Anaëlle Avait beau essayer de serrer les cuisses les liens qui l'entravait aux jambes l'empêchait à peine de bouger le genoux et elle sentis un corps étrangers la pénétrer. Le membre du masqué glissa à l’intérieur de 4 ou 5 centimètres. Il fut surpris de trouver humide le vagin de cette femme paniquée. Sortant, il savoura la sensation de la pénétrer à nouveau, lentement, jusqu’au bout. Il voulait qu’elle sente chaque centimètre de cette intrusion. Puis il commença sur un rythme régulier à la limer, ses hanches tapant son cul, sa bite s’enfonçant au fond du vagin encore et encore.
- Han ! Elle est bien humide et ouverte pour une saints Nitouche. Une vrais chienne en chaleur. Dit une voie probablement celui qui la pénétrait.
Tout d’un coup, le masqué en train de frotter son membre entre lesseins d'Anaëlle se contracta, jeta la tête en arrière alors que ses couilles se vidaient aspergeant sa prisonnière de sa sauce blanche. Une fois fini, il sortit son membre et céda la place à un de ses camarade. Le manège recommença de plus belle tandis que Anaëlle fut contrainte de toujours sucer des queues et encore des queues. C'était un épuisant marathon qu'elle subissait. Des dizaines de queues s'enchaînèrent à violenter sa bouche et sa gorge souvent par deux. Anaëlle eu bientôt le visage recouverte de bave et foutre venant de ses créatures sans pitiés.
- Prend tout cela grosse vache ! Ça t'en bouche un coin hein ! Espèce de sale roulure de merde ! Ah ! Ah ! Ah ! Demanda le prochain masqué prêt à fourrer sa queue dans la bouche de la jeune fille.