Le calvaire s’amplifiait pour Aleksandra. Avec chaque action du jeune maître, elle se sentait de plus en plus mal à l’aise même si son corps voulait dire totalement l’inverse. Si elle n’avait eu cette phobie pour les mâles, elle aurait pu avouer qu’il était douer. Cependant à ce moment précis elle était surtout dégouté par lui et par elle-même. Le toucher chaud et humide de sa langue sur sa poitrine avait peut-être le don de faire durcir ses tétons et d’éveiller l’excitation dans son corps, dans l’esprit de l’esclave il n’en restait pas moins un homme comme les autres qui ne voulait qu’une chose de sa part. Et le pire pour elle c’est qu’elle se laissait faire et qu’elle avait même donner son consentement.
Au niveau de l’entre-jambe du jeune maître, sa main faisait d’abord quelques gestes assez étranges, très rigides, contrôlé par son stress, sa peur et son dégoût. Elle reprit cependant rapidement le contrôle sur ses pensées et sur ses gestes, sa main se faisant alors rapidement plus précise, ses gestes plus fluides, plus chaleureux, dans une volonté de lui plaire et de le satisfaire rapidement. Elle savait évidemment qu’il ne s’arrêterait pas a une main dans le pantalon, c’était trop peu pour un mâle, il voudrait plus et il ne se gênerait sûrement pas pour le prendre, au plus grand malheur de l’esclave.
A travers le tissu du sous-vêtements du jeune maître, l’esclave avait deviner les formes de son membres et le caressait avec une force suffisamment importante pour qu’il sente bien sa main mais bien sûre pas assez pour l’écraser ou lui procurer une mauvaise sensation. Voyant comment les choses avançaient du côté du jeune maître, elle savait qu’elle devait elle aussi augmenter son jeu. Sa deuxième mains venant en renfort, elle chercha à le débarrasser de son pantalon et du sous-vêtement, libérant ainsi au grand jour son membre. Le voyant ainsi libérer, sa première main revint s’occuper de lui après s’être débarrasser de ses gants blancs, sales et peut-être inconfortable pour lui.
Être désormais au contact direct avec la peau et le membre du jeune maître avait quelque chose d’encore plus sale qui dégoûtait tellement l’esclave qu’elle en grimaçait. Elle voulait simplement retirer sa main, partir loin et aller la laver mais elle se forçait à rester sur place, à la garder autour du jeune maître et à faire ce qu’elle avait accepté de faire. Elle avait commencé à le masturber doucement, profondément dégouté par son geste elle craignait de devoir aller plus vite ou d’avoir à agir avec plus de force et d’efficacité. Elle renforçait lentement son emprise sur le bâton de chair mais elle détournait très légèrement le regard, chose qu’il ne pouvait heureusement pas voir lorsqu’il était pencher pour atteindre la poitrine de l’esclave avec ses lèvres et sa langues.
Le corps de l’esclave répondait favorablement aux approches du jeune maître malgré toutes les supplications mentale qu’elle se lançait à elle même. Sa poitrine semblait apprécier le traitement qu’elle recevait même si l’esclave le refusait. Elle sentait naître au niveau de son entre-jambe une sorte d’excitation qui la dégoûtait. Elle ne pouvait pas nier qu’elle prenait un peu de plaisir dans la situation, un plaisir que son corps lui faisait plus subir qu’autre chose.
-Jeune Maître, voulez-vous que je… J’utilise ma bouche ?
Demanda-t-elle, toujours dans cette optique de le satisfaire rapidement puisqu’en vérité, sa demande la dégoutait profondément et elle ne savait pas si a l’instant ou sa langue toucherait le membre du jeune maître, son corps ne réagirait-il pas en vomissant.