Nom et prénom Kiyuri Nobukuni
Surnom La légendaire, l'Ombre du Papillon, Kiyu aux mains pourpres.
Date de naissanceNée entre 1370 et 1380
RaceVampire ancienne
FamilleA l'origine, la famille de Kiyuri était fondatrice d'une célèbre école de forge traditionnelle japonaise, l'école Nobukuni.
Position sociale Vice-présidente de l'entreprise Papillon, femme d'affaires, second de Kichô "Nô" Hime et garde du corps.
Situation et expérience sexuelle Vierge, nombreuses expériences avec les femmes, quelques expériences particulières avec les hommes.
Description physiqueKiyuri est une femme tout ce qu'il y a de plus japonaise, pure souche, sans défaut et sans métissage. Son visage en losange arrondi, aux traits fins et gracieux, est entouré de longs cheveux noirs interminables lui tombant jusqu'au plus bas des fesses lorsqu'ils sont lâchés. Ses lèvres sont toujours maquillées sobrement, car celles-ci ressortent particulièrement, semblant demander un baiser à tout instant. Sa peau pâle trahie sa nature vampirique, mais lorsque l'on plonge dans ses deux magnifiques yeux bruns en amandes, soutenu par des sourcils élégamment épilés pour être le plus fin possible, on se laisse charmer au point d'en oublier cette étrangeté. A savoir que sa chevelure est parfaitement entretenue : peu importe le style de coiffure, elle prend grand soin de ses cheveux, ne permettant à personne de le faire à sa place, sauf dans certains cas. Elle prend même plaisir à choisir comment les coiffer : en chignon, lâchés, tressés, ... c'est tout un art pour elle.
Son corps n'a rien à envier à son visage : bien qu'elle n'ait pas une poitrine éloquente, ni des fesses bien rondes, son corps est parfaitement harmonieux. Son ventre glisse parfaitement sur le reste de son corps, sans amas de graisse disgracieux, et ses hanches fines, mal-vues à son époque, est aujourd'hui l'un des standards du corps d'une mannequin. Sa façon de se tenir est aussi pour beaucoup dans son allure, car elle se tient droite, les fesses légèrement courbés vers l'arrière. Son corps d'albâtre attire aussi bien les regards que les caresses, malgré sa fraîcheur cadavérique. Beaucoup d'homme se tourne généralement lorsqu'elle passe dans la rue, mais peu ont l'occasion de pouvoir profiter de ce qui se trouve en dessous de ses vêtements. Il se dégage d'elle une certaine sensualité, un charme naturel d'exotisme, même pour les japonais en général, car elle est une des rares japonaises "pures" foulant encore la terre. L'absence de brassage ethnique avant sa naissance préserva les gènes qui faisaient les japonais de l'époque.
Pour ce qui est de sa tenue, la demoiselle n'a qu'un choix à faire : du noir, du noir et encore du noir. Elle porte rarement des vêtements colorés, ou même clairs. Le sombre est son plaisir. Pour le reste, son style vestimentaire s'est adapté au temps : robes, pantalon de tissu et chemises, elle n'est pas difficile. Cependant, elle préfère des vêtements amples, ouverts, et surtout permettant de montrer ses tatouages. Elle en a une dizaine sur tout son corps. Ses bras, son dos et ses chevilles sont les plus ornés de couleurs rouges et brunes, sous des formes différentes. Le tatouage est toujours le même : des fleurs et des feuilles sur ces deux couleurs. Son dos est sa fierté : une longue plante grimpante parcourant tout son dos et ornée de nombreuses fleurs écarlates et des feuilles brunes soufflées par le vent. Elle aime aussi les accessoires comme les bracelets en cuirs, les chevillières, les colliers et les boucles d'oreilles en argent.
Description morale La demoiselle qui naquit dans une famille respectée a gardé de sa fierté et de son orgueil. C'est une jeune fille assez discrète, généralement silencieuse, observant les gens droit dans les yeux sans sourire ni montrer une seul once d'émotion. Fier de son sang et de son rang, elle ne se dévoile qu'à des personnes de confiance. Lorsqu'elle ne connait pas la personne, elle peut paraître froide et distante. Et cela ne serait pas seulement qu'une impression. Elle ne s'agace pas facilement, loin de la, sa tolérance à la bêtise et aux paroles désagréables étant très élevée. Cependant, son mécontentent est visible, aussi bref que violent : sa voix ne prends pas en ampleur, bien au contraire, elle prend d'avantage en froideur et le reproche est clair dans son ton de voix. On peut comparaître sa voix à un grognement de chat, résonnant et très creux. Elle se doit de rester courtoise malgré son énervement, mais son désir de trancher la raison de cet agacement est palpable, surtout lorsqu'elle tient en main un objet tranchant, même un simple couteau pour le repas.
Lorsqu'elle connait et apprécie la personne, le changement est radical : un grand sourire apparaît sur son visage, ses pommettes remontent, dissimulant un peu plus ses yeux, et son visage semble rayonner. L'aura meurtrier en permanence autour de son corps semble disparaître, laissant place à l'aura d'une jeune demoiselle en fleur. Elle garde son calme et sa retenue, mais on sent son plaisir et sa sérénité en présence de personnes qu'elle considère comme proches, qui se compte sur les doigts de la main, malgré toutes ces années. Devenant plus loquace, elle n'hésite pas à partager alors ses émotions personnels, par la parole mais aussi par les actes. Elle ira sans aucune honte toucher, caresser et enlacer la personne concernée. Pour autant, elle se limitera à des caresses chastes, et tous ceux pour qui elle adopte cette attitude savent qu'il ne s'agit JAMAIS de proposition. Sauf dans le cas où elle a bu.
En effet, une autre personnalité ressort de la demoiselle lorsqu'elle a bu. Malgré son corps vampirique, elle est capable d'assimiler l'alcool et d'en subir ses effets, si elle le désire. Lorsqu'elle est en état d'ébriété, elle se fait coquine, aguicheuse et provocatrice. Cependant les hommes qui espéreront coucher avec la demoiselle devront se priver du plaisir de la pénétration ou de la fellation, et même de la caresse intime. Elle prendra plaisir à voir l'homme se masturber devant elle, se faisant plaisir aussi sans aucune retenu, mais refusera le contact physique avec son intimité ou le membre de l'homme. Seule une femme pourra espérer une caresse de la demoiselle, de même qu'elle se laissera également toucher seulement par une femme.
En parlant de femmes, il en est une qu'elle respecte plus que toutes : Kichô "Nô" Hime, la chef de l'entreprise Papillon et la reine du clan Oda. En effet, elle entretient avec sa supérieure une relation étrange, entre l'amitié et l'élévation au rang d'impératrice, voir de divinité. Complètement à son service, elle use et abuse de ses avantages pour faciliter la vie de sa reine, parfois dans l'ignorance totale de cette dernière. Elle n'hésite pas à préparer des "surprises", à tuer d'éventuels gêneurs ou à prendre sur elle certaines charges de travail lié à l'entreprise, comme les comptes ou les réunions. Son but est de permettre à la femme de se détendre, d'améliorer son confort, même sans son consentement. Elle use parfois de stratagème tordu pour arriver à ses fins, utilisant certains des subalternes de la reine pour la "guider" vers la destination prévue par Kiyuri.
Peu importe la personne et l'état dans lequel la jeune femme se trouvera, elle ne tolère aucunement qu'on touche ses cheveux. Le contact d'une main sur sa toison l'agace et la rend violente, sans prévenir ou donner une chance à son "agresseur". Sacré, ses cheveux sont à la fois sa plus grande fierté et ce qui fait d'elle une femme, selon elle. Ceux qui osent toucher à sa chevelure doivent alors craindre de perdre au minimum la vie, parfois leur honneur. Pour les plus brutaux, qui lui arrachent une mèche ou deux, elle prévoit une longue et douloureuse mort dans les sous-sols du siège de l'entreprise. L’autre chose à laquelle elle tient énormément est le sabre qu'elle possède, héritage de son père et de son style, dernière arme encore trouvable. Malgré sa valeur immense, elle continue à l'utiliser, prenant grand soin de la lame qui représente la seule trace de son passé. Elle la voit comme une amie, voir comme un substitue d'amour.
Histoire et évènements importants Kiyuri naquit durant l'ère de Muromachi, plus précisément durant la période de Nanboku-cho (1336 - 1392 du calendrier grégorien), période trouble de l'histoire du japon. En effet, à cette époque, le pays est brisé en deux par une guerre civile, opposant les empereurs de la cour Sud et de la cour Nord. Une période de 60 années où les morts se multipliaient, alors que les naissances se faisaient rares. A cette époque, les femmes étaient souvent destinées à la vente aux maisons de thé, où elle devenait courtisanes. Certaines, plus chanceuses, avaient l'occasion de devenir des geishas. Normalement, c'était le destin prévu pour la demoiselle, mais fort heureusement, elle n'était pas une simple fille de paysan, d'une part, et d'autre part son père lui réservait un avenir plus prometteur : le succéder. En effet, son père n'était autre que le fondateur de l'école Nobukuni, célèbre école de forgeron, dont le maître, Minamoto Nobukuni, était l'élève de Soshu Sadamune. Minamoto n'ayant pas eu de fils, il décida que sa fille sera son successeur pour son école de forge. La demoiselle, fascinée par les lames, l'était moins par l'art de la forge, mais le désir de pouvoir contempler les armes de son père la tenait à ce destin pendant toute sa jeunesse.
Cependant, Minamoto comprit que ce choix n'avait pas été des plus sages. Aussi, il décida qu'il valait mieux trouver un homme pour prendre le flambeau de l'école Nobukini. Il trouva un forgeron de qualité et lui promis l'un de ses plus belles lames en dot s'il épousait sa fille. Insultée, Kiyuri décida qu'elle partirait, mais pas avant d'avoir retiré l'arme des mains de l'homme qui l'avait reçu. Ainsi, pendant la visite à la dérobée de celui qui lui était choisis, elle lui demanda d'apporter sa dote, pour prouver qu'il s’agissait bien de lui. Et profitant de la pénombre, elle prit l'arme et tenta de s’enfuir. Ayant drogué la maison entière, elle aurait dû pouvoir partir sans trop d'encombre, mais son mari tenta de l'arrêter. Défendant sa vie, la demoiselle sortie sa lame et trancha la tête de son époux, conservant ainsi la lame, sa liberté et sa virginité. Elle quitta la maison et commença une vie de voyageuse, pendant des années, avec pour seul trésor l'arme de son père. Sans savoir ce qu'était devenue sa famille, elle échappa à la guerre civile en se battant, jusqu'à ce que celle-ci passe avec la victoire de la cour du Nord. Mais la demoiselle était atteinte d'une maladie qui la frappa très tôt, quelques années après que la guerre civile prenne fin. Elle aurait dû mourir, ignorée du monde. Mais elle reçu le baiser d'une créature de sang, obtenant une non-vie, devenant une créature de folklore, se nourrissant de sang et n'apparaissant qu'à la nuit venue.
Les siècles passèrent. La demoiselle, devenue vampire, décida de profiter de sa longévité pour se forger une légende : on parla durant les époques qui suivirent de la femme en noir et à la peau blanche, tranchant la tête des amants et des amantes. C'était elle. Elle ne tuait pas seulement les amants, mais elle fut connu pour avoir tué un couple de noble de l'époque de d'Edo. Dans son palmarès, on aurait pus ajouter nombre de samouraï, d'assassins, mais également d'autres vampires qui se mettaient sur son chemin. Elle passa les siècles ainsi, en compagnie de la lame de son père, dernier vestige de sa vie, souvenir ancestral d'une existence qu'elle oublia rapidement, à mesure que les siècles passèrent. Ces souvenirs restèrent dans l'oubli, jusqu'au jour où elle retrouva un autre des sabres de son père. Alors, la puissance du souvenir troubla la jeune femme qui se fit un point d'honneur à retrouver l'ensemble des armes de son père. Cette quête commença réellement durant le vingtième siècle.
Durant cette période, elle tenta de trouver le moyen d'atteindre les katanas, détenus par des yakuza, des collectionneurs capables de les défendre ou disparus dans l'ombre. Pour cela, elle s'en alla trouver l'une des maisons de Yakuza les plus puissantes, composé essentiellement de vampire, et dont la couverture n'était autre que l'entreprise de cosmétiques Papillon. Elle demanda à rencontrer la chef de l'entreprise, qu'elle reconnu avec les portraits de l'époque Sengoku : il s'agissait de l'ancienne femme de Oda Nobunaga. Elle rapprocha cette vision au nom du clan de vampire Oda. Aussitôt, la demoiselle normalement froide et distante, voir menaçante, montra un profond respect pour la femme. Bien entendu, cette marque de respect permis aux deux femmes de discuter. En partageant son désir de retrouver les lames de son défunt père, Kiyuri intrigua l'esprit de la femme vampire qui décida de la prendre sous son aile. Kiyuri promis servitude en échange d'informations sur l'emplacement des lames de l'école Nobukini.
Mais le temps passa, et les deux femmes, avec d'abord une relation hiérarchique stricte, devinrent amie et confidente. Face aux autres vampires, Kiyuri est la seconde de la reine du clan Oda. Mais lorsqu'elles se retrouvent seules, elles partagent tout, leurs secrets, leurs joies, leurs inquiétudes. Et plus elle en apprenait sur la reine, plus une admiration réelle marquait le cœur de la jeune vampire d'une vingtaine d'années en apparence. Rapidement, l'admiration se transforma en fascination, et la fascination devint une adulation. La demoiselle voit aujourd'hui sa reine comme une femme hors pair, une femme de haut rang, la digne femme de l'empereur. Jurant plus que sa vie pour elle, jusqu'à son honneur même, elle ne sert plus pour obtenir les armes de son père, mais pour rester auprès de la femme qui devint son idole. Elle continue sa quête, désireuse d'obtenir toutes les armes de son père, mais pour autant, elle souhaite aujourd'hui être utile pour Kichô "Nô" Hime, le Papillon pourpre. Kiyuri est connue dans le milieu pour être la garde du corps de la reine, sa vice-présidente et sa femme de main la plus loyale, à tel point qu'on la nomma "l'Ombre du Papillon".
Aptitudes et pouvoirs - Maniement du katana : Kiyuri, pour avoir pratiquer pendant tout sa vie d'errance l’art du katana, manie son arme de prédilection avec une grande dextérité. Elle utilise plusieurs katanas différent, mais préfère "ShinJin'Sei", l'arme qu'elle déroba durant sa première nuit de noce.
- Force surhumaine : Kiyuri dispose, comme tout vampire de son ancienneté, d'une grande force, bien supérieure à celle d'un homme ordinaire. Elle peut aisément terrasser un lutteur humain moderne à main nue sans difficulté.
- Vue perçante : Kiyuri a une vue exceptionnelle, même au sein de la société vampirique. En effet, outre sa capacité à voir dans les ombres comme en plein jour, elle peut voir avec précision à plusieurs kilomètres, tant qu'elle a une vue dégagée là où elle regarde. Elle passe d'ailleurs énormément de temps dans la tour de verre à regarder les humains vivre, au travers de vitre stoppant les rayons mortels du Soleil. C'est l'un de ses plaisirs.
- Régénération dans l'ombre : Kiyuri peut guérir complètement ses blessures, à condition d'être plongée dans l'ombre. Aucune lumière, même lunaire ou artificielle, ne doit toucher son corps. Pour cela, elle doit se cloitrer dans son coffre, seul endroit, à sa connaissance, où elle peut être dans les ténèbres sans passer ce temps dans un cerceuil.
- Marche de l'ombre : Kiyuri peut marcher en silence, avec fluidité, et laisser dans son sillage des images rémanente, troublant l'adversaire qui tente d'observer ses pas. Lorsqu'elle avance de cette manière, seul le son du vent qu'elle pousse délicatement avec son corps et ses vêtements peut être perçu.
- Cri de mort : Kiyuri a rencontré plus de morts qu'aucun autre vampire qu'elle a put rencontrer. Elle eut plusieurs fois l'occasion d'entendre le cri de la mort lors de ses meurtres, et en connait les secrets. Le cri de mort est un cri de frayeur, repoussant toute créature vivante qui se sent menacé par la mort. Ce cri est inaudible, techniquement, mais il est perçu par l'inconscient de la cible de la demoiselle.
- La pointe écarlate : Kiyuri n'aime pas enfoncer sa lame entière dans un corps. Au lieu de cela, elle n'a qu'à presser à peine la pointe de son arme sur un des neuf points de vie d'une créature pour la tuer lorsque la première goutte de sang coule de la plaie. Cette méthode semble provoquer un arrêt cardiaque et cérébrale immédiat de sa cible, ressemblant alors à une mort naturelle.
L'épée "ShinJin'Sei" Il s'agit d'une lame de type nodashi, avec une garde et un fourreau noir. La lame en elle-même mesure 120cm, pour une longueur totale de 150cm et une épaisseur de 1,2cm. Malgré les années, elle n'a pas perdu de son tranchant, grâce à la qualité de la forge et à les soins que lui porte la demoiselle. La seule imperfection visible, avec une grande attention cependant, est le reste de sang sur le tissu entourant la garde. Il lui arrive parfois d'utiliser d'autres armes, mais elle refuse d'utilise une arme n'appartenant pas à l'école Nobukini.
A savoir Kuyuri n'aura jamais de sexe avec un homme, mais peu partager une soirée intime où chacun se fera plaisir sans toucher l'autre.
Lorsqu'il fait jour, Kuyuri ne se repose pas, comme les autres vampires : elle se terre dans sa chambre, avec des vitres teint pour bloquer les rayons du Soleil mortels pour un vampire. Elle aime particulièrement inviter des femmes à partager sa couche pour occuper ses journées ou à s'entraîner au sabre.
Elle recherche 247 armes créées par son père et ses disciples. Pour le moment, elle en a 62, qu'elle garde dans une pièce secret dans sa chambre. Elle a mis tout en place pour qu'elle seule puisse ouvrir la pièce isolée contenant les sabre.
Kuyuri ne refuse jamais un verre, à condition qu'il s'agisse d'un alcool fort. Elle a l'habitude de contrôler les effets de l'alcool dans son sang, donc elle ne sera pas forcement saoûl, même après avoir bu plus que de raison.
Comment avez-vous connu le forum le forum Doublette de Jad
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels Ca vient, ça vient, j'ouvre bientôt mon forum.