Sentir le corps de Nanami sur sa tête était un plaisir exquis et magnifique. Alice était vraiment faite pour la soumission. Elle avait été éduquée dans cette voie, car elle avait grandi avec un père qui n’avait cessé de la rabaisser, de la diminuer, de lui rappeler à chaque fois quelle faiblarde enfant elle était. Alice avait grandi ainsi, rabrouée, enchaînant les échecs auprès de son père. Que ce soit auprès du maniement d’armes légères, d’arcs, ou même de la magie, elle avait toujours été incapable de le satisfaire. Une Princesse incapable de se battre était une honte pour un royaume guerrier. Alice avait donc grandi ainsi, dans une atmosphère de dénigrement, propice à développer en elle une attirance pour la soumission et le rabaissement. Mélinda l’avait très bien compris, et avait su en tirer profit, afin qu’Alice, loin de rester une simple partenaire commerciale, devienne aussi une amante régulière. Elle sentit Nanami jouir sur son visage, confirmant l’état d’excitation intense de la jeune femme. Sa geôlière se vida sur elle, et Alice sentit son visage se recouvrir encore plus de mouille, la faisant gémir, l’excitant encore plus. Le gode remuait en elle, et Nanami, en le voyant, se pencha en avant.
«
Huuumm… ! » gémit la Princesse.
Elle remua un peu les jambes, serrant ses poings. Nanami se pencha vers son intimité, enfonçant ainsi davantage ses cuisses contre sa tête. Ses fesses caressaient sa peau, et la Princesse soupira à nouveau, les joues rouges de plaisir. Ses seins lui faisaient toujours aussi mal, tout en étant aussi des atomes de plaisir, ses tétons étant durcis, pointant fièrement vers le ciel. Alice ne disait rien, se contentant de soupirer et de gémir, et sentit Nanami attraper le gode, le faisant remuer plus rapidement en elle. Des soupirs multiples s’échappèrent des lèvres obstruées de la belle tête blonde, qui se contorsionna sur le lit, remuant autant qu’il était possible de le faire. Nanami s’occupait très bien de son corps, confirmant sa perversion. Que ce soit le gode dont elle s’occupait, les pinces sur ses tétons, ou le
plug anal, Alice était comblée. C’était une chance que Mélinda lui ait régulièrement fait l’amour ! Grâce à cela, son corps pouvait endurer le traitement de la jeune Nanami sans être larguée.
Dans ces circonstances, Alice ne tarda pas à jouir, et balança généreusement sa mouille. Oh, elle mouillait déjà, bien sûr, mais, quand elle sentit l’orgasme arriver, la cyprine afflua davantage, dans une explosion de douceur et de cris. Le plaisir se mua en un orgasme saisissant qui l’envoya s’envoler dans les cieux pendant quelques secondes, avant de lentement revenir à elle, de retrouver pied avec la réalité. Tout son corps frissonnait de désir, tout son être ruisselait d’envie. Oh, si c’était bon !
Nanami en avait-elle fini avec elle ? Pas sûr… Elle s’était écartée, mais c’était le temps de sortir sa boîte magique, et de lui faire une proposition. Alice, de son côté, avait léché ses lèvres, les essuyant des traces de mouille, sentant la cyprine de Nanami couler le long de ses joues. La jeune tête blonde continuait à gémir et à soupirer, tout en devant se concentrer. Il fallait qu’elle choisisse
quatre objets dans la boîte de Nanami : deux pour elle, deux pour Nanami. Facile à dire, moins à faire, avec ses mains liées, et le
plug qui remuait dans son cul, la contraignant à déplacer son bassin.
«
Haaannn… Je… Haaaa… Ç-Ça, là… »
Du nez, elle désignait une culotte noire en latex, qui avait la particularité d’avoir trois godes :
un gode externe, faisant office de verge, et deux godes internes, tournés vers l’intérieur. Alice estimait que cet objet comptait bien pour deux, et, tout en continuant à soupirer, elle désigna deux autres objets. Du nez, elle indiqua donc, pour Nanami, une pince pour les seins, et, pour elle-même… De fait, le choix s’avérait plutôt difficile, vu que tout son corps était déjà pris, et, à défaut, elle finit donc par désigner un collier pour chien, à lui mettre autour du cou.
Elle estimait plutôt impensable de se méprendre sur ce qu’elle voulait faire avec la culotte-gode de la femme.