Anomaly | Poupée Passagère de Folie Douce...

Surnom :


Elle se fait appeler Anomaly. C’est ainsi que l’on la nomme et que l’on la nommera toujours.

Age :

14 ans. Environ 6 ans d’âge mental.

Sexe :

Femelle.

Race :

Humaine.
 
Orientation sexuelle :

N’est pas encore décidé : n’est-ce pas l’âge ou l’on se cherche ? 

Description physique :

Anomaly est jolie. Enfin, ce n’est pas une de ces beautés sulfureuses se baladant partout, mais elle n’en reste pas moins très raffinée et assez attirante malgré son âge. Ses cheveux d’un blond presque blanc, qu’elle aime tripoter, sont souvent liés en des coiffures compliqués dont seule leur propriétaire a le secret. Sa peau très pâle, le grain de beauté noir sous son œil droit, autrefois symbole de beauté, et sa robe blanche qu’elle porte en permanence, fendue au millieu de sa poitrine encore en formation, lui donne une image de demoiselle noble.

Il y a pourtant un détail qui ne cadre pas avec le reste : ce sont ses yeux, véritable écran de folie pourpre, regardant n’importe qui d’un air vicieux, sadique, ou les deux à la fois. Ses pupilles généralement contractés renforcent cette impression : Anomaly fait réellement peur. Ecoutez-la se déplacer, et vous ne serez pas rassuré : les clinquement sous sa robe laisse suggérer des armes tranchantes cachés dans ses portes-jarretelles blancs…

Vous pouvez toujours la lui retirer. Apparaitra alors un corps blanc de petite taille, une petite poitrine ferme et bien ronde, de petites fesses rebondies et un autre grain de beauté sur sa fesse gauche. A réserver pour les amateurs de beauté en fleur. 

Caractère :

Anomaly est une enfant. Oui, mais une enfant atteint de folie douce, et à tendance sadomasochiste, qui plus est. Son caractère est propice à celui d’une psychopathe d’intelligence vive : calculatrice, dominatrice, manipulatrice, elle est poussée par un besoin exagéré d’émotions fortes, à faire du mal aux gens qui lui plaisent physiquement ou mentalement. Elle affirme son amour en plantant des aiguilles dans le cœur. D’ailleurs, petite, elle voulait faire infirmière, pour planter des aiguilles dans les gens…

Mais Anomaly a, malgré tout ses défauts, malgré toutes ses pulsions, un esprit resté au stade de l’évolution enfantine. C’est pourquoi elle s’est construit un petit monde bien à elle, un monde rempli de poupée, de coton et de douceur. Il y a des traces de sang dans les tasses d'or pour prendre le thé, car Anomaly est également très raffinée et encleinte à de bonnes manières qu'elle ne fait que recopier, puisque personne ne les lui a jamais appris. Les violeurs n’existent pas dans son monde, mais les cadavres y pullulent : la demoiselle a un esprit malsain, et elle l’avoue sans sourciller, ses couteaux à la main…

Histoire :

L’histoire de ce petit bout qu’est Anomaly commence par une douce nuit. Les étoiles brillent. Les cigales crissent joyeusement.

Une femme se fait violer.

Cela est tellement banal de nos jours… ce qui est moins banal, cependant, c’est de violer une jeune femme sous un état végétatif. Elle n’a rien ressenti, contrairement à son agresseur. Mais ça n’en reste pas moins douloureux, et lourd de conséquences… puisque cette même jeune femme, six mois plus tard, accouche.

Oui six mois. La naissance est vraiment prématurée, c’est le moins qu’on puisse dire. Personne n’a d’espoir pour ce bébé blanc et faible qui sort de ce ventre par césarienne, puisque bien sûr, la mère est incapable de pousser. On n’a pas beaucoup d’espoir pour cette minuscule chose… qui pourtant, survit.

Le bracelet de maternité rose est sur le point d’être attaché à son poignet. Mais il faut savoir le nom qu’il convient de lui donner… Il n’y a pas de père, bien sûr, et la mère est bien incapable de donner un nom. D’ailleurs, elle semble incapable de donner quoique ce soit.

Finalement, l’enfant sera nommée au bon désir d’une infirmière cruelle qui inscrira sur son bracelet « Anomaly ». Un nom sadique, mais qui convient à merveille à cette enfant faite dans un envol, blanche et sans repaires pour la suite de sa vie.

On ne s’occupe pas de cette enfant à la suite de sa naissance. Elle est confiée à sa grand-mère, puisque par miracle, il en existe une. Mais celle-ci, déjà faible, ne peut pas prendre la charge d’un bébé, en plus de sa fille bien-aimée au visage stoïque. Mais dans un monde comme celui de Tekkhos, les orphelinats ne pullulent pas, et lorsqu’ils existent, les enfants en sortent peu souvent dans leurs innocences complètes…

Alors, la grand-mère décide de garder l’enfant. Mais celle-ci n’est pas aimée, n’a aucun soutien maternel, l’état de sa propre génitrice ne s’améliorant pas, et sa grand-mère, la sachant produit de sa fille et d’un violeur, ne lui accorde pas plus d’un regard par jour.

Anomaly grandit. Elle devient une enfant sans histoire, au regard curieux, mais assez faible physiquement et mentalement. Avec aucun amour, aucun soutien, personne pour lui apprendre ce qu’est, en gros, la vie. Une petite fille à la constitution faible de corps et d’esprit comme Anomaly ne pouvait que grandir dans la haine et le silence. Le bouton de rose est étouffé sous les épines. Anomaly commence à s’inventer son petit monde, et manifeste une haine non refoulée pour sa mère : personne ne lui a appris que ce genre de haine doit être refoulée, gardé pour soi. L’enfant ne se gêne pas pour faire du mal à sa mère, et à sa grand-mère occasionnellement, développant, mais sans que personne ne s’en rende compte, les étranges pulsions dont elle sera emprise quelques années plus tard.

Et finalement, l’emprise fait sauter la rose. Une nuit, Anomaly s’introduit dans la chambre familiale, un couteau à la main.

« Tu es une incapable. Tu m’a faite faible, tu ne sais pas qui est mon père. Tu n’as même pas été capable de me donner un nom. »

De longues tâches rouges se répandent sur le mur, le drap, la peau de la mère brisée. La grand-mère a également sa part. Ni l’une ni l’autre ont eu le temps de crier. Et même après leur mort, Anomaly prend soin de leur ouvrir le ventre, comme pour leur faire encore mal dans l’au-delà. Elle insiste sur sa mère, surtout, sachant très bien que son état végétatif l’a empêché de ressentir la douleur.

« Salope… »

Ce jour-là, Anomaly atteint ses quatorze ans. Elle souffle la bougie avec un rire sadique. Le bouton est définitivement tombé, et l’expression de folie qu’elle a sur le visage se scellera à jamais sur ses traits fins et délicat. La folie douce a emménagé un nid pour la folie dure : Anomaly n’est plus. Elle est enfouie sous un monstre à visage d’ange, qui tient le cœur de sa mère dans ses mains.

Un sourire fou se scelle sur ses lèvres, et ses yeux rouges s’écarquillent et reflètent la marée pourpre sous ses pieds.

« J’ai envie de retrouver un Papa… »

Elle sort de la maison, après avoir mis la belle robe de sa maman, destiné à un futur mariage qui n’arrivera jamais.

 « N’importe quel monsieur fera l’affaire… »

Situation de départ : Elle est vierge, bien sûr. Après, j’ai cité ses pulsions plus haut, mais je les répète : sadomasochiste pure et dure, et elle prendra le premier mâle venu comme son papa. Le complexe d’Œdipe fera alors tout. ^^

Autres :

Rien, en fin de compte ^^'

Comment avez vous connu le forum :
 
Doubeuletteuh !

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?Si oui lesquels :

Ma foi, comme tout le monde, en parler aux gros pervers 

Esper=Un seul pouvoir :p, que ta bio doit justifier

Mhhh...

Erf, on va en faire une humaine alors =,D Modifiée. ^^

Validé sinon bienvenue!Mais c'était pas la peine de changer pour si peux XD tu aurais pu garder la superforce et juste pas prendre le pouvoir des vetements XD

Bah, je savais pas comment justifier, alors ma foi XD

Mais si c'est pas la peine de justifier, je veux bien revenir sur ma décision et prendre la super-force. 

Vas y :p

bienvenue et amuses toi bien parmis nous ^^
Si tu veux rp avec moi, dis le moi ^^

Bienvenue
*hésite à la serrer dans ces bras, par peur de la réactions des autres*

Mademoiselle, bienvenue.

Bienvenue.

# baille #

Bon pour la peine, une petite blague de geek..

Dieu créa l’homme.
Puis, Dieu créa la femme.
Ensuite, l’Homme créa Photoshop.
pour finir l'homme retoucha les femmes sous Photoshop

Bienvenue à toi, jeune fille purement innocente