Les réflexes, ce qu’elle venait de mettre en branle dans son corps d’esclave fraîchement obtenue, c’était les réflexes, l’instinct primaire se détachant enfin du corps de cette terranide et lui criant la vérité qu’elle n’aurait jamais du oublier, celle qu’elle était née et faite pour obéir a ses quatre volontés et que tant qu’elle ferait cela elle ne connaîtrait jamais le malheur. Evidement Don lavait le cerveau sans aucun scrupule a ses victimes en leur injectant ce genre de traumas entre les deux oreilles, et il ne s’en sentait pas coupable le moins du monde, continuant a appliquer sa besogne sans sourciller. Don était quelqu’un de très méticuleux, il n’aurait pas donné a Lunéa l’occasion de le vampiriser, surtout au niveau de son sexe. Il avait entendu dire que le plaisir procuré par la morsure d’un vampire était supérieur a l’orgasme, néanmoins il n’avait pas envie de devenir vampire et de le découvrir par lui même. Il laissait ça a des clients désireux de le connaître par eux même, le plaisir de l’orgasme seul lui suffisait amplement.
Il continua sa basse besogne donc, commençant a aller et venir dans la bouche de Lunéa, il lui lança
« Je crache sur les filles arrogantes comme toi qui croient que leur situation et leurs pouvoir vont les protéger de tout. Personne n’est a l’abri de rien. Mis a part toi qui bientôt sera a l’abri de tout, quand tu reconnaîtra ton statut d’objet tu n’aura plus aucun soucis a te faire. »
Fit le marchand d’esclave en souriant avant d’accélérer les coups de reins
« Regarde toi, tu y prend plaisir, sans que je ne te demande rien. Ose nier que je te force maintenant ? »
Il finit par se retirer de sa bouche, il fallait garder un peu de plaisir pour plus tard, et il aurait tout le temps de lui faire goutter ce qu’il préparait pour elle, il la coucha devant lui et calla son organe devant son sexe, Lunéa pouvait le sentir, présent, frétillant contre son entrée, Don se pencha sur son dos et lui susurra a l’oreille
« J’arrive. »
La laissant prendre toute conscience de ce qu’il venait de dire il entra en elle d’un coup sec