et puis, ça ne serait pas élégant, pas digne d'une princesse ! Heureusement, j'ai beaucoup d'autres moyens de faire ça. J'en tiens un juste au bout de mes doigts, et de ma langue.

-Tu aurais du te taire...

La tendresse, c'est terminé. Il l'a bien cherché, de toute façon. Je me recule complètement, mes pieds quittant le lit pour retomber sur le sol. Sans trop de douceur, j'écarte ses jambes en les attrapant un peu au-dessus des genoux. Je reste une seconde contemplatif. Son sexe a du être terriblement malmené pendant toutes ces années... mais Lucas est tellement maigre qu'il doit être encore particulièrement étroit. Comme je m'y attendais, il est déjà humide, prêt au coït.

Mais non, c'est hors de question. Avec deux doigts, je décris le contours du rebord de ses grandes lèvres. J'écarte mes doigts assez vite, écartelant sa vulve, et exposant la chair. J'approche mon autre main, et je pousse la partie supérieure de l'organe, à la recherche de son clitoris. Je trouve une petite boule, gonflée. Dès l'instant où je la sens sous mon doigt, pour seule préparation à ce qui va suivre, j’appuie dessus. J'augmente la pression.

Je ne résiste pas plus longtemps, et la presse entre le pouce et le majeur. Je cajole le bouton rose avec autant d'ardeur que s'il s'agissait d'un sexe masculin, le faisant rouler contre ma peau. Je le triture ainsi rapidement. Je ne suis pas loin de le pincer purement et simplement, et il est possible que cela fasse un peu mal. En même temps, je ne crois pas faire pire que ce qu'il a pu subir avant. Je pourrais ! Toutefois, ce n'est pas mon but.

-Maintenant, tu jouis ! Allez !

Pour donner de l'impact à mon propos, la main qui s'assurait que sa vulve reste bien écartée se décale. Je place mes doigts parallèlement à l'entrée de son sexe. Puis, les repliant tous à l'exception de l'index, je commence à pénétrer son sexe. Je frotte l'intérieur avec une expérience relative. J'ai déjà donné du plaisir aux femmes, et je suis loin d'être novice mais ce n'est pas ma spécialité. Au bout de quelques secondes, j'ajoute l'annulaire. Je gagne en vigueur ce que je n'ai pas en technique. Je tire sur une petite lèvre, fait des mouvements brusques et ciblés, mes doigts ressortant humides du coït artificiel. Les sensations doivent être assez différentes d'une pénétration, car je me concentre sur les parois. J'essaie de trouver les points sensibles, et je m'attarde alors encore davantage dessus. Je me sens tout-puissant.

-Allez, tu jouis putain !

Sans ménagement, je continue mes attouchements avec force et vitesse. Il l'a bien cherché. Tant que je lui procure du plaisir, je le domine. C'est comme ça, que je le domine. Finalement, je renonce à parler, et ma langue entre elle aussi en action. Les doigts qui manipulaient encore le clitoris lui laissent une ouverture. Mon muscle buccal vient torturer l'organe de son plaisir, n'ayant rien à envier en terme de puissance aux doigts qui l'ont précédé. Aux liquides secrétés par son vagin s'ajoutent ma salive. Ponctuellement, j'aspire un peu de ces fluides, sans aucun dégoût. Cela ne fait que m'exciter davantage. Je sens mon sexe, toujours caché sous la jupe, dressé, dépasser maintenant complètement de mon sous-vêtement. Il l'a bien cherché.

Lucas

Créature

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 16 vendredi 21 février 2014, 09:51:06

La situation changeait du tout au tout, la princesse était passée d'une grande douceur à une envie de sexe plus brut. Quand Lucas entendit Cyriel lui dire de se taire, il baissa le regard, apparemment il l'avait énervé sans savoir vraiment pourquoi. Mais en y réfléchissant ce qu'il avait senti...était-ce un...non pas possible, son propriétaire était une femme. Quoique: lui était bien un esclave garçon sans phallus loup garou. Quand on sait ça la notion du possible est assez malléable.

-Je suis désolé maîtresse je ne voulais pas..." Il n'eu pas le temps de terminer sa phrase que la jeune femme descendait et lui écartait les jambes.

Quand Cyriel commença à jouer avec le clitoris de Lucas, ce sont de véritables cris de plaisir que le garçon se mit à pousser. Bien que la princesse y allait un peu fort avouons le...Le clitoris était une des parties du corps les plus sensible pour une femme, et donc pour le loup garou aussi. Cependant, le plaisir qu'il en tirait dépassait de très loin la douleur.
Sur le coup, il ne comprenait pas: pourquoi être récompensé alors qu'il avait agacée sa propriétaire? Il ne s'attarda pas à réfléchir, de toute façon il ne le pouvait pas, son esprit était totalement embrumé, brouillé par les sensations qui lui venaient de son entrejambe.

-Majesté! Majesté!!!

Il écarta les jambes le plus qu'il le pouvait, il ressentait du plaisir et il adorait ca. Lucas fermait les yeux,  ses mains serrant encore plus les draps et son corps se tortillait de bonheur. Alors c'était ça qu'il faisait sentir à ses maîtres depuis des années et des années? C’était ça le plaisir physique?

-aaaaah, aaaaah!

N'importe quel spectateur extérieur aurait dit sans hésiter que l'adolescent était au bord de la jouissance et qu'il ne manquait qu'un rien pour que cela se concrétise...Le "rien" en question, ce fut la langue de Cyriel qui vint directement en lui. Il sentait tous les mouvements, tous les frottements, tous les gestes. Il ne pouvait plus résister...

-Maîtresse je vais...je vais jouir...aaaaaah!"

Son corps fut pris de spasmes de plaisir, il se retenait tant bien que mal de resserrer les jambes afin d'éviter d'enfermer Cyriel entre elle (chose qui lui déplairait sûrement). Le dernier gémissement fut terriblement intense, profond et un peu bruyant aussi. Une plus grande quantité de cyprine s'était mise à couler pendant sa jouissance et il avait mouillés les draps du lit...Il regarda sa maîtresse, espérant cette fois-ci pouvoir lui procurer du plaisir. Après tout, si ce qu'il avait senti était bien un pénis, ses capacités et ses connaissances très poussées en fellations/masturbation devraient grandement la satisfaire...La position de dominant/soumis était telle que le voulait la princesse, le garçon était totalement à la merci du moindre désir de Cyriel dans cette position.

Sa respiration était profonde, ses yeux encore entrouvert. Il demanda avec une voix et un air  traduisant sa soumission absolue:

-Qu'attendez vous de moi majesté?
Fiche de Lucas
Mais il y a aussi sa sœur,   Konu et la la geekete. Contactez moi plutôt sur cette dernière, c'est mon compte principal ;)

Cyriel Raffaëlli

Humain(e)

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 17 vendredi 21 février 2014, 20:13:18

Je menace de perdre patience, lorsque je sens son corps pris des premières contractions de l'orgasme. J'avais douté un instant de parvenir à le faire jouir vraiment facilement. Je me disais qu'il avait déjà du ressentir tant de choses, depuis ses cinq ans, qu'il serait très difficile à stimuler. Les esclaves qu'on habitue trop jeunes deviennent parfois complètement frigides, c'est un grand gâchis. Je constate qu'il n'en est rien, et qu'il est extrêmement réactif à mes caresses. Il s'agite, se cambre, se soulève plusieurs fois du matelas. Je ne m'arrête pas pour autant. Alors qu'il est en pleine jouissance, je continue mes mouvements sans faillir, prolongeant le plus longtemps possible le plaisir que JE lui impose.

Avec application, je lape le liquide qui dégouline abondamment de son sexe chaud et ouvert, trempant aussi bien le tissu du lit que mon menton et mes doigts. J'imagine quel doit être son plaisir, et cela ne fait qu’augmenter mon excitation. Finalement, il s'arrête de couler, et ses muscles de son bassin cessent de se serrer de façon irrégulière. Il retrouve son souffle, et je sens que sa jouissance est passée. Je l'aurais bien fait jouir encore. Un deuxième orgasme, aussi rapproché du premier, est toujours un peu plus douloureux. Mais même moi ne suis pas capable d'un tel exploit aussi rapidement. De plus, j'ai beau vouloir le dominer, je ne peux plus me contenter d'un rôle aussi peu stimulant pour mon corps.

-Tu sais garder un secret, pas vrai ? On en parlera pas... même pas entre-nous... je suggère, en me redressant, au bord du lit.

De la main, je m'essuie le menton de ce qui reste de ses fluides. Je la passe ensuite dans mon dos, et défait l'attache qui maintient ma robe fermée. Celle-ci s'ouvre en deux, et je n'ai qu'à la pousser pour qu'elle tombe devant moi. Je la balaie du pied.

Mon corps est presque nu devant lui. C'est un corps plutôt blanc, imberbe, aussi délicat que celui d'une véritable femme, et certainement encore plus fin. Je ne porte évidemment pas de haut, car mes formes sont absentes ; ma poitrine est étroite et plate. Le seul habit qu'il me reste est une culotte d'un rose très clair, qui se confond presque avec ma peau, brodée de quelques dentelles. Ce qui en dépasse, émergeant sur le côté du sous-vêtements, n'est pas féminin pour autant. Les mignons qui la découvrent sont souvent surpris qu'une telle chose appartienne à un corps si androgyne. En proportion de ma taille, je n'ai pas à me plaindre.

-Dix ans d'expérience... Je n'en ai pas autant. Montre-moi.

Dressé en face de lui, mon sexe décalotté palpite légèrement, n'attendant qu'une chose.
« Modifié: samedi 22 février 2014, 11:27:48 par Cyriel Raffaëlli »

Lucas

Créature

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 18 vendredi 21 février 2014, 22:18:14

Alors comme ça Lucas avait vu juste, Cyriel avait bel et bien un pénis. La nature avait un drôle d'humour quand même... Quand il vit sa princesse se déshabiller Lucas l'observa des pieds à la tête. Ils n'étaient pas si différent l'un de l'autre en réalité: un corps efféminé, frêle et fragile.
Quand elle lui montra son phallus, Cyriel fit clairement comprendre à l'adolescent que jamais ce sujet ne devra être abordé. Ce à quoi, Lucas répondit par un signe affirmatif de la tête.

Le jeune homme regarda l'entrejambe raidit de sa maîtresse, apparemment elle avait apprécié ce qui s'était déroulé pendant les prémices de leur rapport...Son érection était grande, qui aurait pu imaginer ça. Une petite princesse doté d'un pénis de taille tout à fait respectable par rapport à sa taille. Lucas avait eu des maîtres moins bien équipés que Cyriel. Elle voulait avoir sa part de plaisir, son esclave allait s’exécuter avec soin et attention mettant sa grande expérience à l'oeuvre.

Il se mit à 4 pattes pour se déplacer jusqu'au bord du lit ou était Cyriel pour finalement s’asseoir devant. Sa petite taille lui permettait d'être pile à la bonne hauteur pour satisfaire sa princesse.

-Je suis à vos ordres Majesté."

Son travail débuta par des jeux de caresses avec ses doigts, allant de la base de la verge jusqu'à la base du gland mais sans toucher ce dernier dans un premier temps. Resserrant un peu plus la pression de ses doigts encore quelques instants il fini par se servir de sa langue. Il débuta en posant sa langue à la base du pénis(coté orienté vers le sol) puis remonta jusqu'à l’extrémité rouge du phallus. Et là, Cyriel allait certainement prendre la plus grosse claque sexuelle de toute sa vie.
Le petit avait son pénis en bouche, jouant simultanément sur tous les aspects qui pouvaient procurer du plaisir à quelqu'un possédant un sexe d'homme. Tout d'abord la langue: ce muscle chaud et humide tournait à intervalles irréguliers (pour éviter que le sujet ne se lasse de la stimulation) autour du gland de Cyriel, la langue de Lucas était très entraînée, souple et habile. Ensuite la bouche en elle même: Lucas la bougeait de haut en bas en essayant que l’intérieur de sa bouche soit un maximum étroit pour maximiser la sensation que pouvait éprouver Cyriel.

Les dents de Lucas...Cyriel pouvait se demander si le petit les avait enlevés, pas une seul fois elle ne les sentis, pas une fois elle ne frôlèrent son sexe. Enfin les doigts de Lucas: ils continuaient à stimuler la verge de Cyriel avec une micro gestion des doigts telle qu'on pourrait penser que chaque doigts était totalement indépendant des autres stimulant chacun avec précision une zone définie.
Dans la vie il n'avait pas appris grand chose: ménage, cuisine, combat, assassinat, protection et sexe. En conséquence, il excellait dans le peu de choses qu'on lui avait enseigné.
Fiche de Lucas
Mais il y a aussi sa sœur,   Konu et la la geekete. Contactez moi plutôt sur cette dernière, c'est mon compte principal ;)

Cyriel Raffaëlli

Humain(e)

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 19 samedi 22 février 2014, 12:28:46

Je peux de nouveau le regarder de haut, alors qu'il se déplace pour suivre mes ordres. Au moins, je ne suis pas tombé sur un idiot, et son expérience ne paraît pas feinte : il a tout de suite compris ce que j'attendais de lui. C'est difficile à croire, mais certains esclaves ignorent tout de la sexualité orale, lorsqu'on les achète... Cette ignorance ne dure cependant jamais bien longtemps. Enfin, je n'aurais pas supporté de devoir lui apprendre maintenant. Je ne me lamente pas, il paraît savoir s'y prendre.

Évidemment, lorsqu'il saisit mon sexe, je ne bouge pas, les mains jointes derrière mon dos. Je me contente de lui offrir mon phallus, de façon ostensible, et il est hors de question que je lui facilite la tâche. Je suis les premières secondes un peu sceptiques sur la vigueur qu'un aussi petit être peut mettre dans un tel ouvrage. Les premières décharges électriques remontent cependant jusqu'à mon cerveau, conséquence de la pression qu'il applique à la base de ma verge. Elles m'aident à patienter. Un soupir de plaisir traverse mes lèvres.

-Allez... je gémis.

Il me fait languir, et je n'aime pas tellement ça. S'il peut me faire patienter, c'est qu'il possède un pouvoir sur moi. Je ne laisse personne disposer d'un pouvoir sur moi, surtout pas dans un tel domaine. Heureusement pour lui, il choisit d'accélérer le processus, et sa langue vient rejoindre le ballet de ses doigts. Je dois avouer que la façon dont ces derniers s'agitent est assez confondante, je ne crois jamais avoir senti quelque-chose de pareil. Ses doigts fins, très précis, s'activent sur mon pénis avec une dextérité incroyable, alors que son petit organe rose attaque la partie la plus sensible de mon anatomie. Mon souffle devient court.

-Ta langue est, hn, beaucoup plus utile comme ça... tu ne, hn, crois pas ? Mph.

La bouche de Lucas me paraît minuscule. Une de mes mains quitte mon dos pour aller caresser doucement ses cheveux blonds. Lascivement, ils dégagent les mèches colorées qui lui tombent sur le front. Les sensations qui traversent mon sexe sont plus intenses que pendant la plupart des coïts vaginaux que j'ai pu expérimenter. Toutefois, sa technique me dérange. Elle est trop travaillée, trop performante, j'en suis jaloux. Je n'ai pas envie qu'on me tienne aussi facilement. C'est MOI la princesse, et c'est MOI qui domine !

-Oh, hn, allez. On va passer aux choses... sérieuses.

Ma deuxième main se pose également sur son crâne. Toutefois, je ne me contente maintenant plus de le caresser. J'écarte ses doigts. Puis, brusquement, je me mets à pousser sur l'arrière de sa tête, pour enfoncer la totalité de ma virilité à l'intérieur de son orifice buccal. Je n'ai qu'un désir : casser son expérience trop bien établie. Mon pénis heurte son palais, ce qui me fait un peu souffrir, mais qui ne m'arrête pas pour autant. Je fais ressortir mon sexe, puis force ses lèvres une seconde fois, plus brutalement encore, et surtout plus verticalement. Mon sexe, que je parviens à faire entrer complètement est probablement trop grand être inséré ainsi dans sa petite bouche. Il ignore sa langue, frappe sa gorge. Il n'a pas intérêt à vomir.

-Haan. C'est bien meilleur comme ça. Haan. Hé. Pas vrai ? Haan, ah, putain !

Cela risque surtout d'être plus rapide. Cependant, reprendre le contrôle me ravît. Je fais à présent de grands mouvements de bassin, en même temps que j'empale sa tête sur mon sexe. Je sens que, manquant de me faire perdre l'équilibre, mes muscles se contractent, prémisses de l'orgasme qui m'attend. S'arrêter ici serait prématuré... mais je ne ralentis pas le rythme pour autant. Pas tout de suite.

Lucas

Créature

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 20 samedi 22 février 2014, 19:08:23

Lucas avait eu tellement de maîtres sadiques et obsédés qu'il pouvait dire avoir vécu d’innombrables envies ou situations allant de la plus banale à la plus incroyable. Celle qui était entrain de se réaliser était une des plus fréquentes et bien sûr le jeune homme savait comment réagir. La réaction la plus adaptée était la suivante: ne rien faire, absolument rien. Il ne fallait surtout pas tenter de résister ou de faire s'activer les muscles de la nuque. Lucas fit donc en sorte d'avoir une nuque molle, totalement malléable pour éviter qu'elle n'ai un accident.

Il ne pouvait rien dire...et puis c'est mal de parler la bouche pleine. Seuls des gémissement étouffés pouvaient s'entendre. Il laissait Cyriel se servir de lui, utiliser sa bouche comme un kleenex. Ce n'était pas agréable pour lui, le sexe de sa partenaire allait tout au fond de sa gorge et maltraitait sa bouche. N'importe qui aurait vomi dans de telles conditions, mais Lucas avait tellement subi ce traitement qu'il pouvait résister. 
Plus encore: il arrivait à bouger sa langue à l’intérieur de sa bouche de telle façon que le chemin soit toujours parfaitement libre pour l'engin de sa princesse mais qu'en même temps elle puisse sentir à chaque vas et viens le muscle rose sur différentes parties de sa virilité...le tout bien sûr pour maximiser son plaisir.

Luca prenait son mal en patience, il savait d'expérience que ce genre de pratique se finissait assez vite.
Fiche de Lucas
Mais il y a aussi sa sœur,   Konu et la la geekete. Contactez moi plutôt sur cette dernière, c'est mon compte principal ;)

Cyriel Raffaëlli

Humain(e)

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 21 samedi 22 février 2014, 21:11:54

Même de cette façon, totalement soumis au contrôle de mes mains, à la pression qu'elles appliquent sur son crâne, le garçon parvient à être meilleur que la majorité des esclaves. Je me demande ce qu'il fabrique avec sa langue, sans pouvoir, ni en fait vouloir, l'en empêcher. J'ai l'impression de m'enfoncer dans une cavité humide et râpeuse, bien plus stimulante qu'un vagin, même si les contractions sont absentes. Je compense ce fait en frottant, volontairement ou non, de temps à autre, mon sexe contre les parois intérieurs de sa bouche.

-Hn. Oh, oui, ha. Tu es très beau, hn, comme ça.

Pendant que je le pénètre, je continue de regarder ses yeux verts. Malgré ce que je lui impose, il ne les ferme pas, et je ne les lâche pas : il a quelque-chose de très attendrissant. Savoir que cette petite chose, si tendre, si frêle et si innocente d'apparence, que cet enfant, souffre pour mon plaisir... avale un sexe trop gros pour elle, doit prendre sur elle pour ne pas vomir, surmonter son dégoût... cela m'excite terriblement, appelant en moi les pulsions les plus basses, le sadisme le plus cru. Évidemment, cela aurait pu avoir plus d'impact encore si je n'avais pas été la dernière personne d'une longue liste à lui faire subir pareil traitement. Cependant, son visage est si juvénile que j'oublie vite ce détail.

Il est ma chose, et chacun des coups de bassin que je donne sans tendresse jusqu'à sa gorge me le rappelle.

Très vite, des fourmillement de plaisir naissent dans mes testicules, et envahissent mon sexe. Je sais que c'est le signal final. Il ne me reste plus que quelques secondes avant d'éjaculer. Je me rend compte que le point de non-retour à été franchi lorsque je sens un liquide chaud remonter le long de ma verge. Mon instinct me dit de ne surtout pas interrompre la cadence, de me déverser entièrement dans sa bouche. Je pousse un cri de plaisir court, assez aigu, indéniablement féminin.

-Aah.

Mais personne ne me dicte quoi faire, pas même mon instinct. Repoussant la tête de Lucas, je sors mon pénis de son orifice buccal. Un premier jet de sperme jaillit sur son visage. Ma main, très vite, cependant, vient appuyer fortement sur la base de mon sexe. Je me contracte, me replie, me détourne de lui. Bloquer mon éjaculation me brûle toujours, mais c'est une douleur extrêmement sensuelle. Pendant une brève seconde, j'ai l'impression d'exploser de l'intérieur, tout en ressentant un orgasme étrangement contrarié. Je parviens à bloquer ce qui reste mon éjaculation.

Mon organisme comprend certainement qu'il a été trompé. J'ai envie de recommencer tout de suite. Dès que je retrouve mes esprits, je me jette de nouveau sur Lucas, et sans lui demander son avis (ce serait un comble),  je l’aplatis sur le lit, collant son ventre au mien. Mon sexe, très tenté, vient frotter verticalement contre son vagin, dérangeant seulement sa surface. Je résiste au désir que j'ai de le prendre immédiatement, et de reproduire entre ses jambes ce que j'ai fais pour sa bouche.

Je sais que cependant, je ne tiendrais pas plus d'une dizaine de secondes, dans l'état où je suis. Il faut que je me reprenne juste un peu. Renonçant, je me relève, et fait glisser ma culotte, qui ne servait de toute façon plus à grand-chose, le long de mes jambes. J'attrape un genou de Lucas, et sans vraiment écarter l'autre jambe, entre de nouveau l'index dans son intimité, puis le ressors aussitôt.

-J'aurais préféré que tu sois un garçon.

Je m'assois sur le rebord du lit, et attend quelques secondes, reprenant mon souffle. Enfin, je déclare :

-Alors je veux te prendre comme un garçon. Tu n'es pas trop étroit, au moins ?

Mon sexe, toujours très dur, saille d'entre mes jambes. Je m'incline légèrement en arrière, pour qu'il émerge davantage. J'espère avoir été bien compris.

Lucas

Créature

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 22 dimanche 23 février 2014, 20:03:51

D'après se que pouvait entendre et voir Lucas, Cyriel était très satisfaite de la bouche du jeune homme. Ses coups de bassins étaient de plus en plus rapides, incontrôlés et profonds. Ce qui devait arriver arriva, la princesse senti son corps atteindre le stade final de l’excitation. Le jeune loup garou fut surpris 2 fois: la première quand Cyriel enleva son sexe de sa bouche alors qu'il s'attendait à ce qu'elle s'y abandonne jusqu'au bout. La seconde fois quand, après le premier jet de liquide sexuel, elle pinça la base de son pénis pour bloquer l’éjaculation. Rares étaient les personnes qui voulaient et pouvaient le faire. 

Lorsqu'elle sauta sur Lucas pour venir se coller à lui, il pensait qu'elle allait vouloir le pénétrer et donc écarta un peu les jambes. Quelle ne fut pas sa surprise quand il vit qu'elle ne vint que caresser légèrement son entrejambe avec le sien (lui faisant pousser un léger gémissement de plaisir). Son regard plein de surprise suivait sa princesse jusqu'au bord du lit, elle était entrain de se calmer, apparemment elle voulait faire durer l'action, au risque de se faire mal en retenant son éjaculation.
Quand elle vint à nouveau au niveau de l'entrejambe de Lucas, ce dernier failli répondre: mais je suis un garçon majesté. Il n'en fit cependant rien, après tout si sa maîtresse décidait qu'il était une fille alors il était une fille. 

La pause ne fut que de courte durée, Cyriel avait une idée en tête, une idée que Lucas avait comprit. Mais il n'aimait pas ça du tout. Pour lui la sodomie était toujours douloureuse même avec les années. Tout ce que lui a donné son expérience c'est de pourvoir supporter la douleur en attendant que ça se finisse. Mais après tout, ça allait peut être être différent cette fois ci... 

-Je ne sais pas majesté, on ne me l'a jamais dis..." dit il en approchant à 4 pattes de la princesse. Il se mit debout, passa devant Cyriel comme s'il offrait son sexe imberbe à la bouche de la petite peste. Cependant il n'en fit rien et descendit s'empaler sur le pénis de sa partenaire comme s'il s'asseyait sur elle.
Lorsque que cette dernière pénétra en Lucas par cet endroit, cela arracha un petit cri de douleur au jeune homme, on pouvait lire sur son visage que l'expérience était désagréable pour l'instant mais qu'il supportait ça au nom du plaisir de sa maîtresse. Il espérait juste que cela ne serait pas trop long...
« Modifié: lundi 24 février 2014, 15:27:02 par Lucas »
Fiche de Lucas
Mais il y a aussi sa sœur,   Konu et la la geekete. Contactez moi plutôt sur cette dernière, c'est mon compte principal ;)

Cyriel Raffaëlli

Humain(e)

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 23 lundi 24 février 2014, 16:15:34

De toutes les pratiques sexuelles, je pense que la sodomie est celle que je préfère. Elle est universelle, et peut se réaliser avec tous les partenaires, hommes, femmes. La plupart des créatures, même les plus étranges que j'ai pu rencontrer, ont, à ma connaissance, un anus, et c'est le cas de tous les animaux... Parfois, j'ai même envie de me faire pénétrer moi-même. Évidemment, pas comme je suis en train de le demander à Lucas. Passer par la voix interdite nécessite en général un certain temps de préparation, au moins quelques attouchements préliminaires, et même en prenant cela en considération, du liquide lubrifiant est souvent nécessaire pour éviter des douleurs excessives.

Mais mon but n'est pas de rendre l'expérience plus plaisante pour lui, même si en conséquence, elle ne le sera sans doute pas pour moi. J'espère pour lui que son orifice a suffisamment l'habitude d'être malmené, car quoi qu'il en dise, sa taille le rend certainement extrêmement étroit. En fait non, j'espère que ce sera le contraire. Plus il souffre, et plus je supporterais de souffrir moi-même. Cela ne me dérangerait même pas de voir un peu de sang, comme cela arrive parfois lorsque j'abuse trop longtemps d'un esclave.

Ce que je lui fais faire est assez cruel. Lorsqu'il se dirige vers moi, je ne daigne pas bouger. Je le regarde simplement se tendre au-dessus de moi, qui suis penché en arrière. Je me félicite qu'il choisisse ce sens, même si je ne lui ai rien précisé, car pour réaliser ce que j'ai ordonné, il est obligé de se cambrer légèrement en avant. Cela me laisse tout loisir de voir son visage, son corps raidi, et aussi son sexe qui passe un instant au niveau de mon visage.

Finalement, il redescend. D'une main, je me décide à tenir ma verge dressée à la verticale, pour être sûr qu'elle le pénètre quel et bien. Sans cela, sans doute le coït anal aurait été impossible. Mon gland seul, en s'enfonçant, me tire un gémissement de plaisir. C'est une sensation qui admet peu de comparaison. Rien à voir avec les rapports oraux, l'acte, même lorsqu'il n'est pas brutal, est beaucoup plus dur. Si ma verge est encore légèrement lubrifiée par sa propre salive, cela ne facilite pas grand-chose. Un centimètre seulement ensuite, je sens ses muscles autour de ma chair, qu'il s'efforce de détendre. J'entends Lucas pousser un cri de douleur, alors que la partie la plus large de mon phallus n'a pas encore franchie cette barrière.

Même s'il essaie de s'enfoncer aussi bien qu'il le peut, je doute qu'il parvienne à me faire entrer entièrement. Mon sexe est heureusement suffisamment profond pour ne plus bouger. Je crois qu'il s'est assez fait mal tout seul. Je souris.

-Attend, je vais t'aider un peu.

Joignant le geste à la parole, j'appose mes mains sur ses hanches, et j'accompagne son mouvement. Je n'arrive pas à beaucoup progresser. Il va falloir forcer un peu plus. Mes mains poussent violemment son bassin vers le bas. Un éclair de douleur remonte depuis mon bas-ventre, alors que l'entrée de son rectum est forcée d'un coup.

-...putain... je grogne.

Instinctivement, je me cabre, ce qui a pour seul effet de m'introduire encore plus profondément. Son ventre frôle le mien. J'arrête le mouvement un instant, quelques étoiles devant les yeux, tout en sachant que le plus dur est fait. La suite sera désagréable pour lui, mais beaucoup moins pour moi. Son anus, dilaté de force, serre mon pénis tout entier avec plus de force que n'importe quel vagin. Lentement d'abord, je l'incite à continuer le mouvement. Je passe mes bras sous ses bras, et me serre complètement contre lui.

-J'adore... putain. Ah.

Mon pénis frotte contre son intérieur terriblement sec et étroit. Le mouvement est lent par obligation, et ne risque pas de me faire éjaculer trop vite. En revanche, les sensations que j'en tire sont incroyables. De son côté, ce doit être très différent. Sachant qu'il n'a probablement pas de prostate, je ne suis pas sûr du plaisir qu'il peut en tirer. Pourtant, je sais que certaines femmes apprécient cette pratique.

-Enfonce-toi seul et plus vite, je réclame, en le lâchant.

Pourtant, mes doigts ne restent pas inactifs pour autant. Ma main droite vient attraper l'un de ses tétons, qu'elle pince, pendant que la deuxième va rapidement rejoindre son sexe, qui monte et descend devant moi. Son petit clitoris se retrouve de nouveau soumis à ma volonté. Pourtant, je ne fais que le frotter rapidement. J'ai d'autres projets. Comme précédemment, j'introduis mon index et mon majeur dans son vagin. Je sens la pression exercée par mon pénis dans son autre orifice jusque dans la cavité, rendue d'autant plus difficile à pénétrer. Je ne m'arrête pas là : écartant les lèvres, j'enfonce mes trois autres doigts. Puis je pousse autant qu'il m'est possible, cherchant à y faire entrer toute ma main, sans savoir si je vais y parvenir, et indifférent à sa souffrance qui dépasse certainement de loin son plaisir.
« Modifié: mardi 25 février 2014, 15:54:52 par Cyriel Raffaëlli »

Lucas

Créature

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 24 lundi 24 février 2014, 19:55:06

Les premiers centimètres étaient douloureux, Lucas essayait d'aller aussi vite qu'il pouvait mais il sentait que la tâche serait rude. A peine l'extrémité de la virilité de sa princesse était rentrée et la douleur était déjà importante. Quand sa maîtresse décida de passer en force la douleur figea complètement l'adolescent. La bouche bée, ses pupilles ont rapetissées il arrêta de respirer pendant quelques instants, comme si sa respiration était bloquée...

Il était comme hors du monde durant ce court laps de temps. S'en suivirent des gémissements de douleur, parfois il se mettait la main devant la bouche afin de taire un cri trop fort. Il sentait l’intérieur de son corps se déchirer, comme attaqué par un corps étranger (techniquement ce n'était pas totalement faux) Chaque coup de rein venant de Cyriel faisait crier Lucas. Ce dernier serrait les dents, mais gardait les yeux ouvert, plongeant son regard plein de souffrance dans celui de sa princesse. Elle semblait prendre son pied, au moins Lucas ne souffrait pas inutilement.

Quand il dû bouger seul, il le fit comme l'exigea sa maîtresse, après tout il était à son service. Cependant la suite de l'action lui fit fermer brutalement les yeux et lui crispa le visage. Quand Cyriel tenta de faire entrer toute sa main, cela arracha un nouveau cri à sa chose. La princesse réussit à faire tout entrer. Lucas se mordit l'avant bras, il se le mordait jusqu'au sang, mais  ne disait rien du tout. On sentait qu'il se retenait de supplier Cyriel d’arrêter tout ça mais il devait tenir, après tout, c'était la volonté de sa maîtresse...
Fiche de Lucas
Mais il y a aussi sa sœur,   Konu et la la geekete. Contactez moi plutôt sur cette dernière, c'est mon compte principal ;)

Cyriel Raffaëlli

Humain(e)

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 25 mardi 25 février 2014, 17:21:54

Je ne m'attendais pas vraiment à ce que de ma tentative résulte un succès, sans pour autant provoquer de saignement. J'imagine que dix ans d'esclavage et d'exploitation sexuelle ont rendu son vagin particulièrement apte à se déformer, et qu'il a de la chance que ma main soit particulièrement fine. J'éclate d'un rire court et léger, presque émerveillé, alors qu'il continue, malgré sa souffrance manifeste, à aller et venir le long de ma verge, mes doigts toujours à l'intérieur de lui. Brièvement, je serre le poing, modifiant légèrement la largeur de ce qui le pénètre. Le pauvre doit avoir l'impression d'accoucher, ou quelque-chose dans ce ton là... Mes muscles se contractent de manière de plus en plus inquiétante, et je suis en sueur malgré ma relative immobilité. Il est temps de le soulager, et surtout de me soulager par la même occasion.

Sans détendre ma main, je l'extrais de son sexe, poussant pour cela sur son ventre. Je ne lui laisse pas récupérer, et je le bascule sur le côté, l'accompagnant dans son mouvement, sans que nos corps se quittent. Je le place sur le dos, sous moi. Attrapant ses jambes et les faisant passer par dessus mes épaules, je surélève son bassin. C'est la meilleur position : celle qui me donne le plus de force pour le pénétrer.

Je retire mon pénis de son anus, le laissant se reposer une seconde, puis l'enfonce de nouveau violemment... dans son sexe, sans m’embarrasser de le prévenir de ce changement d'aucune façon. De toute façon, après ma main, mon phallus doit lui paraître plutôt mince et agréable. Après m'être introduit dans son rectum, c'est un véritable plaisir que de me frotter contre les muqueuses, tièdes et humides, de son vagin. Chaque coup me retire un petit cri de plaisir, et si la pression autour de ma verge n'est plus aussi forte, la sensation n'est plus mêlée de douleur. Je crois que je n'aurais pas pu, de toute façon, supporter encore longtemps la friction de mon gland contre les parois arides.

-Hn, c'est pas mal par ici aussi, héé.

Je déplace l'effort ailleurs, m'efforçant de le pénétrer avec une certaine vitesse, et surtout une certaine profondeur. Je n'hésite pas pour augmenter la force du coït, en plus du mouvement de mes hanches, à tirer son bassin vers moi. Cette pratique est fatigante, mais particulièrement stimulante. Mon ventre vient taper contre le sien à un intervalle assez irrégulier mais rapide. La chaleur de mon corps devient vite incontrôlable, remonte dans le haut de mon être. Je perds le contrôle de mon souffle, et de mes mouvements en général. Je tremble, les muscles de mes épaules se relâchent, et ses jambes tombent. Je me saisi de ses épaules.

-ALLLLLLEZ !

Le liquide procréateur remonte le long de mon urètre, cette fois pour de bon. Pendant une demi-dizaine de secondes, je ne pense plus qu'à le pénétrer encore un peu plus longtemps. Je ne tente même pas reprendre ma respiration, alors que mon sperme se déverse par saccades dans son vagin. Puis je serre les dents, et dans un râle, cogne une dernière fois contre sa taille. Je souffle. Je retombe sur Lucas, mon visage blottit contre son cou, retirant du même coup mon sexe du sien. Épuisé, j'en suis réduis à passer ma langue sur sa peau, remontant jusqu'à son menton, et finalement léchant ses lèvres. Je le serre contre moi, profite de sa respiration, encore un petit instant.

Lucas

Créature

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 26 mardi 25 février 2014, 18:12:39

Lucas avait mal, et, comme si Cyriel voulait en rajouter, elle serra le poing rendant son intérieur encore plus douloureux...Bien sûr, il avait subit bien pire, notamment avec les diverses expériences dont il avait été le sujet...Mais sa princesse rigolait, elle semblait comme heureuse, satisfaite de son esclave. Ça aidait sa chose à supporter la douleur...La savoir contente lui faisait penser que sa présence ne serait pas qu'un simple passage, il s'était attaché à elle, malgré la douleur qu'il ressentait en ce moment même. Après tout, c'est la première personne qui lui a fait connaitre l'orgasme...Même si elle venait de l'acheter.

Quand elle balance le loup garou sur le coté, il senti son entrejambe se libérer, bien plus léger, la douleur disparaissait peu à peu...Ensuite, ce fut au tour de son anus de se sentir libéré, enfin les brûlures s’arrêtèrent, enfin il pouvait respirer...quelques secondes car Cyriel avait envie de finir le travail. Elle le pénétra violemment mais Lucas se surpris à aimer ça. Sans doute le contraste avec les sensations précédentes qui étaient à l’extrême
opposé de l'orgasme qu'il avait senti peu de temps avant tout ça...

Les cri de douleurs laissèrent place à des gémissements de plaisir. Lucas sentait sa maîtresse en lui, les mouvements de bassin profond et rapide lui faisaient du bien...Il ne put retenir ses bras et alla enlacer sa maîtresse au niveau des côtes. Lorsque qu'elle entama le rush final, il plongea son regard dans le sien, ses yeux bleu avaient un air de lune, attirant pour Lucas. Quand finalement Cyriel s'abandonna totalement, Lucas lâcha son emprise et laissa son corps totalement libre aux envie de la princesse.

-Majesté!!! Majesté!!!

La respiration de l'adolescent était rapide, il sentait le rythme cardiaque de sa partenaire et son liquide se rependre en lui... Il ferma les yeux, profitant de ce moment de calme et de douceur, ne sachant pas se qui allait suivre. Il ne disait rien, ne voulant pas interrompre un moment apprécié par sa princesse.
Fiche de Lucas
Mais il y a aussi sa sœur,   Konu et la la geekete. Contactez moi plutôt sur cette dernière, c'est mon compte principal ;)

Cyriel Raffaëlli

Humain(e)

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 27 dimanche 06 avril 2014, 17:07:04

La tension redescend rapidement dans mon corps, et je me blottis quelques secondes de plus que je ne l'aurais cru contre celui de Lucas, continuant à faire jouer ma langue sur ses lèvres, avec une certaine lenteur. Je me sens bien, mieux que je ne l'ai été depuis un bout de temps, dans cette position, ce petit esclave si frêle respirant sous moi, ses battements de cœur se joignant aux miens. Mon sexe chaud repose contre sa jambe, laissant encore sur la peau un petit filet de semence. Le contact du liquide blanc et visqueux contre l'extrémité de ma verge me fait prendre conscience d'une chose. Il était bien temps que j'arrête d'être trop tendre, de toute façon ! Il a assez profité de ma gentillesse pour aujourd'hui.

-Tu ne t'es même pas lavé avant de te faire saillir ! À quoi pensais-tu ?

Je fronce les sourcils : ma voix est devenue plus stridente. Je me redresse et me lève du lit. D'un mouvement de pied désinvolte, j'envoie ma culotte sous le lit. La robe que je porte suffi à cacher ce que je veux cacher, pour le moment. Puis je prends Lucas par l'épaule et le tire à son tour hors de la couche, le remettant debout sans lui laisser l'occasion de se rhabiller. Peut-être va-t-il avoir un peu de mal à marcher, ces prochains temps, mais tant pis pour lui.

Je le pousse dans le dos vers la porte que j'ouvre en la frappant, et j'appelle mon serviteur en criant presque.

-Felice, montre a ce souillon ma salle de bain !
-Incessamment, princesse ! me répond le valet, alors que j'entends les marches en bois de l'escalier craquer sous ses pas pendant qu'il le monte.

Le temps de regarder méchamment le spostanacci qui n'a pas bougé d'un pouce, et le valet est devant nous. Felice affiche un air sévère lorsqu'il voit mon esclave nu et dans une situation ne laissant aucun doute sur ce qui vient de lui arriver. Je l'ai peut-être un peu trop rempli ; je crois entendre tomber une goutte de liquide sur le sol, entre ses deux pieds.

-Je le rejoins plus tard, je fais avec un certain désintérêt, laissant entrer Baluardo dans ma chambre, et expulsant Lucas dans le couloir. Il ne manquerait plus que j'attrape une maladie de miséreux.

Heureusement, j'ai dans ma chambre ce qu'il faut pour m'assurer que cela n'arrive pas. Je dois bien avoir là-dedans suffisamment de potions curatives pour remettre sur pieds une armée défaite toute entière. Je dois toujours veiller à être bien soignée, même si c'est parfois très pénible. Pour cause, une princesse est un être divin, et donc, une princesse ne tombe jamais malade ; surtout pas de ce genre d'afflictions là. Je referme la porte.

*
*   *
– Felice –

Cette petite peste m'appelle pour la première fois de la journée. Jusqu'ici, j'étais presque tranquille. D'habitude, elle les lave avant de les emmener dans sa chambre ; elle n'a pas du pouvoir se retenir. Je gravis les escaliers quatre à quatre. Elle serait capable de me reprocher de prendre plus de cinq secondes à les monter. Elle est déjà suffisamment insupportable au naturel pour ne pas lui donner de raisons supplémentaires de l'être. Je vois la porte s'ouvrir, et la nouvelle esclave en sortir, poussé dans le dos.

Alors voilà à quoi elle ressemble sans le torchon qu'elle avait en entrant ici. Étrange, j'aurais jusqu'ici pensé qu'il s'agissait d'un garçon. Je me demande combien elle a pu le payer. Elle lui a bien dit qu'elle était plus chère que moi, mais elle a tendance à tout exagérer. Une fille aussi maigre et avec aussi peu de formes, ça ne doit pas valoir grand-chose. Ce devait être simplement le moyen de m'humilier encore. Elle ne s'en prive jamais. Elle sait que je déteste ces esclaves. Leur concurrence est déloyale pour les lignées de serviteurs sous serment comme la mienne. Ils font un travail beaucoup moins sûr, comparé à la qualité de mon service, c'est certain, mais personne ne paraît s'en rendre compte.

-Suis moi, gamine, je lui ordonne sèchement.

La salle de bain n'est pas très éloignée : à l'autre bout du couloir.

-À quand remonte ton dernier bain ?

Je fais tourner la poignée ronde et dorée d'une main experte, et je pénètre en premier dans la pièce. C'est la seule pièce de l'hôtel à disposer d'un carrelage au sol et aux murs, ce qui rend l'isolation presque parfaite. Le silence est absolu dans ce lieu où tout est bleu clair, à l'exception de la baignoire, qui est un peu particulière. En céramique blanche, finement ciselée, elle a une certaine allure. De plus, elle dispose d'un système de chauffage, qui permet de maintenir l'eau à température constante aussi longtemps que nécessaire. Je referme la porte derrière l'esclave.

-La vermine comme toi n'a rien à faire ici, tu ne l'ignores pas ? Ce sont les gens comme toi qui mettent les honnêtes travailleurs dans l'embarra.

Je l'attrape durement par le poignet et le jette au milieu de la pièce. Puis je me tourne vers lui, attendant un éventuel commentaire.
« Modifié: vendredi 11 avril 2014, 14:53:52 par Cyriel Raffaëlli »

Lucas

Créature

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 28 jeudi 10 avril 2014, 11:48:42

La tempête semblait terminée, le calme était de retour. Douceur et tendresse avaient, pour quelques instants, le monopôle concernant la situation entre Lucas et sa maîtresse. Ce n’était pas pour déplaire au blondinet  qui appréciait énormément ce genre de moment tellement ces derniers étaient rares.  Il la sentait, il sentait la respiration de la princesse elle était sur lui, sa peau était très douce, le corps du jeune homme se calmait et les douleurs dues à son anus malmené disparaissent. Il aurait pu s’endormir dans telle position, hélas le moment de tendresse était terminé.

Cyriel reprenait son côté dominatrice et fit remarquer au blondinet qu’il ne s’était pas lavé avant  de la satisfaire…comme si on lui en avait laissé la possibilité. Mais le maître toujours raison, même quand il a tort. 
Lucas ne répondit pas, il se contenta de baisser la tête pour se regarder. C’est vrai, il n’était pas très propre, surtout ses pieds. Il se laissa pousser jusqu’à la porte, et surprise il marchait tout à fait normalement.
Lucas n’était pas malade et ne l’avait jamais été de sa vie, les avantages du sang de bête qui coulait dans ses veines mais ça, Cyriel ne le savait pas. Son serviteur Félice arriva très vite, il montait les marches rapidement cela s’entendait, une fois arrivé devant l’esclave il lui jeta un regard noir, il ne l’aimait pas, pas du tout même. Le ton de sa voix ne laissait aucun doute possible sur la question.  Lucas fut littéralement bousculé hors de la chambre et suivi le valet dans les couloirs.

Pendant le voyage Lucas continuait ses observations, les petits détails, les manques, les saletés, il les gardait en mémoire tout comme le chemin.  Ne pas se perdre était toujours utile…
-Mon dernier bain ? C’était lors la dernière pleine Lune… »

Ne sachant pas compter, il se repérait dans le temps comme il le pouvait : la lune, les événements important du calendrier, des faits exceptionnels célèbres…tout était bon pour garder une notion du temps à l’esprit. 
Finalement au bout d’une petite minute le duo arriva dans la salle de bain princière.  Elle était assez jolie, c’était indéniable: les carrelages étaient impeccables, Lucas avait même un peu de peine à les salir en marchant dessus. Il y régnait un silence quasi religieux, la pièce était très bien équipée. Le valet  ferma la porte et ; dans sa grande gentillesse, permit à l’esclave de pouvoir observer de plus près le carrelage en jetant le blondinet au milieu de la pièce en lui lançant une réplique pleine d’amertume. Lucas atterrit sur le sol dur en laissant s’échapper un petit cri de douleur, il se redressa tête baissée :
-Ma place est auprès de mon maître monsieur. Je dois la servir quel que soient ses ordres…

Puis il se releva, tournant le dos à Felice pour regarder de plus près la baignoire, pièce maîtresse de cette salle, durant son observation il ajouta :
-Donc tant que sa majesté voudra que je reste je lui obéirais.
Fiche de Lucas
Mais il y a aussi sa sœur,   Konu et la la geekete. Contactez moi plutôt sur cette dernière, c'est mon compte principal ;)

Cyriel Raffaëlli

Humain(e)

Re : "Marchandise" de 1er choix!

Réponse 29 samedi 12 avril 2014, 01:02:47

– Felice –

Je la toise de toute ma hauteur : je dois faire trente ou quarante centimètres de plus qu’elle, ce qui n’est, en vérité, pas très difficile. Pourtant, je sens que cela me donne sur elle un ascendant psychologique certain. Je profite de ma supériorité aussi bien physique qu’intellectuelle pour lui rappeler à quel point, et surtout pourquoi elle est nuisible pour la société dans son ensemble.

-C’est bien ça oui : soumise jusqu’à la bêtise. Si tu avais un peu de bon sens, un peu d’amour propre, un peu de libre-arbitre, nous n’en serions pas là. Mais au fond, tu es quand même contrainte à la servitude. Pour cette raison, les services que nous fournirons seront toujours supérieurs à ceux des esclaves. Car nous, nous servons de notre plein gré, et non par peur d’un châtiment.

J’ai tout loisir de l’observer, nue, dans ses moindres détails, ce que je ne manque pas de faire. Je fais même semblant d’être plus voyeur que je ne le suis, en attardant mon regard sur les parties les plus sensibles de son anatomie. Vraiment, cette petite chose est trop maigre et sans intérêt sexuel, je ne comprends pas ce que la princesse lui trouve. Elle préfère les hommes, en général. Peut-être est-ce le fait que cette esclave là n’est pas très féminine.  Pour être un bon valet, il est indispensable de faire preuve d’ouverture d’esprit, et aussi ne pas trop tenter de trouver de cohérence dans les goûts princiers... l’on a vite fait de devenir agaçant, et ma bien-aimée maîtresse s’agace déjà suffisamment toute seule.

Pourtant, quelque-chose me tracasse. En dehors de ses souillures, la gamine paraît être en excellente santé. Elle m’a même suivie jusqu’ici sans se plaindre. Je formule à voix haute la problématique :

-D’habitude, ils titubent tous en arrivant ici... et toi tu n’as pas mal ? Est-ce que la princesse ce serait montrée... douce avec toi ? Hu. Hu. Improbable. Elle n’a de pitié pour personne, et surtout pas pour une créature comme toi. Je la connais bien, depuis toute petite. Plus une personne lui semble faible et plus elle a envie de se montrer brutale. Elle a du te faire souffrir autant que les autres. Mais alors quoi ?

Je réfléchis et ne trouve aucune réponse satisfaisante ne contredisant pas ma brillante et sûre analyse des usages de la maîtresse des lieux. Je suis à peu près persuadé qu’elle lui a fait subir le même traitement qu’à tous ceux qui sont passés avant elle. Je pense toutefois à un moyen d’éclairer ma lanterne. Un moyen qui pourrait bien se montrer distrayant, en sus.

-Nous n’avons qu’à essayer. Voyons ça.

Mes mains courent le long de ma ceinture, une longue lanière de cuir brun sombre. D’un mouvement expert, je la défais. Je sais que l’excellente insonorisation presque parfaite de la pièce me permet de faire ce genre de chose sans alerter personne. Puis je fais un pas en avant, m’approchant de l’esclave et lui annonçant en ricanant :

-Non... ce n’est pas ce que tu crois. Je n’en ai rien à faire des traînées comme toi. En plus, tu as comme un corps de garçon. C'est dégoûtant.

Je lève le bras, faisant monter la ceinture au-dessus de ma tête. Enfin, je l’abats d’un mouvement sec sur l’épaule de la petite chose devant moi, la faisant claquer comme un fouet. Je répète une deuxième fois l’opération, horizontalement, pour aller frapper son ventre. L’instrument de torture improvisé fait siffler l’air.

-Alors, voyons voir comment tu t’en sors.

Le regard attentif, dans une observation rigoureuse, presque scientifique, mais non sans réel sadisme, je réitère le traitement. Ce n’est pas toujours aussi facile de se faire respecter des nouveaux. Heureusement, avec celle-là, je sens que ça va être aisé. Je songe qu’être sans défense, c’est peut-être sa seule qualité d’esclave. C’est sûrement quelque-chose comme ça qui a excité Cyriel. Un morceau de chair vulnérable et si susceptible d’être malmenée. Je sens que cela m’excite aussi un peu, en fin de compte. Peut-être la princesse n’a-t-elle pas de si mauvais goûts, après tout.


Répondre
Tags :