Doutzen ne pouvait pas s’imaginer que Kou-san avait finalement choisi d’opter pour sa pilule rose. En voyant cette bosse, elle ne pouvait que le supposer, mais, dans son for intérieur, elle imaginait plutôt un gode-ceinture, qu’Aoki adorait. Cependant, elle devait bien admettre que cette scène était particulièrement troublante. Le film pornographique, tout ce décor... Sur l’écran, Doutzen voyait les femmes continuer à se faire l’amour, les coups de reins remuant devant l’écran. Tout émoustillait déjà Doutz’. La jeune blonde se pinça les lèvres en soupirant profondément, avant de fermer les yeux, gémissant quand elle sentit la main de sa Maîtresse tirer sur sa culotte, l’arrêtant à hauteur des cuisses.
« Haaa... Maî... Maîtresse... »
La belle Doutz’ ne pouvait que soupirer et saliver face aux efforts de sa Maîtresse. C’était bien elle, c’était bien sa Maîtresse, si douée dans le sexe... Mais, outre sa maîtrise, Doutzen sentait aussi autre chose venant d’elle, comme une sorte de profond désir, d’envie féroce, différente des dernières fois. Elle ne savait pas trop comment expliquer ce sentiment qu’elle percevait, mais elle le sentait. Kou-san la caressait, la titillait, et se mit à genoux, reculant son fauteuil, et entreprit de gifler ses fesses, faisant soupirer Doutzen, la faisant couiner et saliver à l’idée de cette sodomie qui s’approchait.
Ses yeux étaient clos, mais se rouvrirent brusquement quand Kou-san lui avoua qu’elle l’avait fait... Qu’elle avait goûté à sa pilule. Un soupir de surprise s’échappa alors des lèvres de Doutzen, qui écarquilla les yeux, avant de rougir encore plus furieusement, sentant une vague de désir la traverser.
« Vrai-Vraiment... ?! Maî-Maîtresse, haaa... Je... Woow, c’est... Haaaaa... »
Elle en était si surprise, et surtout si excitée, que la jeune fille ne savait même plus comment parler. Contrairement à ce qu’on aurait pu croire, elle n’avait pas trouvé ces pilules chez son père, mais au lycée, où des dealers locaux les vendaient, presque exclusivement dans le périmètre du campus. Initialement, Doutzen avait pensé à de simples drogues, à un trafic qui se faisait sans l’aval du lycée, mais elle était maintenant sûre que la direction était derrière ce trafic. Doutz’ en avait mangé une avec une amie, et elle avait ressenti une telle force... La pilule ne faisait pas juste que vous rendre brièvement hermaphrodite, elle dopait aussi vos hormones, faisant de vous une véritable perverse, qui désirait avoir de la chatte à bouffer. Quand elle avait pris cette pilule, Doutz’ avait sauvagement baisé son amie.
Alors, si Kou-san en avait prise... Le plus impressionnant était de se dire que sa Maîtresse arrivait à se retenir, mais, au moins, la jeune femme comprenait maintenant tout. Elle comprenait les hésitations de Kou-san, cette manière particulière qu’elle avait en ce moment.. Puis sa Maîtresse se redressa, et dégrafa sa jupe, permettant à Doutzen de sentir, caressant ses fesses, une pointe moelleuse et tendue, qui la fit se mordiller les lèvres, arquant son corps vers l’avant, tout en écartant les jambes.
« Hmmm... »
Une queue, une vraie queue !
« Oh, Maîtresse... Vous savez, je... Je suis membre du conseil des élèves, alors... Je peux vous fournir autant de pilules que vous voudrez, que ce soit pour punir vos esclaves, ou... Pour vos séances avec Hardy-san... Hmmm... Vous n’avez... Vous n’avez qu’à demander à votre petite pute... »
Et, en attendant, la « petite pute », qui sentait les mains de sa Maîtresse se crisper sur ses hanches, remuait son bassin de droite à gauche, en le bombant vers l’arrière, se mordillant les lèvres, serrant ses mains sur le rebord du bureau.
« Oui, Maîtresse, je... Je suis prête... Hnnnnnnnnnnnnnnnn... !!} »
Elle serra les dents en sentant la verge de la femme se rapprocher, tapant contre sa croupe, atteignant sa rondelle. Les mains de Kou-san la pincèrent, tandis qu’elle bandait les muscles, et Doutzen gémit encore, poussant un premier cri, répandant involontairement un peu de salive sur l’écran d’ordinateur, où il y avait un gros plan sur le cul de la soumise, avec le gode qui filait d’avant en arrière, dans un trou bien élargi, comme un miroir inversé de ce que sa Maîtresse était en train de lui faire... Mais aucun gode ne pourrait jamais remplacer l’intensité d’une verge, et c’était bien là une spécialiste qui disait ça ! Elle poussait de profonds soupirs en sentant sa Maîtresse se perdre en elle, enfonçant progressivement sa verge.
« Ouuuiiii-haaaa... Ouuiii, haaaaaaaaaaaaaaaaaannn... P-Plus fort, hmmm... En-Enfoncez-vous en m-m—moi, Maî... Maîtreeesseeeuuuh !! »
Aoki avait une grosse verge, un mandrin qui la pilonnait, et Doutzen posa ses mains sur le clavier dans un geste frénétique, remettant involontairement le son du film pornographique, qui vomit un flot de jurons, de claquements de chair, et d’hurlements. Doutzen n’était guère en reste, essayant de se maintenir avec ses bras, mais, quand sa Maîtresse revenait vigoureusement contre elle, il arrivait que son buste file vers l’avant, sa tête s’écrasant contre l’écran d’ordinateur, avant de repartir vers l’arrière, d’haleter et de gémir encore...
Dieu, que c’était bon !