Le village maudit [Anaëlle Debu]

Le supplice dura moins longtemps qu’elle l’aurait cru, après l’avoir pris aussi violemment, la créature finit par éjaculer en elle. Anaëlle sentait l’épais liquide chaud lui remplir l’anus, au moins elle n’avait pas à le sentir une nouvelle fois dans sa bouche. Elle laissa échapper un long soupir de soulagement après qu’il se soit retiré et rhabillé, le liquide lui ressortait des fesses en d’épaisses flaques.

Avant de partir, l’autre lui avait lancé un morceau de viande, mais en le regardant elle n’y toucha pas. Mais ce n’était pas le fait que ce soit de la viande humaine qui lui faisait horreur, mais plutôt l’aspect de la viande, elle n’avait pas l’air d’être très saine et ne voulait pas tomber malade. Même si après avoir gouté au sperme de cet être dégoutant, tomber malade n’aurait pas dû être son principal souci, qui sait combien de cochonnerie pouvait se trimbaler dans le sperme d’une créature aussi négligée.

En se retournant vers le mur elle eut cependant une illumination, l’autre l’avait pris tellement fort que lorsqu’elle avait bougé, ses chaines s’étaient détachées du mur. Elle essaya donc de tirer sur le peu de chaine qui restait accrochée et réussit à se détacher du mur. Elle ne pouvait pas détacher ce qui lui cerclait les pieds, mais au moins elle n’était plus attachée.

Elle se leva donc en attendant assez pour laisser le temps à l’autre de s’en aller. Elle tenait les chaînes pour ne pas les faire tomber et ne pas faire de bruit, elle passa la porte de l’entrepôt avec succès, elle n’était pas fermée. Il était temps pour elle de s’échapper, mais elle ne savait pas où aller.

Anaëlle passât la porte pour tomber dans un couloir tout aussi crasseux menant vers une ouverture fermé par un simple rideau de plastique jaunâtre. N'entendant pas de bruit vu que cela semblait le seul passage possible vu que sa prison était à l'autre bot du couloir elle fut bien obligé de passé par là mais une fois le rideau de plastique passé une scène abominable se présenta sous ses yeux.

C’est un charnier, une salle remplie de cadavres, des empilements de corps, tous dans différents états de décomposition du cadavre nécrosé au tas emmêlé d’os et de tendons gluants disposé un peu partout dans cette salle et montant jusqu'au plafond. L’atroce odeur était omniprésente une vive odeur de putréfaction s’échappant des corps à en donner la nausée. Le charnier contient de nombreux corps, des deux sexes et de tout âge, certains sont habillés décemment, d’autres ne portaient plus que des lambeaux de sous-vêtements.

La pièce était vaste et plusieurs passages semblaient avoir été disposés pour permettre de circuler dans cette salle. Il semblait avoir d'ailleurs plusieurs sorties au fond à gauche et à droite de cette horrible salle. Alors qu'elle observait la jeune femme entendit des grattements et des grognements semblant provenir de plusieurs chiens mais les monticules de cadavre ne permettait pas de les localiser exactement par contre prés du rideau plastifier le pied d'Anaëlle heurta quelque chose de dur. Elle vis une grosse caisse à outil contenant des pinces, des tournevis une grosse pince coupante un marteau et une sorte de gros pistolet pneumatique qui semblait servir à planter des clous.

Anaëlle avançait doucement pour ne pas faire trop de bruit, ses chaînes ayant tendance à bouger un peu et à s’entrechoquer dans des cliquetis métalliques qui pourrait la faire repérer. En passant la porte de l’entrepôt, une forte odeur la repris, l’odeur de la viande découper et de la mort. Elle avait atterrit dans au milieu d’une pièce où les cadavres s’empilaient jusqu’au plafond, des cadavres d’animaux mais aussi d’humains. Cela horrifia la jeune fille mais elle ne pouvait pas rester là, à regarder, elle décida donc de tracer au travers du passage au centre des monticules de chair.

Son pied heurta quelque chose alors qu’elle se décidait à y aller et trouva une caisse avec pas mal d’outillage qui ne lui serait d’aucune utilité et qu’elle ne pourrait pas porter de toute façon. Elle prit quand même une pince coupante et le pistolet à clou, peut être qu'un tir bien visé d’un clou dans la tête pouvait blesser les monstres qui peuplait le visage même si elle en doutait et les pinces coupantes pourrait être la sortir d’une mauvais passe.

Avec ces deux nouveaux objets elle se fraya un passage jusqu’à la sortie de ce charnier, les chiens qu’elle entendait ne l’avait pas remarqué et c’était tant mieux, elle ne se serait pas sentit capable de lutter dans cette endroit. Elle se demandait ce qui allait bien encore pouvoir l’attendre.

En avançant et en évitant les chiens Anaëlle trouva une sortie barré par un autre rideau en plastique semi rigide il déboucha à ce qui ressemble à un abattoir. La salle était plus grande que le charnier et plus froide aussi. De nombreux cadavre de porcs étaient pendu par les pattes arrière par ce crochet et suivaient un rail qui les faisaient avancer lentement les un derrière les autres vers un passage obscur mais dont émanait un affreux bruit métallique de scie et d'os brisé. De nombreuses caisses et de cages étaient empilé un peu partout dans la salle et il y avait un établis. Anaëlle vis aussi une grosse porte en fer à double battant prés d'elle mais une grosse chaine rouillé avec un cadenas fermait la porte.

Anaëlle  vis qu'elle n'était pas seule non plus lui tournant le dos un grand type était en train de travailler sur l'établis. Il avait l'air plus humain que tout les autres mais balaise aux muscles noueux. Il semblait porter un tablier de cuir, un marcel taché et un vieux jeans. Anaëlle n'arrivait pas à déterminer ce qu'il faisait exactement vu qu'il tenait un hachoir et frappait quelque chose avec il semblait vouloir découper de la viande.

Alors qu'elle observais l'endroit Anaëlle entendit un grognement et elle vis une bête sortir du passage où disparaissait les carcasse de cochons pendus. Il s'agissait d'un gros chiens aux yeux rouge. Il était aussi hideux que les bipède vivant dans cette endroit. Il lui manquait des touffes de poils il était borgne et une de ses oreille était manquante. Ses crocs était immense. Il avait l'air de chercher sa pitance car il ce mis à chercher des bout de viande par terre et lécher le sang au sol s'approchant dangereusement de la jeune fille.

Anaëlle aurait préféré trouver un endroit plus calme afin d’avoir le temps de couper ses chaînes, car même si les fermoirs étaient trop difficiles à casser, la pince coupante pouvait tout de même couper les chaînes qui pouvait la trahir à tout moment en cliquetant au mauvais moment.

Elle regardait donc ce qu’il se passait dans ce nouvel endroit, c’était un abattoir à en jugeait des carcasses et de ce que faisait l’inconnu avec son hachoir. De l’autre côté de la pièce se trouvait la porte de sortie et la pince lui serait très utile puisque celle-ci était cadenassée.

Elle commença à se diriger vers son échappatoire lorsqu’elle entendit un des chiens à proximité d’elle. Elle savait que s’il la trouvait, ça en serait fini d’elle alors elle attrapa un des morceaux de viande qui trainait et le lança vers le chien qui se jeta dessus sans se demander d’où ça provenait. Le boucher ne semblait rien avoir remarqué et elle en profita pour se ruer vers la porte de sortie et utilisa les pinces pour l’ouvrir en coupant le cadenas.

Faisant le moins de bruit possible, elle sortit de l’endroit et se retrouva enfin dehors. Cependant, elle ne reconnectait pas l’endroit, ce n’était pas au même endroit que l’entrepôt où elle était tombée inconsciente ou alors c’était un peu plus loin. Elle était donc toujours autant perdue même en étant dehors. Elle en profita pour se cacher sur le côté pour couper ses chaînes avant de repartir. Elle était désormais libre, mais le danger était encore plus grand puisqu’elle avançait sans savoir où elle allait et à découvert

Par chance Anaëlle ne rencontra personne le village était affreusement calme et désert mais il commençait à faire un froid mordant et le fait qu'elle était nue ne favorisait pas pas la marche.

Alors qu'elle marchait la jeune fille semblait atteindre une des extrémité menant à l'extérieur du village malheureusement l'endroit était entouré de forêt ténébreuse. Anaëlle entendit au loin et au fond des bois des hurlement de bêtes sauvage et des bruits bizarre provenant de la ténébreuse forêt. Comble de malchance le temps commençait à ce faire menaçant. Le glacial qu'elle avait ressentis était le prélude d'un orage à venir.

Regardant autour d'elle Anaëlle vis pourtant plusieurs issue. Au loin dans la foret il lui sembla voir une lumière. Il y avait certainement une cabane ou une maison dans les bois. Elle vis aussi deux bâtiments qui ne semblait pas fermer à gauche et à droite prés de la sortie de la ville. A gauche Anaëlle vis un vieux temple Shinto. La zone menant au temple était recouvert de guirlande blanche de fétiche et de papiers de prière comme si cet endroit avait été consacré pour repousser l'invasion d'une armée démoniaque. Le temple n'avait néanmoins rien d'engageant. Il semblait très vieux et si fragile qu'il donnait l'impression qu'il allait s'effondrer à tout moment.

Le second bâtiment plus important ressemblait à un lycée ou une école. Il y avait un terrain de baseball envahis d'herbes folle dans la cour le bâtiment était aussi décrépis que les autres pourtant  Anaëlle vis que sa chaine à la grille semblait avoir été couper il n'y as pas longtemps et que sa porte principale plus loin avait été forcé. Les planche qui la barricadait avait été arrachés et sa porte grande ouverte.

Il commençait à faire horriblement froid et Anaëlle tremblotait à cause de sa nudité, elle voulait à tout prix partir de ce village et retrouver le bus qui les avait amenés ici pour pouvoir se rhabiller avec les affaires qu’elle y avait laissées.

En marchant elle arriva à une des extrémités du village, la sortie n’était plus très loin, mais cela ne la rassurait guère, tout était délabré et elle avait le choix entre la forêt ou de vieilles bâtisses pour s’abriter. Elle savait que la forêt n’était sans doute pas une bonne idée à cause des bruits qu’elle entendait en provenance de celle-ci et puis le temps se gâtait et elle ne tiendrait surement pas toute nue dans le froid.

Cependant, le temple et l’espèce de lycée ne lui donnaient pas envie non plus, tout semblait abandonner, mais ça sentait le piège à plein nez. Cela ne l’étonnerait pas de tomber face à d’autres créatures en voulant s’y rendre.

La jeune fille tremblait de plus en plus à cause du froid et il fallait qu’elle se décide vite. Plus par dépit que par raison elle entreprit d’entrer dans la grande bâtisse qui semblait être un ancien lycée, car c’était le plus proche de sa position. Elle espérait n’avoir qu’à attendre là-bas quelques heures pour que le temps se calme et qu’elle puisse enfin partir.

En entrant dans le hall du lycée Anaëlle fit une découverte. En passant le hall poussiéreux la jeune femme vis poser dans un coin un empilement de vêtement en tout genre masculin ou féminin de toutes les tailles. Les vêtements étaient recouvert de poussière sentaient légèrement le moisit et étaient tachés mais au moins ils étaient sec. Les vêtements étaient principalement des uniformes scolaire ou des tenues de sport certains semblait être récent mais d'autres avaient l'air de dater des temps passés.

Elle vis aussi des casiers ouvert avec de nombreuses chaussures à l'intérieur l'un d'entre eux curieusement contenait une grosse lampe torche métallique qui semblait fonctionner et pour cause quand Anaëlle la vis elle était en état de marche.

Malgré la poussière accumulé l'intérieur du lycée semblait être en meilleur état que les autres bâtiments mais les lumière ne semblait pas fonctionner ce qui rendait l'endroit assez glauque. Anaëlle se trouvais dans le hall face à l'escalier qui menait à l'étage. Dans le couloir de gauche à côté de l'escalier se trouvais une rager de salle de classe et une porte au fond menant à un gymnase d'éducation physique. A droite en plus des salles de classes se trouvais un escalier menant à la chaufferie en sous sol et la salle des professeurs se trouvais au fond du couloir.

L’endroit était vieux et poussiéreux comme s’il n’avait pas servi depuis des années elle soupirait doucement en se demandant si elle avait bien fait de venir jusqu’ici, l’endroit n’était pas du tout accueillant. Elle aperçut une pile de vêtements et s’en approcha, une grande partie n’était pas utilisable, mais elle ne voulait pas rester nue et au moins même avec qu’un peu de tissu sur elle, elle aurait moins froid.  Elle chercha donc des vêtements qui ne serait pas moisi et elle en trouva, ils n’étaient pas à sa taille, mais a moins ils étaient relativement propres. Elle se retrouvait donc avec une jupe lui descendant seulement à mi-cuisse et une chemise trop petite qui laissait son ventre nu et tellement serré que ça lui remontait la poitrine. Ce n’était pas le plus confortable, mais au moins elle était un peu couverte. Elle prit aussi de petites ballerines pour ne pas marcher pieds nus.

Elle regarda ensuite le couloir en cherchant où aller, elle n’avait pas envie de se perdre dans la bâtisse, elle n’était là que pour attendre que le temps soit plus propice pour fuir le village. Elle prit donc la lampe torche qu’il y avait dans le casier et rentra dans une des salles de classe, elle resterait là jusqu’à ce que ça se calme puis elle partirait.

La première salle de classe qu'elle trouva était aussi miteuse et poussiéreuse que le reste du bâtiment mais ne semblait pas avoir bouger depuis des année vu la poussière accumulée. L'endroit semblait ordonné malgré la crasse et la poussière et il y avait suffisamment de tables et de chaise pour que Anaëlle puisse s'assoir ou même s'étendre avec un peu d'imagination.

Anaëlle pus se reposer mais une bonne heure plus tard un bruit se fit entendre dans le Lycée. Au début ce fut un claquement sec provenant d'en bas prés de l'entrée, ensuite des bruits de frottement et de grincement provenant d'au dessus comme si quelqu'un en train de trainer un objet lourd. Enfin un chuintement continus.

En regardant autour d'elle la jeune femme vis que la conduite d'aération de la classe était en train de cracher une sorte de fumée jaunâtre et asphyxiante. Anaëlle sentis une étrange torpeur l'envahir mais eu aussi l'impression d'étouffer.

Malgré la torpeur et le bruit de ce gaz qui envahissait toute la pièce il sembla à Anaëlle d'entendre de nombreux bruits de pas converger vers son refuge transformer en piège mortel. Des ombres nombreuses se dessinèrent derrière les vitres sales de la salle de classe.

Elle avait pourtant prévu cette probabilité que les abris étaient en fait des pièges qu’il fallait éviter, mais elle était quand même allée se réfugier dans le vieux lycée. Elle avait enfin pu se reposer dans une salle de classe en s’asseyant et en soufflant un peu.  Mais le répit ne dura qu’une petite heure où elle fut tranquille dans la vieille salle de classe, les ennuis revenaient encore une fois.

Du bruit se fit entendre dans le bâtiment et cela ne présageait rien de bon, il y avait de grandes chances que c’était d’autres créatures comme celles qu’elle avait vues plus tôt. Les bruits se rapprochaient d’elle, elle ne pouvait donc pas fuir par la porte. Elle essaya d’ouvrir les fenêtres mas celles-ci étaient verrouillées, elle ne pouvait donc pas fuir par là non plus.

Puis l’air commença à se faire plus étouffant, un drôle de gaz s’échappait des bouches d’aération de la salle. Elle se sentait un peu endormie, mais restait tout de même consciente et éveillée. Puis des silhouettes firent leurs apparitions derrière les vitres de la salle de classe, elle savait que son heure était venue, mais elle eut quand même la force d’aller se cacher sous le bureau du professeur. Ce dernier était surélevé et on voyait bien qu’il y avait quelque chose en dessous, mais elle espérait que ça suffise pour que les bêtes qui la chassaient ne la trouvent pas. Après tout, l’espoir fait vivre.

Anaëlle se cacha sous le bureau mais le gaz eu tôt fait de l'intoxiquer elle tarda pas à tomber inconsciente au bout d'une minute d'exposition et après l'avoir respirer plusieurs fois.

Quand Anaëlle se réveilla elle se rendit compte qu'elle n'était plus dans la salle de classe mais dans une vaste salle ressemblant à un gymnase au vu des ballons et du matériel de sport trainant un peu partout au sol. Vu l'absence d'électricité la salle était plongé dans la pénombre seulement éclairé par des bougies ou des braseros éclairés un peu partout dans la salle. Quand Anaëlle voulus bouger elle se rendit compte qu'elle était incapable de bouger. Elle était allonger sur un cheval d'arçon. Ses poignet et ses chevilles entravés par des liens très serrés faisant tout le tour du meuble ou elle se trouvais ses jambes était écarté laissant voir son intimités. Mais il y avait pire elle n'était pas seule et des ricanement nombreux se firent entendre alors que des silhouettes se matérialisèrent autour d'Anaëlle.

Ils étaient revêtus de tenus d'étudiants tachés principalement les haut car ils n'avaient pas de pantalon et branlais avec frénésie leur membre raidis par le désir. Leur peau était blanche et blafarde avec des veines noire. Il était impossible pour Anaëlle de voir leur visage car ils portaient tous des masques sans trait arborant un sourire grotesque comme on les vois sur les Smiley exepter certains d'entre eux portant des masques à gaz.

- Ah r'garder les gars la grosse vache s'daigne enfin à se réveiller. Dit une voie attirant tout les regards sur Anaëlle.

Deux des masqués s'approchèrent de la jeune fille et soulevèrent le haut de son uniforme d'emprunt pour ensuite lui peloter caresser et malaxer ses seins.

- Elle as au moins des gros seins bien moelleux. On va bien profiter de cette poubelle à sperme jusqu'à ce que nous soyons repus. Dit il l'un des deux alors qu'une queue se présenta sous le nez d'Anaëlle.

- Suce moi ! Ordonna son propriétaire.

Même si elle avait essayé de se cacher pour échapper aux inconnus, elle savait bien que ça n’allait pas suffit. Le gaz finit donc par faire son effet et Anaëlle tomba inconsciente, encore une fois. Quand elle se réveilla, elle se trouvait  dans le gymnase du lycée. Cependant, elle était attachée et elle ne pouvait donc pas bouger malgré ses essais infructueux. Elle se rendit vite compte qu’elle avait les jambes écartées et qu’elle n’était pas seule, il y avait une foule d’hommes autour d’elle en train de se masturber.

Un des inconnus remarqua qu’elle s’était réveillée et le fit remarquer aux autres en la désignant comme grosse vache.  Deux autres hommes s’approchèrent d’elle et commencèrent à jouer avec sa poitrine, annonçant ce qui allait se passer. Surtout après avoir entendu les dernières paroles, ils allaient se servir d’elle pour contenter leur désir et à en juger le nombre de personnes qu’il y avait, la jeune fille allait devoir tenir pendant un bon moment.

Un sexe se fraya un chemin jusqu’à elle et on lui ordonna de le sucer, mais elle fit mine de ne pas pouvoir à cause des liens qui la maintenaient attachée. Ce n’était sans doute pas la meilleure des idées, mais c’était le seul moyen qu’elle avait pour gagner du temps même si au final ça ne changeait rien à ce qui allait se passer ensuite.

Anaëlle avait beau fermer le bec on lui pinça le nez pour l'empêcher de respirer et lui forcer à ouvrir la bouche avant de lui fourrer sa queue massive mais flasque qui durcie petit à petit dans sa bouche. Le masqué se montra brutal car plaqua le visage d'Anaëlle contre sa queue et bloqua quelques secondes. La queue du masqué fourré dans la gorge Anaëlle eu du mal à respirer bien que le membre du sadique était moins massive que celle de Neun. Il finis par se retirer brutalement faisant tousser la jeune fille suite à se traitement mais elle n'eu pas le temps de se reposer.

- A moi ! Dit un autre masqué  qui força Anaëlle à le sucer à son tour. Cela ne dura pas pas longtemps car un autre pris sa place tandis qu'on lui fit des commentaire salace.

- Bouge en rythme et utilise bien ta langue.

- Oublie pas de caresser mes noix de temps en temps.

- Allez suce la mienne en y mettant du cœur.

- Elle est douée cette vache.

Alors que les queue s'amoncelait sur elle un des masqué relava sa jupe trop courte dévoilant son vagin. Il se mis alors à la caresser enfonçant ses doigt en elle. Un autre montra à cheval sur Anaëlle et après avoir soulever sa jupe il se mis à se branler en utilisant les seins lourd de la jeune femme.

- Héhé ! C'est génial des nichons aussi gros cela me fout plus la trique. Dit il avant qu'une queue dans la bouche d'Anaëlle se mis à jouir lui remplissant la gorge d'un jus amer.

Même si elle avait tenté de résister jusqu'au dernier moment, le sexe qu'elle avait refuser de prendre en bouche trouva tout de même le chemin pour rentrer de manière très brutale. Anaëlle se retrouvait avec le membre tout entier en train de grossir au fond de sa gorge, la faisant manquer d'air, au moins même si ce n'était pas très bon, c'était déjà meilleur que ce qu’elle avait du prendre avec la créature de la porcherie.

Dès que le premier se retira, il fut directement remplacé par un autre de ses amis masqués qui força une nouvelle fois la fellation en y allant rapidement et avec force. Elle avait du mal à respirer mais elle tenait quand même le coup. Cependant quand elle sentit une main llui remonter la jupe et commencer àa la caresser à ce niveau là, elle resserra les jambe en guise de protestation. C'est alors qu'on se posa sur elle pour placer un sexe entre ses seins et se branler avec pendant qu'au même moment, le sexe qu'elle avait en bouche éjacula et l'obligea à avaler le liquide horrible.

A peine vidé, l'homme masqué laissa sa place à un autre, continuant ainsi la tournante, la jeune fille n'arrivait pas à voir combien il y avait de personne, plus d'une dizaine, c'était sûr, une vingtaine peut être voir plus, elle allait devoir être endurante et ses liens n'étaient pas là pour l'aider, toujours attachées, elle se retrouvait obliger de subir.