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Zero se réveilla en sursaut. Elle était dans son lit, installée n'importe comment, comme à chaque fois qu'elle se réveillait d'une longue nuit de sommeil. Comme d'habitude, elle avait fait le même cauchemar que toutes les nuits. Elle rêvait qu'elle tombait, dans une sorte de gouffre infini, elle sentait son estomac se contracter, elle avait une irrésistible envie de vomir, puis elle se réveillait en sueur. Elle se releva, tremblante, transpirante, malgré le fait qu'il ne fasse pas très chaud et qu'elle soit en sous-vêtements. Elle jeta un oeil à son radio-réveil. Il était sept heures et demie. À huit heures vingt-cinq exactement, elle devait être au travail. Il ne fallait pas trop traîner. Elle habitait à environ dix minutes du lycée Mishima, mais ce n'était pas une raison pour attendre le dernier moment. Étant en service depuis peu, elle ne voulait pas donner mauvaise impression. Elle s'habilla donc, enfilant directement son uniforme, puis alla prendre son petit-déjeuner.
Quelques minutes plus tard, elle descendit jusqu'à son garage, démarra machinalement la voiture et roula tranquillement jusqu'au lycée. Une fois arrivée, elle se gara et rentra dans le bâtiment, saluant un collègue par ici, un élève déjà bien connu par là... Aujourd'hui, c'était le jour de la visite médicale, et sa première patiente se nommait Mélinda Warren. Apparemment, c'était une jeune fille assez arrogante. Mais bon, cela ne la concernait pas, elle n'était ni professeur ni éducatrice. Elle se plierait sans doute aux examens sommaires exigés par le lycée. Tout du moins, si elle se présentait...
Huit heures et quart. Elle prépara tous ses instruments, de la balance au tableau lettré servant à vérifier la vue de l'élève. Deux minutes avant l'heure, elle était prête à accueillir cette Mélinda. Lorsque celle-ci frappa à la porte, Yukie alla lui ouvrir immédiatement, lui adressant un grand sourire :
« Bonjour, Mélinda. Entre, je t'en prie ! »
Il ne fallait pas se laisser aller. Malgré son goût pour le sadisme et le meurtre, ce job était son seul et unique gagne-pain, elle ne pouvait pas se permettre de se laisser aller au boulot, et de risquer de le perdre. Bien que vu ses formes, en se recyclant dans la vente de son corps, elle pourrait s'en sortir également, mais elle n'était pas de ce genre-là. Un sourire jusqu'aux oreilles, elle tendit les bras dans sa direction et lui dit :
« J'aimerais que tu te déshabilles, s'il-te-plaît. Tu peux garder tes sous-vêtements. Je les déposerai sur la petite table que tu vois là, et tu pourras les récupérer dès que cet examen sera terminé. »
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Depuis plusieurs jours, maintenant, le lycée Mishima accueillait une nouvelle infirmière : Yukie Nishihara. Comme 99% du personnel du lycée, elle était une beauté sculpturale provoquant, à chaque fois qu’on la voyait, une hausse sensible du taux d’hormones, conduisant vraisemblablement à une hausse des accidents corporels et des visites à l’infirmerie. Et, comme chaque année, la visite médicale obligatoire avait lieu, pour chaque élève. C’était l’occasion de voir si les élèves étaient à jour dans leurs vaccins, s’ils ne se mutilaient pas, s’ils n’avaient pas des problèmes de santé, etc... Le genre de choses que le Japon prenait très au sérieux. Comme la plupart des pays d’Asie du Sud-Est, le Japon connaissait un taux de suicide assez élevé chez la jeunesse. C’était bien pour ça que Mélinda contribuait de manière aussi active à reprendre d’arrache-pied cette population désœuvrée. Elle considérerait presque ce qu’elle faisait comme une œuvre sociale, caritative, pour le bien de la société. Sa petite taille lui permettait sans problème de se faire passer pour une lycéenne, et le lycée était une véritable manne pour les esclavagistes comme elle. Il y avait quantité de filles à problème, quantité de filles rencontrant pour la première fois l’importance des hormones, et elle était là pour les guider dans leurs problèmes, les conseiller... Et en faire ses petites esclaves, fidèles et soumises.
Elle était la première ce matin. Initialement, son souhait avait été de ne pas assister à cet examen, non seulement inutile, mais dangereux pour elle. Après tout, elle n’était pas une humaine, et elle ne tenait pas à ce que son petit secret s’ébruite, avec des preuves médicales. Son intention initiale était donc de ne pas y aller, mais c’était un élément extérieur qui l’avait fait changer d’avis, propre à la récente infirmière aux seins énormes et à la tenue rose qui formait un appel au viol.
Un pur hasard, en réalité. Mélinda se promenait dans les couloirs quand Nishihara-san était passée devant elle... Et elle avait compris que cette femme était... Extrêmement particulière. En tant que vampire, Mélinda disposait d’un sixième sens, le sens sanguin, le sens vampirique, ce sens inné chez les vampires qui permettait de filtrer le sang ennemi, de le ressentir, et, à partir de là, avec de l’expérience, d’en déterminer l’origine. C’était comme le goût, permettant de dissocier le bœuf de l’haricot vert. Et, quand Nishihara-san s’était rapprochée, Mélinda n’avait... Rien ressenti. Du moins, rien ressenti se rapprochant d’une humaine, d’une vampire, d’une Terranide, ou même d’une mutante, ou encore d’une Formienne. Qui était cette femme ? Mélinda avait mené ses recherches. Elle était, après tout, une menteuse, qui avait inventé une fausse biographie, et une fausse histoire, expliquant être la fille de riches parents éloignés, afin que l’administration ne se pose pas trop de questions.
Pour l’heure, ses recherches n’étaient guère concluantes, et alla avait donc décidé d’en savoir un peu plus sur la nouvelle infirmière. Pour ce faire, elle avait utilisé ses relations pour être la première ayant la visite médicale, et pour caser ensuite ses esclaves, afin que personne ne vienne les déranger, si la séance venait à s’allonger.
Voilà donc pourquoi Mélinda se retrouvait dans le bureau de l’infirmière, une belle femme à la voix douce, aux seins énormes, et au sang... Troublant.
« J'aimerais que tu te déshabilles, s'il-te-plaît. Tu peux garder tes sous-vêtements. Je les déposerai sur la petite table que tu vois là, et tu pourras les récupérer dès que cet examen sera terminé. »
Mélinda hocha la tête, polie, observant la table.
« Je préfère les mettre moi-même sur la table, Nishihara-san. »
Elle se rapprocha de la table,, puis déboutonna lentement sa chemise, et la retira tout aussi lentement, commençant par enlever sa cravate. Elle avait un soutien-gorge noir, et déposa proprement la chemise sur la table, puis fit de même avec sa jupe. Elle s’abaissa lentement, faisant ressortir ses sens, et tira sur sa jupe, jusqu’à pouvoir la retirer. Mélinda l’attrapa alors, et se retourna, puis la déposa, tout en profitant pour s’écarter. Concrètement, elle bomba les fesses en arrière, offrant à l’infirmière une jolie vue sur sa croupe. C’était une technique de séduction comme une autre.
« Voilà... Dois-je m’allonger, Nishihara-san ? »
Elle avait lâché le dernier mot de manière assez sensuelle, tout en plantant son regard d’émeraude dans le sien.
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« Je préfère les mettre moi-même sur la table, Nishihara-san. »
D'accord. À croire qu'elle ne lui faisait pas confiance. De quoi avait-elle peur, que Yukie lui vole ? Enfin bref, il n'y avait aucune raison de se mettre en colère pour si peu, et elle acquiesça d'un vif hochement de tête, ne se séparant toujours pas de son grand sourire, presque trop grand. Elle la regarda sans trop oser, elle avait bien trop peur qu'une idée malsaine lui submerge l'esprit. C'est d'ailleurs ce qui se produisit, même si elle parvint à s'en défaire sans passer à l'acte. En effet, il lui suffit de regarder un instant le petit cou pâle de Mélinda pour s'imaginer lui trancher la gorge, léchant avec avidité son sang qui coulait de la plaie... Elle détourna les yeux. Ce n'était pas le moment, elle était au travail. Elle n'aurai qu'à aller faire un tour aux alentours de la ville après le boulot, chercher une cible isolée et l'assassiner vite fait bien fait, pour couper court à ses pulsions. Mais au travail, elle devait rester le plus sage possible.
Elle regarda donc la lycéenne se dévêtir, commençant par retirer sa chemise et sa cravate. Faisant face à la table, Mélinda tournait le dos à Zero, celle-ci ne pouvait donc voir que l'attache de son soutien-gorge, mais elle pouvait déjà imaginer sa réaction lorsque la "jeune" fille se retournerait. Ensuite, elle retira sa jupe, avec une lenteur telle que Yukie en vint à se demander si elle ne le faisait pas exprès. Une fois qu'elle eut déposé sa jupe sur la table, elle bomba le fessier, et l'infirmière, voyant ce magnifique arrière-train, eut une fois encore bien de la peine à se contrôler, mais dans un tout autre registre, cette fois. Même si coucher avec une élève était sans doute moins grave que de l'assassiner, il lui fallait tout de même renoncer à ce genre de distractions au lycée. Mélinda lui dit alors :
« Voilà... Dois-je m’allonger, Nishihara-san ? »
Elle aurait tellement voulu lui répondre "oui, allonges-toi que je puisses t'examiner bien en profondeur" ! Mais c'était impossible. Au lieu de ça, elle secoua la tête et lui dit :
« D'abord, il va falloir te peser et te mesurer. Les instruments sont là. »
Elle lui désigna un coin de la pièce, puis la suivit sur place pour expédier ses petites formalités. Mélinda avait quelque chose d'étrange... Elle ne savait pas quoi, mais la lycéenne lui semblait plutôt bizarre. Outre le fait qu'elle tente délibérément d'allumer son infirmière, bien sûr.
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Elle ne la sentait pas. Était-elle excitée ? Sceptique ? Endormie ? Elle ne sentait pas les battements sanguins de cette femme, qui fournissaient un indicateur explicite et dénué d’ambiguïté sur l’excitation qu’une personne ressentait. Cependant, avec cette femme, elle ne ressentait rien. L’indicateur sanguin restait à plat, et le sourire contreplaqué qu’elle lui faisait sonnait faux... Comme un sourire artificiel, un peu trop vrai, un peu trop gentil pour être honnête. Il y avait un secret que cette infirmière sexy essayait de cacher, et ça ne plaisait pas à Mélinda. Elle n’aimait pas qu’on lui cache des choses, elle n’aimait pas ne pas savoir. À quelle espèce est-ce que Yukie Nishihara appartenait ? Était-ce une sorte de Gynoïde, comme Kaede Azumari ? Mélinda avait tendance à le croire. Un androïde, une créature artificielle, au sang artificiel, factice. Le sang, cet indicateur si précieux, n’était pas là. Si elle n’y était pas préparée, elle serait totalement désarçonnée face à cette belle femme enchanteur... Mais Mélinda était bien placée pour savoir que la beauté, surtout la beauté innocente, dissimulait bien des choses dangereuses.
« D'abord, il va falloir te peser et te mesurer. Les instruments sont là. »
Avait-elle été insensible à son petit numéro de charme ? Une fille savait comment y faire pour envoyer des signaux, surtout Mélinda. Elle l’ignorait, ce qui la troublait, mais elle savait masquer son trouble. La vampire hocha la tête, et rejoignit une balance, où elle posa ses petits pieds. L’idée était sans doute de calculer son IMC. Mélinda n’avait pas à se plaindre. Elle n’était ni trop maigre ni trop grosse, ayant des rondeurs là où il fallait. Elle joignait innocemment ses mains dans son dos, à hauteur de ses fesses, et attendit que l’infirmière s’exécuté.
« Je suis en bonne santé, infirmière ? » demanda-t-elle d’une petite voix douce.
Elle l’allumait, elle la titillait, dans l’espoir de pouvoir percevoir des signaux externes. Cet examen médical n’avait que pour seul et unique but de lui permettre d’en savoir plus sur Yukie Nishihara. La curiosité était l’un des éléments déterminants chez Mélinda, un sentiment qui la faisait toujours aller de l’avant, et l’amenait perpétuellement à prendre des risques. Elle fonctionnait sur ce mode. Elle prenait des risques, mais elle était une vampire. Elle n’avait pas à avoir peur.
Et puis, elle était irrésistible.
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La belle infirmière était dans une position plutôt problématique. Elle risquait de devoir examiner la lycéenne, pas seulement de la peser, ou autres examens simples et rapides. Et pourtant, rien que le fait de voir Mélinda en petite tenue la mettait dans tous ses états. Comment allait-elle pouvoir tenir pendant toute la visite ? Debout sur la balance, Mélinda joignait ses longs doigts fins derrière son dos, pile à hauteur de son arrière-train. Impossible de regarder ailleurs, évidemment. Yukie se devait de rester professionnelle, mais chaque seconde qui passait rendait un peu plus difficile ce véritable challenge. Coupant net le fil de ses pensées, sa jeune patiente l'interrompit dans son raisonnement, lançant d'une petite voix :
« Je suis en bonne santé, infirmière ? »
Difficile de le dire sans avoir même daigné jeter un oeil sur l'écran de la balance, à dire vrai. Même si Mélinda, à la simple vue de son corps et de son attitude, n'avait pas l'air de souffrir de quoi que ce soit. Mais Yukie savait que certains problèmes de santé pouvaient être tout à fait invisibles. Déglutissant avec difficulté, elle s'approcha donc de la lycéenne, se retenant bien d'être un tant soit peu tactile, faisant des efforts titanesques pour penser avant tout à son travail, et au salaire à la clé. Une petite partie de son cerveau non-organique lui souffla qu'une récompense en nature avec la petite Mélinda Warren ne serait pas de refus, mais elle parvint tant bien que mal à chasser ces pensées de son esprit en secouant vivement la tête, puis s'éclaircit la gorge. Elle devait se reprendre.
La suite des événements se déroula sans trop de problèmes, Mélinda n'avait aucun souci particulier, elle n'avait pas trop grossi ou maigri par rapport à l'an dernier, sa vue était excellente, ses réflexes, pareil. Soulagée, Yukie prit la parole :
« Et bien tu m'as l'air en pleine forme, dans tous les domaines sans exception. C'est rare, tu sais. Et vu tes capacités physiques, tu pourrais donner un coup de main au lycée, en intégrant un club de sport, par exemple. »
Elle gagnait du temps. Elle n'avait pas du tout envie de vérifier si la jolie rousse était ou n'était pas enceinte, car elle avait beaucoup trop peur de ne pas pouvoir s'arrêter à cette seule vérification. Elle pinça les lèvres, espérant silencieusement que sa patiente ne la provoque pas comme elle semblait le faire depuis leur rencontre...
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Elle ne pouvait pas sentir le sang, mais elle entendit l’infirmière déglutir. Et on déglutissait rarement sans raison. Avait-elle la gorge enrouée ? Non. Mélinda esquissa un discret sourire, très léger, comprenant très bien à quoi ce son correspondait. Comment lui résister ? Le Diable était dans les détails, et Mélinda savait y faire pour se rendre exquise. Elle était une femme à part entière, et une femme digne de ce nom devait savoir séduire les autres, envoyer des signaux qui influeraient sur les hormones des autres personnes. Mélinda était douée, oui, et ce talent se confirmait en ce moment. L’infirmière semblait perturbée, donnant à cet examen un caractère particulièrement atypique. Mélinda avait bien fait de prendre ses précautions. Elle savait faire la petite fille, cette innocente jeune femme d’apparence dont on sentait bien que le rôle était faux, et dont on ne pouvait qu’être envieux. Mais cette infirmière n’était pas mieux. Derrière son air enfantin et sa douceur, Mélinda devinait une femme bien plus subtile, relativement dangereuse. Elle aurait du avoir peur, mais elle était en réalité plutôt excitée.
Il y eut quelques tests classiques, notamment visuels. Étant une vampire, Mélinda avait une vision particulièrement excellente, et lut donc les lignes sans aucune difficulté. On compara son poids par rapport aux courbes de son carnet de santé, un outil administratif qu’elle avait rempli avec l’aide de quelques spécialistes terriens. L’examen se déroulait pour le mieux, mais l’infirmière maintenait un silence pesant, et son regard fuyant était très explicite. Mélinda était de plus en plus convaincue qu’elle était excitée par elle. Elle travaillait au sein de Mishima, après tout, un lycée où il était normal que les élèves couchent avec les professeurs.
« Et bien tu m'as l'air en pleine forme, dans tous les domaines sans exception. C'est rare, tu sais. Et vu tes capacités physiques, tu pourrais donner un coup de main au lycée, en intégrant un club de sport, par exemple. »
Mélinda lui fit un sourire enjoliveur.
« Merci, Nishihara-san. Et, ne vous en faites pas, je contribue beaucoup à l’entretien du lycée... J’y investis tout mon corps, même. »
Difficile de se méprendre... Mélinda aurait pu terminer l’examen à ce moment, mais elle n’en avait pas envie... Pas encore. Elle savait comment un examen de ce genre était censé se dérouler. Et il manquait encore quelques étapes. Yukie ne s’en tirerait pas aussi facilement. Mélinda sauta sur le rebord du fauteuil, et croisa les jambes, tout en se balançant légèrement, d’avant en arrière.
« Je suis prête pour la suite de l’examen, Madame... Vous savez, les instruments et tout ça, pour vérifier que je ne suis pas malade... Par contre, comment dois-je m’allonger ? »
Joignant le geste à la parole, Mélinda alla se coucher sur le dos.
« Sur le dos ? »
Et elle se retourna alors, en relevant le haut de ses jambes, ses seins s’enfonçant contre le fauteuil :
« Ou sur le ventre ? »
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Yukie remarqua le sourire enjôleur de Mélinda, et se prit à penser que, peut-être, la lycéenne avait en tête exactement les mêmes idées qu'elle... Mis à part les pulsions meurtrières, évidemment, mais cela faisait plusieurs minutes qu'elle avait remplacé celles-ci par des pulsions d'un autre genre, mais tout aussi agréable. Cela devenait dur pour l'infirmière de résister à toutes ses envies. Mais elle tint bon, se faisant violence pour ne pas céder et faire quelque chose qui la mettrait dans l'embarras, et qui compromettrait sa carrière potentielle. Et puis, si elle attirait l'attention, les scientifiques risquaient de la retrouver et de lui faire payer la mort de son créateur...
« Merci, Nishihara-san. Et, ne vous en faites pas, je contribue beaucoup à l’entretien du lycée... J’y investis tout mon corps, même. »
La façon dont elle avait accentué certains mots... Zero en était de plus en plus persuadée : Mélinda avait bel et bien une idée derrière la tête. Et ce n'était pas pour lui déplaire, bien loin de là. Et puis, le sourire discret qui fendait un coin de sa belle bouche traduisait parfaitement ce que Yukie ressentait. Mélinda devait savoir qu'à présent, elle était censée procéder à une palpation des ovaires... En général, cela ne posait pas de problèmes, mais la jolie rousse avait vraiment quelque chose qui perturbait l'infirmière. Avant qu'elle ne puisse ne serait-ce que penser à lui fournir une réponse, elle continuait sur sa lancée, la provoquant de plus en plus, d'abord par la parole :
« Je suis prête pour la suite de l’examen, Madame... Vous savez, les instruments et tout ça, pour vérifier que je ne suis pas malade... Par contre, comment dois-je m’allonger ? »
Et puis aussi par des gestes terriblement suggestifs :
« Sur le dos ? »
Ensuite elle se retourna, prononçant la phrase avec le même air aguicheur, me donnant également une vue imprenable sur sa poitrine, dont les trésors secrets masqués par son soutien-gorge noir me faisaient de l'oeil, qui, ainsi pressée contre le fauteuil, semblait prendre plus de volume. Inutile de préciser que je me sentais toute chose. Heureusement, elle ne m'avait pas encore suffisamment excitée pour que ce soit visible de l'extérieur, mais quand même. Je sentais mes tétons qui sortaient de leurs replis de chairs, cherchant à percer le tissu de mon uniforme. Seulement mon uniforme. Parce que non, je ne portais pas de soutien-gorge. Plutôt gênant, quand une de nos patientes nous fait un tel effet. Mais heureusement, mon uniforme n'est pas assez fin pour qu'on voit quelque chose transparaître.
« Sur... Sur le ventre, s'il-te-plaît – parvint-elle à articuler – Tu es sans doute au courant, le lycée Mishima est assez exigeant concernant les relations physiques entre lycéens. Et comme à cet âge-là, on se moque souvent des règles de prudence les plus élémentaires, je vais devoir vérifier que tu n'es pas tombée enceinte... Enlève ta culotte, je te prie. Tu préfères aussi le faire toute seule, j'imagine ? »
Le moment fatidique. Allait-elle résister à ce qu'elle allait bientôt découvrir ? Elle commençait à avoir un peu chaud, beaucoup trop pour que ce soit à cause de la température ambiante. Mais ce qui était sûr, c'est que Mélinda n'était pas étrangère à cette soudaine bouffée de chaleur.
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La température de la petite salle devait être en train de gravir quelques degrés. Mélinda était en train de faire ce qu’elle aimait le plus : jouer. Elle jouait avec les nerfs de la belle infirmière à la poitrine colossale. Elle avait probablement du faire de la chirurgie esthétique... Ou alors, c’était une mutante. Si c’était une androïde, il fallait croire que son créateur était un gros pervers. Elle était perturbée, ce que Mélinda ressentait désormais clairement. Elle se mordillait brièvement les lèvres, en croisant les jambes, couchée sur le ventre. Ses pieds remontaient pour taper sur le rebord de ses fesses, avant que l’un des pieds ne glisse lentement le long de sa jambe, provoquant un crissement silencieux, comme un délicat frottement le long de sa peau magnifique. Tout en elle était fait de cristal, une beauté merveilleuse et pure. Comment ne pas ressentir de l’attirance pour elle ? N’avait-elle pas toutes les qualités physiques du monde ? Elle se voyait volontiers comme l’une des plus belles femmes de la création, ce qui avait été sa malédiction, avant de devenir son dos. Elle avait de beaux yeux d’émeraude dans lesquels on ne pouvait détacher le regard, une poitrine confortable et agréable, de belles lèvres tendres et pures, ni trop grosses, ni trop petites. Elle avait une très longue chevelure bouclée, merveilleuse, et même ses griffes étaient attirantes. Oui, tout en elle respirait une pureté naturelle, devant laquelle on ne pouvait que tomber sous le charme. L’infirmière affrontait la redoutable Mélinda, et était comme un misérable deux face à un flush royal.
Un temps infini sembla se passer, suspendu aux lèvres roses de la belle infirmière, avant qu’elle ne réponde, en balbutiant. Mélinda restait couchée sur le ventre, avec cette allure de petite fille innocente et douce.
« Sur... Sur le ventre, s'il-te-plaît » demanda-t-elle.
Hochant la tête, elle se retourna lentement, montrant ses fesses à Yukie, puis resta couchée sur le flanc, ses lourds seins se frottant entre eux. Yukie Nishihara ne tarda pas à poursuivre. Elle avait du mal à parler, et enchaîna tout d’une traite, en essayant de masquer son émoi :
« Tu es sans doute au courant, le lycée Mishima est assez exigeant concernant les relations physiques entre lycéens. Et comme à cet âge-là, on se moque souvent des règles de prudence les plus élémentaires, je vais devoir vérifier que tu n'es pas tombée enceinte... Enlève ta culotte, je te prie. Tu préfères aussi le faire toute seule, j'imagine ? »
Assez exigeant... On ne devait pas parler du même lycée, mais soit. Mélinda sourit. En théorie, elle aurait du lui demander d’uriner sur le test de grossesse en allant dans les toilettes.
« Hum... Toute seule ? C’est que... Je n’ai pas l’habitude de ce genre de choses, vous savez... » minauda-t-elle, gênée.
Elle s’était redressée, assise sur le rebord du fauteuil, en croisant tendrement les jambes, baissant timidement la tête. L’incarnation-même de l’innocence et de la douceur... C’était tellement flagrant que ça ne pouvait sonner que faux. Elle entreprit de retirer sa culotte, avançant ses mains et la fit lentement glisser, tout en se rallongeant. Malheureusement, elle n’avait pas les mains assez longues, et n’avait pas envie de se relever, ce qui faisait que la culotte arrivait à mi-hauteur des cuisses.
« Vous pouvez m’aider à l’enlever, Nishihara-san ? Je suis sûre que vous en prendrez grand soin... » rajouta-t-elle, avec un sourire malicieux sur les lèvres.
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Pas un deux. Non, si Mélinda était un flush royal, elle serait au moins une paire. Et quelle paire ! Mais elle avait bien des ressources que la vampire ne soupçonnait même pas. L'inverse était vrai aussi, cela dit. La lycéenne lui répondit :
« Hum... Toute seule ? C’est que... Je n’ai pas l’habitude de ce genre de choses, vous savez... »
Juste avant de dire cela, elle avait eu comme un petit sourire en coin, ce qui ne rassurait pas du tout l'infirmière. Avait-elle remarqué que pour la suite des examens, être dans cette position n'avait aucun intérêt. Zero était presque persuadée que le beau et à priori doux fessier de Mélinda était pourvu d'une faculté hypnotisante. Et sa réponse était encore pire. À présent, Yukie savait qu'elle ne pourrait pas y échapper. Elle n'allait pas réussir à se contrôler, et allait probablement faire l'amour avec sa patiente. C'était plutôt désagréable de savoir qu'on avait perdu le combat interne que l'on menait depuis un moment, déjà. Les arguments de Mélinda s'étaient révélés plus persuasifs.
Cette dernière justement, se redressait, le regard baissé en signe de soumission. Maintenant, Yukie pouvait voir que tout était feint, que Mélinda avait guidé toute la séance dans cette direction, pour en arriver à ce dénouement. D'ailleurs, si Yukie, avait bonne mémoire, elle avait lu que la jeune fille ne s'y était pas présentée l'année dernière. Elle était donc venue,ce.matin,déjà dans l'optique de se taper l'infirmière. Comment celle-ci avait-elle pu être aussi naïve, elle qui disposait de capteurs sensoriels permettant de déceler certaines émotions chez ses interlocuteurs. Peut-être que... Mélinda n'était pas tout â fait "normale", elle non plus.
Pendant qu'elle réfléchissait à tout cela, sa patiente avait commencé à retirer sa petite culotte, qu'elle fit glisser jusqu'à mi-cuisses avant de l'interpeller d'une voix plaintive :
« Vous pouvez m’aider à l’enlever, Nishihara-san ? Je suis sûre que vous en prendrez grand soin... »
Résignée, Zero s'approcha et fit glisser le sous-vêtement jusqu'à ce qu'il tombe sur le sol, alors que l'infirmière était comme dans un état second. À la simple vue de son intimité, Yukie avait senti ses tétons pointer, et pouvait maintenant les voir à travers son uniforme. Sachant pertinemment qu'elle ne pourrait éviter de sombrer dans la débauche avec une patiente telle que Mélinda Warren, elle décida de prendre les devants et déclara :
« Et bien, tu n'en prends pas soin... Elle est toute sale ! Laisse-moi la nettoyer, je suis aussi là pour ça... »
Et elle donna un premier coup de langue tout contre la vulve de Mélinda, se délectant du goût de sa peau, remarquant au passage que celle-ci était d'une froideur étonnante...
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Elle n’avait même pas besoin de lire son sang pour le sentir. Son beau regard violet était entièrement suffisant. Elle était faite. Soumise aux charmes de Mélinda. La vampire avait gagné. Gagné quoi, elle l’ignorait encore, mais elle savait qu’elles allaient faire l’amour. C’était son objectif, après tout : qu’elles s’abandonnent dans l’infirmerie, afin qu’elle en apprenne plus sur cette femme, qu’elles soient liées ensemble par quelque chose d’intime, de fusionnel, et de secret. Le simple fait qu’elle ait demandé à Mélinda d’enlever sa culotte était en soi un aveu, une demande implicite, une perche tendue, que Mélinda avait attrapé sans la moindre hésitation. La vampire savait y faire, et il ne fallait surtout pas la sous-estimer. Autrement, on s’en mordait les doigts. Les lourds seins de Yukie semblaient tellement étroits à travers son uniforme, alors qu’elle tirait lentement sur la culotte, ses doigts glissant le long des belles jambes de Mélinda, faisant frissonner cette dernière.
« Et bien, tu n'en prends pas soin... Elle est toute sale ! Laisse-moi la nettoyer, je suis aussi là pour ça... »
La vampire esquissa un léger sourire. Son vagin était proprement épilé, et était naturellement très propre. C’était un subterfuge, un faux-semblant pour passer à l’assaut. Mélinda écarta lentement les jambes, en sentant la langue de Yukie Nishihara se glisser entre ses cuisses, atteignant son intimité. Elle sentit ses lourds seins se heurter à ses jambes, et la vampire soupira, laissant un long soupir s’échapper de ses lèvres, alors que ses mains vinrent à se déplacer, pour caresser les cheveux de la femme.
« Hann... »
Ses ongles s’enfoncèrent dans son cuir chevelu, sans lui faire mal. Cette sensation de bonheur était délicieuse, tout simplement, et elle fermait les yeux, en l’appréciant. C’était si bon, cette langue qui se glissait en elle, de si bon matin, dans un tel lieu... La petite vampire était heureuse, et de la mouille ne tarda pas à apparaître, alors que ses deux mains jouaient avec les cheveux de l’infirmière, sans aucune pudeur.
« Oui, hummm... Ce... Ce n’est pas assez, Nishihara-san... Plus profondément, allez... Nettoyez-moi, nettoyez tout mon corps, haaa... »
Mélinda n’attendait que ça. Des frissons remontaient joyeusement le long de tout son corps. Oh oui, ça faisait du bien !
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L'intimité de Mélinda Warren était tout simplement magnifique. Il suffisait à Yukie de la regarder, de la lécher avec gourmandise pour sentir une douce chaleur se diffuser dans tout son entrejambe, humectant sa culotte sous son uniforme d'infirmière. Sa poitrine enveloppait les jambes de la lycéenne alors qu'elle suçait avidement sa vulve, glissant sa langue le long de ses lèvres intimes, déposant de légers baisers sur son bourgeon de plaisir. Elle était experte dans ce domaine. Son "cerveau" artificiel disposait d'un accès perpétuel à Internet, et donc à autant de sites pornographiques et d'éducation sexuelle qu'elle le désirait. Elle était donc devenue une véritable professionnelle pour ce qui concernait le sport de chambre. Et Mélinda n'allait pas tarder à s'en apercevoir, à son grand plaisir.
D'ailleurs, du plaisir, cette dernière paraissait en recevoir en veux-tu en voilà. Les yeux clos, la patiente caressait la chevelure à la teinte si particulière de l'infirmière, qui continuait de la "nettoyer". Et à merveille, si elle devait en croire son intimité qui ne cessait de couler, sa cyprine finissant sa course dans la bouche pulpeuse de Zero.
« Oui, hummm... Ce... Ce n’est pas assez, Nishihara-san... Plus profondément, allez... Nettoyez-moi, nettoyez tout mon corps, haaa... »
Elle n'allait pas se priver, ça c'était certain ! S'exécutant avec plaisir, Yukie inséra son appendice plus profondément encore dans l'intimité de Mélinda, la nettoyant même de l'intérieur. Après quelques minutes de pur plaisir, elle remonta lentement son visage en face du sien, et l'embrassa langoureusement, partageant à travers ce baiser le goût si particulier de la cyprine de la lycéenne. Sur le moment, elle était tellement excitée qu'elle n'avait pas relevé l'étrangeté de l'information, mais la peau de Mélinda était excessivement fraîche, malgré la situation plus que chaude. Se servant également de ses mains, elle caressait avec passion son dos, pour venir dégrafer son soutien-gorge noir si sexy, révélant à l'infirmière ses deux globes de chair, certes plus petits que les siens, mais tous de même agréables à regarder.
Inutile de préciser que Yukie se précipita sur cette belle poitrine, donnant de petits coups de langue joueurs sur le contour de ses seins, avant de mordiller tendrement ses mamelons dressés, alors que les siens étaient complètement visibles au travers de son uniforme, érigés comme jamais, terriblement impatients de rejoindre la fête.
« Hm... Mélinda... Tu... Tu t'occuperas de m... De moi, après, j'espère ? »
Mine de rien, elle avait commencé à sacrément mouiller sa culotte, la pauvre.
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Yukie Nishihara était convaincue. Après une résistance purement formelle, et les gestes lascifs et langoureux de Mélinda, soigneusement maîtrisés, elle laissait ses pulsions s’exprimer. Tout en elle respirait l’innocente infirmière, née avec des seins énormes, qui essayait de les cacher, mais sans aucun succès, et n’était rien de plus qu’une femelle adorant le sexe. Rien de bien étonnant à Mishima, en somme, où elle rentrait dans la faune locale de ce lycée hors-normes. Cependant, il y avait bien quelque chose qui troublait Mélinda. Ce n’était pas sa poitrine colossale, ni sa langue qui s’enfonçait lascivement en elle, montrant un redoutable sang-froid, une maîtrise de soi qui laissait comprendre qu’elle avait déjà du lécher ainsi des moules... Mais comment le savoir ? Mélinda était convaincue qu’il s’agissait d’une machine. Elle avait déjà croisé une Gynoïde tekhane à Ashnard, après tout, une véritable petite traînée qui mouillait à vous en remplir une bassine... Alors, en croiser une autre à Mishima n’était pas, en soi, surprenant... Seulement, Mélinda ne savait pas que les Terriens avaient un niveau technologique suffisamment évolué pour ce genre de choses, et ce même si le Japon était un pays adorant les robots.
Nishihara léchait ainsi son intimité, y passant plusieurs minutes, faisant mouiller la belle Mélinda, qui se tortillait de gauche à droite sur le fauteuil, enfonçant ses doigts dans la belle et soyeuse chevelure de la femme, poussant de longs soupirs de plaisir. C’était délicieux, succulent, et Yukie poursuivait son œuvre, s’enfonçant très loin, sa langue maltraitant délicieusement son clitoris. La vampire se laissait tendrement faire, jusqu’à ce que Yukie se relève, sa bouche dégoulinante de sa mouille, donnant lieu à un sensuel baiser, où Mélinda se mettait à gémir de plaisir, le corps agité de tremblements nerveux et excités. Elle se pressait contre le corps de la femme, gémissant de plaisir, se laissant faire pour l’heure, tout en glissant ses doigts contre la nuque de la femme, glissant le long de sa combinaison, alors qu’elle sentit les mains de Yukie s’acharner sur les agrafes de son soutien-gorge, achevant de la déshabiller.
Toute nue, le corps de Mélinda était un appel flamboyant et intense à la débauche, à la beauté, et à l’érotisme. Elle était de cette beauté dont on faisait les saintes. Rien à voir avec ces prostituées de bas étage mettant du mascara excessif et un fond de teint dégoulinant. Mélinda était tout simplement belle, parfaitement proportionnée dans ses formes, avec un corps de rêve, et une petite tête angélique agrémentée de deux beaux yeux verts. Comment lui résister ? Impossible ! Yukie n’avait eu aucune chance, et ne cherchait pas à se retenir, ses lèvres se pressant sur les deux seins de Mélinda, qui se mit à soupirer, devant l’appétit vorace de cette jeune femme. Ses tétons pointaient, ses seins étant durcis, l’étirant douloureusement, comme si elle avait deux tisons ardents, des flammes que Yukie entretenait sciemment... Belle petite perverse.
« Hm... Mélinda... Tu... Tu t'occuperas de m... De moi, après, j'espère ? »
Elle sourit, gloussant même, devant ce ton suppliant. Mélinda entreprit de se redresser, conservant une main sur la nuque de Yukie, tout en enroulant ses jambes autour de ses hanches, posant ensuite tendrement un doigt sur ses lèvres, son front heurtant le sien.
« Ma pauvre infirmière se sentira-t-elle sale, elle aussi ? se moqua-t-elle, en enfonçant le bout de son doigt entre ses lèvres. Ne t’inquiète pas, Yukie, tu vas comprendre que ma réputation n’est pas usurpée ici... Je te baiserai bien fort, car je dois bien admettre que tu es très douée... Et que j’adore me taper des infirmières... Surtout quand elles sont bien roulées comme toi... »
Encore un peu, et Mélinda irait jusqu’à faire sortir son sexe masculin pour la prendre... Mais ce ne serait pas pour tout de suite, encore. Les frissons sur le corps de Mélinda exprimaient très clairement le plaisir qu’elle ressentait, et son absence totale de gêne, ou de pudeur, indiquaient également, sans le moindre doute possible, que cette situation ne la dérangeait pas du tout, mais qu’elle correspondait, au contraire, à quelque chose qu’elle avait sciemment préparé.
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Mélinda avait rit en entendant la timide question de l'infirmière. Ce léger gloussement fit d'abord penser à Zero qu'elle avait peut-être été un peu téméraire, mais la lycéenne ne traîna pas pour lui faire comprendre que ça ne la dérangeait pas plus que ça, loin de là : elle entoura son corps de ses japbes sublimes, le contact de leurs deux corps faisant frémir d'impatience la belle infirmière. Ensuite, elle déposa l'un de ses doigts fins sur ses lèvres que Yukie s'empressa se lécher avec gourmandise, l'enfilant dans sa bouche et le suçant avidement de manière très suggestive, enroulant son appendice autour de l'index de Mélinda. Leurs fronts collés, elles étaient plus proches que jamais l'une de l'autre. La patiente lui répondit alors :
« Ma pauvre infirmière se sentira-t-elle sale, elle aussi ? Ne t’inquiète pas, Yukie, tu vas comprendre que ma réputation n’est pas usurpée ici... Je te baiserai bien fort, car je dois bien admettre que tu es très douée... Et que j’adore me taper des infirmières... Surtout quand elles sont bien roulées comme toi... »
Oh que oui, elle se sentait sale. Ou en tout cas, elle voulait être nettoyée. Elle aussi voulait goûter à ce plaisir intense, cette extraordinaire sensation de la langue d'une autre plongée dans son intimité, le petit muscle tout chaud remuant en elle, la mettant dans une situation de délicieux supplice. Le fait que Mélinda commence soudainement à la tutoyer et à l'appeler par son prénom la surprit quelque peu, mais elle l'accepta sans trop de peine. Le fait de savoir qu'elle aimait coucher avec des infirmières n'était peut-être pas indispensable, mais en l'occurrence elle pensa qu'il s'agissait surement d'un compliment relativement maladroit.
Elle parlait de sa réputation... Yukie ne savait pas à quoi elle faisait référence. Étant nouvelle dans l'établissement, tout ce qu'elle connaissait de Mélinda était ce qui se trouvait sur sa fiche, et ce que lui en avaient dit certains collègues. Soit, une tir-au-flanc qui risquait fort de ne pas se présenter. Au lieu de ça, elle avait affaire à une véritable petite nymphomane qui, au jugé de ses paroles, c'était certainement envoyée en l'air avec la moitié du lycée. Au moins. Et puis "Je te baiserai bien fort". C'était plutôt étrange de dire ça. Pendant une fraction de seconde elle ferma les yeux et parcourut en un temps record un grand nombre de sites internet. Résultats de la recherche ; Mélinda pouvait soit être une futanari – perspective écartée vu l'absence de sexe masculin entre ses cuisses – soit maîtriser des rudiments de Magie Rose, ce qui était plus improbable encore. Le contact avec les humains lui avait appris que selon la croyance populaire, la magie n'existait pas.
Elle était donc assez interloquée par les paroles de la lycéenne, et décida donc de découvrir les réponses à toutes ses questions par l'action, et non le dialogue. Elle mordilla légèrement le doigt de Mélinda puis plaça ses mains dans son dos, la pressant contre sa lourde poitrine qu'elle lui offrit avec un sourire franc.
« Oh oui... J'ai tellement hâte que tu me fasses sauvagement l'amour... En attendant, je veux que tu te régales de mes seins. Viens, ma belle... Mon corps t'appartient ! »
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Qu’il était frustrant de ne pas pouvoir sentir le niveau sanguin de cette femme, de percevoir son excitation sanguine ! Une Gynoïde, donc ? C’était l’hypothèse que Mélinda trouvait être la plus cohérente. Elle suçait son doigt avec une envie folle, lui rappelant, dans une autre mesure, l’appétit sexuel de la Gynoïde K-Azu*. Elle était une véritable affamée, et, dès qu’elle était face au sexe, son programme s’emballait, faisant d’elle une véritable nymphomane. Yukie Nishihara ne semblait guère différente, et Mélinda ne voyait aucune autre explication. Le sang de cette femme devait être synthétique, artificiel, ce qui expliquait pourquoi elle ne le ressentait pas, pourquoi elle ne percevait rien. En revanche, même sans ça, l’excitation de cette femme était palpable. Toute nue, Mélinda se serrait contre elle, frottant son nez contre son cou et contre sa joue, léchant sa douce peau. Cette femme était vraiment très belle, d’une beauté surnaturelle, typiquement implantée dans le cadre de Mishima, un lycée hors normes.
Yukie alla jusqu’à mordiller le doigt de Mélinda, qi sourit de plaisir, poussant un petit gémissement, avant de sentir les mains de l’infirmière se glisser dans son dos, appuyant sur sa peau. Cette femme avait une sacrée force. En même temps, pour porter de tels obus au niveau des seins, il fallait bien soupçonner de solides reins. La tête de Mélinda se mit à descendre de la tête de la femme, ses jambes desserrant leur prise autour de ses hanches, le temps pour son petit corps de se déplacer, arrivant à hauteur de ces derniers.
« Oh oui... J'ai tellement hâte que tu me fasses sauvagement l'amour... En attendant, je veux que tu te régales de mes seins. Viens, ma belle... Mon corps t'appartient ! »
Mélinda sourit, comprenant l’impatience de la femme. Gynoïde ? Elle avait du mal à croire qu’une humaine comme elle, aussi sexy, puisse être vierge ou débarquer à Mishima par pure innocence... La réputation de Mishima était connue dans le milieu éducatif japonais. Un lycée de dépravation, qui avait connu plusieurs scandales, et avait été menacé de fermetures à plusieurs reprises, sans qu’on ne s’explique comment ce dernier arrivait encore à survivre. Une infirmière comme ça ne pouvait pas arriver ici par hasard. Il y avait un faisceau d’indices trop grand, faisant planer un doute sérieux sur la nature de Yukie. Elle était un androïde, et, si Mélinda aurait jadis éprouvé une quelconque répugnance à coucher avec une machine, elle avait pu constater que les androïdes pouvaient être aussi réalistes que des êtres vivants.
Sans rien dire, préférant agir, Mélinda vint lécher les tétons à travers la blouse rose, tirant dessus, sentant le tissu se coller entre son palais et le corps de Yukie. Elle léchait sa peau avec une certaine insistance, s’acharnant autour de son téton, tandis que l’une de ses mains allait jouer avec l’autre sein, pinçant le téton avec joie. Ses jambes se serrèrent à nouveau autour du bassin de sa partenaire, et elle continua ainsi, pendant plusieurs minutes, jusqu’à dégrafer suffisamment de boutons pour pouvoir avoir accès à ses seins.
« Mais qu’ils sont gros ! Tu as eu une poussée hormonale dans ton adolescence, ma belle ? Combien de soutiens-gorges est-ce que tu as explosé, hum ? »
Elle se rapprocha, et alla lécher son sein droit, levant ensuite ses yeux pour la regarder, malicieusement, avant de plaquer bien fort ses lèvres, se mettant à inspirer l’air, suçotant le téton en le titillant avec sa langue, tout en tendant une main pour agripper la nuque de la femme, conservant sa prise solide. On aurait presque dit un câlin de koala, vu comment ses jambes s’enroulaient contre son corps. Une chose était sûre : Mélinda avait de l’expérience en la matière, et n’hésitait pas à le justifier. Elle suçait avidement ce gros sein.
*Quoi que tu puisses être, ma jolie, quelque chose me dit que tu vas prendre ton pied...*
* : Cf. RP « Petite étude sur l’environnement d’Ashnard (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=9450) »
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Yukie regarda donc sa belle patiente lui lécher avidement les tétons à travers son uniforme, sa langue s'occupant d'un sein pendant que sa main venait prendre soin de l'autre. Zero laissa échapper un gémissement lorsque Mélinda lui pinça le téton, mais c'était plus du plaisir et de l'excitation que de la douleur réelle. Elle avait terriblement hâte de passer à la suite, mais elle prenait son mal en patience et profitait pleinement de tout ce que la lycénne avait à lui offrir. Elles avaient tout leur temps, même si l'infirmière l'ignorait encore. Mélinda finit par déboutonner sa blouse, libérant son opulente poitrine qui, libérée de toute contrainte, rebondit élégamment pour montrer son approbation. Tout le corps de l'infirmière adorait ce que sa patiente lui procurait. Celle-ci justement, comme hypnotisée, l'interpella, les yeux fixés sur ses lourds seins :
« Mais qu’ils sont gros ! Tu as eu une poussée hormonale dans ton adolescence, ma belle ? Combien de soutiens-gorges est-ce que tu as explosé, hum ? »
Il aurait été malavisé de lui avouer qu'elle n'avait jamais été adolescente, et qu'elle avait vu le jour quelques années auparavant seulement. D'ailleurs, elle ne la croirait pas. Elle se contenta donc de hocher doucement la tête en souriant, murmurant tout de même une réponse simple :
« C'est simple, je n'en porte pas, la plupart du temps... »
Zero s'imagina qu'après lui avoir dit ça, Mélinda y penserait à chaque fois qu'elle la croiserait dans un couloir. Il était vrai que son géniteur lui avait fait don d'une poitrine certes imposante, mais tout de même étonnamment ferme et maintenue naturellement. De plus, elle ne ressentait pas la douleur, ni aucune de ses diverses manifestations, elle ne lui semblait donc pas lourde ou gênante. Ce n'était pour elle qu'un outil de séduction formidablement efficace. Elle plongea son regard dans celui de Mélinda. La façon dont cette dernière la regardait tout en léchant son globe de chair était terriblement excitante. Si Yukie avait porté une culotte blanche, on aurait facilement pu voir son intimité au travers, tant elle était mouillée. Heureusement, elle était noire, et seule la forme de son abricot était moulée.
La lycéenne s'y prenait admirablement bien. Elle recouvrait à tour de rôle chacun des seins de l'infirmière de sa salive, les léchant et les suçant avant gourmandise, s'arrangeant pour ne pas faire de jaloux. Leur propriétaire, pour sa part, était comblée. Elle aurait voulu lui renvoyer la monnaie de son ascenseur, mais elle était si obnubilée par le plaisir extrême qu'elle lui faisait ressentir qu'elle n'avait même pas les idées claires pour faire quoi que ce soit. Gémissant et criant, en plein extase, Yukie s'abandonnait aux joies du sexe, discipline dans laquelle Mélinda excellait.
« Oui ! Haa... Continue comme – Haaan ! – Comme ça... C'est bien ma... Ma petite. C'est bon. C'est BOOON ! »
C'était incroyable à quel point c'était bon. Mélinda n'avait même pas encore ne serait-ce que frôlé son intimité, et elle avait déjà l'impression qu'elle allait bientôt jouir. Bien entendu, ce n'était pas le cas, du moins pas tout à fait, car Yukie disposait de la faculté de jouir sur commande. Elle pouvait choisir le moment précis où elle aurait un orgasme, ce qui pouvait être très pratique dans certaines conditions. Elle avait donc une endurance presque illimitée. Lentement, elle se mit à caresser les cheveux de la lycéenne, tout comme elle-même l'avait fait peu avant.
« Tu... Tu es – Hmmm ! – Tu es extrêmement douée, Mé... Mélinda. »
Pour ça, elle ne mentait pas. Sa patiente était une véritable bête de sexe. Elle savait exactement comment s'y prendre. Ça ne pouvait provenir que de la pratique intense. Peut-être pourrait-elle devenir une partenaire régulière, qui sait ?
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Était-elle sur le point d’avoir un orgasme ou non ? Elle ne pouvait pas le sentir, ne pouvant se fier qu’à ses gémissements, à ses frissons, et à la manière dont son corps semblait se tendre et accepter la présence de la vampire. Des éléments fiables, mais pas autant précis que le débit sanguin, que cette espèce d’adrénaline qui circulait le long des veines et des muscles, et qu’une vampire comme Mélinda était tout à fait apte de ressentir. Quand une partenaire était sur le point d’avoir un orgasme, Mélinda le sentait à la concentration sanguine forte autour de son sexe. C’était encore plus marquant chez un homme, mais, ici, elle ne sentait rien. Ceci l’irritait, la frustrait, et elle s’acharnait donc avec plus de passion sur les lourds seins de Yukie.
Que cette dernière ne porte aucun soutien-gorge n’était pas une information surprenante, et n’était pas non plus tombée dans l’oreille d’une sourde. Les humaines faisant ça avaient généralement des envies derrière la tête, comme permettre aux autres de voir leurs tétons à travers des vêtements moulants... Elle entendait cette dernière soupirer et gémir, et Mélinda estimait que son plaisir ne devait pas être feint, vu la manière dont elle la serrait, la tenait, et la caressait. La vampire se laissait joyeusement bercer, et mordillait ses seins, jouant avec, libérant l’un de ses seins pour s’attaquer à l’autre, naviguant voracement entre les deux, frottant son corps contre le sien. Elle adorait cette sensation, ce moment, ces gros seins chauds et doux sur lesquels elle s’amusait. Le plaisir sexuel était pour elle particulièrement jouissif, et il ne subsistait plus aucune trace, dans son psyché, de la peur que le sexe lui avait, pendant des années, inspiré.
« Tu... Tu es – Hmmm ! – Tu es extrêmement douée, Mé... Mélinda. » soupirait Yukie.
L’intéressée se permit un léger sourire amusé devant cette remarque, continuant à jouer. Ses lèvres pincèrent le téton entre ses dents, tirant dessus d’un coup sec pour le relâcher, faisant rebondir les seins de cette femme. Vu que Yukie avait de lourds seins, ils rebondissaient assez facilement. Elle aventura également sa bouche pour lécher l’espace creux entre ses seins, sentant avec délice ses joues se frotter contre sa peau. Elle gémit de plaisir, tiraillant les seins à gauche et à droite, son nez venant frotter contre la peau de la femme, alors que ses mains vinrent se déplacer, glissant le long de sa blouse. Sous l’effet de l’excitation, ses paumes étaient moites, et se collaient donc un peu contre la blouse. Mélinda aventura ses doigts pour déboutonner quelques autres boutons, ceux le plus en bas, et put ainsi glisser sa main sous la robe, pour sentir une culotte.
*Avouons que le doute était permis...*
Elle l’empoigna, tirant dessus, sans chercher à l’enlever, simplement à exciter la femme. Elle retira ensuite sa main, puis se redressa, déliassant les seins de Yukie pour l’embrasser sur le cou, léchant sa peau. Si elle aurait senti son sang, elle l’aurait probablement mordu, mais, en l’état actuel des choses, Mélinda ne voulait pas prendre de risques inutiles en mordillant quelque chose qui pouvait la tuer. On n’était jamais assez prudents. Elle lécha la peau de la jeune femme, tendrement, la mordillant un tout petit peu, puis retourna frotter son nez contre le sien, avant de l’embrasser.
« C’est normal, ma belle, j’ai une grande expérience sexuelle... Je couche depuis plusieurs siècles... »
Elle n’avait aucune raison de lui dissimuler qu’elle était une vampire. Elle l’embrassa à nouveau, et lui fit un innocent sourire, en venant pincer l’un de ses seins. Si Yukie était observatrice, elle pourrait voir que les canines de Mélinda semblaient bien trop longues pour être normales. Elle vint lui lécher la joue.
« Toi et moi, nous ne sommes pas vraiment des femmes ordinaires, hum, ma petite infirmière ? »
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Pendant un long moment, Zero laissa Mélinda s'occuper de sa poitrine. Elle jouait avec ses seins, comme un chat avec le cadavre d'un souris, les ballotant de-ci de-là, léchant ses tétons avec gourmandise, plaquant son visage entre ses seins... Yukie adorait ce que la lycéenne lui faisait. Et tout présageait que la situation allait évoluer positivement. En effet, Mélinda avait mis sa main dans sa robe, pour aller sentir la culotte de Yukie. À ce moment, cette dernière ne put retenir un frisson. Elle mouillait tellement... Mais la lycéenne ne la prit pas en pitié. Elle tira sur sa culotte, le tissu pénétrant sa vulve, jouant avec sans même avoir l'intention de l'enlever. Ensuite elle remonta l'embrasser da,s le cou, la mordiller, la léchant, jusqu'au moment où elle revint embrasser l'infirmière, qui lui rendit avec plaisir un baiser passionné, leurs langues dansant l'une collée à l'autre, leurs lèvres jointes... Puis Mélinda interrompit ce baiser et prit la parole :
« C’est normal, ma belle, j’ai une grande expérience sexuelle... Je couche depuis plusieurs siècles... »
Depuis plusieurs siècles ? Les informations dans la tête de Yukie s'alignèrent d'elles-mêmes. Une peau froide... Des canines surdéveloppées... Et enfin une extrême longévité. Vampire ? Apparemment, ces créatures sucent le sang... Dans ce cas, elle est à l'abri, elle n'a pas de sang. Même si son corps est extraordinairement réaliste, par sa texture, son élasticité, elle reste un être artificiellement conçu. Un HAC.
« Toi et moi, nous ne sommes pas vraiment des femmes ordinaires, hum, ma petite infirmière ? »
Zero baissa les yeux. Non, elle n'était pas une femme ordinaire. Elle n'avait pas demandé à être ainsi... Elle ne pouvait que donner raison à sa patiente...
« En effet... Tu dois être... Une vampire ? »
Elle marqua un temps d'arrêt. Confier à Mélinda sa réelle identité était-il une bonne idée ? Ne risquait-elle pas de la faire chanter, après ? Le mieux était de ne pas aller trop vite en besogne, pour ne prendre aucun risque. Et ainsi, elle gardait un coup d'avance sur Mélinda.
« Moi non plus, je ne suis pas ordinaire... Si tu as vécu pendant des siècles, moi je suis née il y a trois ans... »
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« En effet... Tu dois être... Une vampire ? »
Le sourire de Mélinda était assez éloquent. Y avait-il besoin de le confirmer ? Cette question était une réponse à elle seule. Allongée sur le corps de Yukie, Mélinda l’embrassa à nouveau dans le cou, la sentant mouiller abondamment. Si elle se souvenait bien des capacités de Kaede, cette dernière pouvait contrôler sont aux de phéromones, d’endorphines, et de mouille. Elle était maîtresse de son plaisir, et pouvait aussi bien se doter d’une sensibilité sexuelle maximale que ne rien ressentir. C’était une Gynoïde très perfectionnée, et lui faire l’amour était très déroutant. De manière générale, faire l’amour avec une machine était extrêmement déroutant, bien que cette machine soit très attirante. Dans la tête de Yukie, Mélinda pouvait imaginer des milliers de circuits électriques fonctionnant rapidement, son processeur surchauffant pour savoir s’il fallait lui faire confiance. Si les informations de l’androïde étaient bonnes, elle devait déjà savoir que Mélinda savait qu’elle n’était pas une humaine. Dès lors, en toute logique, elle devrait choisir l’honnêteté, afin d’obtenir la confiance de Mélinda, probablement en se fiant à des protocoles comportementaux qui lui expliqueraient que, dans ce genre de circonstances, il valait mieux jouer la carte de la confiance envers un être humain, plutôt que mentir.
À force de côtoyer des machines, Mélinda finissait par comprendre leur fonctionnement. Yukie Nishihara n’hésita donc pas longtemps, avant de poursuivre :
« Moi non plus, je ne suis pas ordinaire... Si tu as vécu pendant des siècles, moi je suis née il y a trois ans... »
Mélinda hocha la tête, guère surprise, et l’embrassa sur les lèvres, tendrement, puis voracement, mordillant sa bouche, posant ses mains sur ses joues, remuant son corps de gauche à droite, de haut en bas, se frottant contre la culotte de Yukie, qui continuait à mouiller joyeusement. Leurs nez vinrent se toucher, se caresser, alors que la vampire était comme en train de jouer avec elle, de s’amuser, de prendre tout son temps pour s’occuper d’elle.
« Trois ans ? Tu es toute jeune alors, ma puce... »
La vampire l’embrassa encore, adorant le goût de son corps. Elle avait beau être une androïde, elle était plus que ressemblante à un humain.
« J’ai senti tout de suite que tu n’étais pas une créature biologique... Tu n’as pas de sang. »
Elle lui sourit encore, et se redressa un peu, glissant un doigt sur les lèvres de la femme.
« J’ai déjà rencontré un androïde... C’était une Gynoïde. Et toi, qu’es-tu donc ? Une Gynoïde aussi ? Ou un autre modèle ? Viens-tu de Tekhos ? Enlèves-tu des élèves pour des expériences scientifiques ? Ou viens-tu simplement ici pour te détendre ? Parle-moi de toi, ma belle, et je te parlerais de moi... Je te montrerais... Mes autres attributs secrets... »
Mélinda était une femme pleine de surprise, comme Yukie allait le réaliser.
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Yukie accueillit les lèvres de Mélinda avec plaisir, lui rendant son fougueux baiser en continuant de mouiller comme une folle. Toutes ces sensations qui l'envahissaient étaient véritablement les meilleures qu'un être humain... Ou non-humain... Pouvait ressentir. Elle entendit d'une oreille distraite la suite des paroles de la vampire.
« Trois ans ? Tu es toute jeune alors, ma puce... »
Et après l'avoir embrassée une fois encore, elle ajouta :
« J’ai senti tout de suite que tu n’étais pas une créature biologique... Tu n’as pas de sang. »
En effet, Zero consulta rapidement plusieurs sites et découvrit que les vampires avaient effectivement le pouvoir de "sentir" le flux sanguin des personnes qu'ils rencontraient. Un pouvoir bien utile... Avec un sourire, Mélinda introduisit un doigt entre les lèvres de Zero, et celle-ci s'empressa de le lécher avec plaisir, comme une chienne lèche la main de sa maîtresse...
« J’ai déjà rencontré un androïde... C’était une Gynoïde. Et toi, qu’es-tu donc ? Une Gynoïde aussi ? Ou un autre modèle ? Viens-tu de Tekhos ? Enlèves-tu des élèves pour des expériences scientifiques ? Ou viens-tu simplement ici pour te détendre ? Parle-moi de toi, ma belle, et je te parlerais de moi... Je te montrerais... Mes autres attributs secrets... »
Là, en revanche, Zero était totalement larguée. Si Mélinda avait attisé le feu qui brûlait dans son bas-ventre en parlant d'attributs secrets, le reste de sa phrase l'avait un peu perturbée. Elle avait beau rechercher un maximum d'informations, elle n'avait rien sur les "Gynoïdes" ou sur "Tekhos". Le fait qu'elle ignore quelque chose provoqua en elle un sentiment étrange. En effet, se heurter à un mur ne lui était encore jamais arrivé. Alors que là, c'était comme si ces deux mots n'avaient jamais existé. Comme si Mélinda venait tout juste de les inventer. Mais pourquoi mentir ? Elle décida de répondre honnêtement, même si elle allait peut-être le payer par la suite...
« Je ne sais pas ce que sont ces deux mots. Je viens d'un laboratoire sous-marin, quelque part très loin d'ici. Je suis arrivée à Seikusu en voyageant et en cherchant du travail pour pouvoir m'installer quelque part. Je suis une HAC, une Humaine Artificiellement Conçue. mon véritable nom est Zero. Je n'enlève pas d'élèves, non. En fait... Mon géniteur m'a bourrée de pulsions, qu'elles soient sexuelles ou meurtrières. En général, j'essaie d'éviter de mêler plaisir et boulot, d'où ma relative discrétion entre les murs du lycée. Mais avec toi... Tu m'as tout simplement allumée. Et j'ai très envie de te faire l'amour, maintenant. »
Oui, car elle était très excitée, et attendre la fin de son service lui était devenu impossible. Elle voulait se noyer avec Mélinda dans un océan de luxure et de fluides sexuels. Et chaque seconde qui passait la rendait un peu plus impatiente...
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Même sans pouvoir ressentir le sang de Yukie, Mélinda était dans sa position préférée : celle où elle contrôlait la situation, où elle la dominait. Mélinda était excitée, sûrement autant que Yukie, mais, comme elle l’avait fort justement dit à la belle androïde, elle était jeune. Mélinda savait mieux se contrôler qu’elle, du haut de ses quelques siècles d’expérience sexuelle. Yukie, en revanche, devait encore apprendre ça. C’était un point de vue assez naïf, sans doute, car Mélinda ignorait beaucoup de choses du fonctionnement de la robotique. En tout cas, ce fut à son tour d’être surprise quand Yukie Nishihara lui exposa qu’elle ignorait ce qu’était une Gynoïde, ou ce qu’était Tekhos. Soit elle mentait, pour défendre ses créateurs, soit elle ne venait pas de Tekhos... Ce qu’elle confirma :
« Je viens d'un laboratoire sous-marin, quelque part très loin d'ici. Je suis arrivée à Seikusu en voyageant et en cherchant du travail pour pouvoir m'installer quelque part. Je suis une HAC, une Humaine Artificiellement Conçue. mon véritable nom est Zero. »
HAC ? Zero ? Encore de nouveaux mots que Mélinda allait devoir apprendre. Allongée sur son corps, elle écoutait. Un laboratoire sous-marin... Elle n’avait jamais entendu parler de ce genre de choses, mais les Terriens pouvaient se révéler être pleins de surprise. C’était sûrement la vérité, aussi incroyable qu’elle puisse paraître. Après s’être présentée, Zero, donc, poursuivit, décrivant ses motivations :
« Je n'enlève pas d'élèves, non. En fait... Mon géniteur m'a bourrée de pulsions, qu'elles soient sexuelles ou meurtrières. En général, j'essaie d'éviter de mêler plaisir et boulot, d'où ma relative discrétion entre les murs du lycée. Mais avec toi... Tu m'as tout simplement allumée. »
Ce géniteur devait probablement avoir une influence tekhane. Les Tekhanes adoraient les androïdes sexuels, car, non contents de pouvoir leur donner un corps de rêve, les robots disposaient d’une résistance à toute épreuve. Pour la sexualité débridée des Tekhanes, c’était du rêve en boîte. Zero poursuivit donc, sur une demande finale :
« Et j'ai très envie de te faire l'amour, maintenant » se mit-elle à conclure, faisant sourire Mélinda, un petit sourire insolent et délicieux.
La vampire l’embrassa à nouveau sur les lèvres.
« Alors, nous allons le faire... Et, puisque tu as été honnête avec moi, je vais te montrer mon petit secret... Bien qu’il ne soit pas si petit que ça. »
Mélinda ferma alors les yeux, retenant son souffle. Elle était suffisamment excitée pour le faire. Elle n’eut qu’à légèrement se contrôler, à faire appel à sa concentration, et elle sentit la pression exploser à hauteur de son vagin. Une verge se mit à pousser jaillissant de son intimité, écartelant son antre intime en passant, heurtant le bas-ventre de Zero, ce ventre frais et doux, glissant sur la combinaison rose de cette dernière.
« Haaa... Le sortir fait toujours du bien... Mais c’est aussi très douloureux... »
Sa verge était tendue, à l’expression de son plaisir. Elle était d’une bonne taille, sans toutefois atteindre la taille démesurée que certaines Tekhanes aimaient faire. Mélinda posa sa main sur son membre, et le fit glisser sous l’ourlet de la combinaison, et l’enfonça dans l’intimité de Zero. Un soupir s’échappa joyeusement des délicieuses lèvres de Mélinda, qui se mit à remuer son corps, donnant des coups de reins, tout en allant suçoter l’un de ses seins, étouffant ainsi ses soupirs. Elle mordilla le téton joyeusement, commençant à accélérer le rythme de sa pénétration.
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De plus en plus excitée, Yukie Nishihara accueillit avec passion les lèvres de Mélinda, avant de l'écouter attentivement parler, en frissonnant d'impatience.
« Alors, nous allons le faire... Et, puisque tu as été honnête avec moi, je vais te montrer mon petit secret... Bien qu’il ne soit pas si petit que ça. »
Tout à coup, Zero crut comprendre à quoi la Vampire faisait référence, bien qu'elle était un peu incrédule. Comment pourrait-elle être dotée d'un membre masculin, alors qu'elle était déjà nue, et qu'à part un corps de femme magnifique, rien n'avait été caché sous ses vêtements. Elle attendit donc que Mélinda agisse, perplexe. Celle-ci, les paupières closes, l'air concentrée, ne bougeait pas. Quand soudain, une verge imposante et tendue émergea des profondeurs de son vagin, son gland venant buter contre le ventre de Zero. Cette dernière n'en croyait pas ses yeux. Elle écouta Mélinda en la fixant avec des yeux ronds.
« Haaa... Le sortir fait toujours du bien... Mais c’est aussi très douloureux... »
Elle voulait bien le croire. Cacher un pénis si volumineux dans ses propres entrailles, ça ne devait pas être très agréable. Cependant, maintenant qu'elle l'avait sortie, de nouvelles possibilités s'offraient à elles, et Zero comptait bien aider la Vampire à vider son gros manche. En se léchant les lèvres, elle s'approcha de Mélinda avant de lui susurrer...
« En effet, c'est un gros secret... J'aimerais faire plus ample connaissance avec lui, si tu le permets... »
Mélinda ne se fit pas prier. Sans prendre la peine de déshabiller l'infirmière, elle la pénétra vigoureusement. Zero soupira d'aise presque en même temps que la lycéenne. Cette dernière, démontrant une fois encore son expérience, donnait de puissants coups de reins, son membre faisant des va-et-vients dans le vagin trempé de l'HAC. Elle vint ensuite sucer un de ses tétons, accélérant ses coups de bassin... C'était si bon. Zero ne s'était encore jamais faite prendre sauvagement par une lycéenne. Et c'était une expérience merveilleuse. Accompagnant les mouvements de sa patiente, elle appréciait le contact chaud du chibre dans son antre humide. Imitant Mélinda tant bien que mal, leur position rendant la chose relativement malaisée, elle se mit à jouer avec la poitrine de la Vampire, pinçant les mamelons de celle qui était en train de lui donner un flot de sensations toutes plus délicieuses les unes que les autres.
« Haan... Mélinda... Ouiiiiiii ! Encore... Haaa ! »
Ses paroles décousues étaient un signe de plus de la terrible excitation qu'elle ressentait, tous ses circuits se bouleversant dans sa tête, le plaisir pur et simple envahissant complètement la totalité de son corps...
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« En effet, c'est un gros secret... J'aimerais faire plus ample connaissance avec lui, si tu le permets... »
La vampire se mit à sourire, un sourire amusé, révélant ses belles dents pointues. Oh oui, elle le permettait ! Croyait-elle que Mélinda s’était amusée à faire sortir ce sexe pour le faire repartir encore plus vite ? Mais Zero semblait surprise. Une fille membrée, ça ne courait pas les rues ! Quoique, à Seikusu, il y avait beaucoup d’hermaphrodites... Mélinda fut assurée que Zero n’en avait pas vu. L’androïde était visiblement capable de ressentir la surprise, et ses programmes n’avaient pas du la préparer à tomber sur une fmeme dotée d’un sexe masculin jaillissant de son vagin. Il est vrai que, dit comme ça, on avait un peu l’impression de baigner dans la science-fiction, mais c’était pourtant bel et bien le cas. Sans plus attendre, Mélinda l’avait pénétré, savourant son plaisir. Cette femme avait été très bien conçue. Ses réactions de plaisir était succulentes, et son intimité l’était tout autant. Si Mélinda n’était pas une vampire, elle n’aurait probablement jamais remarqué que Yukie Nishihara était une androïde. Elle la prenait avec joie, sentant la femme se torde sous son corps, pinçant ses seins, se laissant pleinement aller.
Mélinda savourait ce moment. Le sexe... Quelque chose de tellement délicieux, de tellement exquis. Elle avait beau couché avec des femmes et des hommes depuis des années, elle n’arrivait toujours pas à s’en lasser, ou à trouver ça moins bien. C’était magnifique, tout simplement. La manière dont son membre s’enfonçait en elle, dont le plaisir la dominait petit à petit, obnubilant toutes es pensées. Quand elle couchait, elle ne pensait à rien d’autres. Tout son corps était accaparé par ça. C’était une manière de profiter pleinement de la liberté, ainsi que de l’union entre deux êtres. Elles se tortillaient sur la table, Mélinda embrassant l’androïde à plusieurs reprises. Elle aurait été une humaine, Mélinda en aurait profité pour boire son sang, mais la petite vampire était une femme de goût, et le sang synthétique ne la tentait nullement. Ce n’était pas très bon.
« Haan... Mélinda... Ouiiiiiii ! Encore... Haaa ! »
La vampire sourit, accroissant encore le rythme, sa verge délicieusement plantée, s’enfonçant jusqu’à la garde, avant de remonter, et de repartir. Le petit corps de la vampire dansait sur celui de cette imposante femme, qu’elle prenait avec toute la force dont elle était capable.
« Haaa... C’est... Haaa, c’est bon, hein, petite traînée ?! Tu aimes, hein ? Dis-le, dis-le, que tu adores ça !! Haaa !! »
Mélinda releva la tête, posant ses mains sur les épaules de Yukie, s’en servant comme soutien. Ses griffes pointaient, et elle déchira partiellement la robe d’infirmière de Zero, laissant de longues traînées, avant de l’embrasser fiévreusement, fourrant sa langue dans la sienne, gémissant en remuant ses fesses. Leurs corps se collaient l’un à l’autre, dans une délicieuse danse, une magnifique séance de sexe, fiévreuse et pleine d’énergie.
« Claque mes fesses ! Allez, allez !! » rugit-elle, énergique, son propre sang battant furieusement dans ses veines.
Elle sentait l’orgasme se rapprocher à grands pas. Tout en ayant le sexe tendu, elle continuait à mouiller, sa verge ne recouvrant pas toute son intimité. Ainsi, sous ses testicules, une fine mouille venait humidifier le haut des jambes de Zero. C’était une chance que les murs de l’infirmerie soient insonorisés, car Mélinda n’était vraiment pas discrète.
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Mélinda n'y était pas allée par quatre chemins. En une fraction de seconde, son membre tendu était fiché en elle tel un pieu dans le coeur d'un vampire, désirant purger ses parois vaginales de toute impureté en les labourant sans pitié. Cependant la soudaine brutalité de la lycéenne de gênait pas le moins du monde la belle infirmière, qui ne ressentait pas la douleur. Il en était de même lorsque sa patiente lui pinçait presque cruellement les tétons. Quel bonheur d'être une Humaine Génétiquement Conçue : elle ne recevait que les avantages de la chose : une forte dose d'excitation et de plaisir. Mélinda ne se retenait pas, elle la baisait avec force, s'enfonçant en elle à un rythme soutenu voire endiablé, que Zero suivait en remuant les hanches.
Alors que son souffle s'accélérait, se faisait plus haletant, la Vampire venait cueillir de doux baisers sur ses lèvres, mêlant leurs langues dans un divin ballet, auquel Yukie répondit en mordillant la gencive inférieure de Mélinda, ne voulant pas la lâcher. Elle s'agrippa ainsi quelques instants, puis cette dernière ce dégagea, souriante, accélérant la cadence, si cela était encore possible. Le corps de Zero avait été créé pour cela, pour le sexe. Son anatomie était faite pour épouser à la perfection la forme du manche qui la pénétrait, de façon à donner un maximum de plaisir à chaque partenaire, qui ne veulent plus jamais se séparer de ce corps magnifique. Mélinda cria.
« Haaa... C’est... Haaa, c’est bon, hein, petite traînée ?! Tu aimes, hein ? Dis-le, dis-le, que tu adores ça !! Haaa !! »
Ce n'était pas un exercice très difficile : Zero adorait réellement cela. Elle obéit presque immédiatement, sans discuter.
« Oui, je... Haan... Oui, j'adore ça ! J'adore quand tu me prends comme ça ! J'adore me faire baiser comme une chienne ! Haaaan ! »
À cet instant, la Vampire s'agrippa aux épaules de l'infirmière synthétique, déchirant légèrement son uniforme, puis vint l'embrasser à nouveau. Mélinda embrassait divinement bien. À ce seul fait, Zero pouvait estimer approximativement le nombre d'amantes qu'avait eut la Vampire... Et encore, elle aurait été bien loin du compte. Chaque seconde qui passait rendait le moment plus chaud. Une goutte de transpiration supplémentaire ruisselait entre leurs deux corps nus à chaque instant, témoin de l'effort physique dont elles faisaient preuve.
« Claque mes fesses ! Allez, allez !! »
Peut-être perdait-elle son sang-froid, ou était-elle toujours ainsi pendant l'amour. Zero n'aurait su le dire, et n'en avait honnêtement pas grand-chose à faire. Elle savourait. Néanmoins elle écouta le commandement de Mélinda et obtempéra, n'y voyant aucun inconvénient, malgré qu'elle n'ait pas l'habitude de se sentir dominée de la sorte pendant l'acte. Rien d'étonnant quand on sait que la majorité de ses partenaires ont une lame sous la gorge lorsqu'elle s'empale sur leur queue.
Elle obéit donc, ses mains étant libres depuis un moment déjà, elle les remonta vers le derrière de Mélinda et lui décocha quelques claques sèches, de quoi imprimer une marque rouge durant quelque instants, puis elle les caressa quelques secondes, les pressant sous ses doigts, avant de lui donner plusieurs autres fessées, augmentant graduellement leur intensité, jusqu'à réellement faire mal. Peut-être qu'elle aussi s'emportait dans l'ivresse du moment. La Vampire criait de plaisir et de douleur mêlés certainement, mais elle criait. Et qu'est-ce qu'elle criait. Rien d'autre n'aurait pu parvenir aux tympans de l'infirmière si ce n'était la voix aigüe, presque stridente de Mélinda.
Alors, jugeant qu'elle n'avait pas à attendre une quelconque directive pour faire ce qu'elle avait envie de faire, elle écarta brutalement les fesses de Mélinda et lui enfonça un doigt directement dans les profondeurs de son fondement.
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Depuis des années, Mélinda avait entendu parler de cette pratique tekhane consistant à faire l’amour avec des machines. Elle avait trouvé ça étrange, et s’était alors dit que ce ne devait pas être terrible... Puis, sa route avait rencontré une Gynoïde, Kaede Azumari, et elle avait révisé son jugement sur l’efficacité des androïdes sexuels. Si Yukie ne venait pas de Tekhos, elle ressemblait en tout cas aux androïdes sexuels. Solide et souple, elle encaissait sans problème la pénétration de Mélinda. La petite vampire se dorlotait en elle, enfonçant cette queue supplémentaire dans le corps de l’androïde. Difficile de sentir son excitation, car Yukie n’avait pas de sang identifiable. De même, Mélinda ne pouvait pas se désaltérer en plantant ses dents dans la gorge de la femme. Il n’y avait pas de sang à absorber, et ses dents risquaient de tomber sur une armature métallique, comme les robots tueurs de « Terminator ».Elle devait donc se résoudre à faire l’amour « à l’humaine », c’est-à-dire sans utiliser ses dents. Son membre s’enfonçait rapidement et profondément dans le corps de Yuki, qui semblait utiliser ses capteurs pour adapter l’intérieur de son sexe aux proportions de Mélinda, offrant ainsi aux deux femmes un plaisir immense et exquis. L’éjaculation approchait.
Yukie se mit alors à la claquer, suivant les instructions de Mélinda, qui se mit à gémir et à soupirer, alors que les baffes s’abattaient. Yukie commença légèrement, avant d’accroître la puissance de ses claques, frappant de plus en plus fort. Mélinda soupirait et gémissait, des gouttes de sueur glissant le long de ses mèches de cheveux.
« Haaa... Haaaa !!! OOOOOH PUTAAAAIIIIIN !!! HOOOO-OUUUUUUIIII !! »
Des claques bien vives s’écrasaient sur son petit cul, la faisant rougir et frissonner, la douleur éclatant dans son corps. Un vampire n’avait pas peur de la douleur, et le sexe entre deux vampires était quelque chose de très fusionnel et de très sanglant, si sanglant même qu’on pouvait se demander si les vampires faisaient l’amour, ou cherchaient à s’entretuer. Les griffes s’enfonçaient dans la chair, la perforant, tandis que les dents et les canines claquaient ensemble. Et Mélinda, avec son éducation difficile, avait développé une sorte de goût pervers, d’attirance pour l’humiliation et la souffrance, que ce soit pour l’infliger, ou pour la subir. Il lui arrivait ainsi parfois, dans son harem, de sélectionner plusieurs esclaves, afin de se faire battre par elles. Les femmes portaient des tenues de bandage, en cuir et en latex, et attachaient leur Maîtresse, avant de la fouetter. Il était assez rare qu’un esclavagiste accepte de se faire battre par ses propriétés, mais Mélinda n’était pas une esclavagiste comme les autres.
Pour l’heure, elle se délectait des claques de Yukie. L’androïde avait naturellement une force surhumaine, et pouvait donc donner de puissants coups sur son fondement. Le bruit des claques résonnait, et les fesses de Mélinda tremblaient et vibraient sous ce traitement. Elle soupirait et gémissait longuement, léchant le cou de la femme, son sexe se durcissant... Entre ses claques, Yukie caressait tendrement le postérieur de Mélinda, et sans prévenir, finit par la pénétrer, enfonçant un doigt dans son anus.
« Haaaaaaaaaaaa... »
Un long soupir s’échappa des lèvres de Mélinda, qui enfonça sa queue aussi loin que possible dans les entrailles de Yukie en relevant la tête, fermant brièvement les yeux, avant de les rouvrir, et de recommencer à la pénétrer, ondulant à nouveau son bassin. Ce doigt qui s’immisçait en elle était loin de la déranger, bien au contraire. En sueur, elle envoyait sur le corps frais et doux de l’androïde sa sueur. Elle se redressa un peu, et posa une main sur le sein gauche de Yukie, le pressant et le titillant à hauteur du téton, tout en approchant sa bouche de l’autre sein, venant le suçoter et le mordiller, avalant le téton entre ses lèvres pour enfoncer le sein dans sa bouche, avant de se retirer en gémissant, sa queue dure comme un bout de bois la faisant souffrir.
Soupirant encore, elle continua à remuer, plus rapidement, sentant le courant venir, comme un titillement à hauteur de sa queue. Sa mouille tombait également sur les cuisses de l’infirmière, et c’est dans cette circonstance qu’elle finit par jouir. Elle se détendit en sentant qu’elle allait y arriver, qu’elle avait attrapé le wagon, et se laissa aller, expulsant le sperme en gémissant, relevant pour le coup sa tête en gémissant faiblement, lentement, longuement. Son sperme s’évacuait à chaque coup qu’elle faisait, la faisant presque hoqueter. Ses yeux étaient clos, pour profiter pleinement de son moment. Pendant une bonne minute, elle éjacula dans le corps de l’androïde, répandant des litres de sperme, ce qui était proprement surnaturel.
« Haaa... Haaaa... »
Elle se sentait mieux, maintenant, comme libérée d’un poids, et entreprit de remuer plus lentement son corps, appréciant le corps de la femme. Mélinda était une vampire, elle avait donc de l’énergie à revendre, et comptait bien ne pas s’arrêter aussi rapidement.
« Je t’ai rempli, hihi... » glissa-t-elle d’une voix affaiblie.
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L'instant était plus qu'intense. À chaque fois que le membre turgescent de la Vampire s'enfonçait en elle, Yukie pouvait le sentir plus chaud, plus gros encore que l'instant précédent... Mélinda était une amante merveilleuse, même si elle pensait bien plus à son propre plaisir qu'à celui des autres. Zero ne pouvait d'ailleurs pas la blâmer pour cela, puisqu'elle pensait la même chose. Elle aurait bien aimé que la lycéenne puisse l'emmener dans son monde... Elle avait encore tant à découvrir, malgré ses immenses connaissances. Pendant que l'infirmière réfléchissait à tout cela, la Vampire gémissait de plus en plus fort, jusqu'à carrément hurler :
« Haaa... Haaaa !!! OOOOOH PUTAAAAIIIIIN !!! HOOOO-OUUUUUUIIII !! »
S'il était sans nul doute agréable de coucher avec elle, ses cris avaient de quoi briser les tympans et ressemblaient un peu à ceux d'un cochon à l'abattoir. Heureusement, Zero avait l'ouïe fine mais solide, et elle pouvait percevoir des sons bien plus stridents sans en être affecté. Elle prenait donc un maximum de plaisir à se faire baiser par cette splendide créature, son vagin artificiel dilaté par la grosse queue qui la pénétrait avec force. Sueur. Plaisir. Chaleur intense. Un moment divin en compagnie d'une beauté sans pareille. Que pourrait-elle bien demander de mieux ? Mélinda avait plutôt bien réagi à ses fessées, elle criait plus encore, s'activant comme jamais sur le corps de Zero qui paraissait bien grande par rapport à la frêle silhouette de la Vampire. Dans la petite pièce silencieuse, la quiétude de l'endroit n'était troublée que par les gémissements de plaisir des deux amantes et par le claquement sec des doigts de Yukie sur les fesses de sa patiente qui, vraisemblablement, se présenterait dorénavant toujours à la visite médicale. Et heureusement que ces murs étaient bien insonorisés, car une fois que Zero lui eut introduit un doigt dans l'anus, elle poussa un cri qui aurait pu réveiller un mort. Cocasse, pour une morte, aussi vive soit-elle.
Elle soupira longuement avant de recommencer à pénétrer vigoureusement l'androïde qui sourit, remuant un peu plus son doigt en elle. Mélinda paraissait presque au bout de ses forces, prête à jouir à tout moment. Zero, elle, pouvait jouir sur commande, elle provoquait donc cela en général en même temps que son ou sa partenaire, pour accentuer le lien tissé entre eux. Cette fois ne ferait pas exception. Elle laissa faire Mélinda en souriant quand celle-ci se pencha pour gober l'un de ses lourds seins, pelotant l'autre d'une main. Elle était tellement excitée qu'il lui fallait du plaisir partout. Et Zero n'était pas femme à lui refuser cette faveur. De son unique main libre, elle vint caresser ses cheveux, l'encourageant à continuer, avant de s'en servir pour palper doucement l'intimité féminine de Mélinda, qu'elle n'avait pas encore pu apprécier à sa juste valeur. Il n'aurait pas été juste que Mélinda soit la seule à s'amuser, puisque Zero pouvait elle aussi être dotée d'un membre masculin. Elle pourrait donc s'en donner à coeur joie lorsque la Vampire en aurait fini avec elle. Ce qui n'allait sans doute pas tarder.
En effet, son long pieu ne fut pas long à accélérer la cadence, en même temps que le souffle de Mélinda qui franchissait peu à peu le dernier virage du circuit, arrivant dans la dernière ligne droite pour enfin passer la ligne d'arrivée en gémissant, la tête rejetée en arrière, son membre crachant à l'intérieur de l'infirmière une quantité astronomique de semence chaude, que l'intimité de cette dernière s'empressa d'avaler tout rond. Pendant un long moment, les yeux clos, Mélinda éjacula dans le vagin de Zero, qui choisit ce moment pour à son tour déclencher son orgasme. Dans un grand cri, qui pour la première fois pouvait rivaliser avec ceux de la Vampire, elle jouit, expulsant de fortes giclées de cyprine, qui atterrirent sur le bas des jambes de Mélinda, comme une récompense après l'avoir si bien baisée... Elle avait bien sûr retiré ses doigts des deux trous de la Vampire, et récupérait peu à peu son énergie, tout comme celle-ci.
« Je t’ai rempli, hihi... »
Insatiable, Mélinda recommença lentement à faire des va-et-vients en elle, se débarrassant doucement des dernières gouttes de sperme qui maculaient son membre. Ces gouttes, le vagin de Zero les accueillit avec plaisir, et bien vite cette merveille de technologie fut à nouveau presque entièrement propre. C'en était fascinant. En lui souriant, Zero plaça sa main dans le chemin du pénis de Mélinda pour l'empêcher de replonger en elle. Ensuite, pour illustrer sa pensée, elle fit à son tour germer des profondeurs de son intimité un membre tendu, qui devait pratiquement atteindre les trente centimètres, une taille ahurissante. Il ressemblait presque à un membre organique, à ceci près que sa couleur était un peu plus rose, étant donné qu'il était créé à partir de l'intérieur de son vagin, qui était simplement "retourné" en quelque sorte.
« Oui... C'était super... Comme je le pensais, tu en as un bien beau secret... Mais que dirais-tu de goûter au mien ? »
Et en disant cela, elle caressait lentement son membre, comme pour appuyer ses dires.
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Coucher avec cette femme avait quelque chose de délicieux, de divin. Mélinda s’était abandonnée en elle avec un plaisir qui était presque enfantin. Il était parfois difficile de se dire si cette femme était une adulte ou si elle était restée coincée à une étape intermédiaire. Son corps avait conservé les charmes d’un enfant tout en se couplant avec ceux d’un adulte, ce qui la rendait aussi désirable qu’insaisissable. On pouvait dire d’elle tout ce qu’on voulait, car tout semblait vrai, et à la fois faux. Elle aimait se considérer comme une sorte de pierre glissante, de pierre précieuse dont on ne pourrait véritablement saisir la nature, ni en percevoir toute l’étendue. Elle était hors-de-prix, tout simplement. Si ce maudit monde avait été un peu plus juste, elle aurait depuis longtemps posé ses divines fesses sur le trône de l’Empire, et aurait imposé son autorité sur tout l’Empire. Oh, Mélinda se surprenait parfois à fantasmer là-dessus, à s’imaginer commander des légions entières, à avoir ce pouvoir de raser entre ses griffes tout un État... Comme ce serait grisant !
Pour l’heure, elle savait toutefois pleinement se contenter des plaisirs de la vie. Le sexe était l’une de ces choses qu’elle adorait, surtout quand elle le faisait avec des femmes talentueuses. Yukie n’avait beau être qu’un morceau de métal et de circuits imprimés, elle restait très agréable. Mélinda l’avait senti jouir, grâce à son expérience. Elle se doutait qu’il y avait quelque chose de faux là-dedans, car Yukie, comme Kaede, devait contrôler à la perfection son corps. Elle avait détecté l’orgasme de Mélinda, et avait joui en conséquence. Ce devait être merveilleux, et horrible, de contrôler aussi bien son corps. Mélinda ne s’estimait toutefois pas grisée, étant suffisamment égoïste pour pouvoir prendre son pied, tout en sachant que sa partenaire ne devait rien ressentir de particulièrement transcendant.
Il fallait cependant croire que Yukie pouvait surprendre la vampire, car, alors qu’elle recommençait à la pénétrer, elle eut la surprise de sentir les douces, mais non moins fermes, mains de cette dernière la soulever, l’écartant. Le membre tendu de Mélinda se retira du corps de la jeune femme, et elle vit alors que Yukie avait aussi un élément de surprise, puisqu’elle fit jaillir de son vagin son propre sexe, une belle verge qui était à la hauteur des seins de l’infirmière : longue et grosse. Mélinda l’observa avec une lueur de désir dans les yeux, comprenant que c’était à son tour d’être prise sauvagement par cette femme. La vampire avait des plaques rouges de sueur le long du corps, le signe que son sang carburait entre ses veines. Son estomac se soulevait et s’abaissait, mais elle n’avait pas encore dit son dernier mot. Elle voulait encore coucher avec cette femme, la sentir en elle, se sentir défoncée par elle.
*Je suis vraiment très gourmande...*
Elle observait cette belle verge, légèrement arrondie, tendue.
« Oui... C'était super..., lâcha alors Yukie en se masturbant tendrement. Comme je le pensais, tu en as un bien beau secret... Mais que dirais-tu de goûter au mien ? »
Mélinda ne répondit pas sur le coup, préférant observer les lents mouvements de la main de la femme sur son membre. Elle se masturbait tendrement, sans forcer, simplement pour exciter Mélinda, qui observait cette scène, étrangement fascinée. Elle savait que beaucoup de gens aimaient ça : voir son partenaire, qu’il soit homme ou femme, se faire intimement plaisir. Il fallait croire que cette scène répondait au désir profond de toute personne de se rapprocher des personnes, de les observer dans leur intimité, et d’avoir le sentiment de partager quelque chose avec elles.
La vampire finit par relever la tête, et sourit lentement, révélant ses belles dents.
« J’ai toujours aimé les belles grosses sucettes comme ça... »
La peau de la verge de Yukie n’était pas beige, mais relativement rose. Mélinda se pencha alors, et vint la sucer. Tendrement. Elle aurait tout à fait pu se faire empaler, mais il lui aurait fallu rétracté sa verge, et, vu qu’elle était en érection... Mélinda n’était cependant pas une femme dénuée d’idées. Elle commença brièvement sa fellation, simplement pour le plaisir de mordiller et de lécher la peau de la femme, de sentir la dureté de cette verge. C’était ça, qu’elle avait toujours aimé avec un phallus : ce mélange de mollesse et de fermeté. C’était une sensation unique... En plus du plaisir inné et masochiste qu’on ressentait à s’empaler sur un truc pareil.
Tout en la suçant, Mélinda finit par se retirer, une petite lueur espiègle, puis se redressa.
« Je crois qu’il va aussi falloir que tu me satisfasses, Yukie... »
Mélinda entreprit alors de se retourner, présentant ses fesses, mais surtout sa verge à Yukie. Son plan était simple et classique : réaliser un 69, cette position magnifique.
Elle adorait jouir dans la bouche de ses partenaires, après tout.
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Mélinda sourit, dévoilant ses canines acérées, et répondit :
« J'ai toujours aimé les belles grosses sucettes comme ça... »
À son tour, Zero esquissa un sourire, puis relâcha son membre pour laisser place à la Vampire qui s'était penchée pour sucer son pénis rose. Elle lui fit ainsi cadeau d'une fellation de premier choix pendant quelques instants qui furent magiques ; Mélinda savait y faire, c'était indéniable. La façon dont ses coups de langues entouraient son gland, cette manière qu'elle avait de mordiller sa verge entre deux gorges profondes... La belle infirmière gémissait, maintenant, son entrejambe palpitant enfoncé jusqu'à la garde dans la bouche de la Vampire. Puis, peu à peu, elle se redressa et lui lança un regard joueur que Zero apprécia beaucoup, car il était annonciateur de toujours plus de cochonneries, que toutes deux affectionnaient tant... Elle finit par prendre la parole :
« Je crois qu'il va aussi falloir que tu me satisfasses, Yukie... »
Elle en avait du culot ! Peut-être que ce séjour dans son vagin ne l'avait-il pas comblé ? Heureusement pour elle, le plaisir qu'elle donnait à l'androïde était incommensurable, ce pourquoi elle ne broncha pas. Mélinda se retourna alors, et à la vue de ce magnifique petit cul, elle se dit que même après un millier d'orgasmes, la simple vue de ce derrière pourrait la faire bander à nouveau. Pour ce qui était du plan de la Vampire, Zero l'avait très bien compris : réaliser ce qu'elle aimait appeler "un tête à queue". Elle saisit donc les jambes de la lycéenne pour l'aider à s'installer, et une fois celle-ci en place, elle ne tarda pas à prendre en main le membre de sa partenaire qui était redevenu bien dur, même si peu de temps après sa jouissance, et le fourrer dans sa bouche, se délectant du goût si singulier d'un mélange de chair, de sperme et de sa propre cyprine.
Zero ne se plaignait vraiment pas d'avoir le matin-même pioché au hasard parmi une série de noms celui de Mélinda Warren. Elle était à des années-lumières de s'attendre à ce qu'il s'agisse d'une Vampire, plus encore, à ce qu'elle provienne d'un monde parallèle à celui-ci, qui serait appelé "Terra". Pendant un instant, elle se surprit à penser qu'elle aimerait beaucoup que la Vampire la ramène avec elle dans cet autre monde. En effet, si Zero était née avec une quantité phénoménale de connaissances, elle n'avait pas la moindre donnée sur d'autres plans d'existence. Et elle avait soif de connaître. Soif de savoir. C'était l'un de ses plus grands buts dans la vie. Acquérir la connaissance absolue. Et puis, elle cessa de penser à toutes ces choses futiles, ramenée à la réalité par la chaleur du membre qu'elle avait en bouche, et dont sa langue faisait le tour sans arrêt depuis quelques instants.
C'est là qu'elle se dit que le moment était bien choisi pour arriver à l'orgasme. De sa main qui ne tenait pas la hampe tendue de Mélinda, elle introduisit un doigt dans le vagin de celle-ci, le remuant aussi vite qu'elle le pouvait. Elle allait programmer sa jouissance, et c'était tout de même plus drôle si elles jouissaient en choeur. Quand elle sentit que le membre de sa partenaire palpitait plus fort que jamais, elle se laissa aller et, sans prévenir la Vampire éjacula à grands coups, tout en gémissant de plaisir.
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Le plaisir sexuel de Mélinda était d’autant plus fort qu’elle était une vampire. Elle contrôlait son rythme sanguin, et le sang, dans le sexe, était important. C’était le vecteur de la vie, et elle pouvait le contrôler pour que le sang afflue toujours à hauteur de son sexe, lui permettant ainsi d’avoir une verge toujours en état d’excitation. C’était d’autant plus facile que les techniques tekhanes de manipulation génétique permettaient ce genre de choses. La philosophie tekhane était de copier la Nature en corrigeant ses imperfections, ce qui, au sens large, incluait le sexe masculin et ses faiblesses. Mélinda sentit les solides mains chaudes de l’androïde la saisir, et accompagna le mouvement. Le bout de ses pieds heurta le mur, et elle s’y appuya, tout en posant ses mains sur les rebords du fauteuil, voyant la verge rose de l’androïde, tendue. Vu sa couleur, on dirait presque un jouet. Ceux qui avaient fabriqué cette androïde avaient du se faire plaisir. Dans un sourire, Mélinda laissa Zero la traîner vers elle. Ouvrant la bouche, elle enfouit ce sexe dans la sienne, tout en abaissant son bassin.
Les gorges profondes s’enchaînèrent des deux côtés. L’androïde était née pour le sexe, ce qui suffisait à la rendre extrêmement performante dans ce domaine. Quant à Mélinda, elle avait une expérience sexuelle particulièrement forte. Elle soupira de plaisir en goûtant à cette belle verge, essayant de ne pas se servir de ses mains, se contentant de sa bouche, de ses lèvres, et de sa langue. Elle remontait longuement le long de cette hampe, tout en utilisant son bassin pour remonter d’avant en arrière. Elle soupirait lentement, yeux clos, tout en caressant avec ses mains les jambes nues de Zero. Si ce n’était l’absence d’activités sanguines dans son corps, la vampire sentait une peau douce et chaude, typique d’une humaine qui prendrait grand soin de son corps. Elle enfonçait la verge de la femme dans sa gorge, s’étouffant à moitié, respirant par le nez, serrant ses dents contre ce morceau de chair. Naturellement, elle enfonçait son propre sexe, remuant un peu, soupirant lentement de plaisir. Le fauteuil ployait lentement sous le poids des deux amantes.
Délicatement, le plaisir montait, comme un volcan en éruption. Mélinda se laissait faire, soupirant et gémissant, remontant longuement le long de la verge, la couvrant de sa salive, titillant le bout de cette belle queue rose, avant de retourner à l’assaut, l’enfonçant dans sa gorge, grognant lentement, soupirant silencieusement.
*Hum... Quelle belle verge... C’est si bon !*
Mélinda continuait à remuer de haut en bas, lentement, savourant la salive chaude de l’androïde. Tant de si belles sensations... Oui, elle adorait vraiment ça ! C’était magnifique, délicieusement merveilleux, et la vampire ne se privait pas pour continuer. Elle continuait à remplir de sa salive le sexe de la femme, sentant son orgasme approcher rapidement. Comme pour l’aider, Zero glissa alors un doigt dans son vagin. Mélinda gémit, un couinement étouffé par le membre de Zero. Sa cyprine dégoulinait alors sur le visage de Zero, près de ses yeux, sur ses joues. Elle avait légèrement replié ses jambes, afin de ne plus sentir le mur, et continua ainsi à agir, à la sucer... Jusqu’à jouir. Elle sentit l’éjaculation approcher, et, dans un ultime soupir, balança une magnifique giclée de sperme dans sa bouche.
Le soupir de plaisir explosa dans son corps, une sorte de bref océan blanc, comme si tout son corps venait de se tendre. Depuis son vagin, la mouille jaillit également, tandis que Zero se mit aussi à jouir, en même temps que Mélinda. Il y eut une belle explosion de jus intime, qui se répandit sur le visage de Zero, et dans la bouche de la vampire. Cette dernière l’avala joyeusement, et, comme elle s’y attendait, Zero balança une bonne pelletée de sperme. Elle se retrouva avec du sperme dans la bouche, et le but lentement, délicatement, avant de lentement relever sa tête, libérant le sexe de la femme. Comme elle s’y attendait, son sexe était toujours tendu, et elle l’attrapa dans sa main, le masturbant. Quand elle eut fini de boire, et qu’elle sentit le sperme filer vers son estomac, elle lécha cette verge, remontant dessus, y frottant le bout de son nez.
« Tu as une queue délicieuse, petite machine... Vraiment très belle... Je suis curieuse de savoir comment elle se comporterait dans une autre partie de mon anatomie... »
Un sourire amusé naquit sur ses lèvres. Elle se releva, se mettant à califourchon sur la femme, reprenant un peu son souffle. D’une main, Mélinda replaça quelques mèches de cheveux rebelles, puis se laissa descendre sur le sol, où elle se mit nonchalamment à quatre pattes, creusant son dos en relevant ses fesses.
« Viens, je sais qu’il te tente... Viens goûter à mon délicieux petit cul... »
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Le membre masculin de celle qui se faisait appeler Yukie Nishihara, n'avait pas exactement les mêmes propriétés que son homologue organique, aussi elle n'avait pas besoin d'un temps de récupération entre plusieurs orgasmes, et aurait même pu, si elle l'avait voulu, éjaculer sans arrêt pendant plusieurs heures. Mais elle n'y voyait pas de réel intérêt, préférant jouir uniquement lorsqu'elle le juge idéal. Lors de son éjaculation, elle avait libéré une fois de plus une grande quantité de semence, mais Mélinda, imperturbable, avait tout avalé consciencieusement, alors que Zero faisait de même, se régalant du jus intime de la Vampire. Le pénis de cette dernière en revanche, redevint plus flasque après s'être entièrement vidé, et l'androïde ne prit pas l'initiative de lui rendre directement sa vigueur, appréciant plutôt le fait que Mélinda, elle, ait déjà recommencé à la masturber. Celle-ci donna ensuite quelques coups de langue sur sa grosse hampe rose, et y frotta son nez, avant de murmurer :
« Tu as une queue délicieuse, petite machine... Vraiment très belle... Je suis curieuse de savoir comme elle se comporterait dans une autre partie de mon anatomie... »
L'androïde sourit, juste en même temps qu'elle. Elle comprenait très bien où sa jolie partenaire voulait en venir, et en salivait d'avance tant elle était impatiente. Mélinda se mit donc en position, descendant devant l'infirmière, à quatre pattes et en lui tournant le dos, le dos creusé et les fesses en l'air. Elle remua légèrement son derrière avant de susurrer :
« Viens, je sais qu’il te tente... Viens goûter à mon délicieux petit cul... »
Et cela, dans toutes les cultures, chez toutes les races, pour tous les sexes, c'est une invitation qui ne se refuse pas. En effet, la lycéenne n'eut pas à se répéter, que Zero se relevait déjà pour se rapprocher d'elle et s'agenouiller derrière elle, ses deux mains appuyées sur sa belle croupe.
« Quel bel arrière-train, ma chérie... »
Et encore, c'était un bel euphémisme. Ces deux fesses rebondies, cet anus rose et propre, imberbe... Tout en la Vampire incitait tellement à la luxure et à la débauche qu'elle ne devait avoir aucune difficulté à toujours avoir ce qu'elle désirait. De même, l'infirmière ne pouvait pas lui résister, ne voulait pas lui résister. Pourtant, la position de l'instant pourrait probablement accroître la domination de Zero, parce qu'elle aurait le grand rôle. C'était le moment de soumettre la belle Mélinda. Mais le voulait-elle vraiment ? Après tout, jusqu'ici la Vampire ne l'avait obligé à rien, et elle n'avait rien fait qui aurait pu déplaire à l'androïde. Elle profiterait donc de l'instant présent, sans se poser trop de questions. Comme elle l'avait fait jusqu'ici...
Revenant à la réalité, elle fit rapidement courir ses mains sur les fesses de la lycéenne, retardant l'échéance. Elle la caressa ainsi, palpant la chair tendre, donnant de petites claques de temps à autre, s'amusant à regarder la peau rebondir légèrement après chaque fessée. Après quelques instants, elle se pencha en avant et y déposa un baiser, puis quelques coups de langue coquins sur le bord des fesses, avant de dévier vers son anus, qu'elle lécha généreusement, humidifiant son petit trou avec sa salive artificielle. Avec ses deux mains, elle écartait ses fesses, élargissant légèrement son fondement, dans lequel elle insérait périodiquement sa langue. Une fois qu'il fut suffisamment lubrifié, elle y introduisit lentement un de ses doigts, celui-ci remuant dans les entrailles chaleureuses de la Vampire. Et lorsqu'enfin elle jugea Mélinda prête à la recevoir, elle se redressa, droite sur ses genoux, son gros membre tendu à la main, et pressa simplement le bout de son gland contre son petit trou.
« Haan... Tu sens, ma chérie ? C'est rentré comme dans du beurre. Tu – Ha ! – Tu as un cul... Formidable ! »
Elle commença alors à donner de puissants coups de reins dans l'anus de Mélinda.
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Venant d’éjaculer, Mélinda put se contrôler. Fermant brièvement les yeux, tandis que Yukie se rapprochait, elle fit disparaître sa verge, qui se rétracta. Il était plus facile de la retirer après une éjaculation. La vampire serra les lèvres devant la brève douleur qu’elle ressentit en faisant rentrer son membre, puis se sentit mieux. Ainsi, elle serait prête pour une sodomie, qui ne serait encore meilleure. Sans pouvoir sentir le sang de cette femme, il était difficile de s’assurer qu’elle était réellement excitée, mais, en réalité, Mélinda ne s’en faisait pas trop. La manière dont l’infirmière agissait laissait clairement entendre que cette dernière était loin d’être contre l’idée de prendre ses fesses. Qui aurait pu l’être ? Mélinda le lui offrait sans hésitation, et, si on aurait pu croire qu’elle invitait Yukie à inverser les rôles, c’était une interprétation un peu trop erronée. De manière plus simple, Mélinda voulait juste qu’on lui explose les fesses, mais c’était aussi quelque chose qu’elle offrait à ses esclaves. Or, quand ces dernières avaient l’occasion de la sodomiser, il ne leur viendrait jamais à l’esprit d’affirmer leur supériorité.
Yukie se rapprocha, et ne commença pas directement à la sodomiser, préférant tâter le terrain, goûter à la marchandise. C’était bien tout à son honneur, et la vampire, sur ce point, ne comptait nullement l’en en empêcher. Elle se mit à la fesser, et Mélinda soupira silencieusement, gémissant de plaisir sous le contact des mains chaudes et fermes de l’androïde. Les fessées laissèrent la place à des coups de langue, des caresses buccales, des frottements avec ses mains. Lentement, l’androïde s’accaparait les fesses du vampire, les découvrant, les explorant, faisant soupirer cette dernière, qui continuait à remuer son postérieur, à le faire glisser, comme pour inciter davantage sa partenaire à venir. Sa langue fila ensuite vers son fondement. Mélinda serra ses poings en soupirant quand elle sentit les mains de Yukie glisser sur ses fesses, les écartant, afin de dévoiler l’accès à son fondement, à sa petite rondelle. Mélinda adorait ça. Que ce soit les fessées, les caresses, les baisers, les attouchements, elle adorait qu’on s’attaque à ses fesses. Il n’y avait là-dedans aucune réelle explication logique, c’était tout simplement... Intuitif. Elle aimait ça parce que c’était bon, tout simplement. Il n’y avait aucune autre réelle explication à fournir. La langue de Yukie se promena dans son petit trou, y déposant sa salive afin de le lubrifier, et d’y faciliter les glissements.
« Haaa... » gémit l’intéressée.
Elle sentit ensuite les délicats doigts de Yukie venir. La vampire était alors en train de mouiller, et remua un peu son dos, afin de mieux apprécier le doigt planté en elle, ce doigt qui remuait lentement, tel un petit serpent. Yukie remua son doigt, explorant son trou sombre. Mélinda soupirait, surtout d’impatience et de frustration, et finit par sentir le doigt se retirer, déliassant ses fesses. Yukie se releva ensuite, et la vampire frissonna en la sentant se rapprocher. Le moment allait arriver, et elle se pinça les lèvres.
Le sexe de Yukie heurta sa raie, puis s’enfonça dans ses fesses. Le bout de son membre la pénétra, et Mélinda poussa un cri de plaisir, en raclant le sol avec ses griffes.
« Haan... Tu sens, ma chérie ? C'est rentré comme dans du beurre. Tu – Ha ! – Tu as un cul... Formidable ! »
Mélinda soupira lentement en redressant la tête, et remua ses fesses, afin que ce sexe la pénètre mieux.
« Haaa... Oui, oui, je le sens, hummm !! Ce cul a déjà été visité un nombre incalculable de fois, ma belle... Maltraite-le sans hésitation, je... Je ne demande que ça ! »
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Mélinda avait l'air plus qu'emballée par le fait de se faire prendre le derrière par l'infirmière qui ne comptait de toute façon pas faire marche arrière maintenant. Les crises de remords, les "je n'aurais peut-être pas dû", tout ça ce n'était pas du tout son genre. Premièrement parce qu'elle était très réfléchie, et qu'elle agissait très rarement de façon impulsive, et deuxièmement parce que dans les rares fois ou ce second cas était illustré, elle savait exactement comment garder son sang-froid pour se sortir des situations les plus compliquées.
Ainsi, elle avait, une semaine plus tôt, violé EN MÊME TEMPS trois professeurs du lycée Mishima, et elle avait su à la perfection dissimuler ses méfaits, après avoir drogué les trois hommes qui ne se souvinrent jamais de l'incident, et qui continuaient de la saluer en s'imaginant certainement lui faire toutes sortes de choses pas très recommandables.. Le plus drôle, c'est qu'ils en avaient eu l'occasion mais ne pouvaient pas s'en souvenir. À ce souvenir, Zero ne put réprimer un sourire de satisfaction. Elle n'aimait pas spécialement la facilité, et appréciait toujours les rebondissements, faisant preuve à chaque fois d'une force physique et mentale hors du commun pour s'en sortir. Cependant, elle devait avouer qu'il était plaisant d'avoir toujours ce qu'elle désirait. Elle était au sommet du monde, en quelque sorte. Elle aurait pu aisément devenir la maîtresse de tous les plus grands politiciens du monde pour faire tourner ce dernier comme elle l'entendait.
Ces considérations faites elle revint à la réalité, son gland tout rose à l'entrée du fondement de la vampire, elle se rendit compte qu'elle avait du la faire attendre. Tant mieux, il n'en serait que plus agréable de la faire jouir. Lorsqu'elle s'enfonça brusquement entre ses fesses, qui s'écartèrent étonnamment facilement, elle poussa un gémissement des plus excitants, qui n'aurait pas manqué de faire éjaculer n'importe quel homme qui aurait par un heureux hasard assisté à la scène. Mélinda quant à elle tortillait des fesses admirablement, s'arrangeant pour qu'elles tirent toutes les deux le maximum de plaisir de cet instant magique. Accablée par le plaisir, Zéro saisit les hanches de la "jeune" lycéenne et se mit à faire de rapides mouvements de va-et-vients, une satisfaction profonde irradiait de son membre tendu vers tout son corps, et elle se sentait incroyablement bien. Le petit cul de la vampire la plaçait dans un état de béatitude incroyable. Elle entendit d'une oreille la réponse de Mélinda, entre deux soupirs :
« Haaa... Oui, oui, je le sens, hummm !! Ce cul a déjà été visité un nombre incalculable de fois, ma belle... Maltraite-le sans hésitation, je... Je ne demande que ça ! »
La façon dont son chibre pénétrait le fondement de mademoiselle Warren ne laissait aucun doute sur la véracité de ses propos. Yukie avait connu des vagins plus serrés que ce cul. Mais cela n'enlevait en rien le plaisir infini qu'elle ressentait en ramonant ses fesses. C'était une sensation très étrange, inhabituelle. Bien que ce cul n'ait absolument rien de spécial en soi, elle éprouvait quelque chose de particulier, un plaisir intense, comme si elle avait trouvé l'âme soeur de son sexe d'homme. Elle avait la très nette impression que son cul avait été taillé pour accueillir son membre imposant, et elle sentait qu'elle aurait pu rester plantée en elle des heures durant, voire des jours.
Alors que ses mains empoignaient toujours les flancs de Mélinda, elle la souleva subitement du sol et se renversa sur le dos, la vampire atterrissant sur sa poitrine. Couchée sur le sol, avec la lycéenne sur le ventre, elle se sentait incroyablement bien, n'ayant pas arrêté de la sodomiser pendant l'entreprise. Elle se mit alors à la toucher, les mains de l'androïde explorants son corps avec avidité. Elle s'attarda sur sa poitrine menue mais rebondie, pinçant légèrement ses histoires de ne pas laisser à ses fesses le monopole du plaisir... Mélinda devait bien apprécier l'instant elle aussi, et Zero aurait mis sa main à couper que c'était le cas. Sa tête calée entre les énormes seins de l'androïde qui, pour une raison inconnue d'elle-même, s'était mise à lui embrasser les cheveux, la vampire ne devait plus être très loin du nirvana...
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Coucher avec une femme qui n’était pas humaine, ne posait aucun problème de principe à Mélinda. Au contraire, c’était l’occasion de tomber sur des amants suffisamment performants et améliorés pour pouvoir pleinement la satisfaire. Du fait de leur courte longévité, et de leur réticence sexuelle chronique, les humains s’épuisaient généralement vite. Ici, Mélinda était tombée sur une HAC, une sorte de créature artificielle pour qui le sexe n’avait, semble-t-il, aucun secret. Elle était belle, forte, avec des formes voluptueuses, résistante, et endurante... Suffisamment performante pour lui faire passer un moment joyeux et torride. Mélinda ne pouvait que se féliciter d’avoir eu la sagesse d’esprit de venir la voir. Qui sait jusqu’où la relation entre ces deux femmes allait aller ? Derrière son air gentillet et un brin innocent, Yukie avait tout d’une perverse sexuelle, d’une dominatrice en puissance, ressemblant, en ce sens, à plusieurs de ses esclaves, qui portaient parfois fort mal le nom d’esclaves. Mélinda savait par exemple que l’une de ses chéries, Ayumi (http://img93.xooimage.com/files/4/a/1/ayumi-3d62000.jpg), originaire d’Ashnard, se promenait parfois dans le parc le soir, afin de violer des lycéennes, des adolescentes, ou n’importe qui qui passait sous son nez... Autrement dit, il était difficile de proposer à Mélinda quelque chose qui puisse la choquer, tant sa conception du sexe était débridée.
Pour en revenir au moment présent, elle sentait qu’elle avait affaire à une sorte d’Ayumi mécanique, et ceci, loin de la réfréner, l’excitait follement. Elle sentit Yukie prendre son temps avant de la sodomiser, puis elle se rapprocha ensuite, ses douces, mais non moins fermes, mains se posant sur ses hanches, s’appuyant ensuite sur son cul, puis sa verge, impérieuse, s’enfonça en elle. Ce gros membre déboîta sa porte arrière, entrant comme si un piston venait de labourer son champ. Mélinda se tortilla et hurla, sous l’impulsion de ce membre, sous l’épaisseur impressionnante de ce membre turgescent, ce vif monstrueux. Une queue gargantuesque défonça son cul, la faisant pleurer, hurler, couiner, amenant ses griffes vampiriques à racler le sol. Les larmes venaient de la douleur intense qu’elle ressentait.
« Haaaa... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNN !!! HHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNN !!! »
Mélinda avait pour habitude de beaucoup sodomiser ses partenaires. Il était rare qu’elle accepte d’inverser les rôles, et ce n’était pas parce qu’elle avait peur de ça... Au contraire ! La vampire adorait se faire défoncer, et l’Humaine Artificiellement Conçue la prenait lourdement, profondément, remuant encore en elle, son chibre s’enfonçant dans son corps, défonçant son anus. Ses parois internes étaient écartées rapidement, et, comme Yukie semblait aussi le réaliser, Mélinda était habituée à la sodomie. Par conséquent, son anus s’adapta assez rapidement à sa virilité. Il arrivait parfois qu’elle autorise certaines de ses esclaves, comme Ayumi, à la sodomiser, et, pour ses esclaves, défoncer le petit cul de la Maîtresse était un plaisir constant.
La vampire mouillait sur le sol, et, de sa bouche, de la salive s’échappait. Elle soupirait et grognait, et, au bout de nombreuses minutes, mais qui se terminèrent assez rapidement, elle sentit Yukie la soulever. Importante et massive, elle retourna alors la belle vampire, puis se coucha avec elle, maintenant son membre dans ses fesses... Un exploit assez impressionnant, que Mélinda expliqua par la longueur de sa verge, et par le caractère robotique de la femme. Elle était une humaine « avancée », après tout.
« Hummm... !! »
La vampire se retrouva entre les seins imposants de la femme, et mouillait sur elle, tout en couinant et en gémissant, avant de s’attaquer à ses seins, ses mains posées sur les hanches de la femme. Sa peau était aussi douce que celle d’un bébé, et, pendant qu’elle la prenait, Mélinda frottait son sexe contre sa peau, sa mouille glissant sur son ventre, l’approchant doucement de l’orgasme .Ses mains finirent par palper ses seins, pinçant les tétons, et elle alla embrasser goulûment l’infirmière aux cheveux roses, fourrant sa langue dans sa bouche.
« Haaaaaaaaaaaa... Yu... Yuuuukieee, haaaaaannnn... !! Haaaaaaaaaaaaa... !! »
L’orgasme approchait, approchait... Et éclata violemment, dans de longs et profonds soupirs.
C’était divin !
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Malgré les frissons de plaisir que Mélinda avait de plus en plus de mal à dissimuler – et d'ailleurs elle ne faisait pas beaucoup d'efforts pour les cacher – elle s'était mise en tête de ne pas être complètement passive dans la jouissive partie de jambes en l'air qu'elle partageait avec Zero. Le corps de cette dernière avait été conçu spécialement à cet effet, et force était de constater qu'elle avait été plutôt réussie. Sa peau, bien que synthétique, était d'une douceur extraordinaire.. Son sperme avait un léger goût sucré, rien à voir avec l'authentique, et était constitué d'une substance qui s'évaporait après un certain temps au contact de l'air. Idéal pour éviter les traces ou les odeurs.
Ainsi, Mélinda s'était mise à suçoter les lourds seins de l'androïde, ses mains caressant ses hanches. Être capable d'encore réfléchir était en soi un exploit, étant donné la violente sodomie à laquelle elle était soumise. Car il fallait avouer que le membre qui la pénétrait à répétition n'avait rien d'un banal pénis humain. Cependant, elle devait vraiment avoir l'habitude, car non contente de déplacer ses mains et sa bouche, elle se mit à remuer son bassin, ajoutant une nouvelle couche de plaisir, et procurant une agréable sensation à l'androïde qui, extrêmement sensible, sentait parfaitement son clitoris érigé frotter contre son ventre, ainsi que chaque petite goutte de cyprine qui dégoulinait de son intimité trempée.. Inutile d'être une magicienne pour en déduire que la vampire approchait de l'orgasme, que Yukie ne la laisserait pas être la seule à atteindre.
Étrangère à ce qui se passait dans la tête de l'androïde, Mélinda commença à lui peloter tendrement les seins, avant de l'embrasser avec passion. Yukie lui rendit son baiser sans hésitation, entraînant la langue de sa partenaire dans un ballet endiablé. Pendant ce temps, ses mains puissantes empoignaient les fesses de la lycéenne, les écartant autant que possible pour la pénétrer plus profondément encore. Le rythme de ses coups de bassins était irréel, et si elle avait été humaine elle aurait jouit depuis de longues minutes déjà. Mais elle avait ce privilège incroyable de ne jouir que sur commande. Tout ce qu'elle désirait, c'était un signal, signal que Mélinda ne tarda pas à lui donner sous la forme d'un gémissement des plus excitants :
« Haaaaaaaaaaaa... Yu... Yuuuukieee, haaaaaannnn... !! Haaaaaaaaaaaaa... !! »
Il n'en fallut pas plus à l'androïde, qui répondit aussitôt.
« Han mon dieu !! Ma chérie... Ton cul est tout simplement di.. VIIIIIN ! »
Elle prononça la deuxième partie de ce dernier mot au moment précis ou elle déclenchait son orgasme, le plaisir la submergeant, son membre arrêtant temporairement de bouger pour décharger en grande quantité sa délicieuse semence... Elle n'avait aucun remord à jouir en elle, et elle était persuadée que cela ne la dérangeait pas. Aussi, elle n'hésita pas à la remplir comme il se doit, avant de se rendre compte que sous le coup du plaisir, elle l'avait involontairement étreinte. Elle relâcha la vampire, qui se laissa glisser sur le sol, à côté d'elle, son anus dégoulinant de sperme chaud. L'androïde remarqua alors la mare de cyprine sous elle. Sa propre excitation combinée à l'explosion due à l'orgasme de Mélinda, auquel Zero n'avait pas du tout fait attention, faisaient qu'elle baignait dans ce qui ressemblait au sol du vestiaire d'une piscine municipale, tout humide. Elle allait devoir nettoyer tout cela consciencieusement avant sa prochaine consultation. Cependant elle avait autre chose en tête pour l'instant.
Son membre, qui était uniquement disponible en version tendu, n'avait pas cessé d'être en érection, et elle détestait le déployer sans pouvoir l'utiliser, car cela la plaçait dans un état de frustration incontrôlable. Quand son chibre était de sortie, elle voulait juste baiser. Deux options s'offraient donc à elle, soit elle le rentrait, soit... Peut-être qu'elle pouvait lui trouver encore un intérêt...
Elle vint alors s'étendre sur le petit corps de Mélinda, un air espiègle gravé sur le visage, et mordilla tendrement un de ses tétons avant de murmurer :
« Dis-moi, ma belle... De quoi aurais-tu envie, là, maintenant ? »
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Mélinda et Yukie baisaient comme des autruches, et la vampire se faisait déboîter son fondement. L’infirmière robotique était terrible. Infatigable comme une machine, elle n’en restait pas moins terriblement excitante. Ses gros seins doux et chauds, ce corps tendre et appétissant, ainsi que cette verge tendue et énorme... Que de magnifiques sensations ! Mélinda se tortillait de plaisir, hurlait et rugissait, et griffait parfois Yukie quand ses griffes sortaient. Cette sodomie avait quelque chose d’épique, un véritable rodéo du cul, endiablé et élancé, furieux et vif, avec une amante qui avait une trique infernale. Encore un peu, et Mélinda aurait l’impression d’être défoncée par la queue d’un cheval. Elle pleurait parfois, tant la douleur était forte... Une souffrance exquise, magnifique, une douleur horrible, qui lui déchirait les entrailles, et lui rappelait combien une sodomie était vivante, combien, quand on vous perforait le cul, vous étiez là, présente et forte. L’orgasme de Mélinda arriva, alors que ses lèvres intimes se frottaient contre le corps de Yukie. Cette dernière s’abandonna sur elle en soupirant, plantant ses ongles dans ses épaules, se blottissant contre elle.
« Haaaa... »
Yukie finit par tendrement la retourner, après s’être vidée en elle, et Mélinda se retrouva couchée sur le dos, le corps massif de l’infirmière sur elle, leurs seins venant doucement se caresser. Le membre de Yukie venait de sortir des entrailles de la vampire, offrant à Mélinda une manière de se détendre, de souffler et de se reposer. Elle papillonnait des yeux, une main sur la nuque de la femme, l’autre caressent tendrement l’une de ses joues.
« Dis-moi, ma belle... De quoi aurais-tu envie, là, maintenant ? » finit-elle par lui demander, de sa voix fluette et chaude.
L’infirmière avait toujours une forte érection, que Mélinda pouvait sentir. En souriant, la vampire regarda autour d’elle, avisa l’horloge... Certes, elle n’avait pas l’endurance exceptionnelle de Yukie, mais, pour compenser, elle avait une imagination à hauteur de toutes les perversions. Elle sourit alors, malicieusement, et se mit à parler, une lueur se mettant à danser dans ses yeux :
« Les prochaines filles ne vont pas tarder à arriver... Voilà ce que je te propose, ma belle... Nous allons passer toute la journée ensemble, toi et moi, à violer toutes les filles qui se présenteront à tour de rôle dans ton poste... Qu’en dis-tu ? »
Mélinda, honnêtement, voyait assez mal Yukie rejeter cette idée... Mais la femme pouvait toujours la surprendre.
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Violer toutes ses prochaines patientes... L'idée avait de quoi intéresser l'androïde, cependant si Zero ne l'avait pas encore mise en pratique, c'est qu'il y avait de bonnes raisons... Premièrement, elle n'avait jamais eu l'idée de s'enfoncer à ce point dans la perversion et deuxièmement, c'était tout de même vraiment peu prudent. La situation actuelle lui plaisait beaucoup, et elle n'aurait pas apprécié devoir s'évader de prison après avoir été jugée coupable de viol sur plusieurs lycéennes.. D'autant plus qu'il ne fallait pas écarter l'hypothèse que Mélinda veuille la faire chanter ensuite. Néanmoins, pour une raison inexplicable, elle avait envie de lui faire confiance, elle sentait que l'expérience pouvait être intéressante, d'autant plus qu'elle avait tout à fait les moyens de ne pas être découverte si elle s'y mettait sérieusement.
Elle se leva, ses lourds seins ballottant comme s'ils étaient soumis à une force gravitationnelle qui leur était propre, puis alla fouiller dans un sac au fond de la pièce. Il lui restait des fioles de la substance qu'elle utilisait pour faire perdre la mémoire à ses victimes, et ses seringues d'infirmières feraient l'affaire pour les injecter. Maintenant qu'elle était plus confiante sur le fait qu'elle était capable de couvrir ses arrières en cas de problème, elle revint aux côtés de Mélinda et, après lui avoir roulé une pelle pour la forme, elle lui demanda :
« C'est d'accord, ma chérie.. Ça m'a l'air amusant, comme idée. »
Elle ne put s'empêcher de rire en s'entendant parler. Amusant ? Cela allait être bien plus que ça.. Jouissif aurait probablement été le mot le plus exact. Cependant, elle ne pouvait s'empêcher d'être un peu déçue de voir le temps passer, déçue de se voir ramenée à la réalité après des instants torrides en compagnie de la vampire.. Déçue de ne pas pouvoir profiter encore plus du corps de Mélinda.. Un petit peu de patience, Zero, les réjouissances ne devaient pas tarder à recommencer.
Consciencieuse, elle se mit alors à nettoyer la pièce des traces causées par la vampire, étant donné que celles qu'elle même produisaient s'évaporaient très rapidement, avant de vaporiser du parfum à la rose dans l'infirmerie histoire de masquer les odeurs fortes de cyprine et de sperme qui n'étaient tout de même pas des plus discrètes. Ensuite, presque à regret, elle ferma les yeux et se concentra pour finalement, au terme de longues secondes d'effort mental et physique, réussir à rétracter son membre gonflé à l'intérieur de son vagin, qui reprit l'aspect mignon et féminin qu'il avait initialement. Durant toute l'opération, Mélinda n'avait pas cessé de l'observer en pensant à Dieu sait quel plan pervers pour la suite de la journée, n'ayant pas daigné lui prêter main-forte, ce qui somme toute ne dérangeait pas beaucoup l'androïde qui avait l'habitude de travailler seule.
Bientôt, l'heure de la fin de la consultation arriva. En principe, Mélinda aurait du retourner en classe pour suivre un autre cours, mais ce n'était évidemment pas dans ses plans. Zero venait de revêtir sa tunique d'infirmière, reprenant son rôle d'employée sexy du lycée Mishima. Un détail cependant différait de quand elle avait accueilli la vampire un peu plus tôt dans la journée, elle n'avait pas jugé bon de remettre des sous-vêtements. Une faille à exploiter sans aucun doute pour leurs futures proies. Elle s'assit sur son fauteuil, celui-là même où elle avait couché avec Mélinda juste avant, une jambe reposant sur l'autre, et prit une fiche qui traînait sur son bureau. Elle s'éclaircit la gorge et lut :
« Hideka... Fuyuko. Tu la connais ? Elle est mignonne. »
Zero plongea son regard dans celui de la vampire et fut légèrement troublée. Elle trouvait ces yeux magnifiques. Pour ne plus y penser, elle continua :
« Tu as déjà un plan, la concernant ? »
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Les deux femmes venaient de faire l’amour comme des bêtes, et c’était loin d’être terminé. Toute une journée de sexe, ce n’était pas pour la déranger, a fortiori avec une aussi belle créature. Mélinda était bien curieuse à son sujet. Elle avait compris que Yukie avait été conçue par des scientifiques terriens, mais elle se demandait pourquoi ces derniers n’étaient pas venus la récupérer. Quel était le passé de cette androïde violeuse ? Elle rétracta son membre, et, ensuite, les deux femmes entreprirent de faire le ménage dans l’infirmerie, de manière à ce qu’il n’y ait rien de surprenant pour les autres femmes qui viendraient. En soi, Mélinda n’avait pas trop peur d’éventuelles répercussions. Mishima était un temple voué au sexe, dédié aux passions sauvages et brutales. Tout n’était qu’une débauche perpétuelle et permanente de sexe ici. Entre ses propres esclaves, les clubs sexuels secrets, les professeurs formant sexuellement des élèves, la grande majorité des élèves étaient des pervers qui avaient perdu leur virginité ici, et qui participaient à moult orgies et autres cérémonies sexuelles. Le sexe, ici, était omniprésent. Mélinda ne connaissait pas tous les élèves du lycée, loin de là, mais elle en savait suffisamment sur eux pour savoir comment les choses fonctionnaient dans ce bâtiment.
Yukie, avec sa belle robe rose, courte, choisit de ne pas remettre de sous-vêtements, et, tandis qu’elle s’installait, Mélinda, elle, se recoiffait tranquillement, fébrile et excitée. Une journée entière de sexe, sans relâche... Même pour elle, c’était un sacré défi, et, fort heureusement, elle allait avoir bien des gorges sur lesquelles elle pourrait s’abreuver pour retrouver des forces. Yukie inspecta la prochaine fiche médicale, et lui donna le nom de leur première victime : Hideka Fuyuko (http://img110.xooimage.com/files/5/a/6/hideka-fuyuko-4a36ece.jpg). Une belle blonde avec de longues couettes.
« Je l’ai vu... Sans plus. »
Elle n’avait pas le temps de s’occuper de toutes les jolies minettes du lycée, mais, effectivement, Hideka était très belle. Sa chevelure blonde signifiait qu’elle était sûrement métisse, car ce n’était pas une couleur naturelle au Japon, d’où une certaine attirance des Japonais pour les blondes. Il y avait, en somme, très peu de chances qu’elle soit toujours vierge. Le regard de l’infirmière croisa celui de Mélinda, qui était venue à côté d’elle, et cette dernière, après quelques secondes d’hésitation, s’empressa de lui demander son avis :
« Tu as déjà un plan la concernant ? »
La vampire esquissa un léger sourire, venant à s’humecter les lèvres, et attrapa le dossier médical, surtout la page où on voyait le visage d’Hideka, qu’elle s’amusa à caresser.
« Le mieux me semble de te laisser agir seule, pendant que je serais cachée quelque part... Je suis entrée ici sans personne dans le couloir, alors tu peux aller la chercher... Puis lui demander de se déshabiller, afin qu’elle soit en petite tenue... À moins que tu ne préfères la prendre avec ses vêtements ? Moi, je te rejoindrais quand tu commenceras les choses sérieuses, ma belle... »
Mélinda se mordilla les lèvres, une envie profondément perverse en elle. De fait, elle s’imaginait volontiers prendre cette belle petite lycéenne à deux, la faire hurler et couiner, qu’elle pleure tandis que les deux femmes la besogneraient sauvagement.
« Oh, ma belle, nous allons tant te défoncer... »
Elle sourit encore, malicieusement, et déposa un baiser sur l’image, puis reposa le document sur le dossier.
« Alors, ma chérie, où vas-tu me cacher ? »
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« Le mieux me semble de te laisser agir seule, mendant que je serais cachée quelque part... Je suis entrée ici sans personne dans le couloir, alors tu peux aller la chercher... Puis lui demander de se déshabiller, afin qu'elle soit en petite tenue... À moins que tu ne préfères la prendre avec ses vêtements ? Moi, je te rejoindrais quand tu commenceras les choses sérieuses, ma belle... »
Une idée plutôt intéressante, et plutôt au goût de l'androïde. Cette dernière déplorait le fait de ne pouvoir accueillir la jeune fille avec Mélinda, mais il fallait rester raisonnable, et un minimum de prudence s'imposait. Et puis, il y aurait d'autres filles... D'autres occasions à saisir. Elle opina donc du chef, se demandant avec un sourire si elle allait ou non faire retirer ses vêtements à Hideka.
« Oh, ma belle, nous allons tant te défoncer... »
Zero sourit de plus belle. Elle était tout aussi excitée que la vampire, mais préférait ne pas trop le montrer. Une sorte d'étrange orgueil la poussait à ne pas extérioriser son excitation afin de montrer qu'elle dominait parfaitement la situation.
« Alors, ma chérie, où vas-tu me cacher ? »
Zero décida alors de prendre un risque. En temps normal, elle n'aurait jamais couru un tel danger pour si peu, mais son excitation la rendait imprudente. De plus, elle sentait comme un lien invisible entre elle et Melinda, comme si elles se connaissaient depuis des siècles et que s'était établie entre elles une confiance à toute épreuve. Elle emmena donc l'étudiante dans l'arrière-salle de l'infirmerie, ou les élèves malades ou blessés pouvaient prendre un peu de repos. Tous les lits étaient innocupés, sauf un. Un jeune homme bien bâti, aux yeux et cheveux d'un noir d'encre, était étendu sur l'un d'eux, les membres attachés et nu comme un ver, son sexe flasque quoique plutôt volumineux, d'une couleur rouge violacée témoignant de son utilisation récente, reposait sur son bas-ventre. L'homme était bâillonné, et à la vue des deux femmes ils s'était mis à pousser des cris étouffés presque inaudibles.
« Avant que tu ne me rendes visite, j'étais occupée avec monsieur. J'ai supposé que toi aussi tu apprécierais de passer un peu de temps avec lui. »
Elle fit un clin d'oeil à la vampire et planta ses ongles dans la hampe de l'homme. Celui-ci émit une plainte ridicule et détourna le regard, ses yeux dégoulinant de larmes de rage. Il n'avait pas vraiment à se plaindre pourtant, il aura eu le privilège de visiter l'intimité de deux femmes magnifiques avant de passer de vie à trépas. D'autres avaient été moins chanceux par le passé... Yukie s'approcha de la vampire et l'embrassa passionnément, sa main droite en profitant pour peloter ses fesses.
« À très vite, ma chérie. Ne me l'abîme pas trop. Aussi, le miroir de la pièce d'à côté est une glace sans teint, tu pourras tout voir d'ici. »
Et sur ces mots, elle revint dans la salle d'auscultation, vérifia une dernière fois que tout était en place et qu'on ne pouvait rien suspecter, puis sorti dans le couloir. En face d'elle, la jolie Hideka, un peu intimidée, était appuyée contre le mur.
« Mademoiselle Fuyuko ? Vous pouvez me suivre. »
La belle blonde s'exécuta et entra dans l'infirmerie à la suite de Zero, qui avant de sortir avait détaché deux boutons de sa robe, ce qui rendait son décolleté vertigineux et laissait clairement deviner qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Une élève plus extravertie aurait sans doute fait la remarque, mais Hideka était de nature plus discrète. Elles procédèrent donc à ce qui était désormais une routine pour l'androïde, les examens standards se succédaient et se ressemblaient tous, et il n'y a vraiment rien d'intéressant à décrire une belle blonde lire des lettres sur un tableau blanc ou découvrir avec horreur qu'elle a pris un kilo depuis la dernière visite médicale. Une fois tout cela terminé, la jeune fille était en T-shirt et en culotte. Zero passa à l'action tout en finesse.
« Parfait, c'est presque terminé. Cependant je vois sur ma fiche que vous n'avez pas fait d'examen génital cette année, or si vous n'en faites pas je ne pourrais pas valider votre visite. »
« Que... Mais... On ne m'a rien dit ?! » balbutia-t-elle.
« Je suis désolée, cela fait partie des examens obligatoires. Je dois te demander de retirer tes vêtements. »
« Je peux garder mon T-shirt, au moins ? »
« Je ne suis pas contre, il n'y a pas de raison de te le faire enlever. »
Satisfaite par cette minuscule victoire, Hideka finit, après un long moment d'hésitation, par retirer sa petite culotte. Son intimité était glabre et lisse, ses lèvres fines. Zero feint un professionnalisme à toute épreuve et s'agenouilla devant sa patiente avec un visage impassible, offrant à celle-ci une vue plongeante sur ses énormes seins. Hideka commenca par détourner les yeux mais ne put retenir sa curiosité bien longtemps. Devant un tel spectacle, on ne pouvait que rester bouche bée. Hideka ne fut pas une exception. Indifférente, ou feignant de l'être, Zero se mit à palper le contour de ses lèvres intimes, lui demandant machinalement si cela faisait mal quand elle poussait. Évidemment la réponse lui importait peu, ce qui comptait pour l'androïde, c'était la cyprine qui commencait lentement mais surement à humidifier son vagin. Zero, faisant mine de continuer naïvement son travail, effleura doucement son clitoris. La réaction ne tarda pas, la jeune patiente se cambra et un gémissement lui échappa. Il n'en fallut pas plus à l'infirmière qui jeta son coup en avant et entreprit d'offrir à sa patiente le plus savoureux cunnilingus de sa vie. Comme elle s'y attendait, la lycéenne, quoique surprise, ne résista pas vraiment. Satisfaite, Yukie leva le pouce derrière son dos pour signifier à Mélinda que tout était prêt, et qu'elle pouvait faire son entrée à tout moment.
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Il était fascinant de voir comment les deux femmes s’étaient si rapidement faites confiance. Mélinda et Yukie allaient passer toute une matinée à coucher ensemble, et avec d’autres personnes. Un programme bien sympathique pour la perverse vampire, qui, malgré les années, était toujours aussi... Perverse. L’infirmière à la combinaison rose la conduisit donc dans l’arrière-salle, où Mélinda fut relativement surprise de voir qu’un homme était là. Nu comme un ver, avec un sexe tendu, et immobilisé sur le lit. Il grogna sous son bâillon en voyant Yukie, regardant brièvement Mélinda, mais se concentrant surtout sur l’infirmière. Mélinda comprit rapidement qu’elle l’avait capturée, et qu’elle devait régulièrement le violer, ce qui, visiblement, n’était pas totalement au goût de l’homme, et, à voir la taille de son sexe, ou sa couleur, il devait fréquemment servir. Mélinda n’aurait pas été surprise d’apprendre que l’infirmière le droguait, afin qu’il soit plus réceptif à ses attouchements.
*Intéressant...*
C’était très intéressant, en réalité, et un délicat sourire vint perler sur les lèvres de Mélinda quand elle vit le miroir sans tain, une manière efficace de voir ce qui allait se passer avec Yukie et Fuyuko. Mélinda hocha donc la tête, en se rapprochant du patient de l’infirmière. Elles s’embrassèrent une dernière fois, Mélinda sentant les mains de la femme venir caresser son postérieur, et elle-même rendit la pareille, en caressant les hanches de la femme.
« Ma chérie »... Visiblement, Mélinda lui avait tapé dans l’œil, et la vampire sourit donc, après ce bref baiser.
« Ne t’inquiète pas, je prendrais très soin de ton pensionnaire... Ma puce. »
Les mots doux ne dérangeaient guère Mélinda, et elle n’allait pas se refuser une amitié avec une belle infirmière en combinaison moulante rose, aussi perverse que belle. Seikusu regorgeait de personnalités intéressantes, et Mélinda aimait bien leur tomber dessus. Elle laissa donc Yukie filer, et, tandis qu’elle accueillait l’élève, Mélinda, elle, se rapprocha de l’homme, et caressa son visage, en lui souriant. L’homme gémit à nouveau, tentant de tirer sur ses liens, mais ces derniers étaient solides. De belles sangles avec des cordes. Difficile de s’en défaire, et elle put voir, à l’emplacement de son cou, des marques signalant la pose de seringues.
Un sourire illumina donc son visage, et elle entreprit de se déshabiller de nouveau. Tous ses vêtements tombèrent au sol, la rendant aussi nue que l’homme, et elle se mit rapidement à califourchon sur lui, venant s’asseoir sur son ventre. Ses mains caressaient son torse, et elle se mit à lui sourire, avant de relever la tête. Fuyuko venait de retirer sa culotte, et Yukie semblait se faire plaisir. Il fallait bien admettre que la belle blonde avait un corps magnifique, et de beaux yeux verts... Mélinda aimait bien les yeux verts, sans aucun doute parce qu’elle en avait elle-même une magnifique paire. Avec ses longues couettes, Fuyuko était très mignonne.
« On va assister à un joli spectacle... Mais je ne voudrais pas que tu te sentes jaloux, mon beau... Sois heureux, des hommes n’hésitent pas à dépenser une fortune pour avoir le droit de goûter à mon corps... »
L’homme grogna à nouveau, mais ça n’empêcha guère Mélinda de venir enfourner ce membre en elle. Après tout, il fallait bien battre le fer tant qu’il était encore chaud, et elle se glissa donc sur ce sexe chaud, entretenant sa moule, soupirant de plaisir, tout en observant le spectacle devant elle. Lentement, Yukie était en train d’exciter sa patiente, et elle, de son côté, elle dansait sur le corps de l’homme, sentant ce dernier gémir et soupirer, son érection s’accroissant également. Depuis combien de temps était-il là, ficelé ainsi ? Yukie avait de drôles d’occupations... Et tout ça amusait Mélinda, qui se demandait si l’homme en était au point de se demander s’il savait même comment il s’appelait encore.
« Aaaaahhh... Ouuuuiii, hummm... »
De longs soupirs s’échappaient des lèvres de la femme, qui se tortillait contre son corps, sentant le lit craquer doucement. Son regard continuait à se porter sur la scène ayant lieu de l’autre côté, et, tandis qu’elle soupirait de plaisir, elle finit par voir Yukie se mettre en position, léchant l’intimité de la femme, et faisant signe à Mélinda de venir.
Soupirant de nouveau, la vampire se pencha vers l’avant, courbant son corps vers celui de l’homme, et posa ses mains sur ses épaules, enfonçant ses griffes dans sa chair, le faisant soupirer à nouveau.
« Dé... Désolée, mon beau, on finira ça plus tard... »
Mélinda l’embrassa ensuite sur la joue, puis réussit à s’extirper de son corps, dans un soupir supplémentaire.
Elle débarqua ainsi dans la pièce, dos à la jeune élève, et, en souriant, referma doucement la porte derrière elle. Hideka gémissait de plaisir, les joues toutes rouges, et ses mains caressaient les cheveux de l’infirmière... Puis Mélinda se glissa dans son dos, et alla embrasser son cou.
« Haaa !!
- Allons, ma chérie, ne panique pas, nous sommes là pour te faire du bien...
- Mé-Mélinda... ? Mais que... ?! »
Se mettant à sourire, Mélinda déplaça l’une de ses mains, et pinça le sein de la jeune femme, à travers sa chemise d’écolière, la faisant gémir, la femme se tortillant entre Mélinda et Yukie.
« Ne pose pas de questions, ma chérie, et laisse-nous te faire du bien... Car tu es notre petite poupée, ma chérie... »