Exploration plus ou moins heureuses...-Pv

Dehors, le temps était lourd, l'orage n'allait pas tarder à pointer le bout de son nez, en effet, outre le fait que ce soit une journée trop chaude et trop sèche qui venait de s'écouler alors que le soir tombait. En général, c'était durant cette période que la créature cherchait se repaitre pour obtenir sa pitance de la nuit. Tant qu'elle n'avait pas mangé, elle avait cette faim qui lui dévorait lentement les entrailles jusqu'à ce qu'elle cède à celle-ci ! Mias elle avait mangé il y avait moins de six heures !

Le monstre avait fait comme tout le monde quand le soir tombe quelque soit la saison ou le temps, un feu était toujours une bonne idée pour éloigner la majorité des prédateurs., c'était un instinct sur que celui là.Mais Eliane, étant une forme de prédateur, ne les craignait pas pour autant.

La créature tentaculaire à forme humanoïde avait décidé, à la manière d'un ordinateur, elle avait froidement calculé, qu'un feu était bénéfique pour elle, non pas pour la sécurité, elle ne craignait rien, mais pour des raisons d’appât, les voyageurs voyant un feu avec une personne seule, sevant, se disaient qu'ils pourraient faire campement coimmun, d'autres pensaient pouvoir abuser de cette frêle femme venaient à elle.

En fait, une fr^le femme devant la lumière d'un feu en pleine nature, voilà l'appat, mais parfois personne ne venait, auquel cas elle allait se mettre en chasse, ropdant à son tour sur terre à la recherche de la proie dont elle devait ponctionner le fluide sexuel pour survivre. Mais aujourd'hui, ou du moins, dans l'n-instant, elle n'avait pas réellement faim, elle avait mangé récemment et attendait juste que la faim revienne. Le feu n'était qu'une habitude qu'Eliane avait prise.

Mais le plus intéressant était de savoir si quelqu'un viendrait pour profiter du feu dans cette grotte qui commençait à devenir plus noire que les ténèbres elles-même. On voyait que cette grotte n'était que très peu profonde. A flanc de montagne elle s'ouvrait sur un vallon vert et quelque peu boisé, mais assez avec une belle vue qui faisait que le fu se voyait de loin.

A l'intérieur, des tapis de mousse couvraient le sol offrant des  couches naturelles pour s'étendre durant la nuit.C'était une grotte qui devait être appréciée par les voyageuyrs, car le sentier passait juste devant et elle avait sans doute beaucoup de visiteurs aux vues des quantités de bois que chacun mettait ici.

En route pour une expéditions aux confins des terres sauvages, toute excitée à l'idée des découvertes qui l'attendent. Lili sortit de son sac la carte de la région pour vérifier encore une fois sa direction pour éviter de se perdre car les environs ne son pas réputé pour être très hospitalier.

Après quelque heures de marche le temps commença à se couvrir puis le tonnerre se faisait entendre au loin, le vent soufflât faisant quelque peu plier les arbres.

Lili se mit alors à changer de directive pour aller chercher un abri pour le temps de l'orage ou pour la nuit. Quelques précieuses minutes à marcher sous le début de pluie s'avéra payante lili trouvât une grotte qui se révéla grâce au feu qui dégagé de la lumière dans la pénombre que causé l'orage arrivant et la nuit qui tombé.

Arrivé devant la grotte pouvant cacher ami comme ennemis lili eu l'heureuse surprise de tomber devant une charmante jeune femme.

-Bonjour puis-je vous demander si je peu me joindre à vous pour la nuit ou juste le temps que l'orage se dissipe?

Bien que perturbés par la chaleur des flammes, la créature avait perçu depuis un certain temps la chaleur d'un corps en mouvement qui se rapprochait. C'était une personne, humaine étant donnée la température. Bon, elle aurait un possible repas sous la main quand la faim se ferait sentir. Quoique ce soit.

Finalement la silhouette se distingua davantage révélant, selon les analyse de l'intelligence artificielle les traits caractéristiques d'un individu se sexe féminin. Sa nourriture préférée car elle semblait plus riche et plus nourrissante. Mais là, elle n'avait pas faim, pas faim du tout. Selon ses hypothèses basées sur l'analyse du comportement humain, elle adopta une posture complètement humaine, rapprochant ses mains du feu et les frottant l'une contre l'autre. Pendant que la jeune femme était trop loin pour la voir, elle mima aussi la tenue dune voyageuse, des tenues légères mais résistantes, un haut sombre et usé, et un pantalon kaki semblable à un treillis. L'apparence aidait, certes, mais cela ne suffisait pas.

Il devait y avoir interaction sociale... ça c'était plus difficile car elle n'était pas faite pour moduler sa voix. Aussi quand elle lui parla, sa voix resta particulièrement monotone quand elle s'adressa à la personne qui venait de la rejoindre.

« Vous pouvez. L'orage durera approximativement trois heures et douze minutes. »

Puis, cherchant à continuer la conversation elle lança, puisant dans sa base de donnée :

« Vous venez d'où ? »

Pas la moindre intonation...

Etant heureuse d'avoir trouvé un endroit où s’abriter  avec de la compagnie, mais tout aussi troublée par la curieuse réponse reçu par cet femme. La grotte gardant un effet aspirant la peur un frisson parcourut lili, juste après elle répondit aimablement avec sourire à cet femme qui lui inspirait moyennement confiance:

-Je vient directement de ma petite ville d'où je suis reparti en expédition, j'ai eu vent d'un tombeau non exploré plus au Nord d'ici.

Lili s'assit près du feu puis se mit à chercher dans son sac à dos magique après une longue recherche dans son sac elle en sortit quelques fruits et biscuits. Les fruits  était fraichement cueillit du matin en prévision d'un repas.C'était un maigre festin, mas bien assez pour manger un peu lili tendit quelques fruits à la jeune femme:

-Vous en voulez quelques uns j'en ai bien assez pour mon voyage, prenez.

Lili gardant un visage souriant malgré le doute que sème la femme et sa façon de parler quelque peu bizarre.

La jeune femme devait être contente d'avoir trouvé un abri chaud. Une chose de notée par auto apprentissage était que les humains appréciaient la chaleur du feu et détestaient être mouillés. Quelle pouvait en être la raison, la question pouvait se poser, mais apparemment les humains n'aimaient l'eau que quand elle leur était utile et l'eau était, semblait-il, une gêne pour eux dans leur quotidien. Elle s'assit et parla, mai Eliane n'écouta pas. Certes, elle capta l'information, mais cela ne permettait pas de continuer une interaction sociale aussi ne prit elle pas la peine de revenir. Dessus, quoique,si, elle venait d'avoir une idée, ou du moins, sa programmation lui avait trouvé une manière de continuer l'interaction. Les humains et le dialogue... les faits montraient qu'ils pouvaient parler des heures sans arriver à s'entendre, au sens propre comme au sens figuré...

Concernant le tombeau... information trouvée. Tombeau présent à trois jours de marche. Contenu :  inconnu. Mise à jour nécessaire indisponible. En attendant, pendant ce temps, elle lui proposa à manger ce que la chose déclina, elle avait beau paraître humaine en ce moment, elle ne l'était pas.

« J'ai déjà mangé. Merci. »

Elle n'arriverait jamais à avoir une intonation.... dommage... à moins détidier l'anatomie humaine en particulier à cet endroit pour avoir le droit à pouvoir faire pareil.

« Vous n'avez pas répondu à ma question. D'où venez vous ? Et pourquoi ce tombeau vous intéresse ? Il est à trois jours de marche vers le nord. »

Augmentant encore le trouble que sème les paroles de la femme, plus elle parlait, plus un sentiment de malaise préoccupé lili malgré cela elle continua à rester souriante:

-Comme vous voudrez. Comme je vous l'ai déjà dit je vient de mon village là où je suis née il se trouve à une demi journée de marche de Nexus.

Prenant une pomme dans sa main et croquant dedans à pleine dents elle continuât à répondre aux questions:

-Pour ce qui est du tombeau c'est très simple c'est mon métier, mais aussi ma plus grande passion. Le fait de découvrir des merveilles construites par des peuples anciens est pour moi la plus belle chose.

Prenant quelques secondes pour savourer sa pomme et fixer la femme d'un air soucieux avant de continuer à parler . Puis elle reprends la parole:

-Mais je ne t'es pas demandé qu'elle est ton nom et comment tu as fait pour te retrouver ici toute seule?

Une question se creusât dans la tête de lili: Comment connait elle là où se trouve le tombeau alors qu'il est censé être encore inexploré? Mais pour l'instant lili continua de manger sa pomme au coin du feu attendant de voir ce qu'aller dire cette femme.

La créature qu'était Zliane ne trouvait ni exaltant ni même intéressant ce que la jeune femme pouvait lui dire, elle était juste une humaine et elle n'avait rien qui puisse en l'état actuel des choses l'intéresser. Aussi, s'il n'y avait rien d'intéressant à dire autrement que de correspondre aux attentes sociales, pourquoi parler ? Parce que les humains ne savaient faire que cela, blablabla...

Elle prit le relai pour relancer la conversation, simplifiaient le travail de la chose. Elle n'avait plus à chercher dans sa base de donnée des questions adéquates à lui poser, et ainsi, elle n'avait pas à user plus vite son énergie. Elle pourrait résister plus longtemps avant d'avoir faim. Espacer ses repas avait devenu de plus en plus nécessaire pour vivre comme il fallait, en sécurité. Elle se mit à répondre à sa question.

« Je voyage. On m'appelle Eliane, je voyage. Et vous ? Quel est votre nom ? »

Puis, toujours sur cette façon de parler de manière  complètement atone, elle rajouta quelques petites choses sur le lieu qu'elle voulait visiter, comme une sorte de cadeau, c'était la meilleure manière de faire selon ce qu'elle avait constaté. Des cadeaux aidaient tours pour ce genre de choses. Les relations sociales passaient par les cadeaux comme par le reste après tout.

« Le tombeau dont vous parlez est, étant donné sa géolocalisation  un temple archaïque dédié à une divinité araignée souterraine. Présence d'un culte de la mort encore actif infirmée. Potentiel de chance de trouver des objets culturels majeurs, 75%. Potentialité de la présence de danger 64%. Estyimation du temps de survie dans ce milieu étant donnée le conformations physiques, 88%.

Elle n'avait pas quitté des yeux les flammes.

Là les doutes de lili était réellement confirmés cet Eliane n'était pas humaine, mais qu'importe elle lui avait offert l'hospitalité d'un bon feu. Après tout si elle voulait faire du mal, elle l'aurais déjà fait. Lili en avait vu des créature durant ces voyages mais là elle avoue n'avoir jamais vu une telle façon de parler et un savoir aussi conséquent qui relève un peu de l'omniscience, pensant que cette capacité doit être vraiment très utile pour effectuer des reconnaissances et surement éviter de faire de mauvaises surprises. Face à Eliane qui depuis le début de la conversation reste toujours comme fasciné par le feu. Lili finit donc sa pomme pour entamer une deuxième:

-Je m’appelle Limina Hockvard mais appelle moi lili. tu as du en voir des beautées en voyageant non?

Lili se réjouit tout de même de pouvoir partager des expériences entre voyageuses de différents types. Tout en savourant sa pomme lili se mit en position pour écouter attentivement ce qu'Eliane aurait à dire?

La jeune femme était en train de manger à ses côtés, et Eliane n'était pas là pour manger, elle était ,juste là par habitude. Il s'agissait donc de ne pas paraître inhospitalière, pour elle, ce serait contre nature. Rlle restait silencieuse, elle n'avait rien à dire. Oui, elle n'était pas bavarde et beaucoup trouvaient cela bien plus intéressant qu'une femme à la langue bien pendue, même si elle n'était pas à proprement parler une femme... ni un homme d'ailleurs.

Finalement, elle reprit la parole pour donner son prénom et aussi demander quelque chose. Au fond, c'était bien arrangeant comme situation. Elle répondait et donnait des questions, Eliane n'avait qu'à répondre, juste répondre, pas de recherche, le tout était évidemment de formuler les réponses correctes. Oui, quoiqu'on dise qu'il n'y avait pas de réponses correctes...

« Très bien, Limina Hokvard. »

La créature regarda la jeune femme qui venait de lui demander quelque chose d'étrange. Si elle avait vu de beautés. Mais c'était quoi la beauté. Et comment pouvait-on être sur que c'était beau ? C'était quelque chose d'abstrait de subjectif, ainsi, il ne lui était pas impossible de concevoir que quelque chose soit beau, juste de trouver quelque chose beau.

« Terme inexact, beauté est un terme subjectif, Limina Hokvard. Qu'entendez vous par beautés ? J'ai vu des choses rares, Limina Hokvard, des êtrees uniques des monuments titanesques. Mais ai-je vu quelque chiose de beau ? Je suis incapable de le dire. J'ai vu des choses. Même si chose est trop vague comme terme. »

Étonnée par cette question plutôt difficile à répondre lili hésitât quelques instant avant de trouver les mots pouvant afin de proposer une réponse correct:

-Pour être franche avec toi Eliane, ce qui est beau est quelque chose comme la foudre qui tombe sur terre, découvrir un temple ancien encore tout orné d'or et de pierres précieuses ou encore un couché de soleil.

Consciente que sa réponse ne pourrais suffire pour un être n'ayant de sentiment humains. Un vent froid s'était emparé de la grotte et la pluie contiuna de tomber de plus belle son conter la foudre qui tombé sans arrêt. Elle continua donc à manger sa pomme.

-Je vais arrêter de t'embêter avec les differents sentiments humains, parle moi de tout tes voyages.

Elle essayait de lui faire comprendre quelque chose et si Eliane avait compris ce qu'était la frustration, alors sans doute aurait-elle était frustrée de ne pas arriver à assimiler ce qu'elle essayait de lui faire comprendre... bon, d'un autre côté,si elle l'avait connue, alors elle ne le serait pas. Mais voilà, c'était comme tenter d'expliquer à un aveugle les couleurs.

Et si la créature écouta patiemment l'humaine, plus patiemment qu'elle ne l'aurait fait en cas de de faim, mais pas de faim à l'horizon. Et voilà, voilà qu'elle voulait l'entendre raconter ses aventures. Laquelle d'aventure, elle n'en avait pas vécu réellement, elle fuyait les centres de recherche et autres ennuis du même genre, elle avait à peine quelques années de vie, pas de quoi se forger une grosse expérience, et puis, pour raconter... disons pour que ce que l'on raconte soit réellement intéressant il fallait des sentiments.

Et là, niveau équipement... elle n'était pas outillée pour cela.... ce qui n'était pas sans poser certains problèmes d'ailleurs en y réfléchissant bien, eliane en arrivait à se demander en quoi sa compagnie pouvait permettre de laisser place à un repas. Il lui fallait trouver une bonne méthode pour arriver à cela, observer et étudier.... finalement, elle reprit la parole.

« Mes histoires ne sont pas intéressantes pas quand je les raconte. Sans sentiments difficile de raconter quelque chose ne fasse pas s'endormir. Mais d'un autre côté, si vous voulez je vous raconterai toutes mes histoires tout de même... »

Un sourire apparu sur le visage impassible d'Eliane alors qu'elle se lmevait pour aller chercher une buche pour alimenter le feu. Une idée avait germée.

« Je vais au nord moi, aussi, si vous voulez, nous pouvons faire chemain ensemble. Vous avez, j'en suis sur, de nombreuses aventures à me raconter !

Elle savait qu'Eliane avait raison le fait qu'elle n'est aucune intonation dans ses paroles risquerait de l’ennuyer, mais lili voulait quand même enrichir son savoir grâce aux grands voyages qu'Eliane à dut entreprendre c'était une occasion unique de pouvoir apprendre de nouvelles choses.
La proposition d'Eliane ne pouvez se refuser sachant tout le savoir qu'elle doit renfermer que pour elle, faute à son manque d'émotion qui la rendait sûrement quelque peu insociable face aux être doter d'émotions.
Mais ce manque d'émotion  n'est pas vraiment un grand problème pour lili tant qu'elles se comprennent. Lili est tellement avide de tout découvrir que le manque d'intonation dans les paroles d'Eliane paraissait peu à coter du savoir qui regorger sûrement son esprit.
Après avoir finit de remballer son maigre dîner, lili reprit la parole:

-Avec plaisir! Pour une fois que j'aurais de la compagnie avec moi, mais attention on se raconteras chacune notre tours un de nos voyages jusqu’à ce que j'arrive à ma destination.

La jeune femme termina son repas et rangea les reliefs de celui-ci. C’tait contraire aux pratiques d’Eliane. Elle, elle laissait le relief de sn repas à même le sol en partant, tout simplement parce qu’elle n’avait pas ce besoin de préserver les restes pour plus tard. Elle se servait sur une proie et l’abandonnait aussi sec. Elle n’avait pas encore croisé de nourriture qui puisse la rassasier plusieurs fois.

Beaucoup de gens montraient des signes de choc en entendant la voix de la personne qu’ils croyaient être humaine ou proche d’être une humaine, complètement monocorde. Cela en faisait fuir certains, cela en intéressait d’autres, et une troisième catégorie ne cherchait pas une jolie voix chez une femme…

Eliane réservait une surprise en fait à la jeune femme, une surprise qui sans être mauvaise ne serait pas forcément bonne pour autant, car elle prendrait peut être cela comme une moquerie.    Elle serait très, très, très étonnée sans doute, comme tout le monde. Car si elle ne savait s’exprimer comme n’importe quel humain, elle savait chanter, un chant qui était selon bon nombres à couper le souffle.

« Je suis d’accord, tant que je peux me nourrir. Et si vous voulez, je sais très bien chanter, alors je chanterai comme un récit de voyage ce soir si cela vous convient. »

Prête à partir de la grotte qui était de plus en plus sombre à son goût lili se mit debout et s’étirât heureuse qu'Eliane soit pour quelque temps un compagnon de route.
Étonnée par le fait qu'elle puisse chanter alors qu'elle n'a aucune émotions, lui donna énormément envie d’entendre Eliane chanter.

-Avec plaisir Eliane si votre voix est au même niveau que vos voyages alors je serais servit je pense.

Lili mit son sac sur le dos puis pointant son nez dehors, elle vit que la pluie demeuré toujours mais que le tonnerre et le vent c'était estompés.

-On vas continuer de marcher, il ne pleut plus beaucoup l'orage est passer.

Elle se mit à ouvrir la marche assez contente du reste de chemin qu'il reste à faire en compagnie d'Eliane, jusqu'au temple où elle devait se rendre.

Bon, compromis fait, maintenant, plus besoin de parler sans doute et attendre que l’orage se calme. Eliane n’aimait pas beaucoup l’eau, voir même pas du tout. Aussi, attendre à l’abri que l’orage passe lui convenait parfaitement. Ce n’était pas qu’elle n’aimait pas la pluie, juste l’eau en général… elle s’infiltrait partout et était désagréable à porter quand elle s’infiltrait  entre les fins tressages tentaculaires….

Elle voulut repartir et Eliane pensa que c’était une mauvaise idée, il ne s’était pas passé assez de temps pour que rtout soit mieux à ce niveau là, il devait y avoir un problème, ses calculs étaient trop précis pour se tromper de manière si outrageuse, et il pleuvait quand même… mais elle commença à avancer sous la pluie à sa suite, non sans lui lancer un avertissement des plus clairs pour la suite.

« Taux de risque de maladie suite à une exposition trop longue sous la pluie, 58%, rester à l’abri jusqu’àç cessation de la pluie ou amenuisement aurait été partticulièrement avisé. Orage non terminé, risque de le voir revenir d’un instant à l’autre. Temps avant que la nuit ne tombe :  huit heures, quarante sept minutes vingt huit secondes. »

Mais sans doute que cela ne suffisait pas, tant pis, elle avait au moins doné ses constatations, elle, elle ne risquait rien, c’était l’humaine qui risquait tout. Eliane ne pouvait pas tomber malade, ni prendre froid.

« Vous racontez un voyage ? »