C’était le dernier round du duo... Et quel round ! Melendil ne cessait de la surprendre, par son endurance, son énergie, sa rudesse. Sa queue monstrueuse lui labourait le cul, et elle couinait sur place, fermant les yeux, respirant très lourdement, en se dandinant sur place. Alice gémissait longuement, de longs couinements, et se tortillait sur place. Les mains de l’homme, douces et fermes, l’immobilisaient toutefois sur sa queue. Elle s’était empalée dessus, et soupira encore, de la sueur coulant le long de ses joues. Ses cheveux étaient trempés, et Alice continua à soupirer encore, se tortillant sous l’effet des doigts de l’elfe. Melendil se lova contre elle, et continua à remuer son bassin. Alice couina donc, l’entendant la narguer, encore, avant de serrer ses cheveux dans sa main.
«
Me... Melendil, haaaa... »
L’elfe commença alors à remuer, mais, vu leur position, ce n’était pas rapide, plutôt...
Profond et intense. Il tirait sur les cheveux d’Alice, tout en continuant à la doigter. La jeune femme mouillait énormément, son corps se tendant en avant, retenue par ses cheveux. Elle faisait
exprès de tirer sa tête vers l’avant, pour mieux sentir la poigne des cheveux de l’homme. Melendil était là, contre elle, et continuait à remuer sa grosse queue dans son cul. La douleur était exquise, jouissive, mettant Alice en émoi, dans un véritable état second. Elle continuait à gémir, sans relâche, ouvrant grand les lèvres, de délicieux couinements.
Au bout de plusieurs minutes, Melendil relâcha ses cheveux, et bascula en avant. La femme s’étala sur le lit, couchée sur le ventre, et serra ses mains sur le lit, tout en sentant l’elfe se glisser dans son dos, s’abattre sur elle, l’étouffant à moitié. Alice tourna la tête sur le côté, les joues rougies, ses mains gantées se crispant sur le lit, et sentit la queue de l’elfe s’enfoncer lourdement en elle. Ses mains se crispèrent sur la couverture, et elle continua à couiner.
«
Haaaa... Me-Melendil, hmmmm... »
L’homme se mit à la baiser en se couchant sur elle, dans une position de pure domination, et elle sentit ses mains moites se serrer sur les siennes, y trouvant là un point d’appui. Le cul d’Alice se souleva, sa chair en sueur se claquant à la sienne. Alice continua de soupirer profondément, son corps se soulevant et s’abaissant, ses jambes se creusant dans le lit. Elle entendit les craquements du sommier, les lattes de bois éprouvant les deux corps en train de remuer. C’était une jouissive harmonie, et la tête blonde était en pleine transe. Son corps suait abondamment, et la jeune femme se tortilla de nouveau sur place, sa salive coulant de ses lèvres. La bave s’échappait de ses lèvres, tandis qu’elle sentait encore Melendil la pilonner, grognant et soupirant dans son dos.
Hum ! C’était bon, c’était si bon ! Diable, comme elle aimait ça ! La queue de l’homme continuait à la prendre, jusqu’à ce qu’elle ne le sente ralentir un peu. Il la prenait pour l’heure si énergiquement que presque toute sa longue verge semblait ressortir de son corps, avant de s’y enfoncer de nouveau.
«
Haaaaaa... !! »
Alice sentait un nouvel orgasme revenir, mais rien ne la préparait à l’orgasme de Melendil. L’elfe s’écrasa contre elle, l’étouffant, et se mit à jouir, au plus profond de ses fesses. Et ça, Alice le
sentit. En sentant ce foutre jaillir, ce sperme taper contre ses parois et se perdre dans son corps, elle se mit également à jouir, s’abandonnant longuement. Ses muscles se décrispèrent progressivement, mais, même après son orgasme, elle sentit encore Melendil jouir, balançant d’épais chapelets de foutre.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que Melendil se relâcha longuement, pendant plus d’une minute. À chaque fois que sa queue semblait se calmer, une nouvelle vague le traversait, et il éjaculait encore, faisant même gonfler le ventre d’Alice. Cette dernière soupirait silencieusement, et l’elfe, après cela, sembla accuser le contrecoup de tout ce sperme en elle. Il s’écroula mollement sur elle, et mit quelques instants avant de s’écarter, et Alice se retourna vers lui, en lui souriant. Sa main se releva, et caressa son visage.
«
Ma foi... Haaaa... Je crois que personne n’avait encore jamais autant joui comme toi en moi, mon beau... »
Alice se rapprocha de lui, son ventre rebondi tapant contre son torse. Certes, elle avait imposé qu’ils tiennent toute la nuit, mais là, à le sentir éreinté, et elle-même rassasiée, avec son corps en sueur, ce cocon de chaleur et de sexe qui les unissait... Elle s’affala contre son torse, frottant son visage sur sa peau, sentant sa queue contre ses cuisses.
«
Je... Je t’aime, Melendil... Oh oui, mon aimé... »
Elle se pencha alors, et l’embrassa tendrement, longuement, tout en s’affalant et en se lovant contre lui. Elle se recoucha ensuite contre son torse, pleine d’amour... Et
débordant même d’amour.
Leur amour ne faisait que commencer... Alice l’aimait, très sincèrement, et très profondément. Et lui, elle ne le laisserait pas partir si facilement !
FIN