Aenetelia avait posé la pomme sur le bureau et commenécé à parapher de »s documents au nom du maître, sans se poser de question ni sur le contenu, ni sur la destination. Elle signait juste au nom du maître. La raison pour laquelle elle ne réfléchissait pas était parce qu'elle connaissait très bien ces documents, l'intendante les avait rédigé, et elle était l'intendante. Elle était remplacée le temps qu'elle exécute une autre tâvche pour le seigneur des lieux, et ce genre de tâche, elle les exécutait avec plaisir ! Une tâche dont le sadisme fascinait notre chère Aenetelia, voilà de quoi l'enchanter !
Le plus drôle allait venir sous peu, le plus drôle, c'était ce que le maître lui avait promis pour sa collaboration...mais bon bref, passons plutôt à ce qui arrivait ici même. Deux gardes arrivaient devant elles, et à leur regard elle comprit ce pourquoi ils étaient là, mais étrangement, aucdun n'osa s'approcher de la jeune femmen ils se contentèrent d'Aloysia, peut être était-ce par le regard glacé d'Aentelia, mais celui qui se dirigea vers elle eut un gros frisson, avant de s'éloigner à pas rapides, ne laissnt bien vite qu'un seul garde dans la pièce.
« Alors tu ne dis pas bonjour, chienne ! Et regarde moi quand je te parle ! »Un point pour lui, il fallait du respect si on viulakit survivbre, et si elle se permettait de ne pas en éprouver, c'était parce que son rôle était non seulement primordiual, mais aussi parce qu'elle pouvait obtenir la tête de d'importe qui ici. En gros, être agréable avec Aenetelia était primordial, mais plus vicieuse que cela, on mourrait, cette femme avait l'âme viciée par nature, quoiqu'elle veuille, elle l'obtenait, quitte à menacer insidieusement, à faire compendre qu'elle avait tout intérêt à obéir, si on l'appelait la reine putain ce n'était pas pour rien, cette femme était le diable incarné !
Aentelia allait aider sa protégée, mais pas tout de suite, elle voulait voir la jeune femme se débrouiller d'abord par elle même. Elle voulait la voir réagir et après, elle ferait en sorte qu'Aloysia lui soit reconnaissante , assez reconnaissante pour lui être redevable., et les dettes elle adorait ça....car ça amenait plein de choses intéressante quand elle était créancière....
« J'ai envie de toi petite chienne, et tu vas me donner ce que je veux. »Cela devenait intéressant....frapper là où ça fait mal...allait-elle le faire
Elle se le demandait....enfin, elle le saurait bien vite...aussi reprit-elle ses papiers et recommença, comme si de rien était son travail, et ce, jusqu'à ce qu'elle entende le mâle émettre un glapissement de douleur en se courbant en deux, non sans une gifle qui envoya balader la jeune femme, qui heurta l'angle du bureau avant de tomber, groggy, au sol, le garde s'en fut en boitant, jurant dans sa barbe...La pauvre, elle saignait, enfin, bon, ce n'était pas grave, le câne, ça saignait toujours un peu beaucoup, Aenetelia se leva et vint la rejoindre.
« Oh mince ! »Enfin bon, ce n'était pas non plus la fin du monde, un petit pansemanet et ce serait bon. Elle se pencha vers elle et examina la plaie sans toucher la jeune femme, elle ne voulait pas lui infliger davantahe de douleur que ce qu'elle pouvait sentir jusqu'alors, avant de prendre la parole.
« Bon, c'est le crâne, ça saigne facilement, attends, je vais me charger de tout ça ! »Elle sortit une petite flque et un pansement.
« Ferme l'oeil ! »Et elle appliqua en faisant ruisseler de la bouteille, une petite quantité d'alcool assez fort, avant de, en tentant de ne pas toucher la peau, appliquer un petit pansement. Puis elle lui sourit avant de lui taper dans le dos, au travers des vêtements normalement ccela ne devait pas provoquer de douleur, mais si le but était qu'elle ait mal, ce n'était pas difficile, mais ce n'était pas le but actuel. Le maître lui avait promis bien mieux, beaucoup mieux ! Et elle avait grande hâte d'en arriver là !
« Tu t'es bien débrouillée, ce fut tardif, mais on apprend de nos échecs, n'est ce pas ? Leçon numéro deu donc ! Faut que tu apprennes à être plus vive, plus souple, plus agile, il faut que tu sois une véritable anguille, contrarement à toi, moi j'ai eu tout mon temps pour me faire craindre d'eux, j'ai été obligée de faire des choses horribles dont tu n'avais pas idée, alors, pour que cela ne recommence pas, j'ai du gagner les faveurs du maitre au point qu'il me voue une confiance absolue. Du coup, si tu as besoin de quoique ce soit, nhésite pas, mais c'est à une seule condition ! »La formuler, ne pas la formuler. La formuler, ne pas la formuler,...quel dilemme, non pas de savoir si il fallait le dire, mais plutôt quand le dire, il fallait qu'elle croit qu'elle hésite à lui demander cela, une comme si il s'agissait d'une telle faveur qu'elle ne serait pas capable de refuser...là était toute la nuance à réussir à faire passer....
« Je...non...enfin...je sais que c'est beaucoup demander mais....tu pourrais en échange me parler de...de comment c'est dehors ? S'il te plait... »