Leur séance de baise, intense, dégénéra dans le vulgaire et dans le sale quand Sumika se mit à jouir. Ce fut une véritable orgie de foutre, éclaboussant le visage de Mélinda, ses cheveux, sa nuque, coulant sur ses seins, tandis que le chibre masculin de la femme se mit à tressauter, balançant des filaments de sperme qui allèrent tâcher le plafond, ou tombant sur elle. Ce fut comme une espèce de fontaine, une scène aussi grotesque que jouissive. Mélinda retira sa bouche du cou de la femme, en constatant que cette femme adorait se faire mordre, et la sentit alors jouir... Par l’intimité. Double plaisir pour elle, elle prenait un ascenseur direct pour le Paradis, et Mélinda pouvait voir les joues de Sumika rougir de plaisir. Un plaisir sincère et intense, alors qu’elle était en train de s’abandonner. La mouille jaillit de son sexe avec la vitesse et la force d’un tsunami, relevant son sexe. Mélinda jouit donc, gémissant lentement, et son sperme vint éclabousser l’estomac de Sumika, rebondissant jusqu’à ses seins. C’était sale, crade, mais, quand on avait, comme Mélinda, participé à une orgie démoniaque, on était plus à ça près.
Elles jouirent pendant un certain temps, Sumika balançant une grosse quantité de sperme, et, quand les deux femmes se calmèrent, le centre de la salle de cours ne ressemblait plus à grand-chose. Sumika avait balancé suffisamment de jus pour enfanter une ville. Il y avait du foutre sur le sol, les tables, les chaises, ainsi que sur leurs corps. Les deux femmes respiraient lourdement, Mélinda sentant son cœur battre la chamade dans sa poitrine. Des plaques rouges ornaient son corps, mais ce n’était pas que de la sueur. Dans ses veines, le sang de Sumika battait à pleins régimes... Un sang exquis et rapide, vicieux et intense, un sang qui continuait à influer en elle. Elle voyait la grosse verge de Sumika, une queue terrifiante, et elle-même se masturbait, sa virilité toujours raide. La seule fois où Mélinda avait goûté au sang d’une succube, elle était devenue une véritable machine à baiser, incapable de s’arrêter, incapable de penser à autre chose que le cul, le cul, et encore le cul. Elle était globalement un peu dans cet état, en ce moment, fiévreuse, envieuse de baiser cette femme à la queue énorme.
« Haa... Haaa... Je sais pas toi... Mais j'ai encore envie... Et j'aimerais bien gouter... A ta queue... haaa...
- J’ai... J’ai bu ton sang, ma belle... Disons que j’ai une certaine dose de sexe à compenser tout de suite, à cause de ça... »
Il n’y avait pas que ça, évidemment, mais ça en faisait partie. Mélinda se pinça les lèvres, et laissa ensuite Sumika l’installer sur le sol. Elles étaient toutes les deux sales, le corps partiellement blanchâtre, glissant. Mélinda écarta les jambes, et vit ensuite Sumika se mettre à quatre pattes. Avec sa verge, il lui était impossible de s’allonger sur elle... Mais Mélinda nota alors quelque chose de curieux. Le sexe de Sumika était dur, oui, mais, en même temps... Elle le vit légèrement onduler pour rejoindre ses lèvres, et comprit qu’il était aussi très élastique... Bien plus qu’un sexe normal. Mélinda gémit en sentant cette queue s’enfoncer en elle, et s’empêcha de la mordiller, tout en aventurant sa langue, la léchant avec appétit. La vampire aimait ça, et elle sentit ensuite Sumika avaler son sexe, optant rapidement pour une gorge profonde.
« Hnnn... »
La queue de Sumika était tâchée de sperme, et elle la sentait s’enfoncer lentement en elle. Mélinda grommela et soupira, masturbant avec ses doigts cette longue tige. Plus elle voyait cette queue, et plus elle avait le sentiment que c’était une sorte d’improbable et curieux croisement entre une verge et un tentacule. Ceci expliquait son élasticité et sa souplesse, alors que ce membre était dur. Il s’enfonçait profondément en elle, et, si elle n’avait pas en elle le sang de Sumika, Mélinda aurait probablement eu un sentiment de haut-le-cœur. Le bout de cette verge tapait délicieusement dans sa gorge. La tête de Mélinda reposait sur une partie d’une flaque de sperme, et elle ferma les yeux, appréciant ce membre, le savourant de plus en plus.
Quelque chose lui disait que sa fête de sexe était encore loin d’être terminée avec cette femme.