J’étais là, nu avec juste ma chemise sur les épaules et debout les mains sur les hanches, je faisais face à ma belle Hitomi qui, agenouiller devant moi, faisait glisser ma verge toute dure entre ces délicieuses lèvres à un rythme endiablé. Cette fellation avait un gout de paradis et, tandis qu’elle engloutissait mon membre jusqu’au plus profond de sa gorge en remuant la langue comme une pro, la belle irlandaise malaxait toujours aussi passionnément mes testicules. J’avais rejeté la tête en arrière sous le plaisir intense qui m’envahissait à mesure que je sentais la bouche chaude et humide de la jeune femme aller et venir, à ce rythme-là, je ne tarderais pas à jouir. Ce fut lorsque qu’Hitomi passa une énième fois sa langue sur mon sexe que je sentis avec bonheur l’orgasme arriver et, alors que ma vue se voilait tant c’était intense, je lâchais un râle de plaisir qui accompagna l’éjaculation. La belle accueillit mon sperme avec des soupire de plaisir étouffer et je pus voir avec un plaisir pervers son œsophage se gonfler pour qu’elle avale mon foutre, mais ce n’était pas tout et elle fit tout pour que mon orgasme dure.
Elle semblait comme folle de sexe tellement suçait comme une bête en chaleur, c’était comme si elle en avait besoin, pourtant une femme comme elle ne devait pas être en manque d’aventure pas très catholique. Quand elle eut avalé tout ce qu’elle pouvait avaler, la belle se mit à rougir devant mon membre encore dur et leva ses beaux yeux bleu vers moi en un regard gêné auquel je répondis avec un petit sourire encore émerveiller. Elle avait eu beau me tailler la pipe comme une salope en bavant comme une chienne en chaleur, j’avais pris mon pied avec la superbe Yamagashi Sense, c’était tout ce qui comptait pour moi et mon côté humain se délectait de la perversité de la belle rousse.
- Désolée... Je suis un peu... bizarre... en ce moment.
- Ne sois pas désolée Hitomi, tu sais, je n’aime pas voir une jolie fille désolée, ça me fend le cœur.
Dis-je calmement avant qu’elle ne se relève d’un bond, sans lâcher mon membre qui reprenait déjà de la vigueur, pour venir frotter son magnifique corps en sueur au mien qui ne l’était pas moins dans le but de nous exciter mutuellement. Alors qu’elle était collée à moi avec sa lourde poitrine s’écrasant délicieuse contre les muscles finement dessiné de mon torse glabre, j’enlaçais la belle irlandaise et déposai mes lèvres sur les siennes pour un énième baiser passionné.
- Encore…
Souffla-t-elle sensuellement à mon oreille, mon envie refaisait surface encore plus vigoureuse que les fois précédentes et comme ma belle demoiselle en détresse en demandait encore, en bon garçon j’allais donc lui offrir bien volontiers ce qu’elle voulait. Faisant glisser mes doigts fins sur la peau douce de son dos jusqu’à sa croupe ronde et ferme, je malaxais copieusement ses fesses en forme de pêche pendant quelques secondes avant de la retourner pour la faire se pencher en avant sur la rambarde du balcon. Le cul en l’air et la tête dans le vide, Hitomi se mit à gémir de plaisir avant même que ma verge ne rentre en elle, ce n’était plus que mes deux mains accrochée ferme et à son fessier qui l’empêchait de tomber dans le vide tandis que je la baisais sans retenus.
Cette nuit-là, j’avais dû battre largement mon record d’endurance avec la belle irlandaise, je ne sais plus avec exactitude combien de fois, mais je crois bien l’avoir prise dans une bonne dizaine de positions différentes. A mesure que je la baisais, Hitomi semblait plonger dans une sorte d’état second, comme si elle était vraiment en extase, mais elle en voulait toujours plus, elle voulait que je me vide complètement. Je finis même par faire tomber ma chemise de me épaules pour déployer mes grandes ailes blanche et, la prenant dans mes bras, je décollais avec la belle jeune femme nue serrée contre moi pour lui faire l’amour au plafond de l’appart.
Nos câlins furent longs et passionnés à tel point que quand nous arrivâmes à la chambre, il était déjà très tard, ou plutôt très tôt selon le point de vue que l’on prend. Arrivée au-bord du lit, Hitomi me poussa violement pour que je m’affale de tous mon long sur celui-ci, puis elle grimpa sur moi avec une expression prédatrice avant de s’empaler elle-même sur mon membre toujours dur. Elle me chevaucha ainsi plusieurs fois de suite en gémissant de plaisir le regard dans le vague tandis que je jouissais en elle, avant de s’écrouler sur moi comme prise de vertiges, tout en poursuivant ses allers-retours sur ma verge son corps voluptueux plaqué contre le mien. La tête rejeté en arrière, la belle rousse poussa un énième cri de plaisir alors que nous avions tous deux un orgasme, puis elle relâcha tous ses muscles et perdit connaissance.
Épuiser, je restais un moment sans bouger, Hitomi sur moi, mon sexe blottit entre ses cuisses, le corps de la jeune femme était couvert de traces blanches et ses orifices vaginal, buccal et même anal débordait de ma semence blanche et visqueuse. Après quelques seconde à savourer le calme après la tempête, je retournais la belle irlandaise sur le dos à côté de moi avant que je ne cale ma tête dans l’oreiller pour dormir les quelques heures qui restait avant le vol.
Ce ne fut pas mon réveille qui me fit sortir de mon sommeil, mais des bruit singulier venant de la cuisine et regardant à mes côtés je vis qu’Hitomi n’était plus là, je me levais donc malgré l’heure matinale. Sans prendre le temps de m’habiller, j’allais voir ce qui provoquait un tel boucan dans la cuisine, sans Hitomi qui devait avoir la dalle après une nuit pareille, il est vrai que j’avais oublié de faire à manger hier soir, mais je ne m’attendais pas du tout à ce que j’allais voir en ouvrant la porte. Le frigo était ouvert et à moitié saccagé, des coquilles d’œufs parsemaient le sol, des flaques de lait et de sauce tomate tâchaient les meubles, il y avait de la nourriture partout et en plein milieux de ce chantier, Hitomi toujours nue se goinfrait comme une bête. C’est à peine si je reconnaissais la belle irlandaise avec laquelle j’avais pourtant passée une nuit des plus bestiales, mais je pensais qu’elle se serait calmée, au lieu de cela, elle prenait littéralement mon frigo d’assaut. Me décidant à intervenir avant qu’elle n’eut tous dévasté, je m’avançais de quelques pas vers elle, c’était impressionnant, Hitomi était face à moi, mais semblait ne pas me voir et comme dans un état second elle poursuivait son sans tenir compte de moi.
- Hitomi ? Hitomi ! Hé wake-up !
M’exclamais-je en la secouant par les épaules pour la ramener sur terre.
- Que se passe-t-il ma belle ?