Theroem plaignait l'humaine qui était sous son emprise, même si elle l'aurait sans doute fait dans son état normale, celle-ci était tellement ancrée dans un état second qu'elle se serait au contraire crue au paradis, ne voulant jamais que cela finisse, haïssant la simple idée d'autre chose que cela :
Alors que l'inconnu avait à nouveau entrepris de bénir les lèvres d'Asami de baisers qui lui semblaient devenir une drogue, il - Mais la jeune fille pensait toujours avoir affaire à une femme - continuait de masser ses seins, ce qui ajoutait encore à son emprise sur elle. Cependant, il avait déjà perverti la lycéenne, bien qu'elle soit consentante, et celle-ci se touchait depuis plusieurs minutes, rougissant avec la même intensité que celle du plaisir qui l'envahissait lentement et la subjuguait, lui faisant oublier tout sens de la retenue : Elle faisait l'amour avec un inconnue, le suppliait même de le faire, se livrant à lui corps et âme, se soumettant, et elle ne faisait qu'en vouloir plus.
Après plusieurs minutes, à son grand regret, elle sentit - car Asami avait depuis longtemps fermé les yeux de plaisir, se laissant complètement aller à cette sensation enivrante qui l'envahissait - une des mains de l'inconnue se détacher d'elle pour augmenter le flux d'eau chaude, ce qui la ravit. Elle se sentit ensuite déchirée par l'arrêt de leur baiser, ce qui lui donna une affreuse impression de manque, aussi prit-elle sur elle de ré-ouvrir les yeux, les plongeant dans ceux de Theorem. Celui-ci lui posait une question à laquelle elle eut envie de crier sa réponse qui ne pouvait être qu'un "oui" total et absolu, mais sans doute le savait-il car à peine la jeune fille eut entrepris d'acquiescer d'un geste de la tête que son maître lui accorda sa demander, son besoin presque. Déjà formidablement contente à l'idée d'être bientôt récompensée pour son obéissance, elle se laissa aller à suivre le simple et pourtant si agréable toucher de la langue de l'inconnu, refermant ses yeux comme si tout autre chose était superflue. Elle put finalement entendre les genoux de Theorem toucher le seul, et quelques instants après sentir ses mains lui intimer l'ordre auquel elle se soumit aussitôt avec le plus grand plaisir, celui de s'asseoir. Asami se laissa lentement glisser sur la paroi humide de la douche, sentant au fur et à mesure de sa descente son envie monter en même temps que sa récompense s'approcher : Une fois qu'elle fut effectivement assise, l'inconnu lui tira les jambes jusqu'à finalement faire toucher le sol à sa tête, la reposant complètement sur le dos, prête à abandonner toute résistance, quelle qu'elle soit, pour profiter du plaisir qui lui serait bientôt offert. Elle sentait chaque goutte chaude et réconfortante qui venait sur elle avant de ruisseler sur son corps, et ce fut avec bonheur qu'elle accueillit le sentiment de l'inconnu lui massant la poitrine, même si cela ne dura qu'un instant, sentant son centre d'intérêt tendre vers le bas comme ses mains qui bientôt arrivèrent dans son bas-ventre.
Il lui avoua la trouver très belle, puis qu'elle était sa première humaine "ici"...Elle ne comprit pas réellement ce que cela voulait dire, et la suite de la phrase la dissuader de chercher bien plus loin, lui promettant un plaisir que rien ne pourrait jamais effacer, ce qui ne pouvait que la ravir. Déjà lassée de ces tergiversations, elle put enfin se concentrer sur ce à quoi elle était promis : Elle sentit le contact peu connu du latex sur elle, écartant le bas de son maillot avant de faire de même avec son sexe. Cela la fit rougir, mais pas d'une honte coupable comme cela aurait sans doute normalement été le cas, bel et bien d'une culpabilité cependant, celle de se donner au plaisir, de s'abandonner à cet inconnu, pour rien, du moins absolument rien d'autre que le simple mais irrésistible désir de le faire, et si elle souhaitait que quelque chose finisse, c'était son attente. Elle eut un nouvel aperçu du toucher de la matière noire qui sublimait le corps de l'inconnu, cette fois bien plus intime, puisqu'en réalité un de ses doigts survolait voluptueusement son sexe, la provoquant presque, lui faisant jusqu'au dernier instant supplier celle à qui elle se donnait pour que sa récompense vienne enfin. Pour ajouter à cette humiliation, la langue tant attendue et vantée ne la pénétra pas tout de suite, plutôt, elle fit de même que l'index de l'inconnu. N'en pouvant plus de désir, Asami finit par lâcher :
" S'il vous plaît...Je veux votre langue... "
Peut-être pour enfin la satisfaire, bien qu'avoir l'idée que celui-ci obéissait à la lycéenne était une absolue folie tant le contraire était évident, il la pénétra finalement de sa langue, accordant à la jeune fille sa récompense qui était un plaisir qu'elle n'avait encore jamais connu. Pendant plusieurs minutes, elle laissa échapper des cris de plaisir, trahissant qu'elle était totalement dépassée par tout ce qu'elle ressentait, que ce désir avait plus d'emprise sur son corps qu'elle-même, et ses jambes de même que son bassin finirent par eux-aussi succomber à cette domination, bougeant parfois d'eux-mêmes sans qu'Asami puisse lutter contre ces spasmes qui coïncidaient avec les moments où Theorem daignait accorder à la lycéenne un mouvement de langue particulièrement plaisant. Finalement, après ce qui avait sembler n'être que quelques instants à la jeune fille qui n'aurait jamais voulu en voir la fin, l'inconnu se retira d'elle, la laissant respirer lourdement, bouche ouverte tant le plaisir avait été intense, et constater misérablement que tout ce qui la touchait maintenant était la chaude pluie éparse qui tombait sur elle.
"Oh mais dit-moi ma belle... Tu es vierge. Tu tient à garder ton hymen, n'est-ce pas ?... Mais je te possède alors... j'en aurais normalement le choix, n'est-ce pas ? Hihihihi... Je suis un Yokaï (monstre japonais) alors dépuceler les jeunes filles devrait être dans mes fonctions, n'est-ce pas ?... Tu as peur et ça t'excite, je le ressens... Implore-moi de te laisser ta virginité, ma belle humaine..."
Pour ne sous aucun prétexte manquer une miette de ce que pourrait lui ordonner Theorem, Asami écouta attentivement. Elle se sentit dominée par tout ce que celui-ci lui disait : Non pas que le fait qu'il s'estime maître ici soit horrible, mais au contraire, elle ne pouvait qu'être d'accord avec tout ce qu'il disait, et plongerait bien plus profond sous son emprise si cela lui permettait de connaître les mêmes chose que celles vécues jusqu'ici. Elle n'eut d'autre choix que de lui obéir, le suppliant d'une voix implorante, soumise et presque pitoyable de tout cela :
" S'il vous plaît...Non...Laissez moi vierge...Faites de moi tout ce que vous voulez d'autre, tout...Mais non...Je vous en supplie, je ferai ce que vous voudrez... "