Être le sac à foutre d’Aoki, être son
sexdoll, sa petite
salope... Oh, indéniablement, sa Maîtresse savait comment lui parler ! Elle lui bourrait violemment le cul, la remplissait de joie, l’envoyant voler dans la stratosphère du plaisir ! Doutzen hurlait de plaisir, ses hurlements résonnant harmonieusement et sexuellement avec ceux du film pornographique circulant sur l’ordinateur. Doutzen se faisait prendre fougueusement par Aoki, encore et encore, avec une rage incroyable, et une force insatiable. Quelle énergie, quelle puissance ! Ah, cette queue magnifique, cette verge qui, durement, la prenait, s’enfonçait redoutablement en elle... Comment ne pas succomber ? Doutzen hurlait joyeusement son plaisir, en sentant la queue de sa Maîtresse continuer à la labourer. Aoki ne lui épargnait rien, et c’était tant mieux, car c’était là précisément ce que Doutz’ voulait... Se faire prendre, se faire labourer, se faire
défoncer ! Elle retrouvait sa Maîtresse, pleine d’énergie, pleine de vigueur, pleine de perversion, l’insultant copieusement, et semblant même encore plus stimulante et plus excitante qu’auparavant. La manière dont elle la prenait, ah... Ça n’avait tout simplement pas de prix !
Doutzen n’arrivait même plus à en retenir sa salive, qui glissait de ses lèvres, tandis que, inlassablement, Aoki continuait à la bourrer. Son corps se soulevait et s’abaissait lourdement, elle gémissait profondément, haletant longuement, s’agrippant au bureau. Le temps s’était comme suspendu au rythme d’Aoki, jusqu’à ce que sa puissante Maîtresse ne finisse par atteindre son orgasme. Elle jouit en l’insultant, et Doutzen se crispa, sentant également son orgasme la traverser, ses lèvres intimes frottant en effet frénétiquement le rebord du bureau.
«
Haaaa... Haaaaaaaannn... !! »
Elle soupirait longuement, peinant à se contrôler, ayant bien du mal à se calmer. Le plaisir était tout simplement
trop fort, éclatant dans son corps. Elle se relâcha ensuite, s’appuyant contre le bureau, en soupirant profondément.
«
Haaaa... Pffff... Les... Les orgasmes anaux sont... Sont vraiment géniaux ! Vous m’avez bien rempli, Maîtresse, vous avez rempli votre petite pute ! »
Dans la soumission, Doutzen renaissait. Toutes ses velléités de rébellion et d’indépendance s’étaient progressivement effondrées, au profit de la femme qu’elle était actuellement, une délicieuse perverse se complaisant à merveille dans la soumission... A fortiori quand elle était en compagnie d’une Maîtresse aussi belle et aussi doué qu’Aoki ! Elle respirait lourdement, reprenant peu à peu des forces, tandis qu’Aoki lui dictait la suite des opérations. Sa verge était toujours là, et elle lui exposa ensuite ce qu’elle attendait d’elle, la soumettant à un dilemme absolument horrible... Soit déshabiller sa Maîtresse, et se faire prendre sur le bureau, soit ouvrir son cadeau, et la remercier en la suçant. Quel choix terrible !
Se posant un doigt sur ses lèvres, Doutzen réfléchissait très sérieusement, sa tête filant à droite et à gauche, du cadeau au corps d’Aoki. Vu la taille du cadeau, il s’agissait sûrement d’une tenue, que Doutzen enfilerait pour les beaux yeux de sa Maîtresse... Mais, d’un autre côté, la perspective de voir sa Maîtresse dans une tenue de... Eh bien, dans une tenue de
maîtresse, valait assurément le détour.
*
Hum... Le choix n’est vraiment pas évident, mais...*
Doutzen finit par trancher, et releva la tête, esquissant un léger sourire sur ses lèvres.
«
J’ai choisi, Maîtresse ! »
Ses petites mains filèrent alors à l’assaut du corps de sa Maîtresse, et elle la déboutonna, rougissant et sursautant en sentant, contre ses doigts, ce qu’elle avait pu entendre quand Aoki l’avait pénétré : les crissements agréables et tendres du latex. Elle s’en pinça doucement les lèvres, et continua à la déshabiller, et écarquilla les yeux en voyant... Le
résultat final ! Un magnifique ensemble noir brillant et moulant, en latex, avec une culotte ouverte qui permettait de faire sortir le phallus de sa Maîtresse.
Doutzen se mit à rougir jusqu’aux oreilles, tout en roulant des yeux dans ses orbites, une franche lueur d’admiration brûlant dans ses prunelles. D’une petite voix estomaquée, elle réussit finalement à prononcer quelques mots... Ou, plutôt,
quelques syllabes :
«
Maî... Maîtresse, vous... Vous êtes si belle... »
Elle déglutit lentement, immobilisée, comme si la foudre venait de la frapper !