Boutique ! [ Don ]

Un cri déchirant.
Un éclat de larmes.
Une douleur.

La jeune femme avait levée le visage sous l'effet de la surprise, mais désormais, il restait baissé, tandis que de violents soupirs s'envolaient sous les coups de bassins de Don. Elle n'en revenait pas. Elle avait tout fait pour se repayer une virginité, et en quelques coups violents, celle ci s'envolait. Avec toute sa dignité. Elle sentait ses parois se crisper, le sang couler le long de ses cuisses, la douleur qui l'emportait. Loin, trés loin ... Son regard était remplie de colère, tandis qu'elle tentait de réaliser et de se rebeller un minimum. Elle sentait ses muscles se crisper.

- Ordure ... Laisse-moi tranquille ... grognait t'elle en serrant les dents.

Elle encaissa un nouveau coup de bassin qui souleva violemment sa poitrine. Un cri perça la nuit tandis qu'elle souffrait ainsi, qu'elle refusait toutes attentions de l'homme qui se prétendait son maitre.

- Je ne suis pas ... à toi ...

Don donnait des coups de bassin frénétiques, se fichant pas mal de la douleur de Kina Mara alors qu'il éclatait de rire, il la prit contre son torse puissant et se mit a la prendre par derrière, ses mains passant sur l'avant et caressant sans relache la superbe poitrine de la jeune fille, il lui lécha la nuque alors qu'il la forçait a regarder en bas

"Regarde, regarde moi te prendre ici dans ce lieu maudit, tu n'a aucun respect pour les morts, catin. Tout ce qui t'interesse, c'est finir sur cette rampe."

Il lui tira la tête par les cheveux et l'embrassa profondement, sa langue allant chercher la sienne alors qu'il commençait des va et vien en elle de plus en plus fort, il la plaqua sur une tombe et continua a la pénétrer a rythme régulier, son membre large et dressé distordant les parois de son intimité

"Dis le, dis que tu en veux plus, chienne."

Fit il alors que le rythme de ses pénétrations s'accellerait subitement

La jeune fille serrait les dents, réfrénant tout ce qu'elle ressentait jusque là. Elle avait mal, et la sensation qu'elle avait ici lui rappelait sa période où elle était une pauvre prostituée. Elle laissa des cris s'échapper des tréfonds de sa gorge, de plus en plus forts. Son souffle était devenu chaud, sa peau ignorait la pluie violente.

Elle crispa son visage.

- Jamais tu ne ... m'entendras ... dire ça ...

Elle sentit ses parois devenir humides, et ses muscles réagir. " Non, pas ça ! Pas maintenant !" Elle serra les poings, repoussant les baisers de l'esclavagiste. Elle avait mal, trés mal ... une douleur atroce, un déshonneur immonde, une dignité perdue ... Elle cria une nouvelle fois, puis referma violemment sa bouche.

Jamais elle ne lui ferait le plaisir de céder.

Don continua sa sombre besogne alors qu'il la couchait le long d'une tombe et continuait a la marteller de coup de hanche, il se coucha sur elle et lui caressa la joue d'une main avant de lui lancer

"Tu craquera, tu lutte déjà contre le plaisir que tu ressent a être prise comme une fille de joie a même ce cimetière, nos corps sont couverts de boue, et la pluie nous inonde, néanmoins tu continue a crier de plaisir alors que je m'enfonce en toi, pourquoi rejeter ce plaisir si divin qui te traverse de part en part pourquoi renier ta fonction première ? Être ma chose."

Il la gifla sur les fesses pour la faire crier un peu plus alors qu'il se dégageait d'elle soudainement

"Mais peut être n'ais je pas utilisé des arguments assez percutants."

Fit il alors qu'il écartait ses fesses et que celle ci le sentait menacer de passer par l'autre entrée, il entra en elle avec moin d'aisance, mais tout aussi violement alors qu'il commençait de faible va et vien

"Alors, qui est tu esclave ?"

( Sorry ... )

Kina fronça les sourcils, serrant les dents tandis que des cris s'échappaient de sa bouche à chaque vas et viens douloureux. Elle n'allait plus marcher droit, c'était une certitude ... Elle voulait s'aggripper à quelque chose, mais ne pouvait pas. Elle devait juste ... Elle ne savait plus réfléchir, les larmes coulants sur sa peau, ses joues rouges.

Elle avait froid.

Elle sentait sa peau se hérisser.

Elle devait ... elle n'avait plus qu'une chose à faire.

- Je suis ... ta chose , lâcha t'elle à regret.

Elle avala sa souffrance. Admettre, pour rester en vie. C'était affreux. D'une voix pleine de larmes, elle le supplia.

- S'il vous plait ... Ramenez moi au chaud ... J'ai froid.