Alors que je lui parlais plus crûment, je pouvais deviner qu'elle rougissait, même dans la position plutôt inconfortable dans laquelle je me trouvais. Quoique, la tête bien calée contre une jolie fesse, ce n'était pas la plus désagréable sensation qu'il m'est été donné de ressentir... Elle gémissait plus fort maintenant, alors que je la masturbais toujours aussi énergiquement, un doigt fiché dans son petit trou. Entre deux soupirs de plaisir, elle murmura :
- J'aurais préféré dans mon intimité, mais là c'est bon aussi...
Elle trouvait encore le moyen de se plaindre... Quelle insolence ! Elle aurait mérité mille et une punitions, mais l'heure n'était pas à la souffrance. Dans ma main, son membre chaud et tendu, dégoulinant déjà de pré-sperme, se mit à trembler de plus en plus fort, plus gros et plus dressé que jamais. Je vis les bras de Cassidy remonter, sans doute pour se caresser les seins. Avec un sourire, j'en rajoutai une couche :
- Parce que je ne te suffit pas ? T'as encore besoin de toucher les nichons comme la petite cochonne que tu es ? Tu es vraiment irrécupérable, ma pauvre !
Et alors que je lui disais cela, preuve supplémentaire de sa perversité, elle éjacula soudainement, en assez grande quantité, des traînées de sperme jaillirent de son membre devenu rouge sous la chaleur et la pression de ma main, que je retirai rapidement, pour éviter qu'elle ne soit vite recouverte de semence chaude. D'un coup, je retirai mon doigt de son anus, m'éloignant légèrement d'elle, regardant avec un sourire ses jambes trembler sous l'afflux de plaisir. À présent, le moment était venu de passer à l'action. Je fis donc quelque pas vers mon bureau pour empoigner une paire de menottes, puis je me précipitai sur elle, profitant du moment d'inattention qu'avait provoqué sur elle son récent orgasme. Je lui passai les menottes, puis la bousculai vers le mur de la salle de classe avant d'attacher les menottes à la valve du radiateur. Ainsi, elle ne pouvait presque plus bouger. Je souris et prit la parole, me régalant de son regard abasourdi :
- Et tu pensais que c'était bon, qu'on était quittes ? Tu viens ici me faire chanter, puis tu t'arranges pour coucher avec moi, je te fais jouir et tu croyais vraiment qu'on en avait terminé ? Non... Dorénavant tu es en mon pouvoir et je peux faire ce que je veux de toi. Et si tu essaies d'avouer... Tu savais que j'étais très amie avec le videur de mon club de striptease ? Un mec très baraqué... Je sais où tu habites... Tu vois où je veux en venir ? Bien...
Je repris mon souffle après cette longue tirade, puis m'approchai d'elle en souriant toujours d'un air méchant.
- Tout ce que tu m'as fais subir je vais te le rendre au centuple ! Tu n'es pas prête d'être libre...
Et sur ce, je m'écartai de quelques mètres, m'assit sur le sol, et commençai à doucement caresser ma vulve... Parce que j'en étais frustrée, moi, de l'avoir fait jouir sans profiter de rien. Mais c'était trop tard maintenant... Alors j'allais plutôt me masturber jusqu'à en avoir un orgasme devant elle, pour lui renvoyer toute la frustration qu'elle m'avait donnée. Ça doit être horrible d'avoir une érection et de ne pas pouvoir la calmer...