Saeko aimait vraiment la poitrine de Voodoo : elle suçait avec avidité les tétons, les tirant légèrement avec sa bouche pour ensuite les relâcher. La mutante n'avait jamais vraiment compris l'intérêt que pouvaient porter les mâles à ces glandes mammaires dont la taille variait d'une femme à l'autre ; en ce qui la concernait, elle avait été généreusement dotée, un peu trop même, ce qui avait coutume d'attirer les regards masculins (ainsi que féminins) mais n'était pas toujours pratique : elle devait acheter des soutiens-gorges de grande taille et en avait un peu marre que la plupart du temps, ne la regardait pas dans les yeux... Ceci dit, cette poitrine opulente avait quand même son utilité : dans le cadre de son travail, cela lui permettait de récolter une belle liasse de billets à la fin de chacun de ses shows ; par ailleurs, elle était assez efficace quand il s'agissait de détourner l'attention.
Quoi qu'il en soit, la petite Saeko savait y faire aussi bien avec les seins de Voodoo qu'avec son propre organe qui pilonnait le vagin de sa partenaire avec entrain. La danseuse descendit une main vers les fesses de l'écolière, agrippant l'une d'elles ; l'autre suivit le même chemin. Sa bouche ne resta pas inactive : tantôt ses lèvres rencontraient celles de la futanari et elles s'embrassaient avec passion, avec ferveur, tantôt ses dents mordillaient son cou, le lobe de ses oreilles, une épaule, la pointe de ses seins (quand Saeko se redressait un peu)...
Puis Saeko se mit à pousser des cris intenses tandis que son membre explosait, déversant sa semence dans l'intimité de Voodoo ; cette dernière se mit à hurler son tour et ce fut un véritable concert de gémissements, de grognements et de râles de plaisir qui allèrent decrescendo, se muant en halètements, soupirs, murmures...
La mutante serrait Saeko dans ses bras, savourant ce moment délicieux qui suivait le coït. Elle qui n'avait jamais connu les étreintes physiques était comblée ; elle jeta un regard de gratitude à sa compagne qui tout en caressant ses seins, lui donnait des petits baisers dans son cou.
-C'était ... tellement bon ...
- Oui... C'était extra !
Elle sentait à l'intérieur de son vagin cette substance chaude et épaisse, elle en avait d'ailleurs un peu sur les cuisses qu'elle se mit à extraire avec ses doigts, contemplant les filaments de sperme et les porta à sa bouche : cela avait un petit goût salé mais pas désagréable. Elle recommença, farfouillant son intimité et s'aperçut alors qu'il y avait du sang mêlé à la semence. Évidement, elle avait oublié ce petit détail...
- Oups, je suis désolée mais je crois que j'ai un peu tâché tes draps...