Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Bureau de la direction et infirmerie => Discussion démarrée par: Anaé le dimanche 15 mars 2015, 15:29:32
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Anaé adorait la natation, c'était une vraie championne. Elle aimait sentir l'eau couler sur son corps, la porter, glisser sur elle sans agressivité, épouser ses formes, rafraîchir son corps. Elle aurait pu nager pendant des heures sans se lasser et sans quitter son adorable sourire...
Par contre, en arrivant sur le stade ce matin, elle savait que le sport allait prendre une mauvaise tournure. Finie la piscine, bonjour le volleyball. Et évidemment, elle se sentait bien moins à l'aise, même si sa tenue était parfaite : un bloomer bleu marine plutôt moulant et un petit t-shirt un peu trop court et large, qui avait tendance à se soulever sous les coups de vent et à venir agacer sa poitrine engoncée dans une brassière rose, assortie à son slip plissé. Mais le sport n'était pas affaire de beauté, comme se plaisait à lui rappeler l'enseignante de sport. Peu importait pour Anaé, comme pour la plupart des autres filles : il était impensable d'aller se salir sur le sol en terre battue. Par contre, Anaé se moquait éperdument de ses vieilles baskets. Mal lui en prit, ce furent elles qui la trahirent.
Un saut, un pied qui dérape, une douleur, une chaleur, une chute, un cri... Anaé se retrouva par terre sans comprendre autre chose que la douleur qui irradiait de sa cheville sûrement foulée. Ses yeux se perlèrent de larmes lorsqu'elle s'empara de sa cheville, comme pour empêcher la douleur d'irradier. L'enseignante la redressa d'une main ferme, vérifia qu'elle pouvait claudiquer, et lui indiqua la direction de l'infirmerie, avant de renvoyer les filles au match. Anaé se sentit un peu abandonnée, seule avec sa douleur et son bloomer tâché de terre battue.
En titubant, elle parvint jusqu'à la porte de l'infirmerie. C'était la première fois qu'elle y allait, mais elle n'avait pas trop peur des médecins. Elle lut la plaquette et frappa à la porte.
"Madame Shiro Ishimi ?"
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Dans ce lycée, les filles semblent avoir un vrai problème avec les cours de sport. Tous les jours, Shiro se retrouve avec deux ou trois filles blessées dans son infirmerie : des bleus causés par des ballons lancés un peu trop fort sur elles, des insolations quand il fait vraiment chaud, des crises de fatigue parce qu'elles en font trop ou qu'elles sont poussées à bout... Des blessures en général sans gravité, que l'on peut aisément soigner avec de la glace, du repos et un peu d'affection. Et aujourd'hui ne fera pas exception à la règle.
Occupée à soigner un garçon qui dit avoir « tellement mal au ventre qu'il peut à peine tenir debout », en soupirant toutes les minutes, Shiro entend soudain quelqu'un frapper à la porte. Elle va ouvrir, et voit une jeune fille qui sautille sur un pied, l'autre étant visiblement blessée, et s'appuie sur l'encadrement de la porte. Elle porte sa tenue de sport, un t-shirt blanc un peu trop court et trop large, avec un bloomer bleu taché de terre battue et des vieilles baskets.
« Madame Shiro Ishimi ? »
En entendant sa petite voix innocente, et en voyant les larmes qui perlent aux coins de ses yeux, la libido de Shiro se réveille instantanément. Elle se dépêche de mettre le garçon dehors, convaincue qu'il simule, et va aider la jeune fille. Elle la soutient et l'amène jusqu'à un des lits de l'infirmerie. Sa patiente ne veut pas s'asseoir, par crainte de tâcher ces draps immaculés avec des traces de terre venues de son bloomer.
« Allons, tu ne vas pas rester debout alors que tu es blessée. De toute façon, les draps doivent être lavés demain. Alors vas-y, assieds toi. »
Dès les premiers contacts, Shiro utilise ses pouvoirs pour détendre sa patiente : elle la veut au plus vite pour pouvoir savourer son corps le plus longtemps possible. La jeune fille accepte finalement de s'asseoir, commençant à se laisser influencer par Shiro.
« Comment t'appelles-tu ? »
Elle lui répond qu'elle s'appelle Anaé.
« Dis moi Anaé, comment se fait-il que tu sois venue toute seule ici ? Pourquoi personne ne t'a accompagnée ? »
Anaé lui répond que son professeur ne voulait pas interrompre le cours de sport juste pour une élève blessée. Shiro se sent alors énervée, mais elle ne le montre pas, pour garder sa patiente au calme.
« Je vois. Il faudra que j'ai une conversation avec ton professeur. »
Laisser une élève blessée, qui plus est une aussi jolie, se déplacer seule dans les couloirs, c'est un manque flagrant de responsabilité et d'intérêt pour ses élèves. Et s'il y a bien une chose qui énerve Shiro, c'est ce genre de manque de considération pour les élèves que l'on a sous sa responsabilité. Si on choisit de faire un travail où il faut prendre en charge des gens, il faut s'investir au maximum pour ces gens. Et c'est parce qu'elle a cette mentalité qu'elle est la meilleure infirmière du lycée Mishima.
Ses quelques mots en faveur d'Anaé ne laisse pas cette dernière indifférente. Et comme Shiro en profite pour appuyer ses mots avec ses pouvoirs, elle voit Anaé sombrer doucement vers elle, tellement doucement que même sa patiente ne s'en rend pas compte. Bientôt, elle lui tombera dans les bras... Mais pour l'instant, elle examine sa cheville, faisant preuve de beaucoup de douceur et lui parlant avec tendresse pour atténuer sa douleur.
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Anaé était au bord des larmes lorsque l'infirmière lui ouvrit, et se sentit encore plus mal quand elle vit un garçon déjà présent. Surtout qu'elle le connaissait, il était du genre à faire irruption dans les douches des filles et à vouloir voir les sportives en petite culotte dans les vestiaires. Il allait vouloir se rincer l'oeil et faire des choses sales, ce qui lui causait ces maux de ventre - en tous cas, c'est ce qu'on lui avait dit... Mais l'infirmière chassa rapidement le petit pervers hors de l'infirmerie et son regard fut entièrement à Anaé, qui s'en sentit bien rassurée ! Elle l'amena auprès d'un lit, mais Anaé rechigna : elle était couverte de sueur, de terre et d'un peu de sang. Mais l'infirmière la rassura, la fit s'allonger et Anaé se sentit aussitôt bien, incroyablement bien... Cette infirmière était d'une gentillesse incroyable, et elle se montra critique à l'égard de la négligence de l'enseignante qui l'avait ainsi délaissée.
Chaque mouvement de l'infirmière était un ravissement pour les yeux et chaque contact une délicieuse caresse. Anaé comprenait qu'elle ait pu choisir cette carrière, elle était faite pour mettre à l'aise et pour apaiser les douleurs. Ses larmes avaient séché et sa respiration était plus posée. Anaé s'entendit lui raconter lentement ce qui avait provoqué sa chute, tout en laissant l'infirmière masser doucement ses cuisses, mais observer sa cheville rouge et un peu gonflée. Ses doigts étaient d'une douceur à frôler l'extase, et l'ambiance lui semblait paisible. Pour un peu, Anaé se serait endormie, malgré la douleur irradiante, que l'infirmière s'engageait à traiter. Et Anaé lui faisait confiance, pleinement confiance...
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Quand Anaé est arrivée à l'infirmerie, elle irradiait de douleur et avait envie de pleurer. Mais maintenant que Shiro l'a prise en charge, elle est souriante, ses larmes sèchent et sa respiration est plus posée. Elle est de plus en plus détendue, pour le plus grand plaisir de Shiro, qui se voit déjà à caresser son délicieux corps. Mais il faut savoir prendre son temps, le plaisir n'en sera que plus intense quand Anaé viendra naturellement vers elle. D'abord, il faut soigner sa blessure.
Shiro masse doucement la cheville blessée, rouge et gonflée, en écoutant Anaé raconter comment elle s'est fait mal. Shiro n'est pas vraiment surprise. De mauvaises chaussures en cours de sport, c'est comme vouloir écrire avec un crayon mal taillé : tôt ou tard, on fait un faux mouvement, et ça finit mal. Du moins, mal pour la jeune sportive. Parce que l'infirmière, elle, ne pourrait pas se sentir mieux : isolé avec Anaé derrière les rideaux blancs entourant le lit sur lequel sa patiente s'est assise, puis allongée ensuite, elle observe avec envie ses formes si féminines, moulées dans sa tenue de sport, et savoure le contact de sa peau sous ses caresses. Une sensation d'une telle douceur que l'infirmière en veut plus. Sa patience est mise à rude épreuve face à son envie dévorante de sauter sur sa patiente. Et pendant qu'elle applique son traitement, elle regarde le visage d'Anaé... et voit que ses yeux se ferment lentement. L'infirmière est si douce que la jeune fille est en train de s'endormir sous ses caresses, oubliant la douleur qu'elle ressentait il y a peu. Shiro ne peut pas retenir un petit rire, puis se rend compte que la situation pourrait tourner à son avantage.
Toujours en s'occupant de la blessure avec une main, elle fait lentement glisser l'autre sur la cuisse d'Anaé, remontant peu à peu vers son entrejambe, mais sans jamais l'atteindre. Il s'agit juste de l'exciter, pas de la faire jouir dès maintenant. Elle jongle d'une cuisse à l'autre, toujours en prenant bien son temps pour s'assurer que sa jeune patiente savoure chacun de ses gestes. Shiro regarde son joli visage au bord de l'assoupissement, qui est parfois déformé par de petits gémissements de plaisir, et cette vision la rend de plus en plus intéressée. Au lieu de continuer à espérer qu'Anaé vienne à elle, Shiro décide de prendre le taureau par les cornes. Elle lâche le corps de sa patiente, non sans regrets, va se mettre à genoux à côté du lit, sa tête au niveau de la sienne, et murmure dans son oreille, avec une voix traînante et apaisante, comme celle d'une mère réveillant son enfant.
« Anaé... Réveille toi... »
Quand la jeune fille ouvre les yeux, elle voit la tête de Shiro près de la sienne, souriante, avec les yeux qui brillent. L'infirmière décide de jouer un peu avec elle avant d'entrer dans le vif du sujet.
« Pardon de t'arracher à ton repos, mais tu es tellement mignonne quand tu dors que, si tu t'endormais profondément ici, je n'aurai pas le courage de te réveiller, par crainte de gâcher une aussi jolie vue. »
Shiro irradie littéralement de tendresse, autant pour rassurer Anaé que pour la séduire.
« Qu'est ce qui t'arrive ? Tu n'as pas assez dormi cette nuit ? Où alors il y a autre chose... »
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Anaé manquait de s'endormir sous l'effet des caresses de Shiro. Lentement, elle glissait dans des songes cotonneux, tout en sentant son corps se réchauffer et son sexe réagir. Non, ce n'était pas le moment d'avoir à nouveau ce genre de pensées ! En ce moment, elle se découvrait des penchants de plus en plus étranges, des souvenirs embrumés de plus en plus sales et des envies de plus en plus condamnables. Elle était de plus en plus troublée par l'odeur des filles et s'était surprise à humer l'odeur intime de sa voisine de chambre, partie en laissant sa porte ouverte et sa culotte sale par terre. Comme une voleuse, elle l'avait emportée dans sa chambre et s'était...touchée. Depuis, elle ne pouvait plus dormir sans sentir ce genre de parfum si excitant et dormait avec ses propres culottes non loin d'elle, comme un talisman... Et elle se réveillait en pleine nuit, son short à ses chevilles, son haut remonté, ses doigts s'activant d'eux-mêmes dans son sexe et la faisant gémir et jouir si fort qu'elle en tachait ses draps... Mais comment expliquer cela à cette charmante infirmière qui lui semblait de toute confiance...?
"Je... je dors mal en ce moment, je... vous avez déjà rêvé de... de quelqu'un d'autre ? Enfin, je veux dire... de faire...des choses...sales...?"
Elle savait qu'elle était déjà trempée, que le souvenir de ses rêves venait de dissiper la pureté du rose de sa culotte...
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Anaé est vraiment une fille très attirante. Et dans sa tenue de sport, elle est encore plus désirable. Shiro a du mal à se retenir, à contrôler ses envies lubriques. Déjà, la voir endormie était un déclencheur d'excitation, mais rien que sa présence rend l'infirmière fébrile. C'est comme si Anaé dégageait d'elle une aura de sensualité, qui attire Shiro comme un papillon est attiré par la lumière d'une lampe. Mais elle se maîtrise : si elle se jette maintenant sur Anaé, il n'y aura aucun plaisir, aucun amusement. Après tout, une relation sexuelle ne peut être vraiment appréciée que si elle est consentie par les deux partenaires. Et tant que sa patiente ne lui a pas dit « Oui », l'infirmière se contente de l'exciter, de la charmer... afin de l'amener doucement vers elle.
Quand Anaé se réveille enfin, Shiro remarque que ses pupilles sont légèrement dilatées et que son souffle est un peu plus rapide. Des signes d'excitation sexuelle.
Hum, intéressant.
Anaé lui dit qu'elle dort mal en ce moment, puis lui demande si elle a déjà rêvé d'autres personnes et de « choses sales ». Shiro y voit une bonne occasion d'attiser les envies de sa patiente. La tête toujours posée à côté de la sienne, elle lui parle avec sa voix d'E.S.P.er.
« Oui, ça m'est déjà arrivé. Mais ça n'a rien d'étrange. Tous les humains sont emplis de désir, en particulier quand ils sont adolescents. »
Shiro se concentre. Chacun de ses mots peut maintenant avoir une influence importante.
« Tu traverses une période de ta vie où il est normal d'avoir certaines envies qui te font honte. Et comme tu n'es pas toujours capable de les exprimer, alors ton corps est obligé de trouver un exutoire pour ne pas surchauffer. Parfois, ce sont des rêves, que ton inconscient t'envoie pour te satisfaire.
Mais crois moi, ce n'est pas sale pour autant. C'est seulement... naturel. Moi même, quand j'avais ton âge, il m'arrivait, certaines nuits, de rêver de filles que je désirais mais que je ne pouvais pas atteindre. Alors je me masturbais en pensant à ces rêves... oh, je ne devrais peut-être pas t'en dire autant. »
Shiro finit sa phrase par un petit rire. Elle n'a jamais caché son orientation sexuelle à personne, et n'a aucun mal à parler de ses désirs devant ses patientes. De toute façon, elles finissent toutes par lui tomber dans les bras. Mais il y a quelque chose de différent chez Anaé... quelque chose qui laisse penser à Shiro qu'elle peut tout dire devant cette jeune fille, quelque chose qui la décomplexe un peu plus à chaque seconde.
Se pourrait-il... qu'elle ait un pouvoir semblable au mien ?
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Anaé n'avait plus de doute. L'infirmière était indubitablement digne de confiance, et lui avouait aussi ses penchants, des penchants qu'il lui semblait partager, au moins dans ses rêves. Quand Shiro lui avoua qu'elle se masturbait, Anaé sentit le feu lui monter aux joues... et entre les cuisses. Et dans sa tête, la voix envoûtante s'éveilla...
"Tu aimerais la voir se caresser, n'est-ce pas ? Imagine-la seule sous ses draps repliés sur ses chevilles, son souffle court dans la nuit, la lune passant par une fenêtre éclairant son corps en sueur, une main agrippée à sa poitrine généreuse, la modelant, la tirant, la griffant...et son autre main logée entre ses cuisses, s'activant nerveusement, spasmodiquement, faisant naître à chaque seconde des bruits humides en écho à ses gémissements..."
Anaé sentit sa culotte s'humidifier encore et ses tétons se dresser. Elle s'empressa de détourner son regard qui s'était plongé dans le décolleté de Shiro. Elle ne pouvait se permettre d'avoir de telles pensées, en particulier en direction d'une adulte...
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Anaé intrigue Shiro. Et pas seulement parce qu'elle est particulièrement mignonne, et qu'elle a l'air d'être intéressée par les confessions de l'infirmière sur ses penchants sexuels. Il se dégage d'elle une aura de sensualité et de lubricité qui efface peu à peu les inhibitions de Shiro, et la pousse à se montrer plus audacieuse envers sa patiente. D'habitude, elle préfère se montrer joueuse, prendre son temps pour charmer sa partenaire, et ensuite la prendre amoureusement dans le lit sur lequel elle se repose. Cependant, avec Anaé, les choses sont différentes. Shiro n'a pas envie de patienter, elle la veut tout de suite, elle veut lui faire l'amour de toutes ses forces. Et, par un moyen inexplicable, elle peut sentir qu'Anaé désire aussi faire l'amour à son infirmière.
Après lui avoir parlé de ses rêves, Shiro voit les joues d'Anaé devenir rouges, puis détourner le regard après l'avoir plongé dans le trou en forme de cœur de sa blouse, offrant une vue parfaite sur son décolleté.
Elle essaie de se cacher. C'est mignon.
Shiro voit bien que sa patiente n'arrive pas à assumer ses désirs. Ce qu'elle lui a dit à propos de ses rêves, et comment elle se retourne pour lui faire dos et ne plus la regarder, pour essayer de ne plus avoir de pensées ''coupables''. Hélas pour elle, sa façon d'agir ne fait que rendre Shiro encore plus désireuse.
Lentement, elle vient caresser le dos de sa patiente avec la paume de sa main. Même si elle ne peut pas apprécier le contact de sa peau, vu qu'elle porte encore son t-shirt blanc, elle arrive néanmoins à sentir sa brassière, ainsi que les frissons d'Anaé.
Ma petite chérie. Bientôt, tu ne pourras plus me résister...
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Anaé s'était retournée, pour offrir son dos aux massages de Shiro, mais surtout pour ne plus perdre son regard sur ses courbes. Qu'elles étaient belles ! Anaé rêvait d'avoir un jour des courbes aussi généreuses, aussi séduisantes...
"Tu voudrais lui arracher sa blouse, n'est-ce pas ? Libérer ses seins énormes, les voir rebondir et s'offrir à toi, pouvoir les lécher, les goûter, dessiner leurs aréoles du bout du doigt, t'amuser de ses tétons dressés, enfoncer ta tête entre ces deux dômes de chair..."
Anaé secoua la tête. Elle ne pouvait pas... Et pourtant....
"Vous...vous avez une...une belle poitrine, madame..."
Elle se retourna à demi, le visage empourpré, et elle préféra baisser les yeux que d'affronter le regard de l'infirmière...
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Shiro se délecte du spectacle qui se joue sous ses yeux. Anaé a beau essayer de résister à ses envies, l'infirmière sait que, tôt ou tard, sa patiente finira par craquer, et que ses pulsions auront le dessus sur sa raison. Sans compter que, avec ses inhibitions qui disparaissent peu à peu, elle est encore plus vulnérable.
Shiro pense qu'il va falloir un peu de temps pour la faire craquer. Mais elle change vite d'avis quand elle entend Anaé la complimenter sur sa poitrine, puis quand elle la voit se retourner à demi, le visage tellement rouge qu'on aurait cru qu'il était en feu, et le regard fuyant.
« Tu trouves ? Eh bien merci. »
L'infirmière se sent encore plus amusée. Ses délicieux seins ont toujours été un sujet de compliments et de jalousie de la part des autres filles. Mais, dans le cas d'Anaé, elle est étonnée de voir qu'elle est capable de se montrer aussi ouverte alors qu'elle n'arrive toujours pas à la regarder en face. Mais sa timidité n'est pas un problème pour Shiro, car elle sait qu'elle peut passer au-delà.
Toujours en caressant son dos, Shiro amène son autre main vers le ventre d'Anaé, pour le caresser par-dessus son t-shirt, tout en frôlant sa poitrine, mais sans la toucher, histoire de faire durer le plaisir.
« La tienne n'est pas mal non plus Anaé. »
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Anaé ne savait pas où ses déclarations la menaient, mais elle avait été incapable de se retenir. Son regard restait accroché sur l'opulente poitrine difficilement retenue de l'infirmière, à l'en faire saliver...
"Tu voudrais les prendre, les soupeser, les goûter... Tu aimerais sucer les tétons, sentir l'odeur de la vallée de ses seins, goûter à la chaleur qu'il fait dessous, qu'elle te serre contre sa poitrine jusqu'à t'étouffer..."
Anaé tenta de regarder ailleurs, mais elle ne pouvait pas, et les caresses de Shiro sur sa poitrine l'empêchait de réfléchir même à ce massage déplacé.
"Je...je suis désolée pour...ce que j'ai dit sur vos...sur votre poitrine... C'est juste qu'elle est...grosse, enfin, très belle, enfin, comme j'aimerais moi en avoir... Je n'ai jamais touché une poitrine comme ça, ma mère ne m'a pas allaité, il faut croire que ça joue !"
Anaé poussa un petit rire nerveux, mais sans conviction, et rougit encore plus...
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Les caresses sur le corps d'Anaé sont tellement bonnes que même Shiro y prend du plaisir. Elle ne se touche pas, mais son corps frissonne au rythme des frissons de sa patiente. Mais tandis qu'elle se fait caresser, Anaé se retourne, et plonge son regard dans le décolleté de son infirmière. Shiro se délecte de voir la jeune fille fixer sa poitrine sans pouvoir s'en détacher, si bien qu'elle ne semble même plus faire attention au massage de l'infirmière sur son ventre. Ses compliments amusent beaucoup Shiro.
« Eh bien il est vrai que l'allaitement joue un rôle essentiel dans la formation du corps durant les 6 premiers mois de la vie. Mais à ton âge, ce qui détermine vraiment la taille de ta poitrine, c'est avant tout ton taux d'hormones féminines. Et dans ce domaine, c'est aussi une question de chance : certaines filles ont un taux plus élevé que d'autres. C'est triste, mais c'est comme ça. »
Chez les humains, la puberté est une période remplis de troubles. Chez les filles, l'un de ces plus grands troubles au niveau de l'image personnelle, c'est le développement de leurs seins. S'ils restent trop plats tandis que les années défilent, elles peuvent vite se sentir mal dans leur peau. Shiro n'a jamais eu ce problème, donc elle ne peut pas vraiment comprendre, mais elle a bien vu, avec certaines de ses patientes, à quel point leur physique pouvaient les miner. Cependant, elle a toujours fait en sorte que ces filles puissent, ne serait-ce que pendant un court instant, oublier leurs problèmes et se détendre entre les mains (et les seins) de leur gentille infirmière.
Shiro arrête de caresser Anaé, et l'aide à se relever pour aller se mettre en position assise, le dos appuyé contre le lit. Puis elle vient se mettre devant sa patiente, son corps au-dessus du sien, offrant une vue parfaite sur son ''cœur'', et son visage tout proche. Elle parle avec sa voix d'E.S.P.er.
« Si tu me le demandes gentiment, je pourrais te laisser les toucher. »
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Anaé sentait la chaleur de son corps grandir et une sorte d'osmose impossible à nommer s'établir entre elle et l'infirmière. Leurs regards peinaient à se quitter, le contact n'était jamais rompu entre leurs corps. Peu à peu, Shiro s'était mise à masser son ventre plat en lui expliquant l'impact des hormones sur le gonflement de la poitrine à l'adolescence et, avec son bonnet C, Anaé se trouvait bien...Mais la taille impressionnante des seins de Shiro l'obsédait.
"Si tu me le demandes gentiment, je pourrais te laisser les toucher."
La voix de Shiro résonna dans sa tête comme le son d'un cloche, envahissant son esprit. Espérant pouvoir se manifester, Selena la Succube se retrouva assommée par la violence du pouvoir et la réponse immédiate d'Anaé, qui se retrouva sous l'emprise du pouvoir psychique. Selena venait de perdre le contrôle d'Anaé et ragea en la sentant frissonner, comme si les mots avaient été une caresse.
"Mademoiselle, s'il vous plaît, est-ce que je pourrais...toucher votre poitrine ?"
Son regard se fit suppliant, comme si un refus l'aurait tuée sur place...
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Quand Shiro a dit à Anaé de lui demander poliment si elle pouvait toucher sa poitrine, elle ne pensait pas que cette dernière oserait vraiment le faire. C'est pourquoi l'entendre poser la question l'a secouée comme un sac de patates sur l'épaule d'un fermier. Elle est surprise, mais pas refroidie pour autant. De toute façon, il fallait bien qu'elle finisse par se laisser toucher par sa patiente.
L'infirmière répond avec une mine enjouée.
« Avec grand plaisir, Anaé. »
Shiro s'écarte d'Anaé pour aller s'asseoir sur les genoux, en face d'elle.
« Mais avant que tu ne me caresses les seins, j'ai une question à te poser : comment préfères tu les avoir ? Avec ma blouse ? En sous-vêtements ? Ou totalement nus ? Quoi que tu décides, sache que tu devras m'enlever mes vêtements toi-même. »
Shiro joue un peu avec sa patiente. Et surtout, elle veut l'exciter encore plus. Comme ça, une fois le pelotage fini, les choses sérieuses pourront commencer...
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Des vagues de chaleur envahissaient Anaé, qui savait de moins en moins quoi faire, mais qui avait de plus en plus envie de toucher l'infirmière. Ses gros seins se dandinant devant elle étaient comme une forte lumière pour un papillon, une lumière à laquelle Anaé voulait délibérément se brûler ! Mais lorsque Shiro lui proposa le choix de l'épaisseur de séparation entre ses doigts et ses seins, Anaé retrouva un peu de courage.
"D'abord comme ça, puis en sous-vêtements...et puis nus, si vous voulez bien..."
Et sans attendre, elle posa ses mains sur la poitrine de Shiro, ressentant sa douceur, sa rondeur, son maintien. Qu'ils étaient ronds ! Et Shiro l'observait avec un regard trouble, interrogatif, alors que les mains d'Anaé dansaient sur ses seins, localisant sans mal des tétons pointés sous la blouse et la solidité des baleines d'un soutien-gorge.
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Devant l'hésitation d'Anaé, Shiro se demande si sa patiente va vraiment oser aller jusqu'au bout. Mais finalement, elle décide que, pour l'instant, elle veut toucher les seins de Shiro par-dessus sa blouse, puis en sous vêtements, et enfin nus. L'infirmière sourit.
« Très bien. Dans ce cas, je t'en prie... viens. »
Elle utilise sa voix d'E.S.P.er afin de s'assurer de faire disparaître un maximum de résistance chez Anaé.
Sans attendre, la jeune fille vient poser ses mains sur la poitrine de Shiro. Elle commence à la caresser pour en apprécier chaque partie, s'attarde sur les tétons, qu'elle semble avoir repérés malgré la blouse d'infirmière et le soutien-gorge violet en dentelle de Shiro. Cette dernière ne peut pas retenir des petits gémissements d'excitation en sentant ses tétons déjà durs et pointus se faire encore plus stimuler par les petites mains douces de sa jeune patiente.
« Ah... ah... ah... merveilleux... continue... ma petite chérie... ah... »
Chez Shiro, un surnom comme celui-là veut dire qu'elle commence à se sentir excitée. Et quand elle est dans cet état, elle devient très vite audacieuse.
Sans empêcher Anaé de continuer ses caresses, Shiro approche son visage et utilise ses pouvoirs.
« Dis moi... ma chérie... hummm... est ce que... tu voudrais... que ta... oh, ah... gentille... infirmière... te fasse... haw... un cadeau ? »
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Ces seins étaient si doux ! Totalement détendue, Anaé continuait à masser ces beaux globes de chair à travers la blouse sans la moindre hésitation, elle qui, d'habitude, n'aurait jamais eu autant d'audace. Mais elle se sentait pleine d'assurance et entièrement hypnotisée par la masse pulmonaire de Shiro. Elle s'amusait à sentir les baleines du soutien-gorge à travers le tissu et se demandait quel parfum la peau de Shiro devait avoir. La première fois qu'elle passa ses mains sur la pointe des seins de l'infirmière, Anaé la vit tressaillir et des dômes se distinguèrent sous la robe : ses tétons venaient de durcir, et Anaé s'en amusa beaucoup. Alors, elle repassa dessus, revint les agacer, les dessiner. Shiro ne tarda pas à gémir sous ses perverses caresses, et Anaé se mordilla les lèvres : ces petits cris résonnaient en elle comme un appel à davantage de caresses...
"Oh oui, tu veux la faire crier, hein ? Imagine ta bouche sur son téton, son visage tordu par le désir, ses cris résonnant dans la pièce, ses mains tentant de s'accrocher à tout ce qu'elles peuvent pour contenir les spasmes du plaisir... Entend sa voix suppliante, te demandant d'arrêter et de continuer en même temps, et son miaulement sauvage lorsque tu passes sur l'autre sein, le meurtrissant de caresses jusqu'à l'en faire jouir..."
« Dis moi... ma chérie... hummm... est ce que... tu voudrais... que ta... oh, ah... gentille... infirmière... te fasse... haw... un cadeau ? »
Anaé sortit de ses pensées et observa l'infirmière, les doigts toujours plantés sur ses seins. Elle eut un instant envie de lui avouer que sa culotte était trempée, comme une petite fille prise en faute, mais elle se contenta de bredouiller :
"Euh...oui...d'accord..."
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« Très bien... han... Dans ce cas... approche. »
En gardant les mains d'Anaé sur sa poitrine, Shiro approche son visage de celui de sa patiente, et celle-ci fait de même. Son air enjoué, avec son sourire chaleureux et son regard attendrissant ne laissent aucun doute possible quant aux intentions de l'infirmière. Elle vient embrasser Anaé, avec toute la tendresse qu'elle peut déployer envers la jeune fille. Elle commence par se contenter de ses lèvres, puis elle vient glisser sa langue dans la bouche de sa patiente. Elle ne rencontre que peu de résistance de la part de cette dernière, sans doute trop occupée à jouer avec ses seins.
Shiro couine de plus en plus fort, mais ses bruits sont étouffés par la bouche d'Anaé, qu'elle ne veut pas quitter, même pour tout l'or du monde. Ce baiser est tellement bon, sa patiente a un vrai talent pour embrasser. Mais, pourtant, elle finit par la lâcher, avec l'intention d'aller bien plus loin qu'un simple baiser.
Shiro et Anaé ont toutes les deux le souffle court, le visage rouge et l'air ravi. La jeune fille est en train de masser les seins de son infirmière, agaçant et dessinant ses tétons déjà raidis par l'excitation. Shiro continue de gémir, et sa voix résonne dans toute l'infirmerie. Peinant à garder les yeux ouverts, elle parvient quand même à rassembler l'énergie nécessaire pour se relancer, et elle vient embrasser Anaé dans le cou. Parfois, elle s'arrête pour le lécher, le sucer ou le mordiller avec passion.
Si elle ne devient pas folle avec ça...
Shiro se sépare ensuite du cou de sa patiente.
« Dis moi... han... est-ce que... mon cadeau... t'a plu... ma petite chérie ? Qu'est ce que... tu aimerais... ah... que je te fasse... d'autre ? »
La voix de Shiro est entrecoupée de soupirs et de gémissements. Anaé lui caresse la poitrine avec tellement de talent que c'en est indescriptible. Et l'infirmière ne remarque pas encore que sa culotte est de plus en plus humide.
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En voyant le visage de Shiro approcher, Anaé savait très bien ce qui allait arriver, et son coeur se mit à battre à tout rompre. Son souffle déjà court devint erratique et son regard se bloqua sur ces jolies lèvres qui avançaient faire les siennes. Elle ressentit comme une petite décharge d'énergie, douce et sensuelle, lorsque leurs lèvres se touchèrent, et Anaé se délecta de leur humidité. Ses doigts se figèrent un instant, puis reprirent leur découverte de la poitrine de l'infirmière, comme indépendantes et assoiffées de contact. Pendant ce temps, leurs bouches tentaient de se sceller mutuellement, puis Shiro fit glisser sa langue en avant, humectant un peu plus les lèvres d'Anaé, qui s'entrouvrirent vite. Elle-même avança sa langue, comme par réflexe, et le premier contact de leurs langues provoqua un soupir de plaisir commun. Puis, ce fut le défi, un véritable duel de langues, s'esquivant, se caressant, jouant d'agilité pour se nouer sans se bloquer, pour s'étreindre sans se restreindre. Shiro couinait, Anaé soupirait...
Elles se relâchèrent et s'observèrent un instant, à bout de souffle, des sourires extatiques aux lèvres, le visage rouge d'émotion, les yeux brillants. Anaé ne lâchait pas la poitrine de Shiro et continuait à jouer avec les tétons qui pointaient comme des flèches sous la blouse. Shiro plongea en avant et de mit à embrasser son cou, léchant sa peau au niveau de la jugulaire. Une onde de désir traversa encore Anaé, qui sentit sa culotte s'humidifier et ses seins gonfler de désir.
« Dis moi... han... est-ce que... mon cadeau... t'a plu... ma petite chérie ? Qu'est ce que... tu aimerais... ah... que je te fasse... d'autre ? »
Anaé peina à comprendre ce que Shiro lui murmurait entre deux gémissements, mais finit par rassembler les mots et les concepts perdus dans l'océan de ses sensations.
"Je...je voudrais que tu...vous...tu..."
Anaé se dégagea et embrassa à nouveau Shiro. Cette fois, le baiser fut moins romantique. Il fut même sauvage, leurs langues s'unissant pour se frotter, se confronter, lutter ensemble. Cette étreinte était presque animale, passionnée, et elles se rapprochèrent l'une de l'autre, Anaé relâchant la poitrine de Shiro pour poser ses mains sur ses cuisses. L'infirmière, elle, s'empara des jolis globes fessiers d'Anaé, les massant à travers le bloomer, longeant la couture couverte du slip plissé d'Anaé sous la matière élastique du bloomer. Une impulsion commune les rendait incapable de se maintenir en place, leurs bassins s'agitant instinctivement, mais aucune d'elle n'osa aller glisser sa main entre les cuisses de l'autre.
Finalement, le baiser langoureux prit fin lorsqu'elle furent à nouveau à bout de souffle, reliées un instant par un filet de salive qui vint s'écraser sur la brassière d'Anaé et la blouse de Shiro. Leurs yeux étaient accrochés les uns aux autres, sans oser se lâcher...
"Je voudrais...que tu...retires ta...blouse..."
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Anaé répond à la question de Shiro par des balbutiements incompréhensibles. L'infirmière a un petit rire en l'entendant, mais elle déchante très vite : sa patiente profite de son manque d'attention pour venir l'embrasser. Mais ce n'est pas un simple baiser, comme celui que Shiro lui a fait. Il est bien plus ferme, plus assuré. Leurs langues se mêlent avec énergie et vigueur, luttant ensemble pour offrir un maximum de satisfaction à leurs propriétaires. Et il s'accompagne d'une étreinte sauvage, presque animale. L'infirmière sent son plaisir décoller comme une fusée devant cette prise d'initiative de la part d'Anaé. Elle aime sentir le désir prendre le dessus, voir comment cette jeune fille, qui était plutôt timide en passant sa porte, se laisse enfin aller aux joies du sexe. Elle regrette seulement de découvrir que, finalement, Anaé n'est pas vierge : aucune fille sans expérience sexuelle n'aurait eu le courage de se lancer soudainement dans un tel rapprochement. A moins qu'elle ne soit vraiment désireuse d'agir. Et, dans ce cas là, Shiro devra agir pour la calmer, ainsi que pour la guider, avant qu'elle n'en fasse trop et qu'elle ne soit à bout de forces.
Appréciant le délicieux baiser qu'elle échange avec sa patiente, Shiro sent soudain les mains de la jeune fille lâcher sa poitrine. Elle veut les ramener, mais elle change vite d'avis quand elle les sent venir se poser sur ses cuisses, sur l'écart de peau nue entre ses longues chaussettes blanches et sa culotte. Un frisson d'excitation lui parcourt l'échine, et elle pousse un couinement qui est étouffé dans la bouche de sa patiente. Pour lui répondre, Shiro vient poser ses mains sur ses jolies fesses, les massant à travers le bloomer de sport bleu qu'elle porte. Elle appuie bien fort afin de sentir la culotte de sa patiente à travers le tissu élastique du vêtement de sport, si apprécié par Shiro de par sa façon de mouler les derrières déjà bien rebondis des lycéennes. Même si elle préfère quand même les jupes de l'uniforme scolaire, pour leur côté dévoilant et parce qu'elles permettent, de temps en temps, de jeter un coup d’œil aux culottes des élèves. Pour un garçon, c'est vu comme de la perversion. Mais entre filles, ça n'a rien de méchant.
Pendant que ses mains font leur œuvre, son bassin se met à s'agiter de lui même, faisant des allées et venues vers Anaé. Elle remarque que le bassin d'Anaé exécute les mêmes mouvements.
Shiro sait très bien d'où cela vient : le corps des deux filles réagit à l'excitation, et essaie de calmer le feu qui commence à brûler entre leurs cuisses. Un feu que l'infirmière va bientôt apaiser pour sa patiente.
Finalement, le baiser langoureux et l'étreinte sauvage finissent par s'arrêter lorsque les deux filles sont à nouveau à bout de souffle. Il faut dire qu'un tel contact à de quoi fatiguer même une partenaire aussi endurante que Shiro. Se séparant en laissant derrière elles un fin filet de salive qui vient atterrir sur leurs vêtements, les deux partenaires se regardent fixement, sans qu'aucune d'entre elles n'ait envie de lâcher.
Anaé répond alors, de façon claire, bien qu'un peu essoufflée, à la question de Shiro.
"Je voudrais...que tu...retires ta...blouse..."
Shiro fait tout pour retenir sa surprise.
Déjà, Anaé vient de dire clairement qu'elle veut voir sa partenaire à moitié nue, une chose dont elle aurait été incapable il y a peu. Ensuite, elle a tutoyé Shiro. Plus de « madame », plus de « vous », elle se met enfin à l'aise, et au même niveau que l'infirmière.
Eh bien... Soit j'ai encore plus d'influence que ce que je pensais avec mes pouvoirs, soit cette jeune fille est vraiment désireuse de s'envoyer en l'air.
Shiro est étonnée, mais elle est aussi ravie. Elle va enfin pouvoir enlever sa blouse et se dévoiler aux yeux de sa partenaire, sans compter qu'elle commence à avoir un peu chaud là-dedans. Mais elle n'a pas oublié ce qu'elle avait dit un peu plus tôt à Anaé. Reprenant enfin son souffle, elle s'approche de sa patiente et colle sa bouche près de son oreille, pour murmurer quelques mots d'une voix sensuelle et tendre, appuyée par ses pouvoirs d'E.S.P.er.
« Je me ferais une joie de te montrer ce que je cache sous ma blouse, Anaé. Mais, comme je te l'ai dit un peu plus tôt, si tu veux me voir sans mes vêtements, il va falloir que tu me les enlèves toi même. Ce sera beaucoup plus amusant. Et ensuite, quand tu le voudras, je te déshabillerai moi aussi... »
Shiro se l'imagine déjà : lui enlever son t-shirt blanc, dégrafer son soutien-gorge, faire glisser son bloomer puis sa culotte le long de ses jambes... Ces pensées font trembler tout son corps de désir, mais elle revient très vite à la réalité. Elle ne veut pas faire attendre sa patiente.
En bougeant le plus lentement possible, afin de bien donner envie à Anaé, Shiro s'éloigne d'elle et va s'asseoir sur les genoux, de l'autre côté du lit. Elle attend que sa patiente vienne vers elle.
J'espère qu'elle aimera mes sous-vêtements (http://i01.i.aliimg.com/wsphoto/v0/1009816817/Free-Shipping-Sexy-embroidery-thin-breathable-plus-size-women-s-underwear-bra-set-purple-coffee.jpg)...
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Les muscles d'Anaé lui faisaient mal tant elle était tendue dans l'attente de la réponse de Shiro, que celle-ci lui glissa à l'oreille. Le sourire revint aussitôt à Anaé, qui observa l'infirmière se diriger vers le bout du lit lentement, l'attendant pour l'effeuillage. La jeune fille s'aperçut qu'en plus de sa superbe poitrine, Shiro était dotée de fesses magnifiques. Anaé se rapprocha doucement de l'infirmière, comme si elle avait peur de l'effrayer, et lui lança un petit sourire timide en posant la main sur le premier bouton, en haut de la blouse, au niveau du cou. Elle était tétanisée, mais l'infirmière lui embrassa gentiment la main pour la rassurer, et le premier bouton sauta. Le tour de cou se relâcha à peine, mais Anaé sentit son coeur tambouriner dans sa poitrine. Le deuxième bouton allait dévoiler tout son décolleté en forme de coeur jusqu'en dessous des seins... Shiro l'aida à placer ses doigts tremblants sur le deuxième bouton, puis lui laissa l'initiative. D'un geste lent, Anaé libéra le bouton...
La blouse ne bougea presque pas. Le pan se replia à peine, reposant sur la poitrine de Shiro. L'instant de tension éclata comme une bulle de savon, et les deux filles se mirent à rire bêtement de cette tension si étrange. Elles se prirent la main doucement, puis s'embrassèrent doucement, puis, peu à peu avec plus d'ardeur. En un instant, leurs langues jouaient à nouveau ensemble et leurs bassins s'échauffaient encore, d'autant plus que désormais, leurs genoux nus se frottaient et soulignaient leur désir d'être peau nue contre peau nue. Elles se séparèrent à bout de souffle, un filet de salive les reliant un instant, et la tension revint.
Cette fois, le prochain bouton était sous la poitrine, un endroit qu'Anaé avait déjà caressé mais qui la faisait maintenant hésiter. Mais Shiro ne se séparait pas de son sourire patient et désirable, et la jeune fille s'en sentit rassurée. Elle serra juste un peu ses cuisses, persuadée que son état était visible sur son bloomer, ce qui ne tarderait pas à être vrai, tant elle était excitée... Le bouton sauta, et cette fois, la blouse se rendit, vaincue, dévoilant l'opulente poitrine de Shiro engoncée dans un soutien-gorge d'un violet très doux et aux motifs floraux captivants. Anaé soupira face à cette formidable poitrine et ne put s'empêcher de caresser les côtés fins du soutien-gorge, de souligner le contours des baleines et de suivre le cours des bretelles, distillant de douces sensations à l'infirmière. La poitrine fut entièrement libérée lorsqu'Anaé fit sauter le bouton suivant, dévoilant un ventre doux et plat, qui donna envie à Anaé de l'embrasser.
Il ne restait plus qu'un bouton pour dévoiler la culotte de Shiro, dont la pointe violacée était visible, mais qu'Anaé refusait de voir, par des élans de pudeur qui semblaient bien dérisoire maintenant. Ses mains tremblaient...
"Tu...Tu m'aides ?"
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La tension s'installe dans la pièce tandis qu'Anaé s'approche de Shiro, prête à la déshabiller mais quand même un peu nerveuse. Elle s'approche tout doucement, comme si elle craignait quelque chose, puis pose ses mains tremblantes sur le premier bouton de la blouse. Encore une fois, Shiro s'étonne de voir une fille, qui semblait si sauvage il y a peu, se mettre à hésiter quand les choses deviennent intéressantes. Mais, après tout, peu importe les raisons de son état : si elle est inquiète, c'est son devoir d'infirmière de la rassurer. Dans cette optique, elle vient déposer un petit baiser sur l'une des mains d'Anaé et lui adresse un petit sourire réconfortant. Soutenue par ces gestes de gentillesse, la jeune fille détache le premier bouton, libérant le tour du cou de l'infirmière. Ensuite, afin de l'accompagner au mieux, Shiro amène ses mains jusqu'au deuxième bouton, mais lui laisse l'initiative.
Après ce deuxième bouton, les deux filles laissent échapper un petit rire, très rapidement suivi par un délicieux baiser, main dans la main. Shiro se sent à nouveau envahie par ce délicieux sentiment de plaisir qui accompagne chacun des baisers qu'elle échange avec Anaé, tantôt calmes et tantôt sauvages.
Peu après ce baiser, le troisième bouton saute et la poitrine de l'infirmière est enfin libérée. Anaé vient caresser le tissu du soutien-gorge, et Shiro en frémit d'aise. Elle adore sentir les mains de sa patiente sur sa poitrine, et a hâte de les sentir sur son sexe trempé et dégoulinant de cyprine.
Le quatrième bouton dévoile son ventre, sur lequel la jeune fille lorgne un peu avant d'amener ses mains vers le dernier bouton. Shiro remarque alors que les mains de sa patiente tremblent. Elle est définitivement bien trop nerveuse. Mais l'infirmière sait comment résoudre ce problème.
« Je vais t'aider. Pour commencer, donne moi tes mains. »
Anaé s'exécute et l'infirmière guide ses doigts vers le dernier bouton. Elle en appelle à ses pouvoirs d'E.S.P.er.
« Quand tu auras enlevé ce dernier bouton, tu pourras savourer la vue de mon corps presque nu. Ça te fait envie, n'est ce pas ? »
Cette fois ci, la stratégie n'est plus de rassurer, mais d'exciter. Et ça marche, puisque Anaé trouve finalement le courage d'enlever le dernier bouton de la blouse, celui qui cachait la culotte de l'infirmière à ses yeux d'adolescente curieuse.
« C'est bien. Je suis fière de toi. Tu as su aller au-delà de tes inquiétudes. Maintenant, je vais faire en sorte que tu ne le regrettes pas. »
Shiro retire sa blouse et l'envoie sur la table de nuit à côté du lit. Elle reste immobile un petit instant pour que sa patiente se régale de la vue du corps de son infirmière, avant de passer à l'action.
Un peu plus tôt, Shiro a remarqué que la jeune fille serrait ses jambes l'une contre l'autre, comme si elle voulait cacher quelque chose. La raison semblait évidente, mais la malice de Shiro lui donne quand même envie de vérifier. En forçant un peu, elle glisse une main entre les cuisses de sa patiente pour venir frotter son bloomer, et sent une trace humide.
« Tiens, tiens... On dirait que quelqu'un ici a mouillé sa culotte. »
Anaé met son visage dans ses mains pour cacher sa honte. Shiro vient les enlever pour qu'elle puisse regarder Anaé dans les yeux et lui parle avec sa voix d'E.S.P.er.
« Allons, ça n'a rien de honteux. Ton corps fait juste savoir qu'il se sent bien. Tu devrais être contente. »
Shiro fait de son mieux pour détendre Anaé, mais une question continue à la turlupiner. Une question à laquelle elle sait comment avoir la réponse.
Une de ses mains retourne caresser le bloomer de la jeune fille, qui se remet à couiner.
« Dis moi, ma petite chérie... est ce que quelqu'un t'a déjà touché ici ? Quelqu'un d'autre que toi, je veux dire. T'as t-on déjà caressé ou pénétré à l'intérieur de ton vagin ? Pour faire simple... es tu encore vierge ? »
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En un instant, Shiro fut nue, et un feu intense gagna le corps d'Anaé. Tout était si magnifique chez elle qu'Anaé sentit son sexe s'ouvrir comme une fleur et son coeur battre la chamade. Sa belle poitrine mençait de s'échapper du soutien-gorge, et son bassin était si bien mis en valeur par son slip assorti qu'Anaé aurait voulu embrasser toute la peau douce et intime de son entrecuisse.
"C'est bien. Je suis fière de toi. Tu as su aller au-delà de tes inquiétudes. Maintenant, je vais faire en sorte que tu ne le regrettes pas."
Anaé regarda Shiro et l'imagina aussitôt l'embrassant, l'étouffant sans sa poitrine, la poussant entre ses cuisses pour en goûter le nectar... Elle sursauta en sentant une main frotter son bloomer et se mit aussitôt à rougir.
"Tiens, tiens...On dirait que quelqu'un ici a mouillé sa culotte."
Anaé était honteuse. Elle savait qu'elle dégoulinait et qu'elle devait lutter pour éviter que son bassin ne vienne de lui-même se frotter sur les doigts de l'infirmière. Celle-ci la rassura avec sa voix douce, puis retourna à son entrejambe. Anaé commença à pousser des petits cris quand Shiro lui demanda ses secrets intimes. Anaé eut des flashs, des retours de ce qu'elle avait subi, de vagues souvenirs qui n'avaient pas entièrement disparus... Et son corps tout entier s'embrasa à nouveau de désir. Son bassin s'activa et accompagna les caresses de Shiro...
"Non, je ne suis plus...vierge...mais j'ai besoin d'apprendre...en douceur..."
Une énorme tâche devait désormais orner son bloomer, mais Anaé profita plutôt de l'inattention de Shiro pour glisser à son tour une main entre ses cuisses et caresser son slip.
"Je crois que vous...tu..vous...tu... enfin, je crois que c'est mouillé ici aussi..."
Et elle joua avec le slip, avec sa matière, et s'étonna de sentir un point plus étrange, plus solide, comme une boule. Sans le savoir, elle jouait, à travers le slip, avec le clitoris en plein désir de Shiro.
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"Non, je ne suis plus...vierge...mais j'ai besoin d'apprendre...en douceur..."
Tout s'explique pour Shiro. Si Anaé a su se montrer aussi sauvage durant leurs baisers et aussi hésitante quand elle l'a déshabillée, c'est parce que, même si elle a déjà eu un rapport sexuel, elle n'a eu que peu d'expériences, et qu'elle est encore relativement ignorante sur le sujet. Du moins, d'après ce qu'elle avait compris. Et elle allait se faire un plaisir de l'éduquer.
« Dans ce cas, tu as de la chance de m'avoir trouvée. J'adore éduquer les jeunes filles aux plaisirs sexuels. Et avec toi, je vais prendre tout mon temps. »
Shiro continue de frotter son bloomer, l'humidité se faisant de plus en plus sentir. Mais elle est tellement distraite qu'elle ne remarque même pas la main de sa patiente qui vient jusqu'à sa culotte pour se mettre à la caresser.
Entre deux gémissements, Shiro remarque qu'Anaé est un peu désemparée et a du mal à savoir ce qu'elle doit dire.
« Tu peux... me tutoyer... ma petite chérie. Tu peux même... m'appeler Shiro... si tu veux... han... aahh... »
C'est alors que la patiente trouve le clitoris de son infirmière, formant une boule déjà bien nette à travers sa culotte.
« Kyaaahhh ! »
Shiro ne peut pas retenir un cri. Après tout, ce point est l'un des plus sensibles de l'anatomie féminine. Et la façon dont sa partenaire le stimule est un vrai bonheur pour la jeune femme, qui ne peut plus retenir sa voix et se laisse aller, enchaînant couinements et gémissements sans s'arrêter.
Face à la prise de risque de sa patiente, l'infirmière se décide à contre-attaquer : sa main passe en-dessous du bloomer pour venir caresser le tissu de la culotte d'Anaé, un tissu déjà complètement trempé par la cyprine.
« Ouah... han... Je ne pensais pas... que tu serais... oh, ah... aussi mouillée. Je dois vraiment... ah... te faire du bien. »
Shiro voit bien que sa partenaire retient sa voix du mieux qu'elle peut. Elle décide alors de pousser le vice encore plus loin grâce à ses pouvoirs.
« Ne retiens pas... ta voix... ma petite chérie. Laisse là s'exprimer... han... Et n'hésite pas... à me faire... han... ce que tu veux. »
Si Anaé se retient encore d'assouvir ses envies sur le corps de son infirmière, ces quelques mots de sa part devraient suffire à la décoincer.
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La main entre les cuisses de l'autre, les deux femmes se faisaient face, transpirant de désir par tous les pores de leur peau. Peu à peu, Shiro avait réussi à vaincre les dernières angoisses d'Anaé et Anaé s'était révélée plus douée encore que ne l'imaginait l'infirmière. Elle avait manqué de jouir sur le coup en sentant la lycéenne prendre possession de son clitoris à travers son slip. Et Anaé savait qu'elle dégoulinait... Lorsque les doigts agiles de Shiro s'infiltrèrent dans son bloomer, Anaé ne fut pas vraiment surprise de la réaction de l'infirmière.
"Ouah...han...je ne pensais pas...que tu serais...oh, ah...aussi mouillée. Je dois vraiment...ah...te faire du bien."
Et l'infirmière réussit à la convaincre de par ses mots, de laisser au placard sa timidité, ses hésitations et sa honte. Anaé se mit à gémir et à se dandiner, en s'accrochant au slip de l'infirmière qui se mit à frotter ses lèvres intimes de façon surprenante. Et le flot de cyprine dans la culotte d'Anaé ne se tarissait pas.
"Je...ah...je mouille toujours...beaucoup...vraiment....ah...beaucoup... J'espère que...ah...je ne te...ah...dégoute pas... Je sais que c'est...ahhhh...sale..."
Mais les caresses de Shiro se voulaient rassurantes, elle laissait à Anaé le soin de faire ce qu'elle voulait. Etrangement, la réponse d'Anaé fut de tendre la langue et de lécher le visage de l'infirmière avec délice, se rapprochant d'elle, leurs seins se frôlant à travers le tissu. Tout ce qu'elle voulait, c'était sentir le goût de Shiro, et qu'elle-même la goûte, comme un plaisir animal. Il n'y avait plus de peur. Anaé savait que les doigts de Shiro allaient bientôt être trempés, que son slip ne retiendrait bientôt plus rien, mais peu importait. Elle échangea un baiser langoureux et très humide avec Shiro et recommença à la lécher, tout en jouant avec le slip violet de l'infirmière. Pitié, qu'elle continue ses caresses...
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En réponse à la proposition de Shiro, Anaé commence à remuer son bassin tout en frottant un peu plus fort sa main contre la culotte de son infirmière. Cette dernière se sent de plus en plus faible, ses forces quittent son corps à mesure qu'elle prend du plaisir. Mais elle ne veut pas laisser sa patiente en manque, elle serait une bien mauvaise partenaire si elle agissait ainsi. Alors elle surmonte son envie de se laisser écrouler sur le lit pour venir caresser plus vivement, plus passionnément. Elle veut être sur que la jeune fille atteigne l'extase entre ses mains, aussi bien physiquement qu'émotionnellement, comme toutes ses camarades avant elle.
Pendant qu'elle masturbe Shiro, Anaé fait un commentaire sur l'état de son entrejambe dégoulinante. Un commentaire qui montre bien à l'infirmière que sa patiente n'a pas encore abandonné toute sa gêne et sa honte. Elle décide donc d'agir pour y remédier. Le problème, c'est avec ses halètements de plaisir qui viennent entrecouper sa voix, cette dernière aura moins d'influence sur la jeune fille. Il faut espérer que l'excitation que provoque en elle les caresses de sa partenaire aidera à faire passer le message.
« Ah... Tu... tu ne me... dégoûteras... jamais... ma petite... chérie. La mouille... han... de ton... intimité... n'est pas... oh, ah... sale. Elle est... juste... naturelle... aahh... »
Shiro se fait apaisante et rassurante pour Anaé. Si elle laisse tomber toute retenue et accepte de prendre le plaisir qui s'offre à elle sans se soucier de sa honte ou de sa timidité, elle pourra en profiter au maximum. Après tout, sa partenaire ne lui veut que du bien.
Les mots et les caresses de Shiro semblent faire effet. Anaé vient lécher le visage de son infirmière avec délice, et colle ses seins contre les siens, leurs tétons dressés se touchant à travers le tissu de leurs vêtements. L'infirmière jubile en voyant que sa patiente se décide à se lâcher un peu, et veut l'encourager dans cette voie. Alors elle vient à son tour lécher le visage de sa patiente, passant langoureusement sa langue sur les joues rouges de la jeune fille. Elle ajoute même un petit commentaire lubrique pour l'exciter.
« Humm... Délicieux. »
Les deux femmes échangent ensuite un baiser langoureux et très humide. Anaé a tellement de salive en bouche que Shiro est obligée d'en boire une partie pour ne pas étouffer.
Elle doit avoir autant de salive dans la bouche que de cyprine dans son entrejambe.
Cette pensée donne alors une idée des plus perverses à l'infirmière. Après que sa patiente lui ait à nouveau léché le visage, Shiro sort sa main du bloomer pour venir porter ses doigts trempés à sa bouche, et les lécher un à un. Son but est de montrer à la jeune fille qu'elle ne doit pas se sentir sale à cause de ce liquide qui lubrifie son intérieur, qu'il peut aussi être une source d'excitation.
« Slurp... Merveilleux. »
Anaé ne semble pas très heureuse de voir ça. Mais c'est surtout parce que Shiro a arrêté de la caresser. Sans la faire attendre plus longtemps, elle remet sa main dans son bloomer et revient frotter sa culotte, qui continue de se mouiller.
Shiro sent qu'elle approche de l'orgasme. Après tout, Anaé joue avec son clitoris depuis le moment où elle a commencé à frotter sa main contre sa culotte. Se pourrait-il qu'elle jouisse avant sa patiente ? Cette idée ne l'enchante guère, alors elle tente de rediriger la jeune fille pour qu'elle prenne son pied sans masturber l'infirmière.
« Han... N'hésite pas... à lécher... ah... tes propres doigts. Tu verras... oh... à quel point... ça peut être... bon... aahh... »
Elle parle sans sa voix d'E.S.P.er. Après tout, elle ne veut pas pousser cette jeune fille en plein apprentissage à faire quelque chose dont elle n'a pas envie.
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L'échange de léchouilles avec Shiro avait survolté Anaé ! Elle en voulait toujours plus, et, lorsque l'infirmière retira sa main de son bloomer, elle sentit aussitôt un grand vide. Mais voir Shiro se délecter de son goût la plongea dans le désir de goûter à une femme.
« Han... N'hésite pas... à lécher... ah... tes propres doigts. Tu verras... oh... à quel point... ça peut être... bon... aahh... »
Heureusement, la main de l'infirmière avait repris sa place dans le bloomer, continuant à la masturber de plus en plus intensément. Anaé continua à caresser Shiro, puis, lentement, retira ses doigts, trouvant un certain plaisir à lire dans son regard le même dépit qu'elle avait connu de voir son sexe abandonné. Elle lécha consciencieusement ses doigts et le parfum en était merveilleux. Elle sourit, puis tendit ses doigts à l'infirmière.
"Parfois, je...ah...goûte mon corps...quand je suis...oh...seule... J'aime beaucoup... Et... toi ?"
De son autre main, elle saisit le poignet de Shiro enfoncé entre ses cuisses et l'en retira, pour plonger ses doigts dans sa bouche. Son regard ne lâcha pas celui de Shiro tandis qu'elle lui glissait son goût dans la bouche. Le goût de son propre sexe était délicieux, et Anaé espérait que Shiro appréciait de se goûter elle-même. Puis, elle retira les doigts de Shiro de sa bouche et baissa un peu le regard.
"Shiro...est-ce que ce serait possible qu'on...se caresse...face à face ? Je n'ai jamais vu une fille se...enfin, tu vois..."
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Shiro caresse intensément Anaé, portée par l'excitation que lui procure la main de la jeune fille en train de la masturber. Puis, soudain... plus rien. L'infirmière ne sent plus rien jouer entre ses cuisses. Elle tourne ses yeux emplis de dépit vers ceux de sa patiente, qui semble s'amuser de ce sentiment vu dans son regard. Elle lèche longuement ses doigts, savourant le goût de la cyprine de sa partenaire, et semble en apprécier la saveur, ce qui met l'infirmière en joie. Elle tend ensuite ses doigts vers la bouche de Shiro.
« Oui... han... parfois... Et j'aime... beaucoup... aussi... »
La jeune femme lèche les doigts trempés de sa partenaire, avec beaucoup d'entrain et de joie. Elle fait glisser tendrement sa langue entre les phalanges et aspire chaque goutte de sa cyprine. En même temps, la patiente prend la main de son infirmière entre ses cuisses et la porte à sa bouche pour lécher sa propre saveur, les yeux dans les yeux. La chaleur intime de Shiro grimpe en flèche devant une vue et une sensation aussi alléchante que ses doigts caressés par la langue de la jeune fille en face d'elle. Puis, quand Anaé retire ses doigts de la bouche de Shiro et les doigts de Shiro de sa bouche, avant de baisser le regard, visiblement un peu hésitante quant à sa demande. Mais cette dernière excite beaucoup l'infirmière qui, portée par son élan de perversion, vient donner un rapide coup de langue et un petit coup de dents sur le lob de son oreille.
« Oui... je vois... ma chérie... et j'adorerais... me caresser... devant toi...
A une... condition...»
La jeune femme pose ses mains sur les hanches de sa partenaire et lui enlève son bloomer, pour pouvoir enfin savourer la vue de sa culotte (http://www.laredoute.fr/ppdp/prod-402705086.aspx?dim1=9&dim2=166&cod=5FR1152141&kard=1&gclid=CInD2dGxicUCFUTJtAod0g0ALw), une jolie culotte bouffante rose avec une trace humide au milieu.
« Très jolie... Maintenant... je peux... te regarder... »
Shiro ne comprend juste pas pourquoi Anaé préfère se caresser seule plutôt que de profiter de la main de sa partenaire, mais bon...
L'infirmière s'éloigne un peu de sa patiente pour avoir de la place, écarte ses jambes pour que la trace trempée de sa culotte marquant l'emplacement de son sexe soit bien visible et vient glisser sa main dans sa culotte pour se toucher directement. Déjà bien excitée, elle ne s'échauffe pas dans ses caresses et se masturbe énergiquement dès le départ. Elle glisse trois doigts dans son intimité et fait des vas et viens énergiques et bruyants. De son autre main, elle malaxe, tire et griffe sa poitrine sans aucune retenue, jonglant d'un sein à l'autre. Le tout en couinant et en haletant comme une folle.
« Han... han... oui... encore... han... »
En face d'elle, Anaé se fait du bien en la regardant se masturber. Et ce spectacle érotique porte Shiro.
« Oui... ma chérie... continue... fais toi du bien... en me regardant... et donne moi... envie... de me... caresser... plus fort... »
Les deux filles approchent vite de l'orgasme. Mais qui va jouir en première ?
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Anaé se retrouvait donc dans le même état que l'infirmière : en sous-vêtements, excitée, visiblement trempée... Sans se lâcher du regard, elles commencèrent à se masturber face à face. Parfois, les yeux d'Anaé venaient loucher sur la trace de plus en plus sombre s'imprimant sur le slip de Shiro, déformé par les trois doigts qui allaient et venaient en elle. L'infirmière s'était envahie directement, elle devait être aussi trempée qu'Anaé, qui avait fait de même, mais juste avec deux doigts. Les autres sortaient de temps à autre de l'entrejambe de sa culotte, luisants et glissants. De son autre main, l'infirmière s'était mise à jouer avec sa poitrine dont les aréoles commençaient à être visibles au-dessus des bonnets du soutien-gorge. Anaé l'imita, faisant frémir ses seins à travers sa brassière. Shiro gémissait, la regardait, approchant de l'orgasme, mais Anaé était prête à pleurer. Il manquait quelque chose...
Soudain, elle n'en put plus. Elle retira sa main de sa culotte et attrapa Shiro à la taille, l'attirant à elle avec la force du désir. Elle glissa sa jambe entre celles de Shiro, asseyant le pubis de l'infirmière sur sa cuisse, et empala son propre mont de Vénus sur l'une des cuisses de Shiro. Leurs bassins se mirent aussitôt en route, se frottant contre leurs cuisses respectives, tandis qu'elles s'embrassaient à pleine bouche en se tenant de leurs mains poisseuses. Entre deux baisers frénétiques, Anaé geignait.
"Je veux jouir...et re-jouir encore...avec toi...Aime-moi..."
Son souffle prit un ton plus aigu, ses baisers se mirent à devenir moins précis, sa culotte commença à exsuder un peu de cyprine. Elle s'accrocha à l'arrière du slip de Shiro, la tête dans le creux de son cou, bavant sur sa poitrine, et poussa un hurlement de plaisir, qui trouva son écho chez Shiro un instant plus tard.
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Shiro se fait tellement de bien, avec ses doigts sur sa poitrine et dans son entrejambe, qu'elle en oublie le monde autour d'elle. Cela faisait tellement longtemps qu'elle ne s'était plus masturbé seule, ayant toujours une fille à portée de main pour s'amuser avec elle, qu'elle en avait oublié le bien qu'elle pouvait se donner à elle même. Tout ce qu'elle voit, à présent, c'est Anaé, qui a enlevé son t-shirt blanc et expose maintenant sa brassière tout aussi rose que sa culotte, en train de se masturber. Une main dans sa culotte, avec deux doigts qui s'activent dans son intimité, et l'autre main agaçant ses seins à travers sa brassière. La voir ainsi ne fait que rendre Shiro plus excitée, et l'encourage à se masturber de plus en plus fort pour libérer toute cette cyprine qui voulait voir la lumière du jour. Et son plaisir grandit encore quand sa patiente, n'en pouvant plus de s'amuser seule, l'attrape par la taille et l'attire vers elle pour asseoir son pubis sur sa cuisse. De son côté, elle amène son entrejambe sur la cuisse de Shiro. Immédiatement, l'infirmière comprend ce que sa patiente veut, et se met à bouger son bassin pour frotter son sexe trempé sur la cuisse d'Anaé. Cette dernière fait de même sur la cuisse de sa partenaire. Pour compléter le tout, elles viennent s'embrasser en se tenant par leurs mains humides et collantes, mêlant leurs cyprines respectives.
« Ah... Oui, ma chérie... Je veux te sentir... avec moi... »
Les actions de Shiro, contrairement à celles d'Anaé, gardent leur précision et leur dextérité tandis que le plaisir monte en elle. Avec les mains de sa patiente sur ses fesses et sa tête dans son cou, elle sent leurs deux corps collés dans l'attente de la jouissance. Et soudain, il arrive enfin. L'orgasme, puissant et fulgurant, comme un éclair s'abattant sur elles. Leurs hurlements de plaisirs sont parfaitement à l'unisson. Elles libèrent toutes les deux une grand quantité de cyprine, qui vient se répandre dans le fond de leurs culottes et sur la cuisse de l'autre. Elles ont toutes de la bave qui leur coulent de la bouche.
Shiro s'étale littéralement sur le lit, à côté d'Anaé, qui est elle aussi fatiguée. L'orgasme a été si puissant que même une infirmière aussi portée sur le sexe que Shiro est complètement à plat. Ses yeux se plantent dans ceux de sa patiente. Comme les siens, ils contiennent une lumière qui montrent bien que, même si elle n'a plus beaucoup d'énergie,
la jeune fille est folle de joie d'avoir pu ressentir ça aux côtés de sa partenaire. Cette dernière se met à sourire.
« C'était... incroyable. Je n'ai jamais... ressenti... quelque chose... d'aussi puissant... avec une lycéenne. »
Les patientes de Shiro, bien qu'elles soient très mignonnes, sont en général des novices dans le sexe, ou des novices dans le sexe lesbien. Mais cette fille, bien qu'elle ait dit qu'elle soit débutante, a déchaîné la jeune femme comme jamais une adolescente ne l'avait fait.
L'infirmière vient tout en douceur embrasser sa jeune patiente. Cette fois ci, le baiser est plus calme, plus détendu, et sans la langue. Ce n'est pas un baiser fait pour exciter, c'est un baiser fait pour calmer.
« Comment peux tu faire ça ? N'importe quelle autre fille de ton âge aurait joui après la moitié de ce que je t'ai fait... Quel est ton secret, Anaé ? Tu veux bien me le dire ? »
Shiro espère gagner un peu de temps, pour qu'elle et sa partenaire reprennent leurs souffles. Ensuite, leur jeu pourra reprendre.
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Anaé n'avait plus de souffle. Elle s'effondra aux côtés de Shiro et elle passa un certain temps à l'observer, à la voir récupérer, respirer lourdement, ce qui faisait gonfler son opulente poitrine.
« Comment peux tu faire ça ? N'importe quelle autre fille de ton âge aurait joui après la moitié de ce que je t'ai fait... Quel est ton secret, Anaé ? Tu veux bien me le dire ? »
Anaé ne savait pas quoi répondre. Ce ne devait pas être l'expérience, mais ce peut quelque chose en elle...qui faisait que ses envies semblaient insatiables. Elle répondit un vague "je ne sais pas" et se tourna pour se mettre à quatre pattes. Elle avança vers le ventre de Shiro et y déposa un baiser amusé, mais son regard était accroché sur le slip de l'infirmière, maintenant souillé visiblement. Une tâche plus sombre à l'entrejambe situait avec précision son sexe, et c'est là qu'Anaé posa la langue. Elle aimait le goût de la cyprine mêlée à la dentelle, et elle commença à laper comme un petit chien, de plus en plus intensément, et sentit Shiro trembler de désir lorsque la pression de sa langue venait aiguillonner son clitoris. Elle la sentait loucher sur son entrejambe, s'amuser de la tâche de cyprine abondante sur sa culotte bouffante. Anaé le savait, elle mouillait abondamment, vraiment très abondamment. Elle espérait que cela ne dégouterait pas Shiro...
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Anaé ne répond que vaguement à Shiro. Ensuite, elle se met à quatre pattes et dirige sa bouche vers son ventre pour l'embrasser avec amusement. L'infirmière rigole des frissons que lui procure ce baiser. Mais ensuite, des frissons beaucoup moins innocents parcourent son corps : les frissons que lui procure sa patiente, qui lèche son entrejambe à travers sa culotte, savourant le goût mêlé de cyprine et de dentelle. Chacun de ses coups de langue donnent envie à la jeune femme de crier car elle est encore sous l'effet de son précédent orgasme, et est très sensible au niveau de ses zones érogènes. En plus, la jeune fille la lèche pile au niveau de son clitoris.
« Ha... ha... Tu ne perds pas... de temps... ma chérie... han... »
Sous l'effet de l'excitation, Shiro dirige instinctivement son regard vers l'entrejambe d'Anaé. Tout comme pour elle, la jeune fille affiche une tâche sombre bien nette sur son sous-vêtement, indiquant bien l'emplacement de son sexe, qui a dégouliné toute cette cyprine. Elle remarque aussi que sa patiente semble essayer de cacher cette marque. Il apparaît que, même après tout ce qu'elles ont fait ensemble, Anaé n'arrive pas encore à assumer certaines choses devant Shiro, ce qui la rend encore plus mignonne aux yeux de cette dernière.
Si c'était une friandise, je la croquerais sans hésiter... Oh, et puis après tout !
Shiro pose ses mains sur la tête d'Anaé pour la lui faire lever. Elle plonge son regard dans le sien, et lui fait signe de venir vers elle. La jeune fille se retrouve donc à quatre pattes au-dessus de son infirmière. Cette dernière passe ses bars autour d'elle et l'attire vers elle. Leurs corps maintenant plaqués l'un contre l'autre, elles s'embrassent à nouveau. La jeune femme veut étouffer le peu de timidité qu'il reste encore à sa partenaire.
« Ce ne serait pas juste si j'étais la seule à prendre du plaisir. Alors retourne toi, je vais te montrer quelque chose de merveilleux. »
La jeune fille s'exécute, et montre maintenant sa culotte à l'infirmière tandis que son visage est proche de la culotte de sa partenaire.
« C'est le 69, une position sexuelle bien connue. Dans cette posture, nous pouvons nous faire du bien mutuellement. »
Joignant la parole à la pratique, Shiro se met à lécher la culotte d'Anaé pour la faire gémir et savoure le goût de la cyprine mélangé à celui de la dentelle. Sa partenaire se met ensuite à pied d'œuvre et la lèche de la même façon. Pour les deux femmes, c'est un bonheur immense d'être connectées de cette façon.
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Après un nouveau baiser si intense, Anaé craignit que Shiro ne voulut la repousser, mais, au contraire, son désir n'en semblait que plus fort. Elles se mirent tête-bêche, entre les cuisses l'une de l'autre, la culotte trempée à hauteur de la bouche, et entamèrent un 69 sensuel. Anaé aimait sentir Shiro sous elle, ses cuisses qui se serraient parfois autour de sa tête, la peau de ses fesses qu'elle lissait du bout des doigts, le goût de la cyprine dans la dentelle, les tremblements du bassin de l'infirmière lorsqu'elle la léchait... Et Shiro qui lui dévorait l'entrecuisse, baladant sa langue le long des coutures de sa culotte, juste au niveau de son entrejambe...
"Shiro...je...han...j'adore l'odeur...de ta...culotte !"
C'était une déclaration somme toute idiote, mais Anaé était heureuse de témoigner de son plaisir et redoubla d'effort sur l'entrejambe de l'infirmière. A force de les lécher, leurs culottes devaient être devenues transparentes, et cela excitait encore plus Anaé...
"Shiro...han...si tu veux...tu peux...l'enlever...si tu...han...préfères..."
De son côté, Anaé ramassa du bout des doigts la culotte de Shiro, affinant l'entrejambe comme pour former un string, et lécha encore et encore, goûtant un parfum de plus en plus musqué.
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La tête au niveau de l'entrejambe d'Anaé, Shiro lèche la culotte trempée de cyprine avec délice. Le goût mêlé du tissu et du fluide sexuel est toujours un bonheur, peu importe les minutes qui passent. Histoire d'en rajouter, elle utilise ses mains pour masser les fesses de sa patiente. Sentir cette jeune fille goûter à son intimité la rend si excitée qu'elle sent tout son corps, en particulier son bassin, trembler au rythme de ces coups de langue. Mais ce qui l'excite encore plus, c'est quand elle l'entend parler franchement, comme quand elle lui dit qu'elle adore l'odeur qui se dégage de sa culotte.
« Merci... Anaé... J'adore... han... la tienne... aussi... »
L'infirmière replonge la tête dans l'entrejambe de sa patiente et la lèche de mieux en mieux. Comme quoi, il suffit d'une simple phrase pour déclencher une passion plus grande.
Au bout de quelques minutes de léchouille, la culotte d'Anaé est devenue transparente, et Shiro peut distinguer son mont de vénus au travers du tissu. Elle suppose que sa culotte est dans le même état, et espère que sa patiente ne rechignera pas à la lécher. Ce qui arrive effectivement, puisqu'elle étire la culotte de son infirmière au niveau de son entrejambe pour pouvoir l'atteindre directement sur son clitoris, qu'elle excite avec sa langue et suce doucement, ce qui fait fortement gémir la jeune femme.
« Hyyaa... aahh... D'accord... ma chérie... aahh... »
Shiro écarte du bout des doigts la culotte d'Anaé pour pouvoir enfin voir son intimité nue. A peine dévoilée, elle envoie de la cyprine sur le visage de l'infirmière, qui la récupère avec sa langue et l'avale d'une traite.
« Hum... Ton jus est délicieux. Et je suis sure que ton intimité doit l'être encore plus. »
Elle vient lécher l'entrejambe de la jeune fille et récolte son liquide sans en perdre une goutte, ce qui n'est pas facile car Anaé mouille abondamment. Mais elle ne se décourage pas pour autant et, pendant qu'une de ses mains garde sa culotte bien ouverte pour pouvoir atteindre sa fente, la deuxième se glisse sous le tissu et vient palper ses fesses avant de diriger un de ses doigts dans sa fente arrière.
« Dis moi... ma belle... han... tu aimes... aahh... quand on... te prend... par derrière ? »
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Shiro avait la tête collée contre son intimité, lui dévorant le sexe avec plus de facilité, car plus grande qu'Anaé. Et quand l'infirmière écarta sa culotte pour lécher directement ses lèvres intimes, Anaé ressentit une petite explosion de plaisir, sûrement très humide, vu la remarque de son amante. Et puisque Shiro le faisait, Anaé s'autorisa à écarter la culotte pour découvrir son abricot juteux, perlant de gouttes délicieuses qu'Anaé se fit un plaisir de gober.
« Dis moi... ma belle... han... tu aimes... aahh... quand on... te prend... par derrière ? »
Anaé sentit un bout de doigt lisser sa raie culière et venir rôder autour de son petit trou. Elle ressentit un appel de chaleur, mais elle ne se souvenait pas avoir vécu ce genre de caresse...mais elle oubliait tant de choses. Par contre, il lui était arrivé parfois de se toucher là...
"Je ne sais pas...han...ça m'arrive de...me toucher par...han...là... Fais juste...han...doucement..."
De ses deux pouces, Anaé saisit et écarta les lèvres intimes de Shiro et enfonça sa langue au fond de sa maîtresse, voulant goûter au parfum de ses profondeurs secrètes. C'était délicieux et l'infirmière tressaillit, poussant Anaé à continuer. Les cuisses qui encadraient sa tête la serrèrent un peu plus et une main vint caresser ses cheveux et la pousser plus profondément dans son exploration...
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Anaé répond à Shiro qu'elle s'est déjà touchée l'anus quand elle se satisfaisait seule. Tout ce qu'elle demande, c'est que sa partenaire y aille doucement.
« Évidemment... han... ma chérie... »
En tant qu'infirmière, Shiro se montre toujours douce avec ses patientes. Sauf si elles demandent expressément à se faire bâillonner, fesser et fouetté. Mais puisque Anaé veut de la douceur, alors elle en aura.
La jeune femme caresse tout doucement la rondelle de sa partenaire pour bien la préparer à se faire pénétrer. Elle tourne et retourne calmement, sans précipitation, pour que l'idée de se faire sodomiser soit graduellement acceptée par Anaé. En plus, pour mettre toutes les chances de son côté, elle accentue ses coups de langue sur le vagin de sa partenaire. Ainsi, le surplus de plaisir pourra masquer une éventuelle douleur au moment de l'entrée.
Shiro sent soudain sa patiente écarter ses lèvres intimes et faire entrer sa langue à l'intérieur de son vagin, comme si elle répondait au soudain surplus d'activité sur son entrejambe. L'infirmière est parcouru d'un délicieux tressaillement, et resserre instinctivement ses cuisses tout en appliquant une main sur la tête de la jeune fille, lui caressant les cheveux et la poussant le plus profond possible dans son intimité. Le corps secouée comme un cocotier, elle se dit que c'est le moment.
« Aahh... Ma petite chérie... Je vais... rentrer... mon doigt... hhaann... »
Joignant le geste à la parole, Shiro fait rentrer l'index de sa main libre dans l'anus de sa partenaire. Elle croit entendre un gémissement à ce moment-là, mais ne sait pas s'il s'agit d'un gémissement de douleur ou de plaisir, ni même si ce gémissement n'est pas l'un des siens. Dans le doute, elle commence les allées et venues pour qu'Anaé trouve vite du plaisir dans cette sodomie.