A song of sex and fire ou the game of profs [ pv Kasja]

Une nouvelle journée de terminer. Je suis assez content de moi car je commance vraiment à prendre mes marques dans cet établissements. Aujourd'hui seul un prof agréer d'histoire pourrait affirmer que moi Corydon, je n'ai aucun diplôme m'autorisant à enseigner et que je ne devrai même pas me trouver là. J'entrais dans la salle des profs saluant quelques collègues et commencent à poser mes affaires dans un casier. Une fois tout cela de fait, je me mis à une table, attendant que tout le monde partent, n'ayant pas de lotissement à cause du fait que je n'avais pas un rond à part un peu d'or que j'avais voler à nexus. Je me trouvais à une table, un bon café à côté d'une pile de copie à corriger sur la Grèce antiques. De temps à autres l'as de regarder des copies toutes les plus mauvaises les unes que les autres, je lorgnais sur les profs de sexe féminins, j'avais vraiment de la chance d'avoir échoué ici, de collègues toutes plus sexy les unes que les autres, des élèves fantasmant sur moi et prêtent à me sauter dessus si je leur proposer un peu de cul... La vie est belle tout de même mais j'attend mon premiers salaires avec la plus grandes impatience afin de pouvoir trouver un logement. Je corrigea la copie d'une de mes élève favorite, une charmante rouquine avec qui j'avais passé une nuit enfermé dans une salle trop chauffé... Je m'égare moi. Je corrigea donc sa copie avant de la ranger avec les autres dans mon casier. Je me tournis ensuite à la fenêtre regardant la cours.

Ce lycée était décidément trop grand. Trop large, trop grand, trop blanc, trop pleins d'élèves différents, trop pleins de professeurs différents. Kasja s'y perdrait. Les élèves la prenaient pour une des leurs, les professeurs la traitaient comme une gamine d'adolescente. C'était injuste. Mais, bon, tant pis. Elle survivait tout de même. Elle entra avec un grand soupir dans la salle des professeurs qui était vide. Ou presque.

Elle toussa un peu pour faire remarquer qu'elle était là. Le professeur ... d'histoire, non ? Oui. Sans doute. Elle n'en savait pas grand chose. Mais il était bien mignon, ce professeur. Elle posa sa sacoche sur la table et se prit un café, sans plus de cérémonie. Il pouvait bien croire qu'elle était élève qui prenait ses aises. Elle s'en foutait, tant pis, tant pis. Elle en avait ras-le-bol de cette journée. Ses élèves n'étaient pas indulgents avec elle, la trouvant trop jeune pour leur faire la morale. Sales petits mômes.

"-Pas trop de boulot ?

Elle sourit à son collègue et regarda par dessus l'épaule du jeune professeur, ses cheveux roux glissant un peu sur le torse de son collègue. Oui, Histoire, elle avait raison. Elle se releva et s'assit du bout des fesses sur un siège, son café en main, y trempant ses lèvres rouges.

J'entendis un léger toussotement qui me tira de ma rêverie, je me tourna vers la sources du son, et... Je vis face à moi une charmante rouquine joliment faite.

-Oh bonsoir mademoiselle, je lui fit un sourire accueillant,Non non ça va, je commence à désespérer de voir que mes élèves ne sont pour la plupart incapable de me cité ne serait-ce que les douze dieux les plus importants du panthéon grecques, alors imaginez quand je leur demande ceux des muses! J’émie un petit rire qui se voulaient sympathiqueEt vous? Vous semblez avoir passé une dure journée vous en revanche..

Je me porta toute mon intention vers ma collègue qui semblait elle aussi bien jeune en lui souriant, ce sourire sympathique qui donnait a ma face un air d'italian loveur

Kasja eut un sourire et haussa un sourcil amusé. Il en demandé beaucoup, à ses élèves. Bon, elle leur demandait bien de lui citer tous les compositeurs d'un siècle donné, ou toutes les œuvres d'un compositeur avec leurs tonalités..Mais c'était pas une raison.

"-Je ne pourrais pas vous les citer, moi non plus... Elle sourit et but une nouvelle gorgée de café. J'ai du mal à me retrouver dans ce lycée...C'est un peu grand, pour moi.

Elle sortit quelques copies et mordilla doucement son stylo, avant de sourire de nouveau au professeur.
"-Au fait, je suis mademoiselle Dubrinov...Mais appelez-moi Kasja."

-Ravi de vous connaître Kasja, je suis Corydon, mais appelez moi Corydon lu fis-je avec un clin d'oeil et en rigolant,Ouais, vous avez vu rien que mon premier jour ici, je me suis perdu et j'ai mis une demi heure à trouver ma salle de classe, vous aussi vous venez d'arrivez?je lui dit tout ça avec une voix douces et joyeuse, Au fait je ne vous ai pas demandé, qu'enseignez vous?

Finalement, cette journée été plutôt agréable, je me retrouve face à une collègue ravissante avec un bon café et le soir qui donne une teinte d'un orange sympa à la pièce.

-Dites, ça vous direz de visiter le lycée avec moi? au moins si nous nous perdons, ça sera plus amusant que si nous nous perdons chacun de notre coté non?

Je lui lancé ça avec un autre sourire, me montrant aussi sympathique que pouvait l'être un prof d'histoire, jouant avec mon haut de forme

Elle sourit doucement. Oui, niveau humour, on pouvait faire mieux, mais elle n'allait pas se plaindre tout de suite. C'était pas particulièrement ces compétences là, qui l'intéressait. Son sourire se finit en coin, tout doux, sympathique. Elle passa une main dans ses cheveux.

"-Professeur de musique.." Elle hocha doucement la tête et finit son café avant de jeter le gobelet. "Oui, ça peut être une idée, effectivement...!"

Elle rangea ses copies vite corrigées et sourit au collègue.

"-On peut y aller si...t'as finis..!"

Elle se releva, sa courte robe se relevant aussi, dans le même mouvement. Elle eut un rougissement et baissa le volant de sa robe pour cacher ses fesses rebondies. Elle sourit à Corydon, haussant un sourcil étonné devant son haut de forme.

Je ne pus m’empêcher de regarder ses jolie fesses, je détournas le regard en rougissant moi aussi, plus parce que je me sentais coupable d'avoir regarder ses fesses, que parce que j'étais gêné..

-Alors allons y, si tu veux, je te parlerai des muses qui ont inspiré ta profession si tu veux ahah, tu arrive d'où toi? fis-je me relevant et remettant ma veste, avec mon chapeau trônant sur ma tête.

Je me rendis compte après avoir refermer la porte de la salle des profs derrière nous que je la conduisais a me retourner la question, ce qui pourrait me porter préjudice, au pire, je devrais trouver un mensonge, je pense que j'utilisera de nouveau la grèce, après tout, mon nom est grec!

Kasja attrapa elle aussi ses affaires, enfilant un petit gilet noir aux longues manches serrées. Elle referma le gilet, frileuse comme une gamine, remontant la fermeture éclair jusqu'au haut de sa gorge.

"-Une île, assez loin d'ici. Tu connaîtrais surement pas." Elle sourit, en frictionnant ses bras dans les couloirs vides, froids, et gris. Tout gris, aux très haut plafond.

"-Et toi ? Corydon, c'est encore moins d'ici que mon prénom à moi, non ? Tu viens d'Europe ? D'Angleterre, peut-être ?" Les questions fusaient sympathiquement, alors que la jeune professeure de musique suivait Corydon dans les couloirs vers la sortie du lycée.

"-Au fait, t'habites en ville ?"

Elle-même habitant vachement loin du lycée, elle était curieuse de savoir où logeait les autres professeurs.

Il fait vraiment trop froid, et j'aime pas ça... Toujours est-il la joli rouquine me pose quelques questions, le ton était sympathique

-Enfait je viens de Grèce! dat mensonge réutilisé à l'infiniD'à coté de Sparte pour être précis

nous continuâmes à marcher, nous dirigeant petit à petit hors du lycée, elle me demanda si j'habité en ville..

-A vrai dire, je n'ai pas de logement, et je dors au lycée dans la salle des profs, je viens d'arriver dans le pays, et je n'ai pas d'argent..

 je baissé la tête, ma voix sonnant mélancolique, puis je la regardas et lui sourit, elle était vraiment jolie.

-Il y a un endroit que tu veux voir en particulier?

Kasja hocha doucement la tête. Grèce...oui, ça collait avec son prénom. Même si à l'avis de Kasja, il n'avait pas la tête d'un Grec. Elle sourit doucement en pensant" des choses bien moins normales, puisqu'en bonne perverse qui s'y connait, elle ne croyait pas à ce qu'on disait sur es grec, ce que les élèves criaient dans un couloir pour se moquer d'un de leur camarades : "Oh, le greec !". Elle avait toujours trouvé ça méchant. Penser qu'un grec était obligatoirement homosexuel. Non, elle avait donné des colles à des élèves rien que pour ça. En fait, dès qu'on était pas d'accord sur un sujet sexuel, avec elle, elle était sévère. Sinon ? Non, pas sévère. Et Corydon était grec, bien, mais sans doute pas du tout homo', à voir comment il la reluquer.

-Tu n'as nulle part où dormir ? Personne ne peut t'héberger ? Elle eut une moue, une grimace. Oh, mais on allait pouvoir remédier à ce problème, mon mignon...Ecoute, en attendant que tu trouves un logement, t'as qu'à venir chez moi. J'ai une chambre d'ami inutilisée.." Elle lui sourit très gentiment, offrant son hospitalité avec un mouvement de la main. Kasja hocha la tête de nouveau.

"-Tu sais s'il y a des quartiers à éviter ?"

je ne pus me retenir de faire un grand sourire, Kasja me proposa de m’hébergé le temps que j'ai un logement

-Merci mille fois Kasja! Tu es la première personne à me tendre la main depuis que je suis ici!

Elle me demanda si il y avait des endroits a éviter.. Je réfléchis un instant avant de me remémorer qu'une élève disait s'être faite violer dans le quartier de Toussaint, le plus étrange dans tout ça c'est qu'elle en parlait comme si elle voulait recommencer.

-Il y a le quartier de la Toussaint je crois.. il parait que c'est mal famé, un peu comme chez moi à Nexus....Pourquoi?

Je plongé mon regard dans celui de Kasja, tentant de percevoir ce qu'elle avait dans la tête, elle a de beaux yeux cette femme..

Kasja eu un mince sourire en coin avant d'hocher la tête doucement, et d'hausser es épaules dans un même mouvement pour exprimer son sentiment : ce n'était rien qu'une offre tout a fait logique pour un collègue qui avait besoin d'être dépanné. Elle avait un si bon fond, Kasja, qu'elle trouvait ça normal d'héberger un homme qu'elle ne connaissait que depuis exactement, une demi-heure. Elle chercha quelque chose dans son sac et sortit une petite boite de bonbons. Elle se mit à suçoter joyeusement son bonbon à la menthe, avec un petit sourire.

"-Don't worry, c'est normal." Elle papillonna naïvement des cils, en jetant un regard à Corydon. Pour savoir où ne pas aller. Je ne fais jamais attention à ce qu'on dit sur les quartiers, et je me retrouve toujours au mauvais endroit au mauvais moment. Je dois avoir une sorte de mauvais aura, tu vois ?" Elle eut un rire cristallin qui éclata dans sa gorge, un rire que vous aviez envie de suivre.

Elle passa une main dans ses cheveux.

"-Allez, viens, on a qu'à aller chez moi, comme ça je te ferai visiter." Elle chercha ses clefs de voiture et ouvrit son véhicule. "Par contre, c'est à plus d'une heure sans compter les embouteillages. T'as intérêt de trouver un sujet de conversation."Elle lui sourit de nouveau.

La journée finissait bien, ma charmante collègue me ramené chez elle car elle m'avait prit en pitié, elle m'amena à ce que les humains d'ici appelé une voiture, et m'indiqua de rentré dedans, on ne parla pas durant la première minute, ce qui me permit de réfléchir à ma position ici,  j'avais trouvé quelqu'un qui pouvait me faire une carte d'identité, ce qui me permettrai de me couvrir plus largement, et aussi de faux diplômes d'une institue d'enseignement grec. Je pris la parole dans la voiture, voulant être sympathique à ma délicieuse hôte.

-Et donc, Mishima, ça fait combien de temps pour toi? personnellement ça doit faire maintenant, un moi? ou peut être trois semaines, j'ai du mal avec les dates, paradoxale pour un prof' d’Histoire, non?

Je rit brièvement, me reportant ensuite sur la conductrice

-Dit moi, par hasard tu sais comment on peut s'amuser par ici? j'avou que dormir dans la salle des profs est facilement lassant..

Je lui fit ma dernière remarque avec un sourire.

Ce n'était pas joli-joli, de dire qu'elle l'avait prit en pitié, et c'était un mensonge en plus. La pitié était un sentiment que Kasja trouvait négatif. Prendre en pitié quelqu'un c'était le sentir inférieur à soi-même, et ça, elle ne supportait pas. Tout le monde était égal à son voisin, merci Kasja et tes bons sentiments. C'était donc bien mieux que de la pitié, c'était de la gentillesse d'âme. Tant de bons sentiments dans un même coeur, dans un même corps, tant d'émotions dans ce p'tit bout de femme. Elle l'écoutait d'une oreille distraite, regardant la route devant elle, les couleurs des voitures se mélangeaient devant les yeux de Kasja. Elle dodelinait de la tête, réfléchissant un peu avant de sourire. Elle calcula mentalement et poussa un petit soupir.

"-Ca va faire...Presqu'un mois je crois..." Elle réfléchissait. Sachant que..Qu'il...Enfin, qu'il l'avait quitté il y avait maintenant trois bons mois, le calcul devait être rapide. Le temps de vendre l'île, de trouver un boulot..."Enfin, pas assez longtemps pour avoir fait le tour des boites ou des bars intéressant. Je comptais garder mon temps pour les vacances de la Toussaint."

C'était vrai, elle n'avait pas eut le temps de faire le tour des endroits où elle pourrait danser un peu. Ca l'étonnait que lui, ne l'ai pas fait, car après tout, il aurait pu vouloir dormir chez des filles d'une nuit...En tout cas, c'était ce qu'auraient fait Kasja et son manque de pudeur, pour trouver des endroits ou dormir la nuit, si elle avait été dans le même cas que lui.Mais elle se garda de lu dire. Il pourrait le prendre, mal, après tout. Peut-être était-ce un ingénu...La question devait se poser.

"-Sans vouloir être indiscrète, tu n'as pas de petite amie qui aurait pu t'héberger ?""

C'était une question totalement inutile. S'il en avait une, elle l'aurait héberger. Mais elle voulait savoir comment il était, si c'était un naïf, ou autre chose. Elle aimait bien connaître les gens qu'elle hébergeait, tout de même. Oui, même quand il était déjà dans la voiture, pas loin de chez elle. Elle pouvait tout aussi bien décider de le jeter hors de la voiture avec un grand coup de pied, s'il ne lui plaisait plus. Enfin, non, parce qu'il devait être bien plus costaud qu'elle, et que de toute façon ça ne se faisait pas. Mais ne la contrariait pas, s'il vous plaît.

Elle demanda si j'avais une petite amie qui aurait pût m'héberger, je pris un air mélancolique, c'est vrai que tout est allé si vite ce soir là que je n'ai même pas penser vraiment à ce qui s'était passé, elles étaient mortes carbonisé par ma faute.. Alexandra la blonde aux gros obus, Salih la terranide chatte et même Betty, ma première, la petite brune toute frêle qui était la déesse des fellations, elles étaient morte.. Je lui répondu

-À vrai dire.. Je n'ai jamais eu de "petite amie" j'ai fais l'amour avec des femmes que je désirais mais jamais rien de sérieux, si je te disais dans quelle genre de lieux j'ai grandi tu ne me croierais pas..

je marqua un temps avant de lui révèler d'où je venais, enfin d'où, je n'allais quand même pas lui dire que je venais d'un monde différent du sien, pas maintenant, tout comme je ne lui montrerai pas mes pouvoirs de pyrokinésiens maintenant, parlons simplement de ce qu'elle est en mesure d'entendre pour l'instant je ne voudrais quand même pas lui faire peur d'autant plus quelle commence à me plaire, ses cheveux me font penser à mes propres flammes..

-J'ai grandi dans un bordel qui se trouvait dans un quartier mal famé de Sparte, et je n'ai jamais songé à la notion d'amour à cet époque, ça n'avait pas sa place dans ce genre d'endroit, m'enfin je vais pas t'embêter plus que ça avec mon histoire, parlons un peu de toi, à part héberger les professeurs SDF, être profs de musique et être mignonne, tu as des occupations? Des hobbys ou autre?

Je fini ma phrase, la ponctuant d'un grand et beau sourire dans le genre charme anglais voir élégance à la Française, rappelant les élégants gentlemen du XIXeme siècle, la moustache ridicule en moins, une dentition parfaitement blanche en plus, je me promis alors de visiter les plus belles contrée du monde à commencer par la Grèce histoire d'être plus crédible en disant que j'en venais, mais aussi la France et les française que l'on dit ravissante, j'aimerai voir des pays froid, comme la Russie, bien que le communisme y soit trop present à mon goût et surtout je voudrai voir New York, peut être en étant accompagné du rousse flamboyante aux jolie fesses rebondis qui sait.. Enfin, toujours est il qu'elle emmenait le pauvre ESP-et se je suis chez elle. Cette humaine avait quelque chose d'envoûtent, un petit je ne sais quoi et elle respiré la gentillesse, je me perdus un instant, l'imaginant vêtue d'une robe blanche marchant la tête haute et les joux roses, fière d'elle comme l'ai une femme se mariant.. Je chassa rapidement cette jolie image de ma tête après tout je ne la connaissais que depuis une ou deux heures.. Mais elle me rappelait la Muse du chant, Melpomène..
Alors que je rétrogradais par la fenêtre de sa drôle de charrette, une lueur orange colora mes yeux fins et un léger sourire un brin nostalgique se dessina sur le visage d'italian lover que j'avais..le soleil descendait, c'était beau. Je repris la parole

-dis moi je sais que certaines personne font ça pour que ça soit plus simple économiquement, mais ça te dirais que nous fassions une collocations? Voir je cuisine, je pourrais te faire à manger, je ne veux pas me venter mais je suis plus doué que le personnel de cantine fis je, riant légèrement