Liam avait assez joué, il ne souhaitais pas davantage s'amuser, ou du moins, ce serait bientôt le cas, il avait encore une ou deux idées à mettre en pratique avant de laisser l'eklfe ici, soumise à son propre sort, abandonnée de tous et de toutes, il ne tarderait pas à y avoir une meute de prédateurs qui lui grignoterait le corps peu à peu.
Elle espérait revoir son harem, hélas, ce fut une escouade de chasseurs aux ordres de Liam qui vinrent le retrouver. Et là, cela se déchaina, la vingtaine de chiens, excités par l'odeuyr du sang, était difficilement maitrisable, asussi, liam prit les devants et il ôta les pièces d'armure de la guerrière, il exhibait son trophée, nu comme un vers, aux yeux de tous.
Doucement, il finit d'abord ce qu'il avait commencé, il taillada l'arcade sourcillière sur toute sa longueur, avant de très lentement, taquiner de la pointe l'oeil de sa captive. Il avait une furieuse envie de l'énucler et ce, directement. Mais qui l'en empêchait ? Personne. Alors, pour s'amuser, et pour lui montrer qu'il était miséricordieux, il laissa son œil tranquille...pour lui trouer les oreilles, il dut forcer le passage, certes, mais il y parvint sans trop de peine.
Il comptait la donner aux chiens après, mais avant, il fallait une dern ière chose, il fallait qu'il fasse un dernier petit supplice, il voulait un trophée, il voulait faire mal en sachant bien qu'il garderait quelque chose d'elle. Une sorte de fa_çon de se rappeler en permanence chacune des emmerdeuses qui aviaent croisé son chemin.
Il prit l'un de ses seins et tira sur le téton autant qu'il put, pour enfin trancher dans le vif et le couper, au raz du mamelon, pour garder ce souvenir, oui, ce téton irait très bien dans sa collection...enfin, il trancha les cordes une à une avant de se tourner vers ses chasseurs.
« Lâchez les chiens ! »
Il ficha son poignard dans l'abdomen de l'elfe et se décala alors alors que la meute fondakit sur la ible à peine vivante. Il se mit en selle, suivit de ses hommes, et laissant les chiens à un hypothétique festin, il s'en alla, alors que les premuiers crocs s'enfonçaient dans sa chair.