"Tu danses à merveille." [Pv Iinuki Hanazono]

Putain, il m'embrasse. Iinuki pouvait sentir la langue d'Anderson sur sa bouche… Elle caressa la bite du jeune homme d'une main. Bordel, son engin était si gros. Son autre main caressa la joue d'Anderson. Elle pouvait sentir la main de l'homme sur sa cuisse. Là, proche de son petit abricot. Gentil comme il était, il n'alla pas plus loin continuant à lui caresser la cuisse. Iinuki l'embrassa langoureusement, sa langue dansant autour de celle d'Anderson une valse humide et passionnée… Hanazono était mouillée, sa main droite continuant à serrait le membre du jeune homme à travers son pantalon. Son autre main glissa sur son torse musclé le caressant délicatement du bout de ses ongles. Elle passa ses lèvres sur le cou d'Anderson, l'embrassant une, deux, trois fois. Elle commença à lui lécher le cou excitée comme une puce sous les caresses du jeune garçon. Elle était de plus en plus chaude. Perdue dans ses pensées, elle lui fit machinalement un suçon au cou. Sa main sur le torse de l'homme bougeait lentement, jusqu'au moment où elle lui griffa le pectoraux. Elle le mordit dans le cou avant de lui lécher la clavicule. Il sentait super bon. Sa peau était douce… Il était gentil jouant sur sa cuisse sans aller plus loin. Elle devait l'inviter à aller plus loin. Oui, elle voulait aller plus loin avec lui. Pourquoi? Elle ne le savait pas… Mais elle le voulait. Sa langue, remonta le long du cou du jeune homme laissant derrière elle un fin filon de salive. Elle lui lécha l'oreille avant de lui mordiller le lobe. Sa main, sur le sexe de l'homme s'arrêta pour lui déboutonner son pantalon. Elle avait de plus en plus chaud. Les bougies dans son salon s'allumèrent toutes en mêmes temps. Elle glissa sa main dans le boxer du jeune homme, curieuse. Son engin était si gros… Elle commença à le caresser. Son pouce titillant le gland déculotté d'Anderson. Son autre main, glissa sur le corps de son partenaire rejoindre lentement la main de ce dernier. Elle la serra un instant avant de la guider sur son intimité. Elle l'embrassa à nouveau enfonçant sa langue dans sa bouche. Sa respiration était frénétique, ses seins en contact tu torse de l'homme. A mesure qu'elle prenait du plaisir, dans l'appartement il faisait de plus en plus chaud...

J'allais coucher avec cette danseuse de lap-dance que j'avais repéré depuis des semaines. Mon corps entier était totalement bouillant. Mon sexe était immense, et mon boxer devenait bien trop petit pour accueillir le morceau de chair chaud et dur qu'était devenu mon pénis. Elle me le caressait, par dessus le jean, en dessinait le contour avec ses doigts. Qu'elle me mette la main dans le jean et qu'elle me branle, par pitié, faite qu'elle me prenne en main. Un liquide coulait le long de sa cuisse. Je ne l'avais pas encore touchée, me cantonnant à l'intérieur de sa cuisse, et elle mouillait déjà comme une folle. Nos bouches entamèrent une danse folle. Nos langues s'enlaçaient, je pense que je roulais parmi les plus grosses pelles de ma vie. Nous avions la même envie : baiser, baiser à en tomber de fatigue.
Elle délaissa ma bouche pour mon cou et commença à le lécher sensuellement. Puis à le mordre. Elle se décida ensuite pour mon lob d'oreille, qu'elle mordilla, suça, lécha. Puis elle lécha ma clavicule.

Je ne cherchais plus à attendre et lui ouvrait son peignoir. Ce que je vis fis se dresser mon sexe sous le jean. Avais-je déchiré le boxer ? C'était possible. Mon dieu..qu'elle était bonne. Ses seins étaient énormes, parfaits pour y caler un engin de la taille du mien. Ses têtons, petits bouts de chairs roses, ne demandaient qu'à être léchés. En bas, sa petite fente était toute gonflée, et débordait de cyprine. Elle était chaude comme la braise. Enfin, elle déboutonna mon pantalon, et glissa sa main sous mon boxer. Elle attrapa vigoureusement mon engin. Ses mains étaient petites, des mains de femme, et elle aurait surement pu le prendre à deux mains tellement il était imposant. Violemment, elle griffa mon pectoraux. Ce qui eu le don de m'exciter encore plus. Je la pris à califourchou sur moi. Ses seins étaient collés à mon torse. Elle enfourna sa langue dans ma bouche et je la laissais faire. Et j'attaquais. Plus de répit. Deux de mes doigts vinrent caresser sa fente sans y pénétrer. Je remontais mes doigts à sa bouche et les lui fit sucer quelques secondes, puis les remit entre ses cuisses. Sans prévenir, je calais trois de mes doigts dans son intimité. Elle n'arrêtait pas de mouiller, ça glissait tout seul. Pendant ce temps là, son pouce massait mon gland. J'allais la baiser comme il se doit.

La chaleur n'arrêtait pas d'augmenter au fur et à mesure de notre préliminaires. Il faisait une chaleur étouffante, mais je m'en fichais, au contraire. Je voulais suer contre elle, faire l'amour à en crever.

Ma bouche s'infiltra dans son cou, je mordillai sa peau en enfonçant plus profondément un quatrième doigt.

- Ta..chambre..ta chambre..

Je n'arrivais pas à faire de phrase, mais elle avait très bien compris ce que je voulais.

Iinuki léchait un homme. Elle l'invitait même à caresser son sexe… Il était sacrément réactif, sa bite étant grave en érection. Il enfonça pour commencer trois doigts dans sa petite chatte. Elle frissonna légèrement. Elle pouvait sentir les doigts du jeune homme bien profond dans son intimité. Quelques secondes avant, il avait porté ses doigts à sa bouche l'invitant à les lécher. Iinuki comme une petite soumise lui lécha les doigts un à un avant de les sucer. Sa poitrine était déjà dure. Elle pouvait se délecter de son propre nectar. Il était délicieux… Il prenait son pied en enfonçant ses trois doigts dans sa chatte ; elle le voyait dans ces yeux. Elle avait mal et gémit sentant un quatrième doigts la pénétrer. Purée… C'est pas des mains qu'il a… Iinuki mouillait comme jamais sous le doigté expert d'Anderson. Elle branla le dard du jeune homme, il était gros… Très gros… Elle savait ce qu'il avait en tête. Il voulait la baiser… Bizarrement, cela ne ne la dérangea pas. Au contraire… Mais son organe était si gros… Pouvait-elle le recevoir?

Sa cyprine coulait à flot. Anderson l'embrassa dans le cou avant de la mordiller… Merde… Il lit dans mes pensées se dit-elle. Car oui, elle adore se faire mordre. Hanazono serra le poignet d'Anderson pour qui arrête d'enfoncer ces doigts dans son vagin.

- Ta..chambre..ta chambre..

Iinuki, la respiration haletante se redressa. Elle lui prit la main l'invitant à se lever. Elle l'embrassa avec passion. Lui prenant la main, elle monta, le conduisant dans sa chambre. Une fois en haut, elle retira son peignoir et s'agenouilla devant Anderson. Elle fit glisser le jean's de l'homme ainsi que son boxer. Son sexe était au garde à vous. Droit et majestueux. Elle n'avait rien vu de tel. Bien sur, elle avait vu des pornos… Iinuki réfléchit un moment, pendant l'attente, elle prit le sexe d'Anderson et commença à le le branler. Curieuse, elle donna un, puis deux coups de langue sur ce membre sur dimensionné. Le sexe d'Anderson grossissait encore… Elle décida alors de le caler entre ses seins pour le branler tandis qu'elle lui lécha le bout du gland. Tout en donnant du coeur à l'ouvrage, elle regardait Anderson pour voir sa réaction.

Elle le branlait ainsi depuis un bon moment, elle avait mal à la poitrine et décida de la laisser se reposer. Elle joua avec les bourses de l'homme de sa main tandis que sa langue, courait le long de son dard. Joueuse et curieuse, elle lui suça le gland. Sa main continuant à malaxer ses bourses. Elle enfonça un peu plus la bite d'Anderson dans sa bouche, sa langue frétillant autour de son organe. Elle commença à faire des va et viens sur le sexe d'Anderson, le glissant de plus en plus loin dans sa bouche. Iinuki finit par se la jouer gorge profonde. Le gland d'Anderson touchant sa glotte… Elle sortit le long membre de sa bouche toussotant.

"- Je te fais pas mal?"

Sans attendre sa réponse, elle le suça de nouveau, avalant encore plus le pénis du jeune homme… Elle commençait à prendre le coup de main enfin, le coup de bouche...

Ma main entre ses cuisses était trempée. La cyprine coulait sans discontinuer de sa petite fente dans laquelle je ne cessais d'enfoncer en longs va-et-vient quatre de mes doigts. Puis, après que je lui ai fais comprendre qu'il vaudrait mieux continuer dans sa chambre, elle pressa mon poignet et je retirais mes doigts. Elle se leva et m'entraîna avec elle. Sa porte claqua violemment quand nous y entrâmes. Son peignoir glissa de ses épaules et tomba au sol, révélant totalement son corps de déesse. Mon regard s'attarda sur son vagin, que je caressais depuis peu. Le voir sans tanga, c'était quelque chose. Un honneur que n'auraient jamais les clients du bar. Moi, je le voyais, et j'allais le visiter. Elle s'agenouilla devant moi et me retira mon jean, puis mon boxer, libérant enfin totalement mon sexe.

J'avais rarement été aussi excité. Mon pénis se dressait fièrement, droit comme un mât de bateau. Il était imposant, et sa réputation, au lycée, de bien monté, n'était pas une légende.
Sa main se referma autour de mon sexe, et elle recommença à me branler. Le geste était vif et doux à la fois, et elle l'accompagnais de coup de langue sur la base de mon dard.

Et puis, elle fit quelque chose qui alluma un feu en moi. Un immense feu. Elle me prit entre ses seins et entama une branlette espagnole. Elle baissait la tête et laissait le gland qui dépassait largement. Une de mes mains vint se poser sur sa tête tandis qu'un long râle de plaisir sortait de ma bouche. Elle n'en avait pas fini avec moi et me reprit totalement en bouche. Bien sur, elle ne pouvait pas le prendre en entier, mais mon pénis toucha le fond de sa gorge et je dû me retenir de jouir. Autant profiter encore un peu de cette formidable pipe. J'étais dans un état plus que second. Je cru l'entendre me demander si elle ne me faisait pas mal, mais ne prit pas la peine de lui répondre. De toute façon, elle était déjà reparti à l'attaque et mon sexe touchait une nouvelle fois le fond de sa gorge.

Et le jet parti. Je ne l'avais même pas vu venir. Je me déversais dans sa bouche telle un robinet que l'on ouvre. Puissamment, abondamment. Les caresses sur mes bourses avaient déclenchés une irrésistible envie de jouir.

- Haaaa..haaa..ha..

Les yeux fermés, la bouche à demi-ouverte, mon torse était soulevée de hauts soubresauts. Ma respiration était courte, et je fini de jouir dans sa bouche en lui caressant les cheveux, tandis qu'un peu de sperm coulait le long de son menton et tombait sur ses seins.

- Relève toi, c'est à moi de goûter tes délices..

Iinuki suçait Anderson depuis un moment commençant à prendre le rythme même si elle commençait à avoir mal à la mâchoire. Sous son piercing à la langue, elle pouvait sentir la grosse veine bleu de son amant grossir. Le gourdin de l'homme allant au fond de sa gorge à chaque va et vient que faisait sa tête sur la bite d'Anderson. Elle avait chaud, de plus en plus chaud. Son corps brillait d'une suer fine. Excitée, la jeune femme de sa main décida de se caresser. Son pouce titillant son clitoris tandis que son majeur et son index caressaient ses grandes lèvres humides. Encore novice, elle se demandait si il prenait comme elle son pied. Très vite, elle en eut la réponse. Un liquide visqueux et chaud inonda sa gorge et bientôt sa bouche sous flot de sperme abondant. Sa bouche remplie, le sperme d'Anderson commença à couler sur le long de son menton pour finir de perler sur ses seins. Elle n'avait même pas entendu le râle du jeune homme.

Manquant de s'étouffer, elle ressortit le sexe d'Anderson qui cracha un dernier jet de semence sur son visage et dans ses longs cheveux soyeux. Toussotant légèrement et incapable de tout avaler, elle recracha une partie du sperme qui coula sur ses seins.

- Relève toi, c'est à moi de goûter tes délices..

Obéissante, Iinuki se leva, passant les doigts sur le contour de sa bouche, elle essuya le sperme avant de les sucer sans quitter des yeux Anderson. Elle ne voulait pas en perdre. Son regard de biche invitait Anderson à prendre les choses en main. Sa poitrine se redressait frénétiquement aux rythmes endiablés de sa respiration. Timide et fortement gênée, elle s'assit sur le rebord du lit. Elle voulu lui dire qu'elle était encore vierge. D'être gentil avec elle… Mais elle avait peur qu'il prenne la fuite, ou simplement le couper dans son élan. Oui, il était son premier homme… C'était si excitant et à la fois incroyablement gênant. Et le dard du jeune homme, une épée terriblement imposante. L'angoisse et la peur pu se lire sur le visage de la jeune femme se disant qu'aucunement, son vagin ne pourrait recevoir une bite aussi grosse… Iiniki détourna les yeux tandis qu'elle écartait les jambes timidement révélant son magnifique petit jardin secret brillant de cyprine.

Je n'avais pas pu me retenir. En fait, je n'avais pas essayé. J'avais jouis dans sa bouche, et jouis une quantité importante de semence. Iinuki était trempée. Elle avait avalé une bonne partie du liquide blanc et chaud, mais cela avait débordé, sur ses seins. Et puis, quand elle avait faillit s'étouffer avec mon sexe, lors de mon éjaculation et qu'elle avait retiré précipitamment mon phallus d'entre ses lèvres, j'avais fini de jouir sur son visage et dans ses cheveux.
En tous les cas, je pouvais faire une constatation assez simple. Elle dansait à merveille, mais elle suçait également à merveille. Cette danseuse que j'observais depuis déjà plusieurs semaines, je l'avais là, avec moi, absolument nue et mouillée. Mouillé de ma semence..mais également de la sienne. Elle avait profité de la fellation pour se faire du bien aussi, et ses cuisses luisaient et dégoulinaient d'un liquide blanchâtre.

Sa poitrine se redressait sans cesse sous le rythme de ses respirations, saccadés. C'est sans se précipiter qu'elle se posa sur le lit, mi-assise mi-allongée, son regard accrochant le mien. Il se voulait séducteur, et ne voulait dire qu'une seule chose. "Vient là".
Autant dire que je n'allais pas me faire prier. Je me remettais de mes (fortes) émotions et venait me caler sur le lit, à genoux. Elle avait ouvert totalement ses jambes, les écartant presque à l'extrême. Quand j'avais parlé de goûter ses délices, je pensais plutôt à.. un cuni. Mais tant pis, je le lui ferai après. Sa fente rose, aux lèvres toutes gonflées de cyprine, n'attendait que moi.

Mes mains glissèrent sur ses genoux et descendirent jusqu'au dessus de ses douces cuisses. Tout son corps tremblait, et nos regards ne se quittaient pas. J'avais jouis, mais mon pénis était toujours aussi gros qu'avant la première éjaculation. Nous allions pouvoir nous amuser.
Mes doigts vagabondèrent sur le haut des cuisses quelques secondes, pas plus. Je n'avais aucune envie de faire durer, et manifestement.. elle non plus. Je vins écarter encore un peu plus ses cuisses, puis attrapais ses mollets et soulevais ses jambes sans forcer. Ses pieds se posèrent sur mes épaules, mon sexe touchait désormais ses cuisses, et glissait contre cette peau inondée de semence.
Je pris appui sur ses jambes et descendais le regard sur son corps de rêve. Ce corps de 1m70 était là, dénudé et allongé devant moi dans un lit.. étais-je dans un rêve ? Non, impossible, même dans mes rêves, la fille n'était pas aussi parfaite.

Sans même que je m'en rende compte, mon corps s'était rapprochait du sien, et c'est un gémissement sorti de la bouche de ma partenaire qui me fit me rendre compte que mon gland titillait l'entrée de son vagin. Mon sexe se tendit. Je ne pouvais plus attendre. Mon gland, luisant de sperm, s'infiltra facilement entre les parois de son anatomie. Puis vint le reste de mon sexe. Je la pénétrais avec douceur, et dû insister légèrement sur la fin. Mais je rentrais en elle en entier, et mon gland vint cogner le fond de sa vulve. Mes yeux se fermèrent et je lâchais un grognement. Comme s'ils avaient été attiré, mes yeux se rouvrirent pour se poser sur les siens. Faire l'amour en regardant sa partenaire droit dans les yeux durant tout l'acte, c'était quelque chose de purement excitant..et fortement jouissif. Mes mains bien accrochés à ses jambes, je fournissais un premier mouvement de va-et-vient. J'avais l'impression de ne ressentir plus que ce que ressentais mon pénis. Je le sentais coulisser en elle sans aucune difficulté, et mes fesses se contractèrent sous le plaisir. Je la cherchais du regard, en entamant des mouvements fluides mais plutôt doux.