Cette sodomie était évidemment douloureuse. Et, à ce stade, parler simplement de douleur était un chaste euphémisme. Les solides mains du Praetor, ce monstre, ce véritable colosse noir de chair et de courbes, s’appuyait fermement sur les épaules de Kerrigan, tout en donnant des coups de reins qui faisaient remonter le corps de l’Annexienne. Sarah n’était pourtant pas une femme menue. Malgré sa silhouette très belle, elle pesait son poids, grâce à sa chitine, mais ce poids semblait ridicule face à ce garde d’élite. Elle sentait toute la rage et l’agressivité du Preator, qui était en train de soulager une longue frustration sexuelle. Sa verge faisait bien plusieurs dizaines de centimètres, s’enfonçant dans le fondement de la Reine, le ramonant en remontant, tandis que cette dernière ne pouvait que subir, s’appuyant de ses bras contre la paroi, heurtant à chaque fois le corps de sa partenaire. Cette souffrance était terrible, coupant Sarah en deux, remontant en elle, bloquant sa respiration. Elle sentait cette verge en elle, dans son corps, comme un intrus qui obstruait le fonctionnement normal de son corps. Oui, la douleur était atroce. Ce Preator crevait littéralement le plafond.
Pour autant, ce n’est pas comme si Sarah détestait ça, et c’était même plutôt le contraire. Sarah n’était plus une humaine sensible et effrayée, mais une femme qui était désormais accomplie. La douleur était quelque chose de plaisant, surtout quand elle s’accompagnait à une dose de plaisir. Sarah n’oubliait pas que son corps s’écrasait contre celui d’Irina, dont la beauté redoutable était légendaire. De plus, le simple fait d’être ainsi sodomisé engendrait une sorte de vorace plaisir pervers, d’autant plus qu’elle avait toujours apprécie les Xénomorphes, ces créatures sombres, prédatrices, qui dégageaient une sorte de monstrueuse et d’appétissante beauté. Une humaine était incapable de voir cette beauté instinctivement. Sarah, elle, raisonnait différemment, sur d’autres degrés d’appréciation. Le Xénomorphe était une créature qui était physiquement belle, et coucher avec elle était toujours un régal.
Le Praetor ne cherchait pas à la ménager, et c’était ce que Sarah voulait. Elle mouillait de plus en plus, tout en se sentant pleine, comblée, vivante. Existait-il seulement une meilleure sensation au monde ? Un sentiment plus jouissif que celui-ci ? Elle était totalement comblée, et son corps heurtait celui d‘Irina, rebondissant contre le sien, dans une longue transe, une transe ponctuée de soupirs, de hurlements, et de gémissements langoureux. Le Xénomorphe prenait en effet son temps, afin de ne pas jouir trop rapidement, tandis que son sexe continuait à s’enfoncer dans le corps de Sarah. Si on avait passé sa peau au rayon-X, on aurait vu une longue barre noire remontant le long du côlon, pour se rapprocher de l’estomac. On aurait également vu que le corps de Sarah se modifiait intérieurement pour essayer de former une sorte de ligne droite. Normalement, le côlon passait entre l’estomac et l’intestin grêle, l’intestin grêle accueillant ce qui venait de l’estomac, pour ensuite les diffuser le long du côlon, afin de les faire sortir par l’anus, dans un petit conduit qui pouvait se détendre pour épouser la forme du rectum, et, plus profondément encore, celle du côlon. C’était ce que la virilité du Praetor, véritable épée, était en train de faire.
Sarah pouvait sentir les douces mains moites d’Irina attraper son visage, l’embrassant parfois. Elle était serrée contre elle, ses jambes se resserrant de plus en plus, dans une prise également douloureuse, mettant à rude épreuve les reins de la Reine des Lames. Cette dernière était comblée, ne retenant plus sa salive, qui s’échangeait avec celle de sa partenaire, ses mains allant ensuite se crisper contre elle. Elle lui griffa le dos, lorsque le Praetor finit par jouir. Il éjacula dans son estomac, le remplissant assez rapidement.
Son éjaculation fut très longue, durant bien plusieurs minutes supplémentaires, à jouir, jouir, et jouir encore. Des filaments de sperme jaillissaient dans le corps de Kerrigan, qui haletait et tremblait. Son estomac fut rempli, et le sperme remonta le long de l’œsophage. Sarah se mit alors à le sentir passer par sa bouche, et cracha sur les lèvres d’Irina des giclées de sperme. Cette pénétration était véritablement en train de défier les lois de la Nature, mais c’était à l’image de la Fourmilière, après tout : appréhender la Nature, pour la contrôler, et l’amplifier. Sarah pouvait alors sentir les cuisses du monstre contre ses fesses, et comprit qu’il avait réussi à intégralement enfoncer sa longue verge, jouissant assez longuement, le sperme filant le long de son corps pour repasser par sa gorge, avant de filer dans la bouche d’Irina, qui se rua contre sa partenaire et amante, l’embrassant, goûtant à ce sperme. Yeux écarquillés, Sarah se sentait comme déchirée en deux.
« Hun... Hunnnn... »
Lentement, le Xénomorphe se retira, laissant derrière lui une importante traînée de sperme. Sarah sentit son estomac gargouiller, avant que le sperme n’inonde son côlon, remontant jusqu’au rectum... Lorsque le monstre se retira, le sperme jaillit lentement des fesses de Sarah, qui récupéra alors ses lèvres.
Son postérieur lui donnait le sentiment d’être en feu, mais, au moins, le Praetor était soulagé. Sarah reprit lentement son souffle, pour constater qu’elle avait toujours une érection, et ce alors qu’elle avait joui... Du moins, sa verge n’avait pas joui directement, mais son intimité, elle, avait libéré une belle quantité de cyprine, qui tâchait ses jambes, glissant sous le bassin resserré d’Irina
« Des putains d'enfoirés que tu adores ma belle, constata alors Irina, sans que Sarah ne puisse nier quoi que ce soit. Ne t'inquiète pas, mes Xénomorphes t'adorent, et tu pourras baiser avec tous ceux que tu veux. Mais plus tard. Le sens-tu ? En notre être...nous sommes fertile...tes bébés qui t'attendent...prends nous...viens en nous, encore et encore...féconde moi ! »
Sarah sourit. Elle sentait les jambes d’Irina la serrer, et le désir monta d’un cran en elle. Elle tendit l’une de ses mains, attrapant la nuque de la femme, et, probablement à la surprise, d’Irina, la décolla alors du mur.
« Hummm... Oh, crois-moi, Irina, je vais te baiser bien comme il faut. »
Les mains d’Irina se crispèrent sur ses seins. La verge de Sarah s’était encore tendue davantage, ponctionnant sur son corps, alors que le sperme du Xénomorphe continuait à glisser dans son anatomie. Les pattes de Sarah se recourbèrent alors, et se posèrent sur le dos de la femme, par endroit, la plus balle d’entre elle se rapprochant du fondement de l’Annexienne, pour se glisser dans son anus. Ce faisant, les pattes maintenaient le corps d’Irina près du sien, servant d’appui.Une main sur sa nuque, l’autre alla se poser sur les fesses d’Irina, se crispant sur son délicieux cul. Tandis que l’une de ses pattes s’enfonçait dans son fondement, Sarah reprit alors ses mouvements, poussant des grognements, se heurtant à l’étau d’Irina.
Cependant, si elle remuait son bassin, encore une fois, les mouvements venaient surtout de ses pattes, qui appuyaient fermement sur le corps d’Irina, avant de donner du mou, ce qui avait pour effet de ramener le corps de l’Annexienne en arrière, avant d’appuyer à nouveau dessus. L’idée était qu’Irina se fasse proprement défoncer. La verge de Sarah avait depuis longtemps défoncé son utérus, pour remonter dans sa chair, son sexe s’engloutissant intégralement dans le sien.
Sauvagement, la Reine des Lames retourna l’embrasser, et leurs ébats perdurèrent ainsi pendant une bonne dizaine de minutes, jusqu’à ce que, enfin, la verge de Sarah n’expulse de grosses quantités de sperme, par de longues giclées qui éclaboussèrent l’intérieur du corps de l’intéressée, sous de longs soupirs.
« Hun-hun... Haaa... Ne faisons plus qu’une, Irina… »
Sarah termina cette longue éjaculation par un délicieux baiser.
Lorsqu’elle eut terminé, Irina était bel et bien enceinte.