La baise se veut de plus en plus brutale entre Mark et Yor. Si la salope que je connais si bien prend un pied fou, que dire de son partenaire qui semble être possédé par une énergie insatiable.
Désireux de pouvoir s'enfoncer aussi profondément qu'il le peut dans cette chatte, il les a fait basculer tous les deux sur le côté et s'est saisit immédiatement de sa cuisse gauche pour la soulever. Ce faisant, le membre imposant du grand black peut glisser de façon plus efficace dans ce qui ressemblerait presque à trou noir. On s'y fait aspirer mais dur de dire si on peut en ressortir.
Les sons de chair qui claquent l'une contre l'autre sont accompagnés de bruitages humides bien sales et qui semblent exciter un paquet de monde car très vite on peut entendre les bruits de pas de plusieurs personnes se rapprocher de la pièce où on se trouve.
Peut-être que je suis le seul à les avoir entendu car le duo ne prend aucune pause. Pire encore, on ne peut pas déceler le moindre ralentissement dans leurs gestes. Chaque coup de hanche est suivi d'un grognement et d'une giclée de cyprine.
En regardant bien on peut presque percevoir une légèrement déformation sur le ventre de Yor durant un très bref instant lors d'une poussée puissante et brutale de Mark qui est déterminé à se vider les couilles en elle. Ce n'est d'ailleurs qu'au bout de quelques minutes qu'il se rend compte qu'il s'est trompé de trou.
- Putain, c'est un truc de malade !Un des gardes du corps est complètement stupéfait par ce qui se déroule dans cette grande pièce. En me retournant dans sa direction sans m'arrêter de remuer du bassin dans la petite fente humide de Nea, je peux remarquer la présence d'une dizaine de gardes qui viennent d'arriver.
La quasi-totalité des effectifs qui se trouvaient à l'intérieur de la résidence est venue passer du bon temps en plus de vérifier si les bruitages dans leur radio n'était pas une plaisanterie.
A la grande surprise du reste du groupe qui vient de débarquer, l'un d'eux vire son pantalon comme s'il devait aller aux chiottes en urgence et bouscule celui qui se faisait reluire les burnes par Nea pour attraper le visage de la belle salope et y enfourner sa bite. Sa queue est dure, tendue... Le passage en force entre ses lèvres le fait soupirer durant de longues secondes et tout le monde devine que le salaud est en train de se vider les couilles dans sa bouche.
- Hoooo, putain ! J'en avais besoin !La chose est en train de partir en vrille et j'ai même pas encore fini de m'amuser autant que je le voulais.