Chantage || PV Cassidy Green

Je soupirai en m'asseyant sur mon bureau, regardant deux oiseaux voleter devant la fenêtre de ma classe. Mon cours finissait à l'instant, et mes élèves venaient de sortir du local. Il était encore tôt dans la journée et j'avais encore plusieurs cours à donner. Je n'avais donc pas vraiment le temps de me reposer et de réfléchir. Pourtant, c'est bien ce que je fit, me moquant pas mal de ce qui pourrait bien se passer. De toute façon, j'avais une bonne mémoire et, si je n'avait pas encore mémorisé le nom de tous les élèves de chaque classe, elle savait tout de même à quel endroit de la matière ils en étaient, ce qui lui dispensait de devoir relire tout son cours.

Elle se releva et alla coller son nez à la fenêtre, massant son dos douloureux. Les deux oiseaux se bagarraient maintenant, l'un des deux, celui qui portait un petit lombric dans son bec, résistait péniblement aux assauts incessants du second. On dirait des hommes. Toujours à vouloir s'imposer comme "le meilleur". Toute à mes pensées, je n'entendis pas les trois coups à la porte de la salle de classe. Pourtant, ils se répétèrent deux fois. Finalement, la poignée tourna et, surprise, je me retournai avec une exclamation d'étonnement.

J’étais un peu anxieuse parce que c’était la première fois que j’allais faire du chantage… mais j’avais en effet vu mademoiselle Naeka, notre professeur, faire des stripteases dans un bar à striptease, le Night Jay. J’étais entrée avec un nouvel ami qui m’avait fait entrée sans payer. Il ne savait pas encore que j’étais ce que les japonais appelaient un futanari et que les occidentaux appelaient un hermaphrodite vrai. Il était mignon, mais ne m’intéressait pas vraiment.

J’avais pris, avec mon portable, des photos assez compromettantes du professeur en topless, et en train de se déshabiller sur la piste de pole dance. Elle dansait très bien et surtout elle avait une de ses paires de seins… je m’étais mise en érection rien qu’en la voyant, ce qui avait un peu surpris mon ami… qui s’était empresser de me sucer… enfin bref, j’étais surprise qu’il ne me rejette pas et qu’il me fasse cela. Je ne vous raconte pas la nuit que j’ai passé avec lui.

Le cours avec mademoiselle Naeka devait commencer dans dix minutes, J’en profitais pour aller la voir. Je frappais à la porte trois coups. Pas de réponse… je recommençais… aucune réponse à nouveau. J’insistais une troisième fois, cette fois, j’entrais en souriant.

_ « Bonjour professeur Naeka… »

Je m’approchais d’elle, en sortant de suite mon téléphone portable.

_ « Hier soir, j’ai fait des photos… au Night Jay… »

Et je lui montrais les photos d’elle en train de danser… je souriais doucement…

Malgré ma surprise flagrante, je répondis très poliment à la jeune élève qui venait de pénétrer dans la salle de classe.

- Bonjour... Cassidy, c'est bien ça ?

Elle ne me répondit pas, et malgré son sourire, je compris qu'il se passait quelque chose d'anormal. D'inhabituel.  La jeune brune fouilla quelques instants dans sa poche avant d'en sortir un téléphone portable. Elle me fit signe de regarder ce qu'elle avait à montrer et enfonça d'un doigt expert plusieurs boutons.

- Hier soir, j’ai fait des photos… au Night Jay…

Une boule tomba brusquement dans mon estomac alors que les icônes Divertissement - Mes Images - 2/1/2013 - Diaporama. Plusieurs photos effectivement prises hier soir défilèrent sous mon regard. J'étais stupéfaite. Estomaquée. Presque déjà détruite. Je m'imaginais déjà cette jeune fille montrer tout cela à la direction. Avec de la chance dans mon malheur, la soirée d'hier n'était pas la plus hot à laquelle elle aurait pu assister. Mais tout de même... Mes gros seins nus... En jupe extra-courte... Je me tournai vers elle, déglutissant avec peine.

- Et... Que comptes-tu faire de ces photos ?

Je ne savais pas encore ce qu'elle voulait. J'avais peur. Peur pour ma carrière. Peur pour ma réputation. Et je n'avais encore rien vu.

Mon cœur battait la chamade tandis qu’elle regardait les photos en devenant blanche. Un sourire apparut sur mon visage tandis qu’elle comprenait ce que cela signifiait pour elle. J’avais envie d’elle et je l’aurais. Elle ferait tout ce que je voulais.

_ « Et... Que comptes-tu faire de ces photos ? »

Là, je sus qu’elle ferait mes quatre volonté pour que cela ne s’ébruite pas…

_ « Ça… ça dépendra de vous, mademoiselle Naeka. Voyez-vous, j’aimerais faire des choses avec vous… après les cours, bien sûr… car, maintenant ça va être trop court… »

Je la regardais avec envie, j’avais envie de sucer ses tétons et de l’embrasser…

_ « Si vous faites tout ce que je vous demande, alors, je supprimerais mes photos et votre secret sera bien gardée… »

Je lu souriais gentiment même si ce que je faisais était du chantage. Mais au moins, ça nous ferais passer un bon moment ensemble… j’allais m’asseoir à ma table quand je compris une chose… avec ces photos, je pouvais l’obliger à me mettre de bonnes notes. Un sourire malicieux apparu sur mon visage.

Lorsque je lui demandai clairement quelles étaient ses intentions à mon égard, elle eut un gentil sourire, et je ne compris pas vraiment ce qu'il venait faire à un instant où je me sentais si mal. Elle reprit la parole :

- Ça… ça dépendra de vous, mademoiselle Naeka. Voyez-vous, j’aimerais faire des choses avec vous… après les cours, bien sûr… car, maintenant ça va être trop court…

Et là, je failli soupirer de soulagement. Mais c'était justement ce dont je rêvais depuis longtemps ! Et c'était justement une femme ! Mon soulagement était indescriptible, tant il était puissant.

- Si vous faites tout ce que je vous demande, alors, je supprimerais mes photos et votre secret sera bien gardé…

Je pris un air timide et inquiet et murmurai :

- D... D'accord. Une fois que j'en aurais fini... Après ce cours... J'ai deux heures de fourche...

Elle recula lentement et alla s'asseoir à son banc. Elle avait encore le temps de me répondre avant que les autres élèves ne rentrent eux aussi dans la salle de cours...

J’espérais ardemment qu’elle accepte bien que jamais, je n’aurais envoyé les photos à la directrice, le cours la professeur était l’une des plus intéressants pour moi, qui était une étrangère au Japon.

J’aimais l’air timide et inquiet qu’elle prit puis elle murmura : _ « D... D'accord. Une fois que j'en aurais fini... Avec ce cours... J'ai deux heures de fourche...
_ Moi, je n’ai pas cours après le vôtre… donc vous fermerez la classe après le départ des autres élèves. Vous me demanderez de rester, pour me parler, que ça ne fasse pas trop bizarre… »

Je la vis reculer lentement et aller s'asseoir à son banc. Je passais ma langue sur mes lèvres tandis que la classe se replissait d’élèves bruyants qui s’installèrent à leur place. Le cours me sembla passer très rapidement, j’écoutais tout en pensant à ce que nous allions faire ensemble toutes les deux.

Comme d’habitude, je prenais trois fois plus de notes que les autres, écrivant phonétiquement les mots avant de recopier mes notes avec les kanji japonais. Ça me faisait presque le double de travail, mais j’y arrivais toujours, même si des fois, il m’arrivait de m’endormir à mon bureau.

Puis la sonnerie se fit retentir…

- Moi, je n’ai pas cours après le vôtre… donc vous fermerez la classe après le départ des autres élèves. Vous me demanderez de rester, pour me parler, que ça ne fasse pas trop bizarre…

Je déglutit, une fois de plus. Même si cette fois, c'était plutôt à cause de la marée d'adolescents qui venait d'envahir subitement la classe. Comme à mon habitude, je restai assez laxiste, et attendis que le brouhaha cesse et que tout le monde se taise pour démarrer mon cours...

Pendant toute l'heure, je jetai de rapides coups d'oeil furtifs à Cassidy qui prenaient ses notes comme à son habitude. Et puis la sonnerie qui annonçait la fin du cours retentit...

- Cassidy ? Tu viens me montrer toutes tes notes, s'il-te-plaît ? Histoire d'avoir de bonnes bases, je vais te les corriger. Les autres, vous pouvez y aller.

Tout le monde sortit dans le plus grand désordre et vacarme, comme d'habitude. Cassidy s'approcha de moi, et je ne savais plus vraiment quelle réaction adopter. Je tournai la clé dans la serrure de la porte, allumai la lumière, et tirai les rideaux (oui, nous étions au rez-de-chaussée). Et puis, j'attendis, me demandant ce qui allait se passer...

Je commençais à ranger doucement mes affaires, mes camarades de classe étaient pressés de rentrer chez eux ou bien dans les dortoirs ou aller autre part qu’au lycée. Je me demandais ce qu’elle allait vraiment faire.

_ « Cassidy ? Tu viens me montrer toutes tes notes, s'il-te-plaît ? Histoire d'avoir de bonnes bases, je vais te les corriger. Les autres, vous pouvez y aller.
_ Oui, mademoiselle, j’arrive… »

Bien, elle m’obéissait, j’apportais mes notes, même si je savais qu’elle ne ferait rien. Je la vis tourner la clef dans la serre de la porte puis allumer la lumière avant de tirer les pour éviter les regards. Elle attendait mes ordres. Je lui souriais.

_ « Alors, vous allez me faire un beau striptease intégral, mademoiselle… je peux vous appeler Kazumi ? »

Je m’installais à son bureau tout en la regardant avidement, je savais qu’avant même qu’elle ne soit nue, je serais en érection. Mais je voulais qu’elle me fasse un beau spectacle.

_ « Et pas bâcler le striptease… n’est-ce pas ? On passera aux choses sérieuses après… »

- Alors, vous allez me faire un beau striptease intégral, mademoiselle… je peux vous appeler Kazumi ?

- Ou... Oui. D'accord.

- Et pas bâcler le striptease… n’est-ce pas ? On passera aux choses sérieuses après…

J'avais parlé avec un air plutôt inquiet, et cette fois il était sincère. Ça allait être ma première fois, et j'étais un peu anxieuse, surtout de le faire avec une élève, que je verrais encore pendant tout le reste de l'année à chacun de mes cours. Comment avoir l'air naturelle dans ces circonstances, alors que le cours précédent avait déjà été difficile à donner comme si de rien n'était ? Enfin, il serait toujours temps d'aviser. En dernier recours, je pouvais demander son transfert vers une autres classe...

Pour le moment, on restait dans un domaine assez connu. L'effeuillage, c'était mon truc. J'allais juste devoir être plus tactile qu'au Night Jay. J'a vu plus difficile, heureusement. C'est parti ! Je commence à me déhancher, d'abord doucement, puis plus fort, des coups de hanche latéraux rapides. Je prends une pose aguichante, un doigt dans la bouche, le remuant avec un mouvement assez suggestif, puis je reprends mes mouvements du bassin, circulaire cette fois. Mes mains parcourent doucement mon chemisier de part en part, avant de monter vers mon cou, puis descendre sur le bouton le plus haut, que je défis. L'un après l'autre, je déboutonnai les attaches de mon chemisier que je finis par ôter, toujours aussi doucement. Il était fort serré, la preuve fut mes gros seins qui se détendirent d'un coup, rebondissant un peu d'une manière assez excitante.

Je portais un soutien-gorge assez léger, mais pas transparent. Je continuai mes déhanchés en me rapprochant de Cassidy, tournant autour d'elle, alors qu'elle fixait mon imposante poitrine. Ma jupe ne tarda pas à coulisser le long de mes jambes interminables. Je n'étais plus qu'en sous-vêtements, à tourner autour de mon élève, frottant mon dos contre le sien.

- Ça te plaît ?

J'étais loin d'avoir fini, mais je voulais savoir si elle appréciait ce que je faisais.

La voir ainsi, un peu anxieuse me fit prendre conscience qu’elle était peut-être vierge. Rien qu’à cette idée, je sentais le début d’une érection. Comment pouvait-elle être vierge ? Puis elle se mit à se déhancher autour de moi, d'abord doucement, puis des coups de hanches latéraux rapides. Elle prit une pose aguichante, un doigt dans la bouche, le remuant avec un mouvement assez suggestif… la, je sentais mon membre se durcir un peu plus. Puis elle reprit mes mouvements du bassin, circulaire cette fois. J’aimais sa manière de danser…

Elle déboutonna doucement son chemisier, bouton par bouton en commençant par le haut, je passais ma langue sur mes lèvres, excitée à l’idée de me taper une professeur. Enfin, elle le retira, ses seins rebondirent d’une manière encore plus excitante. Elle portait un soutien-gorge très léger mais j’aurais préférée des sous-vêtements affriolant, mais c’était vrai qu’on était en classe. Elle continua en se rapprochant de moi, me tournant autour, je ne la quittais pas des yeux, ou plutôt de sa poitrine opulente.

Elle fit glisser sa jupe le long de ses jambes magnifiquement galbées. Elle frotta son dos contre le mien. Je frissonnais de plaisir, elle y allait bien…

_ « Ça te plaît ? »

Je cachais mon début d’érection tout en la regardant.

_ « Oui, beaucoup… continuez, Kazumi, je veux l’intégral pour pouvoir juger de votre véritable beauté… »

Je commençais à me déshabiller doucement aussi, car je n’allais pas rester habillée lors de nos ébats… je retirais juste ma veste et me retrouvais en chemisier.

_ « Juste une question… êtes-vous vierge ? »

- Oui, beaucoup… continuez, Kazumi, je veux l’intégral pour pouvoir juger de votre véritable beauté…

Cassidy commençait aussi à se déshabiller, me faisant réellement prendre conscience de ce qui allait se passer. Elle ne retira que sa veste, mais cela suffit à me faire ressentir un début de chaleur dans la région de mon bas-ventre. Je ne mouillais pas, pas encore, mais une sensation agréable 'e parcourait, un peu en-dessous de la ceinture.

- Juste une question… êtes-vous vierge ? »

Je n'osais pas vraiment répondre à cette question. J'avais un peu honte. Cette étudiante, cette gamine, avait sans doute eut son lot de rapports sexuels, et je me sentais un peu complexée par ma virginité. Pourtant, avec une petite grimace presque imperceptible, je lui répondis :

- Oui... Je suis homosexuelle. Et plusieurs des personnes qui sont au courant l'ont pris mal, ou ne l'ont pas compris.

Sur ces révélations, je repris ma danse érotique, me faisant toujours plus envoûtante, toujours plus proche... Je collais presque ma lourde poitrine contre son dos, même si elle n'était pas nue, cela devait tout de même faire un peu d'effet. D'ordinaire, j'aimais m'arrêter à ce stade de l'effeuillage, mais j'avais trop peur de ses photos. Je dégrafai mon soutien-gorge d'un coup vif, et il tomba sur le sol, lentement, découvrant mes seins, dont les tétons étaient déjà légèrement érigés. Je les pris en main et commençai à faire des ronds avec, de l'extérieur vers l'intérieur, mimant presque sans le vouloir le mouvement d'une "cravate de notaire", ou branlette espagnole. Je finis par lâcher mes seins qui, grâce à un entretien des abdos quotidien, ne tombaient pas, mais restaient étonnamment fermes, pour un tel volume.

Je défis les noeuds de ma culotte, et elle alla rejoindre mon soutien-gorge. J'étais entièrement nue. Maintenant, j'étais excitée. D'une seconde à l'autre, j'allais me mettre à mouiller. Heureusement, ça n'avait pas encore commencé. Je me sentais pitoyable. Une telle hâte. Toujours était-il que mon sexe rasé était exhibé, exposé à la vue de cette jeune étudiante dont je n'aurais jamais soupçonné la perversité quelques heures auparavant...

Je lui souris gentiment, elle commençait à m’exciter de plus en plus, bientôt je ne pourrais plus cacher ma bosse entre mes jambes. Je passais ma langue sur mes lèvres d’une manière non équivoque.

_ « Oui... Je suis homosexuelle. Et plusieurs des personnes qui sont au courant l'ont pris mal, ou ne l'ont pas compris. »

Je l’observais, elle était totalement vierge et homosexuelle… j’espérais qu’elle ne le soit pas trop pour que je puisse la prendre… elle reprit sa danse érotique toujours plus envoûtante, toujours plus proches. Elle toucha légèrement mon dos avec ses seins. Je sentais mes tétons se dresser dans mon soutien-gorge. Elle dégrafa son soutif d’une manière vive. Mais celui-ci mit un temps fou à atteindre le sol. Mon regard se posa sur les seins de la belle.

Ses tétons étaient déjà bien apparents, c’était beau à voir… puis elle les prit dans ses mains mimant une « cravate de notaire. » Je me mordis un peu la lèvre pensant aux seins de la prof sur mon pénis. Je continuais de la regarder puis elle relâcha ses seins fermes que j’aimerais tant suçoter. Il était si gros… puis elle défit les nœuds de sa culotte qui alla rejoindre le soutien-gorge... son intimité était rasée de près et cela fini de me faire bander fortement. Je lui souris gentiment.

_ « Bien… maintenant vous allez me déshabiller doucement… ne soyez pas surprise de voir une chose typiquement masculine… je suis une hermaphrodite, et j’ai bien envie de vous faire l’amour avec ce membre… »

Je relevais doucement ma jupe, montrant mon pénis qui dépassait de ma petite culotte. J’étais en érection depuis un petit moment…

_ « Si vous ne voulez pas faire l’amour avec moi, les photos partiront chez madame la directrice… une fois que je serais déshabillée, vous me ferez une fellation... »

- Bien… maintenant vous allez me déshabiller doucement… ne soyez pas surprise de voir une chose typiquement masculine… je suis une hermaphrodite, et j’ai bien envie de vous faire l’amour avec ce membre…

C'est à ce moment-là que j'ai commencé à avoir peur. Une hermaphrodite ? Elle aurait une queue ? Toujours craintive vis-à-vis de ses photos, je continuai à lui obéir. Continuant à la caresser doucement, presque amoureusement. Enfin, c'est l'illusion que je voulais donner, mais ce n'était pas vraiment la réalité. J'avais peur d'elle. Elle releva sa jupe, et je vis alors dépasser de sa petite culotte, qui en temps normal m'aurait diablement excitée, un pénis en érection. Un vrai pénis d'homme ! Je faillis défaillir, j'étais dégoûtée, je me sentais trahie. Tout à coup je ne me sentais plus du tout prête à passer à l'acte. J'avais peur. Une queue d'homme ne m'avait jamais rebutée en soi, c'était plutôt la mentalité de ceux-ci qui m'indignait. Mais ici... C'était plutôt perturbant. Je voulais faire l'amour à une femme. Une étudiante, ce n'est déjà qu'une demi-femme. Et là, c'était carrément un quart de femme. Mais je n'avais pas le choix...

- Si vous ne voulez pas faire l’amour avec moi, les photos partiront chez madame la directrice… une fois que je serais déshabillée, vous me ferez une fellation...

J'acquiesçai d'un geste rapide de la tête et lui ôtai son chemisier et sa jupe, histoire qu'elle se retrouve en sous-vêtements. J'étais plus excitée par une femme en lingerie que par une femme entièrement nue. Je frôlai son sein gauche. C'était une femme, c'était facile, il me suffisait de copier à peu près ce que je faisais lorsque je me masturbais. Je commençai donc à lui malaxer les seins, c'était tout de même ma première fois, et je sentais cette sensation de chaleur agréable, qui avait disparu à la révélation de Cassidy, revenir petit à petit. Je baissai sa culotte. J'eus tout de même la satisfaction (et le soulagement) de voir qu'elle possédait aussi un vagin. Tout n'était pas perdu, alors !

Je plaçai deux mains timides sur son membre gonflé par le désir et fis coulisser mes mains sur la lance de chair pointée droit vers le ciel... Le Septième Ciel, sans doute. Je ne savais pas bien m'y prendre, ne m'étant jamais entraînée à cette pratique. Toucher cette organe qui avait dû pénétrer plusieurs étudiantes me dégoûtait, et en même temps m'excitait terriblement. Un plic suivi d'un ploc m'indiqua avec certitude que, à présent, je mouillais abondamment. Mes lèvres se posèrent doucement sur le bout de son gland palpitant.

Je la vis hocher positivement et rapidement de la tête avant qu’elle n’ôte mon haut et ma jupe, me retrouver en sous-vêtement simple vu que j’étais en cours… mes tétons se dressèrent immédiatement quand elle frôla mon sein gauche. Puis elle me malaxa doucement mes seins, je gémissais tout en mouillant tandis que mon membre pulsait sous le plaisir que je ressentais. Aussi vierge qu’elle était, elle était plutôt douée.

Puis, elle plaçant deux mains sur mon pénis en érection, et les faisant glisser sur celui-ci, je poussais un gémissement plus fort tandis qu’elle continuait. Puis elle posa ses lèvres sur mon gland, je me mis à lui caresser les cheveux et le visage tout en entendant un bruit de goutte qui tombait. Ce qui m’excita encore plus, elle mouillait pour une lesbienne, voir un pénis en érection sur une femme, semblait beaucoup lui plaire…

_ « Tu es douée pour une petite vierge… hummm… Tu es excitée, n’est-ce pas ? hummm… tu viendras toi-même t’empaler sur mon membre… hummm… tu prendras ton temps… hummm… d’accord ? »

Je gémissais toujours sous sa bouche et ses mains. Les miennes allèrent caresser doucement son opulente poitrine.

Ce que je lui faisais semblait plaire beaucoup à la petite hermaphrodite qui commença à me caresser les cheveux tout en gémissant de plus en plus fort. Certaines prof de langue faisaient des compréhensions à l'audition et passaient donc des fichiers audio à haut volume. C'est pourquoi toutes les classes sont insonorisées. Pas de risque de ce côté là, donc. Elle prit la parole, parlant par saccades, se retenant de gémir de satisfaction alors que j'embrassais son membre durci et tendu. Je ne léchais pas, car j'étais encore un peu réticente. Je passais mes lèvres sur chaque centimètre carré de sa queue dressée.

- Tu es douée pour une petite vierge… hummm… Tu es excitée, n’est-ce pas ? hummm… tu viendras toi-même t’empaler sur mon membre… hummm… tu prendras ton temps… hummm… d’accord ?

- Hmmm... Oui... D'accord. Je veux avoir du plaisir. Je veux prendre mon pied ! Donne-moi du plaisir ! Fais-moi jouir !

Sous le coup de l'excitation, je commençais à dire tout haut ce que je pensais tout bas. Je voulais jouir, jouir comme jamais je n'avais joui, avec mes jouets. Je cessai ma fellation et poussai Cassidy sur le sol, couchée sur le dos. J'avais trop hâte de vivre ma première relation sexuelle pour me méfier d'elle. C'était maintenant. Sa queue pointée vers le haut, je vins me poster au-dessus d'elle, assise, je sentais son membre durci et chaud entre mes fesses, et mon vagin donnait entre ses seins, lui offrant, si elle daignait baisser la tête une,vue imprenable sur ma chatte rasée. Oui ma chatte. Mon excitation me donnait des pensées de vraie cochonne. Je voulais sa queue !

- Prends-moi, ma chérie. Prends-moi !

Je me soulevai en prenant appui sur ses seins et m'empalai sur sa bite bien dure en poussant un cri. Je mouillais tellement qu'elle me pénétra comme dans du beurre. C'était ma première fois. Ça me fit un petit peu mal, je devais bien l'avouer. Mais c'était super.