Le plaisir sexuel de Mélinda était d’autant plus fort qu’elle était une vampire. Elle contrôlait son rythme sanguin, et le sang, dans le sexe, était important. C’était le vecteur de la vie, et elle pouvait le contrôler pour que le sang afflue toujours à hauteur de son sexe, lui permettant ainsi d’avoir une verge toujours en état d’excitation. C’était d’autant plus facile que les techniques tekhanes de manipulation génétique permettaient ce genre de choses. La philosophie tekhane était de copier la Nature en corrigeant ses imperfections, ce qui, au sens large, incluait le sexe masculin et ses faiblesses. Mélinda sentit les solides mains chaudes de l’androïde la saisir, et accompagna le mouvement. Le bout de ses pieds heurta le mur, et elle s’y appuya, tout en posant ses mains sur les rebords du fauteuil, voyant la verge rose de l’androïde, tendue. Vu sa couleur, on dirait presque un jouet. Ceux qui avaient fabriqué cette androïde avaient du se faire plaisir. Dans un sourire, Mélinda laissa Zero la traîner vers elle. Ouvrant la bouche, elle enfouit ce sexe dans la sienne, tout en abaissant son bassin.
Les gorges profondes s’enchaînèrent des deux côtés. L’androïde était née pour le sexe, ce qui suffisait à la rendre extrêmement performante dans ce domaine. Quant à Mélinda, elle avait une expérience sexuelle particulièrement forte. Elle soupira de plaisir en goûtant à cette belle verge, essayant de ne pas se servir de ses mains, se contentant de sa bouche, de ses lèvres, et de sa langue. Elle remontait longuement le long de cette hampe, tout en utilisant son bassin pour remonter d’avant en arrière. Elle soupirait lentement, yeux clos, tout en caressant avec ses mains les jambes nues de Zero. Si ce n’était l’absence d’activités sanguines dans son corps, la vampire sentait une peau douce et chaude, typique d’une humaine qui prendrait grand soin de son corps. Elle enfonçait la verge de la femme dans sa gorge, s’étouffant à moitié, respirant par le nez, serrant ses dents contre ce morceau de chair. Naturellement, elle enfonçait son propre sexe, remuant un peu, soupirant lentement de plaisir. Le fauteuil ployait lentement sous le poids des deux amantes.
Délicatement, le plaisir montait, comme un volcan en éruption. Mélinda se laissait faire, soupirant et gémissant, remontant longuement le long de la verge, la couvrant de sa salive, titillant le bout de cette belle queue rose, avant de retourner à l’assaut, l’enfonçant dans sa gorge, grognant lentement, soupirant silencieusement.
*Hum... Quelle belle verge... C’est si bon !*
Mélinda continuait à remuer de haut en bas, lentement, savourant la salive chaude de l’androïde. Tant de si belles sensations... Oui, elle adorait vraiment ça ! C’était magnifique, délicieusement merveilleux, et la vampire ne se privait pas pour continuer. Elle continuait à remplir de sa salive le sexe de la femme, sentant son orgasme approcher rapidement. Comme pour l’aider, Zero glissa alors un doigt dans son vagin. Mélinda gémit, un couinement étouffé par le membre de Zero. Sa cyprine dégoulinait alors sur le visage de Zero, près de ses yeux, sur ses joues. Elle avait légèrement replié ses jambes, afin de ne plus sentir le mur, et continua ainsi à agir, à la sucer... Jusqu’à jouir. Elle sentit l’éjaculation approcher, et, dans un ultime soupir, balança une magnifique giclée de sperme dans sa bouche.
Le soupir de plaisir explosa dans son corps, une sorte de bref océan blanc, comme si tout son corps venait de se tendre. Depuis son vagin, la mouille jaillit également, tandis que Zero se mit aussi à jouir, en même temps que Mélinda. Il y eut une belle explosion de jus intime, qui se répandit sur le visage de Zero, et dans la bouche de la vampire. Cette dernière l’avala joyeusement, et, comme elle s’y attendait, Zero balança une bonne pelletée de sperme. Elle se retrouva avec du sperme dans la bouche, et le but lentement, délicatement, avant de lentement relever sa tête, libérant le sexe de la femme. Comme elle s’y attendait, son sexe était toujours tendu, et elle l’attrapa dans sa main, le masturbant. Quand elle eut fini de boire, et qu’elle sentit le sperme filer vers son estomac, elle lécha cette verge, remontant dessus, y frottant le bout de son nez.
« Tu as une queue délicieuse, petite machine... Vraiment très belle... Je suis curieuse de savoir comment elle se comporterait dans une autre partie de mon anatomie... »
Un sourire amusé naquit sur ses lèvres. Elle se releva, se mettant à califourchon sur la femme, reprenant un peu son souffle. D’une main, Mélinda replaça quelques mèches de cheveux rebelles, puis se laissa descendre sur le sol, où elle se mit nonchalamment à quatre pattes, creusant son dos en relevant ses fesses.
« Viens, je sais qu’il te tente... Viens goûter à mon délicieux petit cul... »