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Je pianote longuement sur l'ordinateur portable de la salle du conseil, me frottant un moment les yeux sous mes lunettes d'ordinateur; il y a décidément énormément de dossiers à traiter dans cet établissement et je ne m'attendais clairement pas à une telle charge de travail, avec mon élection.
En tant que présidente du conseil des élèves, je m'attends bien évidemment à faire pas mal de choses, mais je me suis vraiment retrouvé avec énormément de tâches à accomplir et même les explications des professeurs ne me faisait pas m'attendre à autant. Ou alors c'est cette école qui est malfamée et j'ai plus à faire que n'importe où ailleurs? Difficile à dire, mais qu'importe, ça ne m'empêchera pas de continuer à ce poste.
Je roule un peu des yeux, devant le rendez-vous qui m'attend, minutieusement noté dans mon planning: une altercation entre deux élèves et je dois rencontrer le dénommé Kaïto, avant de voir l'autre parti, pour savoir quelle décision prendre au sujet de leurs sanctions.
Là encore, ça m'étonne d'avoir à régler ce genre de problèmes, m'attendant à ce que ce soit géré par les professeurs ou surveillants, mais non, c'est le conseil des élèves qui doit gérer ça. Les autres membres du conseil sont occupés ailleurs et c'est moi qui doit m'occuper de ça, donc je tache de préparer au mieux cet entretien.
Je lève les yeux vers la pendule accrochée au-dessus de la porte d'entrée de la salle; cet élève ne devrait pas tarder à arriver...
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Kaito ouvre son casier pour déposer ses notes du cours qui vient de terminer. Immédiatement il remarque la petite enveloppe blanche qui a été glissée par l'interstice de la porte métallique prévu à cet effet. Le cachet de l'association du lycée lui met la puce à l'oreille. Depuis l'incident en classe avec Enothis et Kyoko, il s'attend à devoir fournir des explications sur ce qui s'est passé. L'affaire à fait grand bruit, Kyoko étant connue sur tout le campus. L'étudiant soupire, il aurait dû rester dans son coin et ne pas se mêler de cette histoire.
L'association du lycée est un organisme respecté dont les membres sont élus par l'ensemble des étudiants. Bien qu'il soit à l'université, sur le même campus que le lycée, Kaito sait que ce bureau a un champ d'investigations étendu pour régler le problèmes de tous les étudiants. Bon, après tout, il est normal qu'ils veuillent savoir ce qui s'est vraiment passé.
C'est la fin des cours pour Kaito qui récupère son sac. Il ira directement du bureau de l'association à son domicile. Son sac renferme des trésors achetés le matin même dans une boutique pour adultes, de précieux magazines hentai qu'il a hâte de lire. Etant à l'université, il ne porte pas d'uniforme d'étudiant et comme toujours, il traine son jean délavé et son sweat à capuche. Le sac à l'épaule, il se dirige vers la parcelle du lycée et rejoint le bureau des élèves. Devant, affiché au mur, l'organigramme présente la structure. Tiens, c'est vrai qu'il y a eu des élections récemment et il y a de nouveaux visages.
OOOohh! Mais c'est que la présidente est sacrément mignonne. Dans la tête de Kaito se met aussitôt en place un scénario digne des magazines qu'il trimballe. Stop! Arrête Kaito, sois sérieux! Il frappe à la porte et entre.
Elle est seule dans la pièce, bien plus jolie que sur la photo à l'extérieur. C'est un tout petit format mais elle draine une énergie palpable qui anime tout son être.
"Bonjour, je suis Nakajima Kaito, je suis convoqué par l'association. Je suis ravi de faire ta connaissance et te félicite pour ton élection comme présidente."
Le jeune homme pose son sac sur une table, l'ouvre pour en sortir sa carte d'étudiant qu'il tend à la jolie fille. il ne prête pas attention au fait que son sac s'affaisse et libère partiellement un magazine dont le titre est "Anal girls in heat" avec une couverture très explicite.
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Finalement, l'étudiant arrive et je tique de suite sur son apparence: très clairement il vient de l'université, avec sa tenue débraillée, détonnant avec mon uniforme de lycéenne.
Je penche la tête sur le coté, dévisageant d'avantage l'étudiant, qui est plutôt mignon et enjoué, avec une personnalité semblant assez calme. Avant même de commencer l'entretien, je me demande déjà si c'est vraiment lui qui a été impliqué dans cette altercation...
- Bonjour et asseyez-vous, il y a quelque chose dont nous devons discuter.
Et... merci, il n'y a pas de quoi; il n'y avait pas non plus beaucoup de concurrence en face et j'imagine que ce rôle ne fait pas forcément envie à tout le monde... enfin bref...
On m'avait appris à rester modeste face aux compliments, même si ça rester clairement quelque chose qui me fait plaisir.
Je relis le rapport sommaire que l'on m'a envoyé, avant de revenir à l'étudiant:
- Donc... il y a quatre jours de cela, vous avez été impliqué dans une dispute violente avec un autre élève et vous allez tous deux être convoqués pour un conseil de discipline. Pour ma part, je dois recueillir vos deux témoignages et ensuite les transférer au conseil de discipline.
Eh bien... expliquez-moi donc ce qu'il s'est passé à cet instant précis, pourquoi vous vous êtes disputé avec cette personne?
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Ca, c'est une entrée en matière directe. Ca à le mérite d'être clair et concis, bien que Kaito ne soit pas d'accord avec cette version des faits. D'autre part, d'un point de vue protocolaire, il est plus âgé et qualifié que la présidente donc il peut la tutoyer. Elle choisit de le vouvoyer, parfaite dans son rôle mais il préférerait une entente plus cordiale.
"Tu peux me tutoyer et m'appeler Kaito tu sais, je considère l'égalité entre les personnes comme un droit universel donc ne te sens pas obligée de me vouvoyer parce que tu es présidente, je ne m'offusquerai pas."
Assis sur une chaise mise à sa disposition, il prend le temps de faire une pause pour préparer la suite. Il en profite pour bien l'observer et se dit que ce joli brin de fille doit alimenter bien des conversations de mecs dans les couloirs du lycée. Elle ressemble à une petite poupée vraiment bien faite avec un air trop sérieux affiché sur son minois délicat.
"Alors non. Non non, ça ne s'est pas passé comme ça. Deux élèves, Enothis et Kyoko se sont querellées et Enothis m'a sollicité pour la défendre. Elle a fait l'objet d'une campagne de dénigrement de la part de Kyoko et c'était tout bonnement injuste et insupportable. D'autant plus que Kyoko a sapé la réputation d'Enothis par pure jalousie."
Ce n'était que vérité, bien qu'il ne se risquerait pas à raconter en détails la suite des évènements.
"En tant qu'aîné, j'ai sermonné Kyoko. La faute lui incombe."
Un petit courant d'air franchit l'encadrement de la fenêtre et fit virevolter les mèches châtains de la jeune fille. En fait, elle était craquante.
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Je hausse un sourcil devant l'affirmation de monsieur Nakajima, avant de réfléchir un moment... et de finalement hausser les épaules:
- Très bien, on peut partir sur ça si tu veux. Et je comprends tout-à-fait; l'égalité universelle devrait être une obligation dans notre société.
Même si je devais rester impartiale dans ce genre de cas, j'adresse quand même un bref sourire à l'élève, avec un signe de tête, soulagé de voir que je ne suis pas tombé sur une brute sans cervelle qui serait en train de jurer toutes les deux secondes.
Mine de rien, même si mon regard hameçonne celui de Kaito, mes doigts pianotent frénétiquement et précisément sur le clavier du portable, notant méticuleuse ses propos, pour en faire un rapport détaillé. Je me suis entraîné des jours durant à bien utiliser un ordinateur chez moi, à écrire texte sur texte et écrire à l'aveugle ne me dérange aucunement à force.
- Du harcèlement scolaire hein? C'est... répugnant et révoltant si c'est vraiment ce qu'il s'est passé... Je vais devoir convoquer mademoiselle Enothis dans cette affaire et entendre ce qu'elle a à dire et rapidement, parce qu'il est hors de question que ce genre d'affaire traîne trop en longueur.
Donc... ensuite, je dois savoir ce que...
Un courant d'air parcourt la pièce et je hausse alors un sourcil devant un mouvement de papier dans le sac ouvert de l'étudiant... et je rougies fortement, en voyant et lisant la couverture du magazine:
- Je... Hum... Votre... Votre sac... Il est ouvert en pleine sur... votre... "lecture"...
Je tourne la tête pour essayer de ne plus penser à ce que j'ai vu... lorsque je sursaute en voyant que j'ai recopié mot pour mot ce que j'ai pu lire sur la couverture du magazine dans mon rapport!
Mais... mais... Quelle gourdasse je fais!?!
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Un léger sourire s’affiche sur le visage de la présidente rendant son sérieux complètement caduc au profit d’une mine adorable. La demoiselle cache bien ses atouts mais cette mimique spontanée prouve qu’elle peut être beaucoup plus commode que ce qu’elle parait. Et en plus ce petit courant d’air vient aider Kaito à en avoir une toute autre vision. Tiens … pourquoi rougit-elle soudainement ?
L’étudiant suit le regard de la jeune femme en même temps qu’il l’écoute et découvre avec horreur l’objet de son étonnement. Quel idiot ! Il s’était déjà juré de ne jamais passer à sa boutique hentai pour y faire des achats avant d’aller en cours. Tout ça pour éviter le genre de problème auquel il était maintenant confronté. Bon sang Kaito, dans quelle situation tu t’es encore mis ?
Et puis, il n’y a aucune équivoque. La partie apparente de la couverture montre bien le thème du magazine en plus du titre en grosses lettres d’imprimerie. La présidente a bien compris de quoi il s’agit. Que répondre sans passer pour un crétin ?
Kaito tente de calmer les battements de son cœur qui palpite en un sprint effréné. Il sourit discrètement, offrant un air complice bien qu’il soit en complète panique et se cale contre le dossier de sa chaise.
"Euh, et bien, c’est purement personnel." Oui évidemment, ce n’est pas un sujet d’étude en biologie.
"Je développe un intérêt pour certaines pratiques et j’ai oublié d’enlever ces magazines de mon sac avant de venir au campus, j’en suis désolé."
C’est atroce. Il s’entend parler d’une voix plate et ce qu’il raconte est complètement stupide. Comment être crédible quand l’image qu’ils voient est une fille sodomisée par un homme au sexe gigantesque. Bon … c’est fait Kaito, bravo ! Comment sortir de là ? Peut-être qu’en la jouant pas stressé, ça pourrait passer.
"Je suis franchement navré d’avoir à t’imposer ce spectacle, ce n’est pas dans mes habitudes, je réserve vraiment ces trucs-là au domaine privé pour mon propre plaisir."
S’apercevant que la surprise l’avait cloué sur place, Kaito se lève pour ramener son sac sur ses genoux. Ce faisant, maladroitement, il termine de vider le contenu, répandant sur la table bien plus que ce qu’il paraissait. Tout était exposé, anal, gros seins, bukkake. La honte !
"Euhhhh … tu veux lire quelque chose tant qu’on y est ?"
Ni’importe quoi ! Pourquoi sortir une connerie pareille ! Qu’est-ce qui lui prend ?
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Clairement, je ne sais pas qui est le plus gêné entre Kaito et moi, mais j'ai l'impression que l'on pourrait lancer un concours de rougissements!
Alors que je suis occupée à effacer le texte compromettant et que je termine le rapport, l'étudiant ne s'arrête cependant pas dans son "carnage", s'emberlificotant clairement dans ses propos.
Je rougie de plus belle, déglutissant:
- Je... Oui, je me doute bien... Ca m'étonnerait que les sciences de la vie et la biologie aient recours à ce genre de... "documentation"...
Que... Je... Je n'avais pas besoin de ce genre de détails, merci!
Je plonge la tête vers mon écran, manquant de m'encastrer dedans, pour camoufler mes joues rouge cramoisi, récupérant et réajustant mes lunettes d'ordinateur sur mon nez, pour essayer de clairement me concentrer sur autre chose:
- Donc... Nous parlions de cette dispute et de... quoi?
Je bloque et relève la tête de l'écran, mon regard hameçonnant bien vite les diverses couvertures, toute rouge de honte, avant de secouer la tête:
- Je... Bien sûr que non, je ne lirais jamais ce genre de choses en dehors du cadre privé! Enfin... je veux dire... C'est pas que ça ne fait pas envie, mais ce n'est pas le moment et... argh oubliez toute cette phrase tout de suite!
J'agite brusquement les mains, comme si j'espérai faire disparaitre toute cette conversation d'un battement de bras.
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Tout porte à croire que malgré l'objet de la convocation de Kaito, les deux jeunes gens soient sur la même longueur d'onde au moins sur un sujet. Kaito s'attendait à subir une remontrance salée mais au final, à part un petit commentaire, l'incident ne prend pas l'ampleur attendue. Bien au contraire, tout comme lui, la présidente se perd dans des explications tordues et même un peu surprenantes.
Comment? Elle aussi dans un cadre privé s'adonnerait à ce genre de lecture? C'est sortit si naturellement que Kaito la considère tout de suite d'un autre œil. En plus, elle tente de se justifier, preuve que derrière son apparente innocence se cache quelqu'un de bien différent. Pas envie, pas le moment, elle en a trop dit et se trouve finalement dans la même situation que l'étudiant qu'elle reçoit. Ils sont tout les deux tellement gênés qu'au final Kaito attrape un fou-rire. Il se tient les côtes et gagne en plus un point de côté. Quand il se calme, il en a les larmes aux yeux.
"Excuse moi, je crois que je nous ai mis dans une situation comique."
Il hoquète encore un peu de rire. Ca l'a détendu, il sait qu'il ne risque pas grand-chose.
"Donc toi aussi, tu t'intéresses à ces choses là. Considérons donc qu'il n'y a rien de grave et que nous savons de quoi nous parlons. Tu as déjà essayé le sexe anal?"
Il désigne les couvertures des magazines.
"Moi pas encore mais j'espère bien, il parait que c'est une sensation folle."
Il se rassoit sur sa chaise.
"Est-ce que tu as besoin de savoir autre chose concernant notre première affaire ou souhaites-tu qu'on aborde d'autres sujets?"
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Je ne sais pas du tout ce que peut penser ce type de tout ce que je laisse échapper ou dire de ma bouche à l'instant, alors que j'ai tant envie de m'arracher la langue à coups de dents, pour arrêter de dire autant d'âneries!
Je reste toute rouge, alors qu'il éclate de rire, avant de relativiser la situation et je me retrouve à relever la tête de derrière mon écran, pour le contem... pour l'observer un moment...
Je croyais qu'il allait se moquer de moi, me faire de suite du chantage... mais non, il poursuit la conservation comme si de rien n'était... avant de soudainement questionner mes goûts sexuels!?!
Je bafouille, en me tortillant sur ma chaise:
- Je... Hum... Eh bien je l'ai... déjà fait... quatre fois...
Argh! Pourquoi je me sens autant obligée d'être aussi honnête dans cette situation?!?
J'essaie de trouver une échappatoire dans le but principal de notre réunion, mais en vrai...
- Je... À vrai dire plus vraiment... J'avais programmé une réunion plus longue, parce que... je m'attendais à devoir d'avantage vous interroger, que vous ne disiez pas de suite votre version et que l'on perde du temps à tourner autour de la vérité...
Jetant timidement et rapidement des coups d'œil aux quelques magazines sur la table, je tâche d'avantage d'observer Kaito... même si contempler plus encore son visage n'aide pas à me calmer et à m'empêcher de rougir:
- Et... vous... Enfin tu voudrais parler de quoi?
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"Et bien je ne suis pas pressé de rentrer chez moi maintenant qu'on se connait un peu mieux. Je peux t'appeler Hiyori? Ton prénom est affiché sur le tableau de présentation à l'extérieur."
Quatre fois quoi? Avoir été quatre fois avec un garçon et découvrir ce qu'est le sexe ou alors quatre fois avoir essayé la sodomie? Dans les deux cas, il n'était pas en état de faire état de son expérience. Lui aussi n'avait été que quatre fois avec une fille mais il aurait du mal à l'avouer. En revanche, il ne comptait plus le nombre de films pornos téléchargés ou le nombre de hentai achetés. Dans ce domaine, il se considérait comme un spécialiste.
D'ailleurs, sur le forum de passionnés de hentai sur lequel il était inscrit, il faisait figure de référence.
"Je ne sais pas, tu pourrais me raconter ces quatre premières fois ? Ca t'a plu? Tu aurais voulu essayer des trucs?"
C'était marrant de parler de sexe comme on pourrait parler de pluie et de beau temps. Surtout avec une fille aussi mignonne qu'Hiyori. Si elle se lâchait un peu, Kaito pourrait orienter la conversation sur des choses beaucoup plus chaudes voire quelque chose de plus intéressant.
Hiyori représentait parfaitement son rôle de présidente en apparence. L'étudiant était curieux de savoir jusqu'où elle voudrait se livrer.
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Je penche la tête sur le coté, suite au soudain silence de Kaito, avant de légèrement gonfler les joues en rougissant:
- Espèce de... pervers... Tu me fais me livrer sur mes expériences intimes et tu ne me parles pas des tiennes en retour? C'est terriblement vicieux de ta part... Kaito...
Vexée sur l'instant et aussi curieuse d'en entendre d'avantage sur Kaito je réajuste une mèche de cheveux de devant mes yeux, avant de grommeler légèrement:
- Oui, si tu veux tu peux m'appeler comme ça... on a déjà laissé tomber le vouvoiement après tout et nous sommes proches d'avoir le même âge, donc j'imagine que le concept d'ainé est un peu... limité.
Je rougie et me tortille de plus belle sur ma chaise, ayant quelques pensées sulfureuses envahissant mon esprit de manière insidieuse:
- Eh bien... ce... c'est... c'est un mélange de... douleur au début... mais après d'intense plaisir parcourant le corps des pieds à la tête...
Mais... non, je vais m'arrêter là, parce que... ce n'est pas du jeu du tout! Tu ne m'as rien dit du tout sur tes propres expériences et tu me manipules pour me faire tout dire sur moi et ma vie sexuelle... Alors maintenant, c'est à ton tour. Pourquoi tu te promènes avec ce genre de magazines sur toi à l'école? Tu ne peux pas les... "utiliser" chez toi?
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Et oui, c'est donnant donnant. Elle se livre un peu mais en demande autant. C'est normal. Kaito aurait fait pareil. Elle a l'air d'avoir vraiment un petit caractère bien dessiné. Rhhhha, et ces petites mèches rebelles, elle est craquante!
"Ma première fois a été bizarre, je n'ai pas vraiment compris comment les filles fonctionnaient et c'est surtout elle qui s'est occupée de moi. Au final j'étais super stressé et je suis allé partout sauf là où il fallait. Elle m'a engueulé et j'avais honte. Du coup la deuxième fois, je me suis renseigné avant et je n'ai pas été trop nul. Après ça est allé."
En vérité, les trois premières fois avaient été catastrophiques, seule la dernière avait été potable et instructive. Maintenant, il était vrai qu'il avait épluché les bouquins pour comprendre comment fonctionne une femme. Il ne restait que la mise en application.
"Tu sais que tu es super mignonne mais alors en plus quand tu rougis et que tu gigotes comme ça, c'est adorable."
Il rit franchement. Il était bien.
"Après tu m'appelles pervers et vicieux mais tu n'as pas hésité à te livrer. Je pense que toi aussi tu es perverse et vicieuse. Et même plus que moi non ?"
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J'écoute silencieusement Kaito, qui me fait part assez aisément de ses expériences intimes, chose qui m'étonne. Apparemment, les hommes sont très enclins à se vanter de leurs rapports sexuels auprès de leurs camarades, mais concernant leurs mauvaises expériences...
Je grattouille distraitement ma joue:
- Je vois... Eh bien... merci de t'être livré ainsi... et ne t'inquiètes pas, je ne vais pas juger, parce que je sais bien que c'est compliqué les premières fois et que l'expérience n'est pas forcément acquise dès le deuxième essai.
C'est pour ça que tu prends ces livres?
Machinalement, je saisis le premier livre qui me passe sous la main et je vois au dos du magazine l'image d'une femme le visage recouvert de sperme, me faisant fortement rougir et reposer bien vite l'objet. Je bafouille et me tortille d'avantage encore:
- Oh... Je... Merci... c'est très gentil... surtout venant de la part d'un homme... si charmant...
Pourquoi... Pourquoi faut-il qu'il me complimente, ce qui est un de mes gros points faibles, tellement j'y suis sensible...
- Je... Eh bien... J'imagine que... oui... Je travaille beaucoup à gauche à droite et... mon entourage est si libre sur le sujet du... sexe... que j'ai appris à l'être tout autant et à varier les expériences... et les relations...
On peut dire que... c'est le meilleur moyen de me détendre et me changer les idées...
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Kaito désigne l'image qui vient de faire rougir Hiyori.
"Ma première fois s'est terminée comme ça en fait. Je n'ai pas pu me retenir. Pourquoi rougis-tu devant? Ca t'inspire?"
La conversation était irréelle. Les deux jeunes gens parlaient de choses qui étaient interdites dans l'enceinte du campus. Hiyori s'ouvrait de plus en plus. C'était surprenant de découvrir qu'elle pouvait être aussi libre dans son milieu familial. Chez Kaito au contraire, l'ambiance était bien plus traditionnelle et coincée. Bon maintenant, il fallait bien répondre à sa question.
"Non en fait je prends ces livres parce que ce qu'il y a dedans représente mes fantasmes les plus vifs. ne me demande pas pourquoi ça m'attire, je ne sais pas, peut être pour braver les tabous et les interdits. Je veux tout essayer."
Il tournait les pages au fur et à mesure qu'il parlait s'arrêtant sur des positions, des actes crus, des situations particulières.
"Et puis je fantasme beaucoup sur ..." Il faillit dire "sur toi "... sur les scènes de la vie de tous les jours qui dérapent sur le sexe, dans le métro, sur le campus ... n'importe où. Pas toi ?"
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Je grimace, avant de me décider à continuer sur ma lancée: j'en ai déjà trop dit, alors plus ou moins ne changera pas grand chose:
- Disons que c'est une image assez... "perverse"... C'est ça que l'on appelle... un bukkake?
Je n'ai jamais connu que des éjaculations internes, dans un de mes orifices intimes ou dans ma bouche, alors ce qui semble être une éjaculation sur moi... c'est étrange d'imaginer ça... et ça fait naître une bouffée de chaleur en moi qui me fait doucement trembler, avant que je ne secoue la tête pour me remettre les idées en place.
- Braver les interdits... Je ne sais pas trop quoi en penser sur l'instant... mais je comprends cette envie de... vouloir tout essayer et découvrir...
Je tourne la tête à gauche à droite, mon regard se posant sur le bureau derrière moi, baissant ensuite le yeux sur ma chaise, celle de Kaito, essayant d'imaginer des moments où je ferai l'amour... me faisant rougir fortement:
- Ah... Je... Je n'y ai jamais vraiment pensé, vu que j'ai pour habitude de tout faire chez moi... mais maintenant que tu as soufflé cette idée à mon esprit... je n'ai plus que ça en tête...
Et... tu n'as jamais proposé ça à tes conquêtes et tu te contentes juste d'imaginer et de t'inspirer de livres?
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La conversation prend une tournure délicieuse pour Kaito.
"Presque, un bukkake, c'est généralement avec beaucoup de mecs. Ils éjaculent tous sur la fille. Aux origines, dans l'ancien japon, c'était une punition pour les femmes volages."
Hiyori se détend tout en se confiant. Kaito imagine difficilement ce petit format se livrer à toutes sortes de plaisirs sexuels. Elle doit être fragile. Quand elle commence à regarder un peu partout, l'étudiant sait exactement ce qui lui passe par la tête.
"Non pas vraiment. Il faut vraiment être en confiance avec la personne à qui tu proposes ce genre de choses. Il faut être sur la même longueur d'onde...."
Il prend son courage à deux mains. Si il part maintenant de la pièce, il le regrettera très vite.
"Tu ... ça passe bien entre nous. Tu te vexerais pas si je te proposais de ... de faire ces trucs là maintenant? Si t'as jamais fait ça ..." Il lui montre la fille couverte de sperme" ... on pourrait essayer ... non?"
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Entendre la réponse de Kaito fait germer d'autres images sulfureuses dans mon esprit, alors que j'imagine plein d'hommes m'entourant, leur sexe bien tendu en main, se caressant sur moi... avant de... Argh! Je vais encore passer une nuit blanche à essayer de chasser ses images de ma tête!
Rougissant fortement, je me contente de simplement répondre:
- Oh... Je... Je vois...
J'essaie de me calmer comme je peux, mais j'ai l'impression que j'ai bien vite le problème que ma mère m'explique souvent: une fois que le désir nait en elle ou moi, c'est difficile de se calmer... et en vrai, j'ai tellement l'impression qu'elle parle de nous comme deux nymphomanes... et j'ai l'impression que... il y a une part de vérité...
Grimaçant en me tortillant, frictionnant doucement mes cheveux, pour essayer de calmer les bouffées de chaleur m'envahissant, Kaito m'achève... en enfonçant de nouveau des portes ouvertes.
Je soutiens son regard un moment, avant de remarquer la couverture qu'il désigne... pour finalement timidement acquiescer d'un unique signe de tête:
- Je... Uniquement si... si tu fermes la porte à clé... et si tu me jures que tu n'en parleras à personne...
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Kaito ne comprend tout de suite ce qu' Hiyori lui dit.
"Oui bien sûr, t'inquiète pas ! Euuuhh ... quoi??"
Tout est allé trop vite dans ce petit jeu et Kaito a du mal à assimiler ce qui va se passer. Réveille toi mon vieux, c'est une occasion en or! Kaito se tourne le dos à la jeune femme, et pour aller fermer la porte à clé, et pour cacher le sourire qui illumine son visage.
"Je te jure que je n'en parlerai pas, ce sera notre secret bien sûr, tu peux me faire confiance."
Comment faire maintenant? Il a lancé l'idée, il doit donc assurer. Kaito revient vers Hiyori.
"Tu veux bien m'exciter avec ... ta bouche?"
Il déboutonne son jean et le baisse sur ses cuisses, suivi de son boxer. Il est déjà à demi dur et son sexe se lève devant le nez de la jeune fille qui toujours assise. Kaito a la chance d'être doté d'un membre de taille plus que correcte. Doucement, il presse son gland contre les lèvres fines qui encadrent cette jolie petite bouche.
-
Je grimace en détournant la tête:
- Je... Ne me forces pas à me répéter, je t'en supplie...
Rougissant d'avantage, je le vois s'exécuter et fermer la porte à clé et j'observe attentivement son mouvement, pour être certaine qu'il ne feint pas le geste, parce que... je crois que si quelqu'un tombe sur ce qui risque de se produire... je n'ose imaginer dans quel pétrin je serai fourrée...
- D'accord... Je vais tâcher de t'accorder cette confiance... pourvu que... tout ce qui se passe soit... parfait...
Je me tortille doucement, restant toute rouge pivoine, alors que l'étudiant baisse bien vite son pantalon, révélant une verge déjà bien dure et dressée... à croire qu'il s'est bien vite excité durant notre conversation... comme moi...
Je me rapproche silencieusement, m'accroupissant devant Kaito, avec un petit bruit répété de liquide tombant goutte par goutte... alors que la cyprine s'écoule doucement d'entre mes cuisses écartés, sous ma culotte noire ma jupe d'uniforme.
J'inspire profondément, essayant de trouver un moyen de me calmer... Voyons... Je pourrai me dire que... je suis à la maison, avec un de mes amants? Oui, je pourrai éviter de penser que je suis au lycée, que je risque potentiellement ma place de présidente et mon honneur personnel à l'heure actuelle et que... et zut je ne suis plus concentrée...
Je secoue la tête pour me reprendre, empoignant en même temps le sexe de Kaito.
Je commence doucement à le masturber, d'abord sur une partie de sa verge, puis ensuite sur toute la longueur, ensuite de plus en plus vite, appréciant bien vite le contact avec ce sexe chaud et bien dur...
Je sursaute un peu, lorsqu'il commence à tapoter mes lèvres de son gland et je finis par céder, ouvrant la bouche pour enfouir son sexe entre mes lèvres.
Le goût est fort... mais aussi plaisant et je retrouve bien vite mes "réflexes". Je commence par caresser son gland de ma langue, la faisant tournoyer autour quelques temps, avant de téter tendrement son gland. J'entame ensuite un lent et méthodique mouvement de va-et-vient sur son sexe, me retrouvant bien vite à lui faire un gorge profonde, en gémissant longuement et plantant mon regard dans le sien, alors que j'ai mon nez contre son pubis.
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Kaito serre les poings. S'il s'attendait à ça! Assez peu habitué de la chose, il pensait voir Hiyori hésiter, chercher un peu comment faire et le prendre maladroitement. Au lieu d'hésitation, elle ne tergiverse pas et s'attaque directement à son gland, l'excitant de sa langue qui roule autour avant de le sucer en douceur. Si c'est ça une fellation, alors Hiyori est une reine en la matière. En un instant, Kaito se concentre déjà sur la sensation folle qui envahit son bas-ventre. La jeune fille s'applique ensuite à le gouter sur toute sa longueur en le regardant d'un air aussi angélique que sérieux. Elle fait les choses bien, sûrement comme tout ce qu'elle fait d'ailleurs. Ses lèvres glissent tout en douceur sur la peau tendue de son sexe qui palpite à chaque fois qu'il plonge dans ce fourreau de soie. Tout du moins, jusqu'à ce qu'elle l'avale entièrement sans mise en garde. Il se contracte brusquement pour ne pas tout lâcher maintenant.
"Aaahhhh wow! tu ... mince ... c'est trop bon!"
Hiyori le gobe jusqu'à la base de sa queue. Kaito peut sentir l'enserrement quand il passe le goulet de la gorge étroite puis le raclement des parois de son œsophage. Il plonge profondément en elle et à chacune des succions, le visage de la présidente s'écrase contre lui.
L'image des hardeurs des films pornos lui revient en mémoire. Il se cale bien devant la divine suceuse et lui attrape fermement la tête. Maintenant, c'est à son tour de la baiser. Elle lui a montré ce qu'elle peut faire, il a envie de plus d'action. il se met à la baiser plus durement, il lui ramone la gorge sans lui laisser le temps de se remettre. Le petit cou d' Hiyori se déforme à chaque passage de sa grosse queue. Kaito avance d'un pas et bloque la tête de la jeune fille entre ses cuisses. Ses couilles claquent sur le petit menton et le martèlement de sa gorge se fait plus intense. Il y va plus fort, cogne vers le bas tandis qu'Hiyori est arc-boutée en arrière. La salive qu'elle rejette en gros bouillons dégouline sur son visage. Kaito serre les dents, la sève monte, il est prêt à gicler.
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Visiblement, mon traitement plait à Kaito, ce qui me flatte plutôt, sachant que j'avais peu d'expériences dans ce genre de rapports... mais que j'avais tâché de me renseigner beaucoup sur la chose, pour être au mieux de mes capacités et mes compétences pour mes partenaires.
Je continue de sucer avec une certaine envie son pieu de chair, le trouvant plutôt... délicieux et j'aime bien le sentir emplir ma bouche... Même si j'ai des piques de "lucidité", où je me rappelle que je suis à l'école, dans la salle du conseil des élèves, je me concentre d'avantage sur l'étudiant en face de moi.
Soudainement, il plaque ses mains derrière ma tête... avant d'enfoncer plus profondément encore son sexe en moi, me faisant longuement gémir de manière étouffée et surprise.
Il manipule ma tête comme... comme un simple jouet sexuel et perfore mon gosier de son épaisse verge, faisant trembler doucement mon corps, alors que ses bourses claquent régulièrement et fortement mon menton, son pubis s'écrasant sur mon visage. Je ne peux que masser son sexe de ma langue et ma bouche, bavant copieusement dessus, sentant et entendant quelques bruits humides entre mes cuisses, alors que je me sens fortement excitée par tout ça... Je sens peu à peu son sexe pulser et se contracter dans ma bouche et je devine les signes annonciateurs d'un orgasme assez ravageur...
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Kaito n’en peux plus. Cela ne fait que quelques minutes qu’il pilonne la bouche d’Hiyori mais il a l’impression que ça doit faire une éternité. Dans les derniers instants, il essaye de résister jusqu’au bout mais le frottement des muqueuses sur sa queue est insupportable à contenir. Il se retire quand il sent que la fontaine va jaillir et sans avoir le temps de la prévenir, se répand sur son joli minois en longues giclées collantes. Des semaines de frustrations cumulées couvrent le visage d’Hiyori en couches de sperme épaisses qui dégoulinent sur ses joues et son menton.
"AAAhhh c’est … c’est pas fini !! Attention !"
Cette fois, il arrive à la prévenir et la deuxième douche qu’elle prend est tout aussi monstrueuse que la première. La jeune fille est couverte de foutre qui commence à goutter sur son haut. Le sperme colle à ses cils, occupe le moindre creux et glisse inexorablement le long de son visage. Kaito trouve cette vision sublime et ne peut se retenir d’attraper son smartphone pour prendre un cliché alors qu’Hiyori se trouve, pantelante devant lui. C’est un carnage, il y a du foutre partout, une giclée a même fini dans ses cheveux soyeux.
Kaito montre la photo à la présidente.
"Regarde comme t’es trop belle comme ça."
Elle ouvre la bouche et un gros filet de sperme s’y engouffre. Kaito monte en pression aussitôt, d’attaque pour une nouvelle expérience. Il la relève et la retourne contre le bureau, l’y couchant à moitié. Ses mains tremblent d’excitation. Il soulève la jupe, tire la culotte le long des cuisses délicieusement charnues et expose le petit jardin intime qu’il découvre complètement trempé. Hiyori est aussi excitée que lui. Elle en veut, elle le veut.
Kaito la surplombe de sa taille et doit fléchir les jambes pour glisser son gland entre les lèvres fines de son vagin. Quand il pousse, le réflexe naturel d’Hiyori est d’opposer une résistance. Il force plus, plus encore, jusqu’à ce que l’anneau de chair lui serre la queue entrée à moitié. Il souffle un bon coup.
"Tu es … super serrée."
C’est l’évidence et il ne compte pas s’arrêter là. Il commence à bouger en elle, les mains agrippées à ses hanches. Son petit corps tapant en avant à chaque mouvement de bassin. PLUS ! D’un coup, il la prend en entier, se fichant au plus profond d’elle et tapant dans les parois vaginales. Il retient un cri, martèle plus fort, plus fort ! Le petit cul d’Hiyori claque contre son bassin et chaque coup de reins l’empale sans merci. Comment un si petit corps peut-il endurer ça ?
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Non, très clairement, en venant travailler ce matin, je ne pensai pas finir ma journée ainsi, à me faire posséder rudement la bouche et le gosier par un étudiant rencontré il y a quoi... un quart d'heure?
Mais cette situation me fait bien trembler et humidifier mon intimité, alors que je continue de saliver et émettre quelques bruits de gargouillements sur le membre viril de mon amant emplissant ma gorge.
Kaito ressort soudainement son sexe de ma bouche... et un déluge de sperme ininterrompu s'écrase sur mon visage, me faisant longuement gémir, avec un léger sursaut de surprise. Ouah... il y en a tellement d'un coup... une vraie cascade de semence qui tombe sur moi et semble recouvrir tout mon visage...
- Ah... Il y en a tellement... Je n'ai jamais vu ça...
Soudainement, une autre cascade de semence arrive, pour achever de recouvrir mon visage... et je sens le sperme dégouliner peu à peu, me faisant retirer très vite mon haut et mon soutien-gorge, pour éviter de salir mon uniforme.
Me retrouvant avec le visage recouvert d'épaisses couches de sperme et le haut dénudé, ma petite poitrine apparente, mon amant me montre une photo prise sur son portable, me faisant fortement rougir sous le sperme:
- Ouah... Je... Tu... Tu pourrais... m'en envoyer une copie?
Je récupère pas mal de sperme dans ma bouche et le savoure un temps, une grosse quantité de gelée blanche chaude et gluante, me faisant doucement trembler d'excitation... Je ne sais pas du tout comment réagiraient les autres élèves et l'équipe enseignante, s'ils voyaient leur présidente du conseil des élèves déguster ainsi de grosses quantités de sperme...
Je me retrouve soudainement retournée et installée sur la table, mon amant s'agitant dans mon dos et je sens bien vite venir la suite, son pieu de chair s'enfouissant entre mes lèvres intimes, me faisant me cambre et gémir longuement:
- Hum... et tu es si gros et profond en moi...
J'essaie d'écarter mes chairs intimes au maximum, pour que mon amant puisse se frayer d'avantage un chemin en moi... et je couine doucement dans ma main posée devant ma bouche, alors qu'il s'active plus fortement en moi, mon petit fessier se faisant maltraiter par ses coups de bassin vigoureux.
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Le bureau tremble tandis que Kaito prend complètement possession du corps d'Hiyori. Sa petite chatte rose s'étire autour de la grosse queue qui vrille en elle. Kaito s'essaye à tout les rythmes, alternant les à-coups rapides aux coups de reins secs et brutaux. Il la tient fermement par les hanches et la tire à lui pour profiter au maximum de sa profondeur. Pas grande, Hiyori ne touche même plus le sol, ses jambes ballotent contre celles de l'étudiant qui la pilonne et ses petite fesses s'écrasent contre l'abdomen viril qui la surplombe.
Quelle sensation folle! Kaito a une vue plongeante sur sa partenaire qui couine tout ce qu'elle peut. Il se penche sur elle et prend appui sur ses épaules. Il la maintient fermement contre le plateau de bois avant d'y poser aussi ses genoux pour la prendre plus fort de haut en bas. Quand les cuisses de Kaito commencent à le bruler sous l'effort, il se laisse tomber sur le dos dénudé d'Hiyori et la cale sous lui. Il ne se lasse pas et pourrai la prendre comme ça pendant des heures. Leurs corps se frottent intensément, elle est bouillante. Son vagin est comme un volcan en éruption, il a l'impression de pomper dans de la lave en fusion.
"C'est ... fantastique, tu es merveilleuse."
Il rapproche son visage du sien. De longues trainées de sperme maculent sa peau tandis que des filets gluants coulent de son visage pour s'épancher sur le bureau. Elle est dévastée et couine encore plus fort. De peur qu'ils puissent être entendus, Kaito presse ses mains sur sa bouche, étalant au passage sa semence plus encore. Ainsi tenue, il accélère le rythme, martelant furieusement dans les muqueuses d'Hiyori. Deux fois, il sort d'elle par mégarde, s'y enfourne à nouveau, l'écartèle sous ses coups de boutoirs. Le plaisir est intense. L'étudiant à chaud, il transpire. La peau nue de la jeune femme appelle à plus de contacts. Kaito tire sur ses bras, la ramenant en arrière, la bouche toujours couverte. Sa grosse queue fait des ravages, il veut qu'elle jouisse, qu'elle prenne autant de plaisir que lui. Son gland heurte quelque chose de dur dans le corps de la présidente. Il doit vraiment être tout au fond de son vagin, sans pouvoir aller plus loin.
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Non, très clairement, je ne m'attendais pas en venant à l'école ce matin à me faire posséder ainsi par un étudiant rencontre il y a quelques minutes à peine. Mais... j'imagine que ça fait plaisir des surprises de la vie dont me parle de temps à autre ma mère...
Je gémies et couine fortement mon plaisir, alors que Kaito perfore mon intimité avec d'avantage d'entrain encore. Bien "équipé", son pieu de chair ravage fortement et profondément mon sexe, alors qu'il se place clairement en dominant sur moi, le sentant bien au-dessus de moi.
- Han... Toi aussi... tu sembles si bien... maîtriser la chose...
Le visage toujours couvert de sperme, poissant le bureau, un bref instant de lucidité me fait écarter mes affaires, pour qu'elles ne soient pas salies par nos ébats.
Les bouffées de chaleur se font encore plus intenses en moi, alors qu'il tire sur mes bras, pour intensifier d'avantage la pénétration, de la cyprine giclant doucement à intervalles réguliers de mon intimité, mes couinements et gémissements s'intensifiant.
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La poignée de la porte de la pièce s'abaisse en grinçant. La butée tape dans le montant, heureusement verrouillée et empêchant la personne qui cherche à entrer de découvrir ce qui se passe vraiment dans le bureau de la présidente des étudiants du lycée. Une deuxième tentative échoue et les deux jeunes gens entendent une voix féminine grommeler et s'éloigner.
De surprise, Kaito a sursauté, s'extirpant sans douceur de l'écrin soyeux qu'il maltraitait. Haletant, il se tient debout derrière Hiyori, les mains sur la bouche de la jeune femme, l'empêchant de parler. Les pas de l'inconnue au fond du couloir indiquent qu'elle est bien partie aussi l'étudiant soupire t'il de soulagement. Le sexe toujours dressé contre les fesses de la présidente, la peur lui a fait passé l'envie de jouir. Ce qui n'est pas plus mal au final, étant donné qu'il compte bien profiter de cette aubaine aussi longtemps que possible.
Se penchant sur le dos d'Hiyori, il tâtonne du gland pour la pénétrer à nouveau mais manque le vagin pour presser contre la petite rondelle serrée de son anus. L'empêchant toujours de parler, il la sent gigoter sous l'intrusion mais son poids faisant le reste, le joli fessier cède et il s'y enfonce sèchement, d'un trait, jusqu'à la garde.
Kaito crie de douleur, la peau de son sexe tirée à l'extrême. Il se redresse un peu pour voir ce qui ne va pas et réalise ce qu'il vient de faire. Son pieu de chair cloue la présidente sur la table et son anus écartelé palpite autour de lui.
"Que ....?"
La scène est tellement forte qu'un orgasme monstrueux monte à nouveau. Kaito s'abat sur Hiyori et en deux coups de reins se vide dans la cavité anale qu'il occupe sans faire mine de se retirer. Il ne peut pas y croire. La sodomie étant son trip le plus enviable, il vient de prendre les fesses de la présidente et d'y jouir en quelques secondes. Couché sur elle, il la libère de ses mains mais reste profondément fiché en elle. Son rectum est étroit et le comprime tellement fort que chacun des tressaillements de la jeune fille est une invite à recommencer.
"Je ... je t'ai pas fait mal? Excuse moi, c'était ... pas voulu."
Kaito se rend aussitôt compte de la bêtise de ses paroles. Alors oui, elle a dû avoir mal, et ensuite si il se retrouve là et sans se retirer après son méfait, c'est difficilement justifiable de dire qu'il n'y est pour rien.
"Tu ... tu veux continuer comme ça?"
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Je sursaute et me fige, lorsque la poignée de la porte se baisse dans le vide à quelques reprises: oh non... qui est là? Je pensais que je serai seule à finir la journée ici... Je tourne la tête à gauche à droite, ne voyant pas d'affaires étrangères qui traînent; peut-être que l'on sera venu me trouver, pour me dire qu'ils avaient fini ce qu'il avaient à faire.
Mon portable sur la table, un peu plus loin, vibre soudainement et je le récupère rapidement, alors que je suis bâillonnée par Kaito. Effectivement, Aiko est venue à l'instant pour me faire son rapport. Je l'informe brièvement que j'ai fermé la salle quelques temps pour finir deux trois dossiers sans être dérangée et que l'on parlera de tout ça demain.
J'ai à peine envoyé le message qu'un courant électrique semble parcourir mon être, me faisant longuement couiner et gémir et de plaisir, alors que mon amant s'enfonce... entre mes fesses petites et serrées.
Je sens une vague chaude se répandre en moi, me faisant trembler et jouir en peu de temps, me laissant pantelante et tremblante d'extase... Ouah... c'était si... intense...
Je tourne la tête vers lui, le laissant voir mes joues rouge cramoisi, mes quelques larmes montant aux yeux... mais aussi mon regard pétillant de plaisir planté dans le sien:
- Ah... Con... Continues... s'il-te-plaît...
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Ouf! Ca semble être bien passé! Hiyori est réceptive et parait même avoir aimé ce traitement particulier. Ce que Kaito lit dans ses yeux l'excite tellement qu'il retrouve soudainement toute sa vigueur. La jeune fille reste écrasée sous lui et il a juste a donner à son bassin un long mouvement de va-et-vient pour qu'il profite pleinement de ce fessier offert. Et que c'est bon d'y ramoner! Très vite, le sexe de l'étudiant s'y fraye un passage à la mesure de son épaisseur. Comment un si petit corps peut-il accueillir un sexe si gros?? A présent, il saisit la présidente par les épaules et l'écrase sur le bureau alors qu'il laboure ses fesses sans vergogne. Le coït n'est pas tendre mais Hiyori ne rechigne pas. On croirait même qu'elle serait prête à en demander plus tant elle gémit maintenant qu'il lui a libéré la bouche.
Les sons qui résultent de cette baise sauvage ne font qu'augmenter la sensation de sexualité exacerbée qui prédomine alors. Leur corps claquent en cadence l'un contre l'autre et les petites fesses d'Hiyori tressautent à chaque assaut. Kaito ahane, perdu dans la contemplation de cet acte charnel qui jusqu'à présent ne lui était connu que par les vidéos pornos qu'il mate chez lui le soir. La sensation est grisante. L'étroit conduit anal de la présidente semble l'aspirer comme s'il ne lui suffisait pas. Kaito se force à aller plus loin, molestant les muqueuses déjà partiellement écartelée. Il voudrait pouvoir ne jamais s'arrêter. La fille est mignonne et pas sauvage, ouverte à tout même pour une première. C'est le pied.
Quand après un long moment, il la retourne sur le dos, il peut enfin la regarder droit dans les yeux pendant qu'il la sodomise. Ainsi, les jambes bien écartées, elle parait encore plus petite et fine qu'elle n'est réellement. Kaito accélère. Il la maintient par les cuisses pour accentuer l'impact. Il rue dans ce rectum brutalisé, marquant ses pénétrations de grognements.
"HAN! HAN! HAN!"
Et ce, un long moment jusqu'à ce qu'il sente monter en lui un puissant orgasme.