Eh? ah bon? Tout à l'heure, tu disais que c'était pas permis, alors ...
Oh, je parlais en général... Mais pour toi, j'ai décidé de faire une petite exception.
Donc, profitant de l'autorisation de la danseuse, Saeko ne se fit pas prier pour toucher ses seins. Elle fit plus que simplement les toucher d'ailleurs : elle les caressaient, comme on caresse des beaux fruits bien mûrs, elle les pétrissait, comme on pétrit de la pâte à pain... Voodoo sentit à son tour ses tétons se raidir et elle poussa malgré elle un petit grognement de plaisir.
A vrai dire, c'était bel et bien la première fois qu'une personne posait ses mains sur elle et elle devait avouer que le contact de ces mains chaudes et fébriles sur son corps avait quelque chose de diablement excitant... La danseuse n'avait nullement le plaisir charnel en horreur, bien au contraire, mais elle avait un côté "porc-épic" ou "cactus" en elle qui l'avait toujours poussé à éviter toute intimité avec une personne.
Là, dans cette petite cabine, elle partageait enfin un moment intime avec quelqu'un et elle avait bien envie d'aller au-delà de quelques caresses. Toujours à califourchon, elle se cambra en arrière, de manière à offrit à Saeko une vue panoramique de sa voluptueuse poitrine, avant de ramener son buste en avant.
Voodoo déboutonna la camisole de sa "cliente", mettant davantage à l'air libre les globes ronds de ses seins : certes, ils étaient moins volumineux que les siens mais ils étaient capables d'éveiller bon nombre de fantasmes chez les hommes.
L'odeur qui émanait de l'entrejambe de la lycéenne devenait de plus en plus forte, emplissant l'air de la pièce (pour Voodoo en tout cas : une personne ordinaire n'aurait rien senti, ou presque) et la mutante sentit une douce chaleur envahir son corps. Une de ses mains se promena sur la poitrine de Saeko, toujours contenue dans son soutien-gorge, tandis que l'autre se dirigeait entre ses cuisses.
A travers le tissu de la culotte rose, ses doigts touchèrent une bosse. Elle ne marqua aucune surprise, se contentant, un léger sourire aux lèvres, les yeux mi-clos, de frôler doucement l'excroissance...