Aux petits soins [vs Shiro Ishimi]

Anaé n'avait plus de souffle. Elle s'effondra aux côtés de Shiro et elle passa un certain temps à l'observer, à la voir récupérer, respirer lourdement, ce qui faisait gonfler son opulente poitrine.

« Comment peux tu faire ça ? N'importe quelle autre fille de ton âge aurait joui après la moitié de ce que je t'ai fait... Quel est ton secret, Anaé ? Tu veux bien me le dire ? »

Anaé ne savait pas quoi répondre. Ce ne devait pas être l'expérience, mais ce peut quelque chose en elle...qui faisait que ses envies semblaient insatiables. Elle répondit un vague "je ne sais pas" et se tourna pour se mettre à quatre pattes. Elle avança vers le ventre de Shiro et y déposa un baiser amusé, mais son regard était accroché sur le slip de l'infirmière, maintenant souillé visiblement. Une tâche plus sombre à l'entrejambe situait avec précision son sexe, et c'est là qu'Anaé posa la langue. Elle aimait le goût de la cyprine mêlée à la dentelle, et elle commença à laper comme un petit chien, de plus en plus intensément, et sentit Shiro trembler de désir lorsque la pression de sa langue venait aiguillonner son clitoris. Elle la sentait loucher sur son entrejambe, s'amuser de la tâche de cyprine abondante sur sa culotte bouffante. Anaé le savait, elle mouillait abondamment, vraiment très abondamment. Elle espérait que cela ne dégouterait pas Shiro...

Anaé ne répond que vaguement à Shiro. Ensuite, elle se met à quatre pattes et dirige sa bouche vers son ventre pour l'embrasser avec amusement. L'infirmière rigole des frissons que lui procure ce baiser. Mais ensuite, des frissons beaucoup moins innocents parcourent son corps : les frissons que lui procure sa patiente, qui lèche son entrejambe à travers sa culotte, savourant le goût mêlé de cyprine et de dentelle. Chacun de ses coups de langue donnent envie à la jeune femme de crier car elle est encore sous l'effet de son précédent orgasme, et est très sensible au niveau de ses zones érogènes. En plus, la jeune fille la lèche pile au niveau de son clitoris.

« Ha... ha... Tu ne perds pas... de temps... ma chérie... han... »

Sous l'effet de l'excitation, Shiro dirige instinctivement son regard vers l'entrejambe d'Anaé. Tout comme pour elle, la jeune fille affiche une tâche sombre bien nette sur son sous-vêtement, indiquant bien l'emplacement de son sexe, qui a dégouliné toute cette cyprine. Elle remarque aussi que sa patiente semble essayer de cacher cette marque. Il apparaît que, même après tout ce qu'elles ont fait ensemble, Anaé n'arrive pas encore à assumer certaines choses devant Shiro, ce qui la rend encore plus mignonne aux yeux de cette dernière.

Si c'était une friandise, je la croquerais sans hésiter... Oh, et puis après tout !

Shiro pose ses mains sur la tête d'Anaé pour la lui faire lever. Elle plonge son regard dans le sien, et lui fait signe de venir vers elle. La jeune fille se retrouve donc à quatre pattes au-dessus de son infirmière. Cette dernière passe ses bars autour d'elle et l'attire vers elle. Leurs corps maintenant plaqués l'un contre l'autre, elles s'embrassent à nouveau. La jeune femme veut étouffer le peu de timidité qu'il reste encore à sa partenaire.

« Ce ne serait pas juste si j'étais la seule à prendre du plaisir. Alors retourne toi, je vais te montrer quelque chose de merveilleux. »

La jeune fille s'exécute, et montre maintenant sa culotte à l'infirmière tandis que son visage est proche de la culotte de sa partenaire.

« C'est le 69, une position sexuelle bien connue. Dans cette posture, nous pouvons nous faire du bien mutuellement. »

Joignant la parole à la pratique, Shiro se met à lécher la culotte d'Anaé pour la faire gémir et savoure le goût de la cyprine mélangé à celui de la dentelle. Sa partenaire se met ensuite à pied d'œuvre et la lèche de la même façon. Pour les deux femmes, c'est un bonheur immense d'être connectées de cette façon.

Après un nouveau baiser si intense, Anaé craignit que Shiro ne voulut la repousser, mais, au contraire, son désir n'en semblait que plus fort. Elles se mirent tête-bêche, entre les cuisses l'une de l'autre, la culotte trempée à hauteur de la bouche, et entamèrent un 69 sensuel. Anaé aimait sentir Shiro sous elle, ses cuisses qui se serraient parfois autour de sa tête, la peau de ses fesses qu'elle lissait du bout des doigts, le goût de la cyprine dans la dentelle, les tremblements du bassin de l'infirmière lorsqu'elle la léchait... Et Shiro qui lui dévorait l'entrecuisse, baladant sa langue le long des coutures de sa culotte, juste au niveau de son entrejambe...

"Shiro...je...han...j'adore l'odeur...de ta...culotte !"

C'était une déclaration somme toute idiote, mais Anaé était heureuse de témoigner de son plaisir et redoubla d'effort sur l'entrejambe de l'infirmière. A force de les lécher, leurs culottes devaient être devenues transparentes, et cela excitait encore plus Anaé...

"Shiro...han...si tu veux...tu peux...l'enlever...si tu...han...préfères..."

De son côté, Anaé ramassa du bout des doigts la culotte de Shiro, affinant l'entrejambe comme pour former un string, et lécha encore et encore, goûtant un parfum de plus en plus musqué.

La tête au niveau de l'entrejambe d'Anaé, Shiro lèche la culotte trempée de cyprine avec délice. Le goût mêlé du tissu et du fluide sexuel est toujours un bonheur, peu importe les minutes qui passent. Histoire d'en rajouter, elle utilise ses mains pour masser les fesses de sa patiente. Sentir cette jeune fille goûter à son intimité la rend si excitée qu'elle sent tout son corps, en particulier son bassin, trembler au rythme de ces coups de langue. Mais ce qui l'excite encore plus, c'est quand elle l'entend parler franchement, comme quand elle lui dit qu'elle adore l'odeur qui se dégage de sa culotte.

« Merci... Anaé... J'adore... han... la tienne... aussi... »

L'infirmière replonge la tête dans l'entrejambe de sa patiente et la lèche de mieux en mieux. Comme quoi, il suffit d'une simple phrase pour déclencher une passion plus grande.

Au bout de quelques minutes de léchouille, la culotte d'Anaé est devenue transparente, et Shiro peut distinguer son mont de vénus au travers du tissu. Elle suppose que sa culotte est dans le même état, et espère que sa patiente ne rechignera pas à la lécher. Ce qui arrive effectivement, puisqu'elle étire la culotte de son infirmière au niveau de son entrejambe pour pouvoir l'atteindre directement sur son clitoris, qu'elle excite avec sa langue et suce doucement, ce qui fait fortement gémir la jeune femme.

« Hyyaa... aahh... D'accord... ma chérie... aahh... »

Shiro écarte du bout des doigts la culotte d'Anaé pour pouvoir enfin voir son intimité nue. A peine dévoilée, elle envoie de la cyprine sur le visage de l'infirmière, qui la récupère avec sa langue et l'avale d'une traite.

« Hum... Ton jus est délicieux. Et je suis sure que ton intimité doit l'être encore plus. »

Elle vient lécher l'entrejambe de la jeune fille et récolte son liquide sans en perdre une goutte, ce qui n'est pas facile car Anaé mouille abondamment. Mais elle ne se décourage pas pour autant et, pendant qu'une de ses mains garde sa culotte bien ouverte pour pouvoir atteindre sa fente, la deuxième se glisse sous le tissu et vient palper ses fesses avant de diriger un de ses doigts dans sa fente arrière.

« Dis moi... ma belle... han... tu aimes... aahh... quand on... te prend... par derrière ? »

Shiro avait la tête collée contre son intimité, lui dévorant le sexe avec plus de facilité, car plus grande qu'Anaé. Et quand l'infirmière écarta sa culotte pour lécher directement ses lèvres intimes, Anaé ressentit une petite explosion de plaisir, sûrement très humide, vu la remarque de son amante. Et puisque Shiro le faisait, Anaé s'autorisa à écarter la culotte pour découvrir son abricot juteux, perlant de gouttes délicieuses qu'Anaé se fit un plaisir de gober.

« Dis moi... ma belle... han... tu aimes... aahh... quand on... te prend... par derrière ? »

Anaé sentit un bout de doigt lisser sa raie culière et venir rôder autour de son petit trou. Elle ressentit un appel de chaleur, mais elle ne se souvenait pas avoir vécu ce genre de caresse...mais elle oubliait tant de choses. Par contre, il lui était arrivé parfois de se toucher là...

"Je ne sais pas...han...ça m'arrive de...me toucher par...han...là... Fais juste...han...doucement..."

De ses deux pouces, Anaé saisit et écarta les lèvres intimes de Shiro et enfonça sa langue au fond de sa maîtresse, voulant goûter au parfum de ses profondeurs secrètes. C'était délicieux et l'infirmière tressaillit, poussant Anaé à continuer. Les cuisses qui encadraient sa tête la serrèrent un peu plus et une main vint caresser ses cheveux et la pousser plus profondément dans son exploration...

Anaé répond à Shiro qu'elle s'est déjà touchée l'anus quand elle se satisfaisait seule. Tout ce qu'elle demande, c'est que sa partenaire y aille doucement.

« Évidemment... han... ma chérie... »

En tant qu'infirmière, Shiro se montre toujours douce avec ses patientes. Sauf si elles demandent expressément à se faire bâillonner, fesser et fouetté. Mais puisque Anaé veut de la douceur, alors elle en aura.

La jeune femme caresse tout doucement la rondelle de sa partenaire pour bien la préparer à se faire pénétrer. Elle tourne et retourne calmement, sans précipitation, pour que l'idée de se faire sodomiser soit graduellement acceptée par Anaé. En plus, pour mettre toutes les chances de son côté, elle accentue ses coups de langue sur le vagin de sa partenaire. Ainsi, le surplus de plaisir pourra masquer une éventuelle douleur au moment de l'entrée.

Shiro sent soudain sa patiente écarter ses lèvres intimes et faire entrer sa langue à l'intérieur de son vagin, comme si elle répondait au soudain surplus d'activité sur son entrejambe. L'infirmière est parcouru d'un délicieux tressaillement, et resserre instinctivement ses cuisses tout en appliquant une main sur la tête de la jeune fille, lui caressant les cheveux et la poussant le plus profond possible dans son intimité. Le corps secouée comme un cocotier, elle se dit que c'est le moment.

« Aahh... Ma petite chérie... Je vais... rentrer... mon doigt... hhaann... »

Joignant le geste à la parole, Shiro fait rentrer l'index de sa main libre dans l'anus de sa partenaire. Elle croit entendre un gémissement à ce moment-là, mais ne sait pas s'il s'agit d'un gémissement de douleur ou de plaisir, ni même si ce gémissement n'est pas l'un des siens. Dans le doute, elle commence les allées et venues pour qu'Anaé trouve vite du plaisir dans cette sodomie.