Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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"Que puis-je pour vous, maîtresse ?" (PV Carmen De Solar)

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Fantine

Terranide

Paisible, insouciante... je me sentais si bien...

  • Allez ! Debout, salope ! - grommela une voix masculine.

Non, laissez moi dormir, juste un ptit peu...

  • * SPLASH ! *

Je me levais en sursaut, réveillée par un grand seau d'eau froide, me cognant par la même occasion contre le haut de ma petite cage rouillée.

  • Ouille... - lâchais-je, massant le sommet de ma tête.

Encore somnolente, j'observai les alentours, essayant de retrouver mes esprits et de comprendre ce qu'il se passait. Ce n'était pas l'un de ses hommes de main habituels, mais le marchand d'esclave en personne qui venait me voir. Un terrifiant personnage... Presque instinctivement, je me recroquevillai dans un coin, sans le quitter des yeux, grelotant de froid. J'étais toute trempée ! Il s'accroupit devant moi, rapprochant son visage des barreaux, un large sourire aux lèvres qui dévoilait sa dentition jaunâtre et abimée.

  • C'est le jour J, poupée, tu vas enfin pouvoir quitter cette cage... et me rapporter une jolie bourse pleine de pièces d'or, hahaha !

Ce jour, cela faisait longtemps déjà que l'on m'y préparait, depuis ma capture ses hommes s'étaient occupés de mon éducation pour augmenter ma valeur marchande. Mais même si c'était mon destin d'être vendue comme esclave, je ne pouvais m'empêcher d'appréhender cet achat. On racontait bon nombre d'histoire horrible sur les esclaves, des rumeurs que l'on laissait courir pour nous rendre plus docile, mais je ne pouvais m'empêcher de croire que cela arrivait réellement... comme cette esclave qui a succombé sous les punitions trop violentes de son maître. Je me demandais qui serait le riche acquéreur à qui je devrais obéir, dorénavant... La voix rauque du marchand d'esclave et le cliquetis des clés dans la serrure me ramenèrent à la réalité.

  • Tiens, bois ça, ça va te requinquer, la route sera longue.

J'acquiesçais silencieusement, avant de m'emparer du pichet qu'il me tendit et de boire goulûment. J'avais une de ces soifs ! On aurait dit de l'eau... mais... mais ça avait un drôle de goût...

  • Je... - furent mes dernières paroles, avant que je ne perde connaissance.

Je me réveillais un peu plus tard, avec un affreux mal de tête. La lumière m'éblouissait, mais je me rendais compte que j'étais encore dans ma cage. Cependant, je n'étais plus chez le marchand d'esclave, c'était certain. L'odeur était différente, beaucoup plus... fraiche, agréable. Quelques secondes s'écoulèrent, ma vue devint de plus en plus clair, je me trouvais dans une large pièce, superbement décorée. Probablement dans la résidence de l'acheteur, songeais-je. Les deux ombres qui se dressait près de la cage prirent forme, le marchand d'esclave et l'un de ses hommes. Soudain, j'entendis des bruits de pas raisonner, s'approchant de nous. Je me recroquevillais dans ma cage, appréhendant ce qui m'attendait...
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Carmen De Solar

Humain(e)

Re : "Que puis-je pour vous, maîtresse ?" (PV Carmen De Solar)

Réponse 1 vendredi 24 mai 2013, 08:46:58

Ce gros lour me bassinait depuis bien 1 mois. Un mois entier qu'il revenait encore et toujours à la charge inlassablement et insoucieux de tous les vents que je pouvais lui balancer en pleine gueule. Et pourtant je ne suis pas connue pour ma douceur avec les hommes qui m'emmerdent. Faut croire qu'il aime se faire maltraiter... je connais ce genre de personnes, souvent des gens importants, qui ont le pouvoir mais qui dans l'intimité aiment se faire dominer. Un homme d'affaire peut-être. Chaque soir il est là, accoudé au bar, seul, à me fixer. J'étais mal à l'aise au départ mais j'ai appris à faire abstraction. Ce jour là, en fin de soirée, il ne restait plus que lui et quelques employés. Il avait bien bu. J'avais donc fait pas mal de blé sur son dos. C'est bien. Je ne sais pas exactement si c'est pas curiosité ou par reconnaissance ou par pitié, sans doute plutôt par curiosité et par pitié à bien y réfléchir mais... j'ai décidé de parler un peu avec lui.

Bon... alors raconte cowboy, tu fais quoi dans la vie ? Et ne te fais pas d'idées, les mecs ne me branchent pas c'est uniquement pour faire la conversation que je te parle.

Il prit un air de gamin, un air... niais. Il rigolait d'un rire gras avec des relents d'alcool...

*Oh putain... j'aurais juste du le faire sortir...*

Ben si tu veux tout savoir je suis un vendeur... d'esclaves ma belle. Ouaip ! Parfaitement ! Je chope des jeunes mâles, femelles et je les entraine à devenir de parfaits esclaves sexuels !

In vino veritas ou bien... in vino n'importe nawak ? Mais ses deux derniers mots captèrent mon attention. Ma cave est trop souvent vide... je décide d'entrer dans son jeu, de me la jouer intéressée mais sans avoir l'air  trop sérieuse au cas où il raconterait n'importe quoi.

Ah ouais ? Intéressant ça ! Et t'en a beaucoup ?

EH COMMENT ! -là il tape du poing sur le comptoir pour appuyer ses propos-. J'ai des petites chiennes à n'en savoir que faire ! Toutes les meilleures salopes que t'aies jamais vues !

Eh ben si tu as en tant que ca cowboy, pourquoi tu ne m'en donnerait pas une en cadeau ? Les femmes aiment les cadeaux tu sais...

Oulah attend ! T'as beau être une bonasse, t'es quand même qu'une femme hein ! T'es rien qu'une chienne qui a raté son éducation c'est tout ! Ca coûte cher une bonne salope ! Moi je veux pas te l'offrir juste comme ca.

Je me rapproche doucement de lui, le regarde dans les yeux, colle mon nez au sien, retiens ma respiration, le chope par le col de sa chemise dégueulasse et lui dis tout doucement...

Oui mais moi, je ne suis pas comme tes chiennes. Je MERITE ce genre de cadeaux. Et tu seras content de me l'offrir parce que tu pourras dire à tout le monde que... "la femme si belle qu'on lui offre des salopes en cadeau a posé les yeux sur moi". Et puis... Je t'accorde une semaine de boisson gratuite. C'est ma dernière offre.

Je me décolle et le laisse réfléchir.

Toi... t'es une drôle de salope ! Hum... tu m'as appelé cowboy hein ? J'ai peut-être quelque chose qui pourrait te faire plaisir.

S'en suivit plusieurs jours d'attente, il avait -disait-il- des choses à régler. En fait... je ne savais toujours pas si c'était des conneries ou s'il était vraiment en possession d'esclaves sexuels. Mais comme dit, ca ne me coûte rien donc... la patience est de rigueur. Après 3 jours d'attente je reçois un coup de fil, le connard ou plutôt Le Connard, puisqu'il mérite son titre, me donne rendez-vous dans une villa pour m'offrir mon cadeau. Je ne suis pas très rassurée. Je préviens mon employée la plus fidèle que je vais à un rendez-vous louche avec Le Connard à l'adresse que je lui communique. Si je ne l'appelle pas à minuit, elle pourra appeler la police. Quand à moi, j'emporte un couteau qui aura sans doute plus un fonction psychologique que défensive ainsi que quelques affaires au cas où ce ne serait pas un piège.

Arrivée sur place... la villa est superbe. Qui aurait cru qu'un gros naze pareil aurait autant de blé ! Pendant une seconde, l'idée de me marier puis de le tuer pendant la nuit de noce m'a effleuré l'esprit mais... nan. Il est trop répugnant. Et puis après tout je n'ai pas à me plaindre, j'ai du blé moi aussi ! Je suis guidée par des domestiques jusqu'à une grande salle qui fait office de salle à manger. Au centre, trône une sorte de carré recouvert d'un drap blanc. J'imagine que l'esclave est dessous. Mon hôte m'accueille, me congratule sur ma beauté, me demande si j'ai trouvé facilement, s'il marque des points avec ce cadeau... toutes les questions auxquelles je réponds machinalement "oui, oui, oui". Je n'ai d'yeux que pour le drap blanc.

Laissez moi vous présentez chère lady votre nouvelle esclave ! Fantine !

Il tire sur le drap d'un geste théâtral. Au milieu d'une cage se trouve une fem... euh... qu'est ce que c'est ? On dirait une nana mais elle a... des cornes ? Enfin ça y ressemble... et ses oreilles sont... en fait on dirait une sorte de néko mais version... vache ? Je mentionne aussi ses seins qui sont d'une taille euh... carrément impressionnante. Elle est belle, elle est spéciale avec ses oreilles et ses cornes mais euh... après tout pourquoi pas, c'est pas la première fois que je vois un truc comme ca. Enfin jamais avec des cornes mais bon...
Je m'approche de la cage... Fantine est habillée de très fins sous vêtements... ce qui est déjà trop pour moi. Je cherche dans mon sac à main, en sort un gode d'une belle taille et le lance dans la cage.

Bon... alors dorénavant, moi c'est Maitresse. Ravie de faire ta connaissance. Tu feras tout ce que je t'ordonnerai de faire comme une gentille petite chienne bien dressée. Pour commencer, je souhaite que tu me présente ta chatte et ton cul de salope et que tu te mette ce gode. Pendant que je vais discuter avec le monsieur tu auras le droit de jouir pour manifester ton bonheur de m'appartenir. Et si t'es sage en rentrant, t'auras une récompense.

Je me tourne vers Le Connard et lui exprime toute la gratitude qu'il mérite. Finalement ce naze m'aura fait gagner quelque chose. Qui l'eût crut...

Elle me convient ! J'ai emmené une laisse, on ne va pas tarder à y aller, il est déjà tard et je manque cruellement de sommeil avec mon travail... j'imagine qu'on se reverra souvent durant la prochaine semaine ? Boisson gratuite n'est ce pas ?




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Re : "Que puis-je pour vous, maîtresse ?" (PV Carmen De Solar)

Réponse 2 vendredi 24 mai 2013, 18:37:04

Le plus discrètement possible, j'observais la jeune femme qui venait visiblement d'arriver. On m'avait toujours appris que je devais baisser les yeux devant les personnes plus importantes, autrement dit tout le monde en dehors des autres esclaves, et je ne voulais pas que l'on remarque cette marque d'insolence, au risque d'être sévèrement punie. Mais j'étais terriblement curieuse de savoir... C'était une jeune femme, d'apparence humaine, vraiment très belle. Ainsi donc ce serait elle, ma nouvelle propriétaire ? Elle ne paraissait pas si effroyable que ça, ce qui me soulagea un peu, même si je ne savais pas trop à quoi m'attendre pour le moment... ce qu'elle ne tarda pas à corriger, lorsqu'elle s'adressa à moi.

Elle me confirma qu'il s'agissait belle et bien de ma nouvelle maîtresse, avant de me lancer un sex-toy que je ramassai, l'observant, un peu perplexe devant un ordre aussi soudain. Lui appartenais-je déjà ? Le marchand d'esclave, lui, ne m'avait pas encore confirmé que la transaction était effectuée... mais quoi qu'il en fût, il n'était pas dans mon intérêt de décevoir qui que ce soit de toute façon, mieux valait ne pas prendre de risque. J'acquiesçais donc à sa requête, un peu timidement.

  • Oui... oui, maîtresse.

Je rougissais légèrement, gênée. J'avais certes eu bon nombre d'expériences sexuelles depuis ma capture, pas toujours très enviable d'ailleurs, mais c'était toujours avec les employés de l'esclavagiste, j'avais fini par m'y habituer en quelque sorte... mais là, c'était diffèrent, en compagnie d'une inconnue. Qui était d'ailleurs ma maîtresse, soit-dit en passant. J'inspirai donc un coup, et obéis à son ordre. Ma cage était plutôt petite, j'étais assise contre les barreaux et je parvenais tant bien que mal à écarter mes jambes, tirant sur le tissus de ma culotte serrée pour dévoiler mon intimité soigneusement rasée.

Je rougissais de plus belle, mais je ne bronchais pas, baissant les yeux pour éviter de croiser son regard. Un ordre restait un ordre... Je la laissais profiter de la vue quelques instants, immobile, les jambes écartées, avant de passer à la suite, enfonçant le gode entre mes lèvres intimes. J'effectuais ensuite de lent va-et-vient, ostensiblement. Le gode frottait lentement contre les parois de mon sexe, l'humidifiant à mesure que l'excitation se faisait sentir. C'était doux, agréable...

Voyant cette scène, l'homme de main de l'esclavagiste semblait perdre de son sang-froid. Glissant une main dans la cage, il empoigna fermement l'un de mes lourds seins, pinçant fortement mon tétons, ce qui m'arracha un léger couinement. Je ne comprenais pas trop ce qu'il se passait, cet homme n'avait aucun droit de me toucher normalement, peut-être allait-il se faire gronder... à moins que je n'appartenais encore au marchand d'esclave ? J'étais un peu confuse, mais n'était qu'une marchandise que l'on négociait, je restais donc silencieuse, quoique gémissant faiblement, tout en continuant à me masturber...
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Carmen De Solar

Humain(e)

J'attendais une réponse de la part de l'esclavagiste mais rien ne vint. Plus mes questions se perdaient dans les limbes infinies du silence persistant dans la pièce et plus ma confiance en la situation diminuait. Fantine faisait très bien son travail jusqu'à ce que tout à coup, l'un des hommes de main du Connard se mette à jouer avec son téton. Ah. Là, y'à une erreur de casting mon grand, t'es pas à ta place. Action... réaction. J'affiche un énooorme sourire. Je me déplace jusqu'à lui et m'accroupis en le regardant droit dans les yeux toujours avec ce même sourire qui me caractérise... je le fixe quelques secondes... et c'est à ce moment là que je lui balance une baffe magistrale du revers de la main. Le genre qui te ramène en enfance, le genre qui te donne envie de pleurer, le genre qui te laisse une jolie marque pendant 1h. Tout d'abord choqué, il ne broncha pas. Lentement il se lève, regarde son patron... me regarde moi et d'un coup commence à lever le poing prêt à me tabasser dans les règles

Nan stop Alvin !

Sauvée par Le Connard.

Je comprends ta réaction cependant il faut que tu comprennes que cette femelle n'est pas une femelle comme les autres, il faut la traiter différemment. Elle est venue en pensant qu'elle allait juste récupérer une salope et repartir aussitôt. C'est normal qu'elle se soit énervée ! Elle ne savait pas que le plan avait légèrement changé !

Piégée par Le Connard. Comment ça légèrement changé ? C'est quoi ce délire ?! Je passe ma main contre mes hanches et sens le contact impersonnel mais rassurant de mon couteau dans mon jeans... nul doute qu'il ne me sera pas dans grand secours mais je leur ferai verser leur sang avant le mien.

Dis moi mon grand loup... tu peux m'expliquer ce qui se passe ?

Toujours afficher le sourire et... ca me répugne mais il vaut mieux se montrer gentille voir légèrement séductrice. Sait-on jamais.

Mais évidemment très chère ! Ne t'inquiète pas, le deal reste le même cependant au lieux d'une semaine de boisson à l'oeil dans ton petit bar -l'espace d'une seconde, je perds mon sourire - eh bien pour avoir cette jolie petite pute, il va falloir me faire plaisir.

Là, je sers les poings et garder mon calme devient chaque seconde plus difficile. Je ne répond pas. Qu'il aille au bout de son délire tout seul.

Ha ha ha ! mais ne fais pas cette tête là ! C'est bien moins que tu ne l'imagines ! Oui je sais je sais que tu n'es pas une femelle comme les autres ! C'est pourquoi personne ici ne te touchera tant que tu n'en aura pas décidé autrement. Cependant... j'aimerais être sûr que l'entrainement prodigué à cette salope de compétition n'ait pas été donné pour rien. Ce serait du gâchis ! C'est pourquoi tu as le choix soit de la dominer et de nous laisser regarder, soit de nous laisser la dominer et de regarder. Dans un cas, ton jouet ne sera rien qu'à toi mais... nous vous verrons prendre du plaisir ensemble, et dans l'autre cas, quelqu'un d'autre jouera avec ton jouet et tu seras forcée de regarder.

La putain d'enflure de merde. Et son choix est un dilemme... les laisser me mater m'horripile. Je pourrais tuer des hommes pour moins que ça. Je me montre à qui je veux et quand je veux, non pas que j'ai un sens de la pudeur extrêmement prononcé mais me montrer pour exciter Le Connard et "Alvin"... je n'aime pas. Du tout. D'un autre coté, les laisser jouer avec sous mes yeux ça me dégouterait. J'aurais l'impression de l'abandonner de 1 et de 2, je penserai à ces images à chaque fois que je ferai quelque chose avec elle. C'est la merde. Je me tourne vers l'homme de main...

Tu t'appelles vraiment Alvin ?

Il me fixe sans répondre.

La honte. Bon, ouvre la cage.

Il lance un regard au Connard qui approuve ma demande d'un hochement de tête. La cage s'ouvre et Fantine est libre de ses mouvements. Je commence par enlever mon haut avant de déboutonner mon jeans. Je suis en sous-vêtements. Personne ne dit un mot. Je pensais que j'aurais froid mais l'atmosphère de la pièce est chaude, sans doute pour l'occasion. C'est une bonne chose. Une fois complètement nue, je m'accroupis à quelques mètres de la cage, cuisses écartées. Je pense que... ces deux salauds veulent du spectacle. Du trash. Cela n'a rien pour me déplaire, bien que... pour une première fois j'aurais préféré pouvoir expliquer toutes les règles à la principale concernée. Faire un peu connaissance... mais tant pis.

Fantine, je veux que tu viennes à 4 pattes jusqu'à moi et que tu me bouffes la chatte. Si ton visage n'est pas recouvert de ciprine dans 1 minute, je te fisterai si fort qu'à chaque fois qu'une idée te traversera la tête, il faudra d'abord qu'elle passe sur ma putain de bague. Quand à vous deux, si l'un de vous approche à moins de 5m, le jeu se termine instantanément. J'ajoute que je serai partie avec Fantine dans 30 minutes.

Je regarde Fantine... en essayant de mettre le plus de bienveillance dans mon regard, et je lui souris. Pour la première fois de la soirée c'est un vrai sourire. Je penche la tête légèrement sur le coté et chuchote...

Aller viens ma fille.

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