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[FINI] La Princesse et le Vagabond [Melendil]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 60 lundi 26 septembre 2016, 22:56:45

Ciri’ savait en effet pimenter les choses, et elle venait d’offrir à Melendil un défi... Un défi  un peu inutile pour le motiver, car l’elfe était déjà bien membré. Au moins, Alice n’avait pas menti quand elle avait confié à Ciri’ combien Melendil était doué au lit. On aurait pu croire que cet homme, beau comme un Dieu olympien, puisse avoir quelques faiblesses, mais il avait une queue magnifique, épaisse et longue. Quand Cirillia s’empala dessus, un long frisson de plaisir et de douleur la traversa, comme une vague terrible, tandis qu’elle poussait un long soupir, sentant les mains de Melendil se crisper sur ses hanches. Ce dernier soupirait également profondément, bien incapable de repousser les élans de plaisir qui le traversaient. Le désir hurlait dans sa poitrine, tout comme dans celle de Cirillia.

« Haaaa... Ouiiii... Hmmmmmm... Puuuutain, ouais, ta queue est si grosse, haaaaa, mon salaud... !! »

Elle poussait de profonds soupirs entrecoupés de jurons et de cris, faisant l’amour avec cette force et cette spontanéité qui la caractérisait. Dieu, Dieu, que c’était bon ! Ha, sentir ce membre remuer en elle, cet épais mandrin de chair, c’était... Hum ! Ciri’ sentait son trou se faire défoncer par la verge de son amant, et ses mains venaient se crisper sur ses épaules, le griffant légèrement, suffisamment pour lui faire mal, tandis que le lit, simple matelas utilisé dans une caserne militaire, grinçait furieusement sous leurs assauts.

Melendil n’était pas en reste, et, à sa manière, remuait également son bassin, donnant des coups de reins vers l’avant, ou usant de ses mains pour soulever et rabaisser le corps de Ciri’, en harmonie avec cette dernière. Et quel spectacle devait-il avoir ! Ciri’ se dandinait sur lui, faisant l’amour avec un homme comme elle avait toujours adoré le faire. Comme on pouvait le supposer, Cirillia aimait le sexe de manière sauvage, et elle avait deux positions privilégiées : soit dominer son amant en dansant sur lui, soit se faire prendre par l’arrière, en levrette. La position traditionnelle du missionnaire, par exemple, la fatiguait toujours un peu. Elle savait qu’Alice adorait ça, afin de se sentir écrasé par la suite sous les muscles et sous le poids de son amant, mais, pour elle, elle privilégiait davantage le mouvement, la rapidité, la force, et avoir une certaine forme de liberté corporelle. Se faire écraser sous un type couvert de sueur l’étouffait généralement, et, les rares fois où elle couchait dans cette position, une fois avoir joui, elle repoussait fréquemment son amant, que ce dernier se soit déchargé ou non.

Pour l’heure, Ciri’ se laissait aller, et finit par attraper les mains de Melendil, les guidant vers ses seins, durs, tendus, assoiffés.

« Hmmmm...Vas-y, palpe-les, pince-les, haaa... Explore mon corps comme tu explores celui d’Alice, hmmm... »

Cirillia était un peu plus corpulente qu’Alice, ce que Melendil devait sentir avec son corps. Pour autant, il s’en sortait bien... Et même terriblement bien. Sous les féroces coups de reins de l’homme, Cirillia haletait, mouillant énormément, recouvrant le sexe de l’homme, s’empalant parfois jusqu’à la garde, et se forçant alors à rester immobile pendant quelques secondes, juste pour sentir cette grosse queue écarteler son corps, avant de remuer ensuite.

« Hmmmmmmmmmmmm... Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! Melendil, hummmm... !! »

Oh oui, Alice devait vraiment prendre son pied avec lui. Cirillia, en tout cas, se régalait franchement !

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 61 mardi 27 septembre 2016, 13:51:16

Melendil éprouva un sentiment de fierté à voir les réactions de Cirillia, la terrible sorceleuse, qui nénamoins était en train de prendre son pied comme jamais en s'empalant sur sa queue. Il n'avait jamais douté qu'elle devait être une amante terrible, très vigoureuse, et elle le démontrait actuellement, et cela ne faisait qu'augmenter la sensation de satisfaction qu'il avait à faire plaisir à cette femme. C'était objectivement un peu idiot, mais c'était de la pure fierté masculine que de tout simplement s'assurer que sa partenaire prenait son pied, et c'était ici bel et bien le cas.

Huuum...Ah Ciri !

Coucher avec une sorceleuse comme elle était une expérience bien différente d'avec Alice, dans le sens où il lui resterait des marques. Emportée par son plaisir, la femme le griffait en s'agrippant à ses épaules, ce à quoi l'elfe répondait en amplifiant la dureté de ses coups de reins. Il était rare qu'il se montre aussi "violent" dès les premières minutes d'un coït, surtout qu'il avait l'habitude, avec Alice, d'explorer au préalable beaucoup son corps pour l'exciter au maximum, avant de lui faire fougueusement l'amour. Ici, il n'y avait rien de tout ça. Cirillia avait imposé un rythme plus direct et franc, que Melendil ne pouvait que suivre, c'était intéressant et plaisant, mais malgré ça, il était certain qu'il préférait de loin coucher avec sa délicate mais néanmoins perverse princesse. C'était là une simple question de préférence.
Pour autant, l'elfe ne bouda pas son plaisir, et appréciait chaque frottement, chaque mouvement de Cirillia qui remuait sur lui avec une vitalité très impressionnante. L'effort physique que cela demandait était intense, et il devait avouer qu'Alice n'était pas à même de réaliser la même chose quand elle prenait cette position. Leur union ici était sauvage, et, avide de sentir Melendil la toucher, Cirillia prit alors les mains de l'elfe dans les siennes pour les amener sur ses seins.
Suivant les désirs de sa partenaire, Melendil se mit à les palper avec ses doigts, les moulant à l'aide des paumes de ses mains. Puis, au bout d'un moment, l'elfe usa de sa force pour se redresser, tout en laissant Cirillia continuer de le chevaucher. Il se retrouva donc avec le visage juste à hauteur des seins de la sorceleuse, et s'attaqua à l'un de ses têtons, le suçant et le mordant à l'occasion. Cela lui laissa une main libre qu'il pu glisser dans les dos de la sorceleuse, jusqu'à son joli cul qu'il empoigna fermement.

Hmmmmf...

Melendil avait beau tâcher de se retenir, ce qu'il faisait déjà depuis un moment de fait, la frustration et l'envie de jouir se faisaient de plus en plus forte, et cela lui donna à ce moment la force d'inverser les rôles. Balançant Ciri vers l'arrière, il se redressa alors tout en la maintenant contre lui, posant ses mains sur ses fesses. L'exercice était physique, car Cirillia étant une guerrière, elle avait une corpulence plus conséquente que celle d'Alice. Il parvint toutefois à la soulever, en se levant lui même, toujours enfoncé en elle, et il alla en grognant la plaquer dos contre l'un des murs de ce dortoir. L'ayant ainsi coincée entre lui et le mur, Melendil entreprit alors de la baiser fortement, le visage fourré dans son cou dont il mordait la peau, et inévitablement, il finit par se vider en elle.

Aaaaaaaah...

Pressant fermement ses mains sur le cul de la sorceleuse, Melendil cracha de multiples filets de sperme dans son vagin, et donnait à l'occasion de bref et puissants coups pour stimuler encore son éjaculation, qui dura un bon moment avant que finalement il ne la libère. Se décollant légèrement d'elle, l'elfe avait son torse couvert de sueur, mais même si sa queue avait perdu de sa dureté, il était évident que ce n'était qu'une question de temps avant qu'il ne soit prêt pour d'avantage, du moins si la sorceleuse le désirait.

Une minute de répis Ciri', et onpeut reprendre si tel est ton désir. En revanche, je te laisse choisir de quelle façon. Si je n'ai plus besoin de demander à sa majesté ce qu'elle préfère, ce n'est pas ton cas. En tout cas coucher avec toi est...l'équivalent d'un entraînement intense, je dois l'admettre.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 62 mardi 27 septembre 2016, 16:57:33

Ciri’ voulait réveiller la bête qui dormait sous ce beau romantique, car elle savait que Melendil pouvait être un amant terrible. Si Alice se confiait beaucoup à Mélinda, il lui arrivait aussi de parler de ses aventures sexuelles à Cirillia, vu que, après tout, Ciri’ l’avait défloré. Et, même si la sorceleuse était assez exigeante avec elle, Alice pouvait compter sur elle. Elle lui avait donc raconté que Melendil n’était pas juste qu’un « bellâtre », mais aussi un amant redoutable au lit, capable d’être particulièrement vigoureux. Il fallait juste le motiver un peu, et, à sa manière, c’était ce que Ciri’ était en train de faire. Elle ne le faisait toutefois pas consciemment, mais plus en le stimulant, mélangeant douleur et plaisir, tout en continuant à danser sur sa queue. Son membre, épais, disparaissait en elle, et le lit continuait à craquer sous les coups de reins de Melendil. Il suivait le rythme, mais manquait d’amplitude, car c’était Ciri’ qui était au-dessus, et la sorceleuse savait que l’elfe ne supporterait pas ça éternellement. C’était un homme d’action, elle le voyait dans ses yeux. Il maltraitait ses seins, les malaxant fermement, pinçant et tirant sur ses tétons, faisant doucement gémir Ciri’, dont le corps continuait à danser sur le sien.

Et, soudain, Melendil se redressa, et embrassa directement l’un de ses seins, glissant sa langue, et mordillant ce dernier entre ses dents.

« Haaaa... !! »

Gémissant de plaisir, la sorceleuse crispa ses mains sur les cheveux de l’homme, serrant son corps contre le sien, ce qui eut pour effet de ralentir un peu ses bourrades, du fait de leur proximité. Elle serra ses doigts, et, plutôt que de chercher à remuer, choisit, au contraire, de stimuler davantage le mâle-Alpha en face d’elle, en s’immobilisant sur place. Elle resta ainsi collée contre lui, sentant sa magnifique verge en elle.

*Mon Dieu, il a une de ces bites... ! Mais qu’est-ce que tu attends ?!*

Melendil banda alors ses muscles, et réagit, en se redressant. Le lit gémit une nouvelle fois, et Cirillia heurta violemment un proche mur, ses jambes rebondissant dans le vent, avant de se serrer autour de son bassin. Leurs lèvres s’embrassèrent nerveusement pendant quelques secondes, entre plusieurs soupirs, une mèche de cheveux rebelles venant se glisser le long du visage de Ciri’, sa main se crispant sur la nuque de l’homme, l’autre sur son épaule... Puis, en la prenant contre le mur, Melendil fit alors ce que Cirillia souhaitait.

Il la baisa férocement, haletant et grognant, le corps de Ciri’ rebondissant contre le mur. Attisant le désir et la frustration de Melendil, Ciri’ l’avait amené dans cette idée, et se mordilla les lèvres, cherchant à retenir ses hurlements, devant tous ces coups de pilon... Oh, oh, que c’était lourd ! Qu’il était fort ! Elle sentait son torse heurter le sien, la plaquant contre le mur, revenant en arrière, l’emmenant, ses mains fermes et douces se crispant sur ses cuisses, griffant sa peau, faisant claquer la chair.

Sous ce traitement, Cirillia ne put se retenir, et eut un magnifique orgasme, rapidement rejointe par Melendil, qui se répandit en elle.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaannnn... !! »

Elle soupira profondément, avant d’appuyer sa tête contre le torse de l’homme, respirant profondément, avant de l’entendre parler. Devant sa réflexion, elle ne put que sourire, et redressa un peu son visage, restant néanmoins toujours blottie contre son corps.

« Mais... D’où crois-tu qu’Alice tienne son endurance, justement ? Elle est très feignante quand il s’agit de s’entraîner physiquement, mais quand j’entraîne son corps, sexuellement parlant, elle est la plus motivée des élèves. »

Ciri’ lui sourit à nouveau, tout en restant lovée contre lui, un choix qui la surprit elle-même. Elle frotta  même son visage contre les pectoraux de l’homme, avant de lui offrir un petit commentaire :

« Tu as vraiment un corps exceptionnel, tu sais... Habituellement, je n’aime pas ça. La proximité après le sexe. Je sens les poils, les mecs qui bavent à moitié... Mais toi, tu as une peau à la fois douce et musclée, c’est très agréable de s’y poser. Oh, je suis sûre qu’Alice doit l’embrasser et la lécher longuement. »

La connaissant, c’était même plutôt l’inverse qui l’aurait surpris. Ciri’ reprit donc son souffle, et enchaîna alors sur autre chose :

« Va pour une pause... Mais il te reste encore un trou à visiter, n’essaie pas de te défiler. »

Ciri’ se décolla alors du corps de l’homme, et reposa ses pieds sur le sol, puis s’écarta lentement de lui. Elle reprenait son souffle, chancelant légèrement, le corps secoué par les coups de reins de l’homme, et lui offrit brièvement la vue de son dos, avant de se retourner. De la sueur coulait le long de son corps, et elle soupira.

« Alors, je t’avais promis de te confier le fantasme d’Alice, n’est-ce pas ? Comme nous n’avons pas encore fini, je vais te confier un indice... Mélinda arrive la semaine prochaine, et restera ici pour quelques jours. Et elle viendra en compagnie de son frère, Bran. »

La jeune femme se tut ensuite, esquissant un léger sourire amusé. Elle en avait assez dit pour l’heure.

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 63 lundi 30 janvier 2017, 13:17:00

Il y a encore quelques semaines, la perspective de coucher avec Cirillia aurait effrayé Melendil, pour qui la redoutable sorceleuse était presque hors d'atteinte en plus de le dominer à bien des aspects. Ce n'était pas totalement faux, mais elle s'était révélé plus abordable qu'il ne l'aurait crû derrière ses airs de femme intransigeante, et c'était probablement pour cette raison qu'elle demeurait une proche d'Alice, même si cette dernière détestait leurs entraînements.
L'elfe resta quelques temps à soutenir Ciri contre lui, après qu'il aient tous les deux eu un bel orgasme. Il tira même une certaine fierté d'être parvenu à la faire hurler de plaisir, surtout que Cirillia n'était clairement pas du genre à simuler. Elle lui fit même quelques compliments, ce qui ne manqua pas de le faire sourire.

Oh si tu savais, lorsque je suis avec Alice, elle est telle une sangsue...ce qui n'est pas pour me déplaire.

C'était une différence qu'il pouvait d'ailleurs bien sentir maintenant qu'il était en train de coucher avec Ciri', ce besoin d'un temps de repos ne se manifestait pas chez lui quand il besognait sa majesté. Malgré la fatigue, malgré quoi que ce soit, Melendil offrait toujours à Alice de longues et intenses parties de jambes en l'air, surtout depuis qu'il avait un peu fini par comprendre qu'il pouvait se laisser aller à être plus entreprenant, et faire preuve de plus d'ardeur.
Il fini toutefois par se retirer doucement du corps de Ciri', et prit place sur l'un des lits de ce baraquement. La respiration lourde et le corps en sueur, il ne lui faudrait toutefois pas longtemps avant de reprendre du poil de la bête, surtout avec Cirillia dans la même pièce que lui, le corps complètement nu, qu'elle lui offrait sans la moindre gêne. La femme avait de toutes façons bien fait savoir son désir de continuer, et lui suggéra même à demi-mots que la prochaine étape serait de la sodomiser. Melendil, qui avait alors eu l'occasion de palper son cul, et qui l'observait maintenant, n'était naturellement pas contre cette demande.
Cirillia capta toutefois son attention quand elle lui lâcha un indice sur le fameux fantasme d'Alice, qu'elle lui avait promis de révélerà l'issue de leur étreinte. Mais comme ils n'en avaient pas encore fini, il n'eut droit qu'à un indice vague, car venant d'Alice, un tas de fantasmes pouvaient incluer son amie Mélinda Warren ainsi que son frère Bran, le tout incorporant sa propre personne.

Tu m'aides un peu...tout en me laissant dans le flou le  plus complet, ce que tu me dis réduit à peine les possibilités, vu l'imagination débordante de sa majesté.

Il se mit rapidement à pousser un rire. Le regard perdu sur le corps de Ciri pendant un instant, il essaya de réfléchir à ce qu'elle pouvait bien vouloir précisément, mais il ne trouva pas et abandonna rapidement. A sa décharge, il avait face à lui une superbe femme nue qui voulait qu'ils baisent, et le sexe de Melendil commença rapidement à se tendre de nouveau.

Je ne trouverais pas par moi même, du moins pas dans l'immédiat, tu troubles mes capacités de réflexion à être là, nue devant moi.

Il se redressa alors et s'approcha de la sorceleure. Il se blottit contre elle en posant ses mains sur ses hanches, puis il alla l'embrasser, tandis que se sexe de nouveau assoiffé frottait contre le bas-ventre de la femme.

Je pense qu'il sera tout simplement plus simple que tu me donnes la réponse entière...une fois qu'on en aura fini. Si je ne m'abuses, tu avais émis tantôt le désir de me sentir dans ton postérieur qui m'a l'air...très acceuillant.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 64 lundi 30 janvier 2017, 21:29:36

Melendil, nu, avoua avoir du mal à saisir ce que Cirillia disait, tout en observant son corps. Cette dernière sourit. Nue, elle était restée debout, laissant le bellâtre se reposer en s’asseyant sur le lit. Melendil était beau en toutes circonstances, mais, là, avec ce corps en sueur, ses joues légèrement rouges, les cheveux plaqués sur son corps, Ciri’ le trouvait encore plus magnifique. Elle frissonnait sur place, et aurait été bien déçue que l’elfe veuille s’arrêter là. Elle estimait lui avoir fourni suffisamment d’indices pour trouver ce à quoi elle faisait allusion, mais, comme lui-même le signala peu de temps après, la vue du corps nu de Ciri’ ne manquait pas de le troubler, l’empêchant de réfléchir consciemment, et elle sourit. Melendil se redressa ensuite, et embrassa rapidement la sorceleuse, qui frémit, et posa ses mains sur le torse de l’homme, caressant ses muscles, glissant le long de sa peau douce et chaude, savourant le contact de ses lèvres et de ses muscles. Leurs langues remuèrent ensemble pendant quelques secondes, avant que l’elfe ne revienne à la question de la sodomie.

Ciri’ sourit donc, et hocha la tête.

« Oui... Si tu arrives à me faire jouir, je te confierai ce fantasme, Melendil... »

C’était un sacré enjeu, car Melendil était profondément amoureux d’Alice, et désirait certainement, plus que tout, la combler. Et là, Cirillia lui en offrait l’occasion, pour peu qu’il arrive à s’en montrer digne, et à la satisfaire comme la femme le voulait. Ils s’embrassèrent donc, puis, après cette étreinte, Ciri’ s’écarta, et alla s’appuyer contre le mur, écartant les jambes. Elle avait choisi sa position, et bomba ses fesses en se courbant vers l’arrière, tournant ensuite la tête de côté, comme pour lui faire signe de venir.

« Viens, Melendil, viens... Je veux te sentir en moi... »

Et il vint donc. L’homme pouvait voir ses magnifiques fesses, et Ciri’ soupira en sentant la langue de l’homme se glisser en elle, filant contre sa croupe, dilatant sa porte arrière, avant de se redresser. Elle sentit le torse de l’homme heurter son dos, ses mains se poser sur son corps, glissant contre son sein,  s’appuyant dessus... Puis le soupir de Ciri’ mourut dans sa gorge quand l’homme se glissa en elle. L’elfe la pénétra par l’arrière, la faisant couiner. La sorceleuse se mordilla les lèvres devant la férocité et l’intensité de cet instant, son corps se soulevant sur place, avant de se rabaisser, et de la prendre encore.

Dans la sodomie, Ciri’ aimait la brutalité du geste, et c’était pour ça qu’elle avait choisi de se faire prendre debout. Elle voulait sentir Melendil se crisper contre elle, heurtant sa chair, claquant son corps au sien, les deux corps remuant ensemble, frénétiquement et lourdement.

« Hmmmm... Haaaaa... !! »

Melendil remuait dans son dos, et sa bouche se posait dans le creux de son cou, léchant sa peau, la mordillant parfois, ajoutant à cette sodomie un zeste excitant de brutalité et de violence, totalement conforme à ce que la sorceleuse voulait. Elle grognait et soupirait, ses seins rebondissant contre le mur, son intimité laissant des traînées de mouille à chaque coup de reins. Il la prit encore, s’enfouissant progressivement ne elle, soulevant parfois le corps de Cirillia, avant de la relâcher, et elle continuait à gémir et à grogner. Ce n’était pas une sodomie particulièrement rapide, vu leur position respective, mais brutale et lourde, intense et puissante.

Ciri’ le sentait contre elle et en elle, jusqu’à ce qu’il finisse par s’abandonner, au bout de plusieurs minutes. Elle adorait l’entendre grogner, racler, la besogner, forçant le passage, souffrant comme elle devant l’étroitesse de ce cul, et la difficulté qu’il y avait à manœuvrer dedans. C’était terrible, jouissif, monstrueusement bandant, et ce fut donc avec plaisir que Ciri’ atteignit, elle aussi, l’orgasme, répandant sa mouille le long du mur et sur le sol.

En définitive, ils terminèrent à nouveau sur le lit, se laissant tomber dessus, Cirillia dans les bras de Melendil, leurs corps collés l’un contre l’autre, Ciri’ posant sa tête sur le torse de l’homme. Elle sentait le cœur de Melendil battre rapidement, et se redressa un peu, une main sur son torse.

« Alors, tu ne vois toujours pas... Ce que peut être le fantasme de Sa Majesté Alice ? »

Ciri’ sourit encore, et l’embrassa sur les lèvres, brièvement.

« C’est pourtant simple... Et, comme tu m’as magnifiquement déboîté le cul, je vais te le dire... »

La sorceleuse respirait lourdement, et reprit encore, en déposant un nouveau baiser sur la joue de l’elfe, approchant ensuite ses lèvres de son oreille :

« Toi et Bran... Ensemble dans le même lit... Avec Alice entre vous deux... »

Difficile d’être plus clair, non ?

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 65 mercredi 19 avril 2017, 12:52:12

Melendil avait passé le reste de l'après-midi en dehors du château, dans les forêts environnantes, seul, à réfléchir. En l'espace de peu de temps, Cirillia lui avait appris beaucoup de choses, qui changeaient radicalement  sa façon de voir les choses. Mais pour celà, il avait besoin de temps à être seul, et à digérer tout ce qu'il avait appris. Il se trouvait toujours dans une situation un peu compliquée, entre son amour pour Alice, et l'impossibilité évidente qu'il y aurait pour elle à se contenter d'un seul amant. On ne disait pas d'Alice qu'elle avait du sang de dragon dans les veines pour rien, et Melendil se demandait même si il ne fallait pas prendre cette expression au sens propre du terme, tant la princesse pouvait se montrer...vigoureuse.

La question, pour lui, considérait donc à déterminer si, définitivement, il était capable de séparer distinctement l'amour qu'il éprouvait pour Alice, et le fait qu'il ne serait jamais le seul à partager sa couche. Cela faisait déjà quelques mois que Melendil était certain de ses sentiments à l'encontre de la princesse qui l'avait accueilli dans sa cour, mais le caractère très volage d'Alice et ses propres considérations de la fidélité, l'avaient dissuadé de les lui avouer. Et puis, elle était encore mariée, même si ce n'était désormais plus pour très longtemps. Le divorce proche ainsi que les dires de Cirillia, qui affirmait avec le plus grand sérieux qu'Alice était tout autant amoureuse de lui, changeait drastiquement la donne, et les cartes étaient désormais entre ses mains.
Melendil passa de longues heures dans ces grandes forêt, tout en ne perdant jamais au loin de vue la forteresse où il devrait de toutes manières revenir ce soir. Il devait après tout aller visiter son altesse dans sa chambre après son repas, afin qu'ils passent la nuit ensemble.

Le soir venu, Melendil s'était effectivement préparé pour rejoindre la princesse. Il avait au préalable mangé, et pris un bain, afin d'être dans un état présentable après son entraînement suivi d'une longue balade introspective en forêt. Pour la première fois toutefois, il se trouvait en état de stress. Il avait pris sa décision tantôt, et comptait la faire savoir à Alice ce soir même. Il n'avait plus l'intention de se cacher désormais.

*Je l'aime, c'est réciproque...je crois qu'il est temps que nous soyons honnêtes l'un envers l'autre.*

Et comme il fallait bien que l'un des deux ose se lancer, Melendil avait bien l'intention de prendre les devants. Il ne portait qu'une simple chemise et un pantalon de toile, comme à son habitude les soirs où il allait dans la chambre d'Alice, car il savait qu'il ne porterait pas ces vêtements longtemps.
Quoiqu'un peu plus longtemps cette fois, vu qu'il avait l'intention de lui faire sa déclaration d'amour, ainsi que sa demande en mariage.
Il se sentait particulièrement fébrile, et effrayé, à l'idée de le faire. Mais il savait aussi qu'il devait saisir sa chance maintenant. Ne serais-ce que pour la simple raison que, il en était certain, Cirillia le tabasserait si il laissait à d'autres l'occasion de demander la main d'Alice. Il approcha donc de la porte de la chambre, où Alice devait déjà se trouver, et l'ouvrit délicatement avant de rentrer.

Votre Majesté ? Votre humble serviteur est ici...

L'humour, l'humour pour masquer le fait qu'il était aussi fébrile qu'un vierge sur le point d'avoir sa première fois.
Il tenait en plus, dans le creux d'une de ses mains, une petite bague en or qu'il avait acheté à un joailler local, avant de rentrer au château. Il y avait passé la totalité de ses soldes de ces derniers mois.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 66 mercredi 19 avril 2017, 13:54:57

Il était désormais fréquent qu’Alice passe ses soirées avec Melendil. Quand elle ne dormait pas chez ses amies (comme Mélinda, ou encore Tinuviel), elle se reposait chez elle, et Alice avait adopté l’habitude de Mélinda, qui était de ne jamais dormir seule. Ainsi, à Sylvandell, il arrivait parfois qu’elle dorme avec Cirillia, mais, très fréquemment, c’était Melendil qui la suivait. Et, comme on pouvait s’y attendre, leurs nuits étaient très chaudes. Ce soir, Alice savait que Melendil allait venir, et se sentait donc assez excitée. Mine de rien, son bel amant était un homme envers qui elle s’était attachée fortement. La Princesse se confiait peu, et masquait la tristesse qu’elle ressentait depuis que Sakura était partie. Elle avait eu l’occasion de faire son deuil, et avait appris que Mélinda était maintenant mariée. Alice se sentait paradoxalement heureuse et... Jalouse... Pour elle. Ce n’était toutefois pas une chose qu’elle disait facilement, et Mélinda lui avait assuré qu’elle rencontrerait, elle aussi, quelqu’un.

« Comme ce fameux Melendil... J’attends toujours que tu me le présentes, ma chérie, lui avait-elle dit.
 -  Je ne sais pas s’il sera d’accord...
 -  Allons, quel homme ne m’aime pas, voyons ? »


Alice se rappelait fugacement les conversations qu’elle avait pu tenir avec Mélinda, tout en songeant encore à l’elfe. Bizarrement, depuis quelques jours, elle avait commencé à regarder qu’elle songeait de plus en plus à lui. Et là, elle sentait son cœur remuer de plus en plus rapidement dans sa poitrine en l’attendant. Ils avaient mangé ensemble, à la table royale. Tywill acceptait de plus en plus la présence de Melendil, ce qui, en soi, était une très grande avancée. Et Alice lui avait proposé de venir chez elle ce soir... Comme souvent.

Maintenant, il ne devrait plus tarder... Et c’était précisément en se disant ça qu’elle entendit taper à la porte. Assise sur le bord de son lit, Alice portait sa nuisette blanche, ainsi que de longs gants blancs fins, et des jarretelles de même couleur. Son bel amant entra, faiblement vêtu, et elle sentit ses joues s’empourprer brièvement. Il se présenta rapidement, et Alice se redressa, puis lui sauta dessus, et l’embrassa rapidement, une main sur ses cheveux, ses seins s’enfonçant contre son torse.

« Ce... Ce n’est pas bien... De me faire patienter ainsi, Melendil... »

Non pas que l’homme soit particulièrement en retard, en réalité, mais il fallait bien une excuse pour justifier ainsi de lui sauter dessus. Les mains d’Alice se dépêchèrent de lui retirer son haut. Melendil, qui avait un message important à lui dire, allait donc devoir attendre un peu... Car les ardeurs de la Princesse passaient avant tout le reste.



« Haaaa... »

Assise à califourchon sur l’homme, au milieu de son lit, Alice reprenait ses esprits. Elle avait furieusement dansé sur son corps, et lui souriait maintenant, avant de se pencher vers l’avant, caressant son torse avec ses mains, un baiser venant se plaquer sur ses lèvres.

« Alors... Ça s’est bien passé, avec Cirillia ? Elle n’a pas été trop méchante avec toi, j’espère ? »

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 67 jeudi 20 avril 2017, 12:22:01

Melendil se rendit rapidement compte qu'il n'allait pas pouvoir faire sa demande en mariage dans l'immédiat. A peine avait-il passé le seuil de la porte, qu'Alice s'était levée de son lit pour venir le rejoindre, et littéralement lui sauter dessus. Melendil la rattrapa en l'entourant de ses bras, et partagea avec la princesse un baiser court, mais intense. Il ne lui en fallait pas plus pour comprendre que sa belle princesse avait envie de lui, maintenant, et que toute tentative pour essayer de s'y soustraire était vouée à l'échec. On ne disait pas non à Alice quand cette dernière avait autant envie de vous avoir dans son lit, on se laissait porter.
Fugacement, Melendil avait alors glissé la bague de fiançailles dans la poche de son pantalon, juste avant que Alice ne lui retire son haut. La princesse était belle, et quand elle démontrait autant son envie de faire l'amour, cela ne pouvait pas laisser le bel elfe indifférent, qui l'avait alors pris dans ses bras pour la porter jusqu'au lit.

Un long moment plus tard, Melendil se trouvait allongé sur ce même lit, nu, son sexe profondément enfoui dans l'intimité de la princesse. Ils avaient fait l'amour passionnément, et Alice avait voulu finir cette première vague en le chevauchant. Elle venait de jouir, et lui aussi, et c'était l'heure d'une petite pause avant la reprise plus que probable de leurs ébats. Melendil adorait particulièrement ces petits moments où Alice se montrait douce, câline, n'hésitant jamais à se lover contre lui comme elle le faisait actuellement, et le sujet de Cirillia vint, ce qui arracha un sourire à l'elfe.

C'était terrible, j'ai bien crû que j'allais hériter de nouvelles cicatrices, même si je ne pense pas que tu aurais été fondamentalement contre...

Il faisait référence à la manie qu'elle avait d'embrasser ou de caresser les sillons qu'il avait dans la peau, dans le dos ou sur le torse, et qui n'était pas pour lui déplaire. Alice demeurait à califourchon sur lui, baissée de façon à ce que leurs visages soient proches, et l'elfe en profitait naturellement pour caresser le corps de sa belle, principalement ses deux belles fesses rebondies.

J'ai même essayé de plaider ta cause envers elle, mais elle semble convaincue que ses méthodes d'entraînement sont les seules capables de te motiver. Mais à dire vrai, nous avons également beaucoup parlé.

Il poussa un soupir, puis, tendrement, il pivota sur lui même de façon à amener Alice à s'allonger sur le lit, il se trouva couché à ses côtés, et la regarda un moment, avant de caresser l'une de ses joues avec sa main.

J'ai...j'ai quelque chose à te dire Alice, de très important. J'avais l'intention de te le dire dès mon arrivée mais, les envies de sa majesté étantce qu'elles sont...

Il lui fit un sourire malicieux, puis se redressa du lit, tournant momentanément le dos à Alice.

J'ai du réfléchir toute l'après-midi à comment te l'annoncer, et même si j'allais oser le faire...c'est le genre d'aveux qui change la vie d'un homme à jamais.

Un nouveau soupir, long, profond, il se retourna alors vers elle, et l'observa silencieusement pendant quelques secondes. Les dernier instants de réflexion, avant de finalement oser, enfin, se lancer. Il tendit sa main à Alice pour l'amener à s'asseoir sur le rebord du lit, puis se mit à genoux devant elle.

Alice...j'aime autant te prévenir, je suis vraiment le pire qui soit pour les déclarations solennelles, j'espère que...que tu me pardonnera le côté quelque peu improvisé de cette demande...

Dans la paume de sa main, se trouvait une belle bague en or, celle qu'il avait acheté plus tôt dans la journée.

J'ai longuement hésité. Incertain des sentiments que tu pouvais éprouver à mon encontre, incertain de mes propres capacités à oser venir à toi...et je n'en suis d'ailleurs toujours pas certains actuellement, de ça, y'a juste des moment comme ça...où il faut savoir se jeter à l'eau je suppose.

Melendil lui tendit alors la bague.

Alice Korvander. Moi, Melendil, votre humble servant...vous demande tout aussi humblement en mariage, aussi improbable que celà puisse paraître. j'ai eu beau retourner la question dans tous les sens, prendre en compte tous les risques que ça impliquait, la réalité est que je suis fou amoureux de toi Alice. Au delà du fait que je ne sois qu'un vaurien et toi une belle princesse, je t'aime.
Je sais que ça sort de nulle part, mais Ciri'...m'a ouvert les yeux, sur pas mal de choses. Je suis prêt à accepter de tout partager avec toi, y compris notre lit, car une femme ayant du sang de dragon dans les veines ne saurait se contenter juste de moi. Je suis même prêt à accepter, d'au moins essayer, de réaliser ton grand fantasme qui me concerne moi et Bran Warren, et même à prendre le risque d'avoir Tywill Korvander comme beau-père.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 68 jeudi 20 avril 2017, 13:24:52

Alice, sur ce point, fonctionnait un peu comme Mélinda. C’était d’elle qu’elle avait pris cette habitude d’alterne discussions et câlins intenses, car c’était une chose que Mélinda faisait fréquemment. C’était d’ailleurs au cours de leurs ébats qu’elles avaient parlé de Melendil, alors qu’Alice reprenait ses forces. Paradoxalement, le fait de faire l’amour l’aidait à clarifier son esprit, en faisant partir ses envies sexuelles, son désir, pour lui laisser sa libre capacité de réflexion. Melendil était bien forcé de suivre le rythme, car, quand Alice avait envie de lui, il ne pouvait guère que s’exécuter... Non sans plaisir.

Ils avaient donc fait l’amour, et ce n’était que le début de leurs ébats. Naturellement, Alice se renseignait sur Cirillia, et elle sourit quand il évoqua d’éventuelles nouvelles cicatrices.

« Tant qu’elles ne sont pas sur ton visage, c’est l’essentiel. Je ne pourrais jamais pardonner à Cirillia d’entailler une si belle tête... »

Melendil avait effectivement quelques cicatrices sur le torse et sur le dos, et il était fréquent qu’Alice les lèche ou les embrasser. Alice avouait elle-même que c’était une manière de le guérir de ses blessures. Elle sourit ensuite quand il affirma avoir voulu plaider sa cause devant Cirillia, et gloussa même, tout en fourrant son visage dans le creux de son cou, venant embrasser sa peau.

« Si tu tends le dos pour te faire battre, aussi... »

Alice savait que Cirillia voulait la former, et qu’elle n’aimait pas l’oisiveté de la Princesse, ou son talent naturel pour se soustraire à leurs entraînements, ou la mauvaise foi manifeste dont elle faisait preuve quand Ciri’ la forçait à s’entraîner. Il expliqua ensuite que lui et Ciri’ avaient beaucoup parlé, et écarta alors Alice. Le sexe de l’homme se libéra ainsi de ses cuisses, et elle se retrouva à côté de lui, avant de sentir le changement. Habituellement, Melendil serait venu sucer ses seins, ou aurait plutôt fourré sa tête entre ses fesses, pour une sodomie habituelle.

Mais, au lieu de ça, il resta à côté d’elle, une certaine gravité pouvant se discerner dans ses yeux... Avant même qu’il ne se relève. Alice cligna des yeux, surprise, en se redressant un peu, et le vit se retourner, prêt à lui faire une déclaration solennelle... Il se mit à genoux, et Alice, surprise, ne pipa mot. Elle le vit sortir une bague, puis se mit à parler. Des mots qui se voilèrent. Elle ne comprenait pas tout, mais saisissait l’essentiel. En fait, une sorte d’explosion sentimentale eut lieu dans la tête d’Alice, noyant ce qu’elle pensait.

Confusion, surprise, étonnement...

*Vraiment ?*

On aurait pu s’attendre à ce qu’elle lui rie au nez. Lui, un simple servant, vulgaire prisonnier, demanderait la main de la Princesse de Sylvandell ? L’affaire était digne d’un conte de fées ! On en imaginerait déjà le titre : « La Princesse et le Vagabond », l’histoire improbable d’un elfe renégat et d’une Princesse se décrétant leur amour mutuel.

« Melendil... »

Elle sourit alors, les joues rouges, un sourire plein de tendresse. La main gantée de la Princesse se rapprocha de l’homme.

« Mets-là à mon doigt... »

Lentement, précautionneusement, les mains de l’homme glissèrent la bague. C’était une magnifique pièce de joaillerie, dorée, et Alice releva la main, l’observant pendant quelques secondes. Elle était sertie d’une pierre précieuse en obsidienne, et la Princesse sourit donc, puis le regarda encore, avant de se pincer les lèvres.

« Elle est magnifique... Tu es fou d’avoir déboursé une somme pareille. »

Elle reprit alors, malicieusement :

« Surtout qu’il suffisait que tu me dises vouloir me faire l’amour avec Bran pour que je te prenne sans hésitation comme mari, Melendil. »

Elle sourit, puis se laissa alors tomber, et finit à genoux devant lui. Ses mains allèrent caresser les joues de l’homme, et leurs regards se croisèrent encore.

« Melendil », reprit-elle plus sérieusement.

Alice inspira à nouveau.

« Je te veux comme époux, Melendil. C’est une chose à laquelle je pense depuis plusieurs jours, en fait... Mais tu sais ce que j’ai vécu avec Sakura. Tout ça... Ça m’a rapproché de mes amies, et je ne veux pas d’une frontière entre toi et elles. »

On pouvait trouver le raisonnement puéril, mais Alice accordait une grande importance à son amitié avec Mélinda, qui avait toujours été là pour elle, l’avait toujours encouragé, aimé, et cajolé.

« Si tu es prêt à faire ça, Melendil, alors... Oui, mille fois oui, j’accepte d’être ta femme ! »

Elle l’embrassa alors, comme pour officialiser leur union, et poursuivit le baiser pendant quelques secondes, avant de conclure :

« Mais tu vas devoir beaucoup assurer au lit, par contre. Tu t’en sens capable ? »

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 69 dimanche 20 août 2017, 20:20:46

Melendil avait eu à vivre bien des situations stressantes dans sa vie, dont de nombreuses où il avait bien failli la perdre, mais étrangement, peu semblaient arriver à la cheville de cette situation là, où lui un roturier elfe était en train de demander en mariage une princesse humaine. Sans les conseils de Ciri', plus tôt dans la journée, Melendil ne se serait d'ailleurs jamais risqué à faire une telle demande, tant il s'estimait un piètre concurrent face à des princes ou des ducs, mais dans le même temps, la première femme d'Alice avait été une ancienne esclave. Cela ne l'empêchait toutefois d'être en proie au doute, surtout dans les quelques secondes de silence qui suivirent sa déclaration, où il resta à genoux devant Alice en lui tendant sa bague de fiancailles.
L'elfe sembla, durant tout ce temps, sur le point d'avoir une crise cardiaque...jusqu'à ce qu'Alice, tendrement, ne lui sourie en lui demandant de lui mettre la bague au doigt. Melendil eu besoin d'une ou deux secondes, le temps que l'information ne remonte à son cerveau, avant qu'il ne se mette à son tour à sourire. Il prit délicatement la main d'Alice dans l'une des siennes, tout en utilisant l'autre pour glisser la belle bague à son doigt. Il avait claqué la quasi totalité de sa solde de ces derniers temps dans cette bague, et encore, le joaillier lui avait fait un prix lorsque Melendil lui avait avoué à qui il comptait tenter de l'offrir.

Tu sais ce qu'on dit Alice...quand on aime, on en compte pas.

La princesse descendit alors du rebord du lit, où elle était précédemment assise, pour venir se placer à genoux juste en face de lui, tout en plaisantant sur le fait qu'une telle bague n'aurait pas été nécessaire. Melendil lui sourit, mais tout en sachant pertinemment que quand bien même, il lui aurait néanmoins offert cette bague, ne serais-ce que pour la symbolique, et l'immense plaisir qu'il venait de ressentir à la lui passer au doigt, et par essence...d'en faire son épouse en devenir. Elle posa néanmoins une condition, qui lui fit lancer un regard amusé.

Alice, pour tous les défauts que tu peux probablement lui trouver, sache que Cirillia n'est pas étrangère au fait que j'ai osé te demander en mariage. Elle m'a...ouvert les yeux, sur certains sujets, des sujets sur lesquels j'étais peut-être un peu vieux jeu, je le conçois. Je sais que le sang Korvander en est un qui déchaîne les passions, j'ai pu le constater à plus d'une reprises après tout...et je ne serais pas là pour essayer de te brider, je te le promets.

Cela n'avait pas été immédiatement aisé pour Melendil de l'intégrer, du fait des multiples partenaires qu'Alice avait en plus de lui, mais il ne pouvait désormais nier que la princesse faisait clairement la distinction entre le sexe et l'amour, qui pouvaient se mêler, mais n'étaient pas exclusifs. La façon dont elle l'embrassa, par la suite, lui confirma qu'il y avait quelque chose en plus, entre eux deux. Et à l'issue de ça, elle lui arracha un einième sourire quand elle lui demanda si il se sentait d'attaque pour assurer au lit en tant que son époux.

Tout à fait capable...mon aimée.

Melendil se redressa alors, tout en saisissant Alice dans le creux de ses aisselles pour l'emporter avec lui. Nu, les muscles bandés, légèrement couverts de sueur, Melendil était loin d'en avoir fini avec la princesse, et encore moins maintenant qu'elle venait d'accepter sa demande en mariage. De fait, depuis qu'il couchait très régulièrement avec elle, Melendil avait été bien "obligé" de gagner encore en endurance pour pouvoir la satisfaire. Melendil bougea, emportant Alice dans son élan, et alla la plaquer dos contre l'un des murs de la chambre, et plus spécifiquement une partie qui était couverte d'une large tapisserie, afin de ne pas la plaquer directement contre un mur froid et dur.

J'espère que tu n'a pas prévu de dormir ce soir Alice...

Melendil comptait en effet bien lui prouver encore d'avantage sa qualité d'amant exceptionnel, et commença en glissant ses mains sur ses fesses pour la soulever, l'amener à passer ses jambes autour de sa taille. Son sexe, bien droit, bien dur, fila directement dans l'intimité encore bien trempée de son altesse, et il commença alors la la prendre vigoureusement.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 70 lundi 21 août 2017, 00:53:13

Alice était touchée. Émue… Melendil prenait ça très au sérieux, et le fait qu’il lui ait acheté cette bague le prouvait. Certes, elle était gênée de savoir qu’il avait dû tant dépenser (car elle se doutait bien du prix de ce bijou), mais, en même temps, flattée. Ses joues avaient rougi, et elle réalisa même que ses yeux s’étaient embués. Alice avait pleuré. De joie, bien entendu, pendant qu’elle l’embrassait, et se pinça les lèvres. Melendil avait parlé avec Cirillia, ce qui l’interpella un peu.

*Qu’est-ce qu’elle a bien pu lui raconter ?*

Mais, visiblement, cette conversation avait eu un effet bénéfique, puisqu’elle avait amené Melendil à réaliser que… Alice sourit en comprenant ce que, timidement, l’homme essayait de dire. Que le sang Korvander « déchaînait les passions », ce qui, ceci étant dit, était tout à fait exact. Les héritiers d’Erwan Korvander avaient été connus pour leur passion et leur foudre guerrière. Chez Alice, cette passion s’exprimait différemment, et elle ne doutait pas que Cirillia lui avait parlé de ça. Melendil était un amant magnifique, exceptionnel, et, quand Alice pensait ça, elle ne se limitait pas qu’à ses performances sexuelles. Il avait beau être auparavant un vagabond, elle savait qu’il était très romantique, et très motivé. Il était un garde qui travaillait dur, s’entraînait régulièrement, et tâchait de lire beaucoup, comblant autant que possible ses carences culturelles. Alice savait depuis le début que, pour être aussi dur à la tâche, Melendil avait une motivation profonde en lui.

Et il venait de la lui déballer. Ils s’embrassèrent donc, et Alice sentit comme quelque chose se débloquer dans son cœur. Personne ne connaissait ses sentiments, mis à part Mélinda. Il n’y avait guère qu’avec elle qu’Alice se confiait totalement. Elle lui avait donc parlé de Melendil, de ce bel elfe, mais avait toujours redouté qu’il ne lui avoue son amour… Parce que, au fond d’elle-même, Alice ne voulait pas le choquer. C’était idiot à dire, mais Alice avait pris goût au sexe, et ne voulait pas que l’amour soit comme un lien qui la retiendrait. Mélinda, toutefois, avait toujours les bons mots à dire, et elle lui avait fait une proposition dans le creux de l’oreille. Elle lui avait rappelé que l’Ordre Immaculé n’avait pas encore étendu sa morale religieuse à Ashnard, et qu’il y avait des moyens de s’assurer qu’un couple reste fidèle, tout en ayant plusieurs amants.

Alice n’eut toutefois guère l’occasion de s’étendre là-dessus, car Melendil s’empressa de la soulever. Elle frémit en sentant ses mains se poser sur ses fesses, la soulevant.

« Hmmm… !! »

Melendil la redressa, et s’avança rapidement, l’envoyant heurter un mur. La Princesse gémit, et crispa ses doigts sur le dos de l’homme. Sans la présence de ses gants, elle l’aurait solidement griffé, car elle sentit sa queue s’enfoncer brusquement en elle, remontant d’un coup en elle. Alice gémit longuement, et, pendant plusieurs minutes, fut tout simplement incapable de parler. Il y avait… Tout simplement trop d’émotions, trop d’intensité d’un coup.

« Haaaa… Hmmmm… !! »

Seulement des gémissements, pas de mots ni de bruits. Elle se serrait contre lui, et sentait sa queue continuer à la prendre, la labourer. Ils venaient de faire l’amour avant, mais c’était comme si rien ne s’était passé. En lui déclarant sa flamme, Melendil avait déclenché une flamme plus forte qu’aucun autre feu n’ayant jamais brûlé dans son corps. Même quand Mélinda était venue la voir en compagnie de White et de Rose, et que les deux femmes s’étaient allongées à droite et à gauche d’elle, et l’avaient attaché au lit, et s’étaient embrassées sous son nez, asséchant sa gorge jusqu’à ce qu’elle en ait les larmes aux yeux, elle n’avait pas ressenti… Une telle intensité, une telle soif, une telle énergie. C’était comme si le dragon en elle avait déployé toutes ses ailes, et flamboyait dans sa poitrine.

Melendil la bourra pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce qu’Alice n’ait un orgasme… Et, quand elle se relâcha contre lui, sa main se posa sur son torse. Elle le caressa, son pouce glissant sur son téton, et embrassa à nouveau son fiancé, puis poussa soudain en avant… Et Melendil se retrouva à terre, couché sur un tapis. Alice se redressa alors, à califourchon sur lui, maintenant toujours sa queue en elle. En lui souriant malicieusement, elle se pinça les lèvres, et continua à caresser tendrement son beau torse parfait. Elle avait déjà embrassé, léché, et même mordillé, chaque centimètre carré de ce corps, et, pourtant, elle ressentait toujours la même attirance en le voyant, et en le palpant.

« Je veux te rester fidèle, Melendil… Pour ça, il existe à Ashnard une vieille coutume liée aux couples. On dit que, quand un homme couche avec une personne qui n’est pas sa femme, il propose à sa femme de coucher avec cette personne. Alors, dans notre cas… Il vaut mieux que tu aies les reins fidèles, car je compte bien respecter cette tradition ancestrale… »

Tout en disant cela, elle s’était lentement penchée vers lui, sourire malicieux aux lèvres, et l’embrassa tendrement, faisant claquer ses lèvres contre les siennes. Alice se redressa ensuite lentement, enfonçant bien ses cuisses contre le sexe de l’homme. Si on la regardait derrière, on pourrait voir son dos se creuser pendant qu’elle se relevait, avec ses longs cheveux blonds tombant en cascade sur son corps.

« Tu m’as mis le feu comme jamais auparavant, Melendil… Alors, si tu veux ma main, tu vas devoir me baiser… Et me baiser encore, jusqu’à ce que l’aube se lève. Si tu continues à me prendre et que le soleil éclaire ma chambre, alors je t’épouserai. »

Un sacré défi… Mais qui serait contre l’idée de coucher avec une femme comme Alice jusqu’à l’aube ?
« Modifié: lundi 21 août 2017, 12:42:25 par Princesse Alice Korvander »

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 71 lundi 21 août 2017, 17:59:36

Alice avait également réveillée quelque chose chez Melendil en acceptant sa demande en mariage, qu'il n'aurait pas cru possible jusqu'à la toute dernière seconde. L'elfe était persuadé qu'il aurait du passer les prochaines années en proie à une frustration dont il ne pourrait jamais vraiment se défaire, et il en était donc d'autant plus heureux que son rêve de ces derniers mois se réalise. Il n'y avait rien de plus revigorant qu'une déclaration d'amour, et une demande en mariage, qui étaient réciproquement acceptés. La suite logique était donc qu'ils fassent l'amour, même si le terme de "baiser" allait sembler bien plus approprié. Au cours des mois qui avaient suivi l'entrée de Melendil au service d'Alice, il s'était peu à peu rendu compte que la princesse, si elle n'était pas contre le fait de faire l'amour de façon "romantique", était en réalité bien plus friande des fois où Melendil se lâchait sur elle. Là, à la façon dont il était en train de bourrer sa chatte étroite, on ne pouvait nier qu'il avait bien fini par le comprendre, et qu'il appliquait à la lettre les désirs de sa majesté...de sa désormais fiancée. Cette perspective de devenir son mari enchantait tellement Melendil qu'il était en train de la baiser avec une énergie renouvelée. Leur premier ébat de la nuit avait été certes contentant, mais Melendil avait couché avec elle tout en ayant un poids sur la conscience, alors que désormais il était le plus heureux des hommes, ce qui se ressentait clairement dans les coups de reins rapide, vigoureux, qu'il lui donnait pour s'enfoncer en elle.

Hmmmm...A-Alice...

Lui aussi ne pouvait guère aligner plus de deux mots cohérents, car outre le plaisir virulent qu'il ressentait à s'enfoncer frénétiquement dans ce corps, Melendil devait également s'assurer de sa prise pour qu'il ne la lâche pas. L'elfe passa quelques minutes à allègrement butiner l'intimité d'Alice avant que celle-ci ne finisse par jouir contre lui, suite à quoi, elle les fit se basculer en usant de son poids. Melendil, par réflexe, parvint à se réceptionner au sol, et son trouva allongé sur un tapis, avec Alice à califourchon sur lui. Ces derniers mois avaient vu également un enhardissement de la princesse quand à sa volonté, par moments, de prendre le contrôle, et dans ce genre de cas il n'y avait rien que Melendil ne puisse faire pour contrer une princesse ayant du sang de dragon dans les veines. Il savait qu'en faisant ça, Alice voulait soit prendre la main, soit lui dire quelque chose qui ne pouvait attendre, et ce fût effectivement le cas, tandis qu'elle caressait son torse musclé avec ses délicates mains.
Et elle lui parla d'une tradition Ashnardienne concernant les couples mariés qui était pour le moins...intéressante, qui ne manqua pas de le faire sourire.

Oh...je vois, il est en effet heureux que ces mois passés avec toi aie bien améliorés mon endurance alors.

Mais au delà du fait de coucher très régulièrement avec Alice, Melendil était surtout parvenu à sympathiser avec quelques commandeurs de Sylvandell, dont un plus particulièrement qui l'avait, plus ou moins, pris sous son aile pour lui enseigner certaines techniques de méditation et de contrôle de soi. Si cela l'aidait entre autres lors de ses entraînements, l'autre effet était que Melendil parvenait à bien mieux contrôler les pulsions de son corps, entre autres, voire même surtout, lorsqu'il faisait l'amour, parvenant à repousser le moment de l'orgasme jusqu'aux limites acceptables par son corps. Un savoir qui, à n'en point douter, allait trouver toute son importance ici, surtout quand Alice lui énonça son défi. Le ton qu'elle avait employé surtout, ne laissait aucun doute, Melendil ne pensait pas l'avoir déjà vue avec une telle lueur de désir dans le regard.

Défi accepté, votre altesse.

L'elfe posa alors ses mains sur les hanches de la princesse, et poussa de façon à l'amener à légèrement se redresser sur ses genoux, ce qui fut suivit immédiatement après par un puissant coup de rein. La queue de Melendil était de fait en partie sortie de l'intimité chaude d'Alice, et il venait de brusquement redresser son bassin pour s'enfoncer à nouveau en elle, jusqu'à la garde.

Et j'ai...bien l'intention de gagner ce droit...

Melendil commença alors à redonner de puissants coups de bassin, en l'abaissant et en le relevant avec des coups secs, qui ne manquaient pas de faire pleuvoir la mouille de la princesse.
La baiser toute la nuit, à ce rythme, allait être épuisant mais...
Mais que ne ferait-on pas pour une personne qu'on aime ?

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 72 lundi 21 août 2017, 19:44:41

En vivant à Sylvandell, Melendil avait appris bien des choses, notamment que cette contrée humaine avait des racines elfiques. Jadis, il n’y avait rien d’autre ici qu’un très ancien sanctuaire elfique, les elfes considérant cette terre comme sacrée, car étant le siège d’un grand affrontement entre les dragons dorés et le redoutable Dragon Noir Alduin. Cette légende était connue des Sylvandins même, et justifiait en grande partie l’existence de leur alliance. Melendil avait donc tout à fait sa place ici, à côté d’Alice. En ce moment, il n’y avait plus aucun doute dans son esprit, plus aucune question. Elle ne ressentait qu’un amour féroce en se dressant au-dessus de cet homme, ce délicieux voyou romantique qui allait la tringler sévèrement cette nuit. Pour autant, et alors qu’elle se tenait au-dessus de lui, elle était curieuse, et même troublée… Car sa queue restait toujours aussi dure, alors qu’elle avait joui… Ce qui voulait dire qu’il se retenait. Autrement dit, il n’avait pas encore joui, et Alice savait qu’il n’avait pris aucun aphrodisiaque, ni aucune des potions spéciales que Mélinda lui fournissait pour entretenir le désir sexuel.

*Impressionnant…*

Alice avait entendu dire que Melendil s’entraînait avec un Commandeur, Sire Dontos. Dontos était connu pour passer beaucoup de temps auprès d’îles exotiques, et pour avoir des origines semi-elfiques, qui lui avaient permis de maîtriser des techniques de respiration et de concentration. Il expliquait souvent que, si les francs-tireurs elfes étaient si adroits, c’est parce qu’ils savaient limiter les tremblements nerveux de leurs mains en contrôlant les rythmes de leur respiration. Mais on disait aussi que Dontos utilisait cette technique sous des applications particulières, qu’il avait appris dans les harems exotiques. Dontos avait probablement dû en parler à Melendil, Alice ne voyait aucune autre explication.

Cette soirée promettait donc d’être intéressante, passionnante. Elle soupira en sentant brusquement les mains de Melendil se poser sur ses hanches, avant d’appuyer dessus.

« Haaa… »

Melendil se redressa alors, et Alice partit brièvement en arrière, avant de s’appuyer sur ses épaules, et de poser ses jambes sur le sol, en les pliant à hauteur du genou. Elle sentit alors l’homme donner des coups de reins. Du fait de sa position, ils n’étaient pas aussi rapides qu’auparavant, mais plus profonds, plus appuyés, plus… Ardents. Usant de ses muscles, il soulevait le corps d’Alice, et l’abaissait sur sa queue, la faisant gémir et hurler à chaque coup, tout en provoquant des bruits de claquement spongieux à chaque fois que la queue de l’homme tapait contre ses parois internes. Crispant les mains sur ses épaules, Alice accompagna les mouvements de l’homme, en gémissant encore.

« Hmmmm… Me-Melendil, haaaa… Ta queue est… Si bonne, hnnnn… !! »

Elle filait d’avant en arrière, accompagnant ses mouvements. Si elle avait pris les devants pour lui proposer le programme de la soirée et de la nuit, Melendil la connaissait suffisamment pour savoir qu’il allait désormais pouvoir agir comme bon lui semblait avec elle.

« P-Prends-moi, haaaa… Ouiii… Hmmmm… B-Baise-moi fort, Me-Melendil… »

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 73 mardi 05 septembre 2017, 13:17:25

Ce soir, Melendil avait bien l'intention de se surpasser avec Alice, et de lui offrir une nuit qu'elle ne serait pas prête d'oublier. Même sans ce défi que la princesse venait de lui lancer, l'elfe était de toutes façons tellement excité qu'ils auraient quand même fait l'amour toute la nuit, mais celà rajoutait un petit peu de piment au tout. Melendil levait et abaissait son bassin pour continuer à pénétrer sa fiancée, si sa position allongée de lui permettait pas de faire des va et viens rapides, il donnait en revanche de puissants coups, brusques, pour s'enfoncer au plus profond du vagin de sa future épouse. Chaude et humide, sa chatte l'acceuillait encore une fois avec plaisir, même si il avait l'impression que quelque chose était différent cette fois. Rien qui ne soit physique toutefois, c'était juste qu'après s'être enfin avoués qu'ils s'aimaient, et que leur désir mutuel de se marier était enfin sorti...Melendil était libéré d'un poids qui lui pesait sur la conscience depuis maintenant des semaines, si ce n'est des mois.

Hmmm...Alice...

Les mains du bel elfe serraient fougueusement les hanches de sa belle princesse, ses doigts s'enfonçaient volontiers dans sa chair pour maintenir une prise forte sur elle, ce qui était nécessaire pour qu'elle reste à peu près en position, vu les puissants coups de reins qu'il lui donnait. A ce stade, Alice laissait son côté dominatrice de côté pour s'offrir pleinement à elle. Ce moment finissait toujours par arriver, lorsque la princesse se laissait submerger par son désir, et par son envie de se faire baiser sauvagement par son bel éphèbe. La princesse était prête pour le "plat principal".
Melendil se redressa alors, son visage venant  à la rencontre de celui d'Alice pour aller l'embrasser, tout en déplaçant ses mains sur ses fesses. Il les empoigna fermement tout en poussant un long soupir, alors qu'il entreprit de se relever, tout en gardant Alice contre lui, son sexe toujours bien enfoncé en elle. Au prix d'un bel effort, l'elfe se redressa pour se trouver debout, et Alice se trouva à nouveau perchée contre lui, les jambes enroulées autour de sa taille. Leur lit était proche, mais le temps de marcher, ça n'empêcha pas Melendil d'user de ses mains pour faire remuer le corps de la princesse contre lui, pour continuer à se perdre en elle, le temps qu'ils atteignent leur lit.
Large, et avec un matelas, des couettes et des oreillers très confortables, il était un endroit classique mais très agréable pour faire l'amour, et de fait, les servants du château savaient bien que la princesse avait besoin à l'issue de chaque soir de draps frais, tant il était utilisé pour ses galipettes nocturnes. Nul doute qu'à l'issue de cette soirée, les draps auraient encore plus besoin d'être  changés.
Melendil posa lourdement Alice sur le rebord du lit. D'abord assise, l'elfe la fit rapidement s'allonger, mais tout en lui maintenant son bassin juste au niveau du rebord du lit. Melendil prit alors les jambes d'Alice, et tandis que, debout, il s'approchait d'elle en pliant un pue els geoux, pour approcher à nouveau son sexe de son intimité, il leva alors les jambes de la princesse, pour les poser sur chacune de ses épaules, où elles pouvaient se reposer.

Mon amour...

Il n'eut que la force de prononcer ces deux mots, d'une voix lourde, avant qu'il ne s'enfonce à nouveau en elle. Melendil bien entendu se retenait de jouir, grâce aux techniques de contrôle de la respiration que le Commandeur Dontos lui avait enseigné, mais un tel exercice était...douloureux. Rien toutefois d'insurmontable, du moins pour le moment, celà ne faisait d'ailleurs que motiver Melendil à prendre sauvagement son amante et future femme, car la frustration l'incitait à le faire.

Oh A-Alice...

Moins prompt que la princesse à gémir ou à parler pendant l'acte, Melendil était aussi pleinement concentré sur le fait de lui faire l'amour tout en se retenant lui même de jouir, ce qui requiérait une certaine concentration. Il était concrètement bien plus focalisé sur le plaisir d'Alice que sur le sien, qu'il avait toujours un peu considéré comme secondaire.
Et puis...la récompense était de la sentir et de la voir jouir...une des plus belles récompenses qu'on pouvait avoir.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 74 mardi 05 septembre 2017, 13:56:45

Alice était vraiment folle de joie aujourd’hui. Sa journée avait bien commencé, mais elle se terminait de façon idyllique, lui donnant l’impression de flotter dans un magnifique rêve, quelque chose dont elle aurait aimé ne jamais avoir à sortir. Melendil l’aimait, et était prêt à l’épouser... Et elle aussi. Elle en était sûre plus qu’elle ne l’avait jamais été. Il n’y avait pas que la beauté de Melendil, il était aussi... Proche d’elle. Et puis, elle avait toujours eu un faible pour les vagabonds. Non seulement ça énervait les prétendants officiels, mais elle leur trouvait une honnêteté qu’elle ne voyait pas ailleurs. C’était surtout ça qu’elle aimait chez son bel elfe : son honnêteté. Elle savait qu’elle pouvait lui faire confiance. Ce qu’elle ressentait envers lui ne se limitait pas qu’à son corps parfait, ou à leurs multiples séances de sexe. Il y avait quelque chose de bien plus profond, une harmonie forte qui ne demandait qu’à s’exprimer davantage, et qui allait se développer sous le mariage et leur amour mutuel.

Melendil la souleva alors, et Alice gémit, crispant ses cuisses contre le corps de l’elfe. Elle n’avait pas menti. Il allait devoir lui faire l’amour jusqu’à l’aube, et, la connaissant, Melendil devait déjà savoir qu’il allait être poussé au-delà de ses limites. Pour autant, et même si la Princesse avait des pilules aphrodisiaques pour lui, Melendil était bien décidé à retenir autant que possible ses orgasmes, de manière à pouvoir honorer sa future femme autant que possible. Il y avait de quoi en être émue, et, de fait, le cœur d’Alice remuait nerveusement dans sa poitrine. Elle se pinça les lèvres, et laissa l’homme la porter vers le lit, en profitant pour l’embrasser. Sa démarche fut donc un peu maladroite, ralentie par le corps de la jeune Princesse, qui se pressait contre son corps, et l’embrassait volontiers, goûtant à ses lèvres.

« Me-Melendil, haaaa... »

Sans attendre plus longtemps, le bel elfe porta sa femme jusqu’au rebord du lit, et la dépose sur ce dernier, avant de la faire basculer en arrière, de courber les genoux, et de soulever ses jambes en les écartant. Alice cligna des yeux, et se pinça les lèvres en frémissant légèrement.

« Oh, mon chéri... »

Alice savait ce qu’il allait faire. Fort heureusement, la tête blonde était extrêmement souple, et ça, ils allaient pouvoir le constater par eux-mêmes, encore.

« Ouiii... Haaaa... Baise-moi... Baise-moi fort, hmmm... »

Et c’était exactement ce à quoi elle avait droit. Elle se mit à gémir et à soupirer, sachant que, grâce à cette position, Melendil pouvait  la prendre encore plus. Très concentré, son amant soupirait lentement, sans rien, se délectant des soupirs et des gémissements d’Alice, qui se tortillait sur le lit, les joues rougies par le plaisir, laissant ce dernier se déferler joyeusement en elle, avec envie.

« Hmmmmmmmmmmmm... Hmmmmmmmmmmmmmm... Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! » soupirait-elle longuement, fortement excitée.


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