Angéline termina son envoûtement. Madelyne aurait sans aucun doute pu la repousser avant, mais la succube avait déclenché en elle une telle vague de plaisir que la
Goblin Queen ne s’était tout simplement pas sentie le cœur à la repousser, appréciant ce long moment de plaisir et de joie. Tout son corps en frissonnait agréablement, et elle papillonnait des yeux, la respiration haletante. Tandis que la succube glissait sur son corps, l’embrassant en de multiples endroits, Madelyne avança l’une de ses mains, et titilla ses lèvres avec ses doigts, comme pour sentir, encore, les traces du passage de la succube.
Et elle mordilla ses lèvres quand la succube déposa plusieurs baisers mordants sur ses tétons.
«
Hnnn... !! » gémit-elle.
Le plaisir crut encore dans son corps, tandis qu’elle sentait Angéline filer tout le long de sa peau. Là, et encore là, et ici aussi, des baisers. Elle ne cherchait à négliger aucune partie de son être, ornant ses seins de multiples baisers et caresses sensuelles, pour descendre ensuite, jusqu’à se redresser. Elle laissait la femme rousse frétillante d’envie et de désir, , en se redressant, et en s’allongeant face à elle.
«
Diable... Tu m’auras fait la totale ce soir, Angéline... »
C’était une chance que Madelyne soit endurante, même si les deux femmes avaient quelque peu inversé l’ordre naturel des choses, commençant par la brutalité sauvage, avant de finir dans la douceur. Madelyne, elle, se contentait de se laisser porter par l’élégante succube, qui glissa ses jambes contre les siennes, optant pour la délicate
position des ciseaux. Madelyne posa sa main sur l’une des cuisses d’Angéline, et s’avança d’avant en arrière. La position était assez inhabituelle pour elle, mais pas inconcevable. Gémissant longuement, elle soupirait de plaisir, filant vers le bas en pliant ses jambes, puis les étira à nouveau, avant de revenir encore en arrière, tapant à chaque fois contre le bassin de la femme. Son bourgeon se heurtait aussi à sa fleur intime, provoquant d’étranges frissons, tandis qu’elles se masturbaient mutuellement.
Quand elles étaient collées l’une à l’autre, leurs mouvements se faisaient plus lents, plus chirurgicaux, plus précis, afin de bien se caresser. Les ongles de Madelyne se crispaient sur la peau de la femme, et elle continuait à onduler contre son corps, en haletant et en gémissant.
«
Haaa... An... Angéline, hmmm... ! »