Il en fallait plus pour la rendre malade, voilà quelque chose qui était bien dans les caractéristiques de l’humanité cette arrogance propre )à ceux qui estiment dompter l’espace et la nature. Il ne faut jamais sous-estimer les statistiques, basés sur de longues études de viusu et une base de donnée colossale, elle savait ce qu’elle disait. Il y avait un pourcentage, et le respecter était de l’ordre de la raison. Mais au travers du développement des émotions, l’humain perdait la raison, en partie, suffisamment pour appliquer ce que l’on appelle la témérité. Enfin, il fallait bien que l’humain se distingue, faute d’atouts physiques pour s’en sortir, pour survivre.
Puis, concernant les récits elle lui demanda lequel elle voulait entendre, enfin, vouloir entendre, non, elle voulait connaitre un peu mieux les endroits qu’elle avait visité et peut être ajouter des données à sa mémoire interne. Qui sait, elle saurait peut être quelque chose d’ignoré des autres. Eliane haussa les épaules dans une mimique humaine et dit, sur sa voix toujours aussi p^leine de passion inexistante :
« Le premier voyage pour commencer, autant commencer par le commencement. Cependant, aux vues des indications miorphologiques il est évident et loqggique qu’il n’y en ait pas eu tant que cela… »