Le bureau tremble tandis que Kaito prend complètement possession du corps d'Hiyori. Sa petite chatte rose s'étire autour de la grosse queue qui vrille en elle. Kaito s'essaye à tout les rythmes, alternant les à-coups rapides aux coups de reins secs et brutaux. Il la tient fermement par les hanches et la tire à lui pour profiter au maximum de sa profondeur. Pas grande, Hiyori ne touche même plus le sol, ses jambes ballotent contre celles de l'étudiant qui la pilonne et ses petite fesses s'écrasent contre l'abdomen viril qui la surplombe.
Quelle sensation folle! Kaito a une vue plongeante sur sa partenaire qui couine tout ce qu'elle peut. Il se penche sur elle et prend appui sur ses épaules. Il la maintient fermement contre le plateau de bois avant d'y poser aussi ses genoux pour la prendre plus fort de haut en bas. Quand les cuisses de Kaito commencent à le bruler sous l'effort, il se laisse tomber sur le dos dénudé d'Hiyori et la cale sous lui. Il ne se lasse pas et pourrai la prendre comme ça pendant des heures. Leurs corps se frottent intensément, elle est bouillante. Son vagin est comme un volcan en éruption, il a l'impression de pomper dans de la lave en fusion.
"C'est ... fantastique, tu es merveilleuse."
Il rapproche son visage du sien. De longues trainées de sperme maculent sa peau tandis que des filets gluants coulent de son visage pour s'épancher sur le bureau. Elle est dévastée et couine encore plus fort. De peur qu'ils puissent être entendus, Kaito presse ses mains sur sa bouche, étalant au passage sa semence plus encore. Ainsi tenue, il accélère le rythme, martelant furieusement dans les muqueuses d'Hiyori. Deux fois, il sort d'elle par mégarde, s'y enfourne à nouveau, l'écartèle sous ses coups de boutoirs. Le plaisir est intense. L'étudiant à chaud, il transpire. La peau nue de la jeune femme appelle à plus de contacts. Kaito tire sur ses bras, la ramenant en arrière, la bouche toujours couverte. Sa grosse queue fait des ravages, il veut qu'elle jouisse, qu'elle prenne autant de plaisir que lui. Son gland heurte quelque chose de dur dans le corps de la présidente. Il doit vraiment être tout au fond de son vagin, sans pouvoir aller plus loin.