Mélinda avait volontiers laissé Vierna profiter de ses souvenirs sexuels. La vampire avait appris à fortifier son esprit, à résister contre les intrusions psychiques... Ou, au contraire, à les laisser passer. Et puis, vu leur perversité et les liens intimes unissant Mélinda à Vierna, la vampire doutait de pouvoir fermer son esprit à Vierna. Elle laissa donc la succube voir son passé sexuel, qui était particulièrement riche. Tentacules, hermaphrodites, orgies, amants musclés et monstrueux, Mélinda avait eu droit à énormément d’amants au cours de sa vie. Vierna put ainsi la voir se faire tringler par un Minotaure, qui faisait au moins trois fois sa taille. La bestiole avait posé sa grosse main sur les cheveux de la vampire, tirant violemment dessus tout en la sodomisant furieusement, les pieds de la vampire ne touchant plus le sol, celle-ci hurlant à s’en rompre la voix. Une image délicieuse, mais qui n’était rien comparé à ce qu’elle faisait avec
Futaba. Avec la prêtresse de Lust, malgré ses formes assez inexistantes, Mélinda avait longuement fait l’amour. Vierna la vit ainsi enroulée par de multiples tentacules violets, pénétrée en suspension dans l’air pendant des heures par tous les trous, ses seins recouverts de bouches voraces, avant que la prêtresse elle-même ne la pénètre, ricanant, tout en la fouettant régulièrement et en l’étranglant avec ses tentacules...
...D’insoutenables et exquises visions pour une succube, et Mélinda sourit mielleusement en voyant la verge de Vierna se redresser rapidement, gonflant également sur place, prenant rapidement des proportions dantesques. Mélinda se pinça les lèvres, nullement inquiète à l’idée de recevoir un tel morceau dans le cul, mais commençant au contraire à mouiller sur place. D’aucuns auraient pu croire qu’après plusieurs siècles d’existence, la libidineuse vampire se serait assagie, mais c’était tout l’inverse qui se déroulait. Et, quand Vierna lui ordonna de se mettre à quatre pattes au bord du lit, Mélinda obtempéra sans discuter, et roula volontiers des fesses, présentant son postérieur face à Vierna.
«
Allez, ma belle... Baise-moi fort, et peut-être que je t’appellerai Maîtresse... »
Mélinda la provoquait volontiers. Ses plus proches esclaves savaient toutefois que, jadis, avant d’être une vampire, Mélinda avait été une esclave, et qu’il y avait, en elle, très profondément enfouie dans sa psyché, une personnalité qui appréciait la soumission, une partie d’elle-même qui aimait l’idée d’être une esclave, et d’être baisée par une Maîtresse ou par un Maître fort et puissant. Peut-être que Vierna aurait droit à cela ? On lui apporta en tout cas la cravache, et même, le cas échéant, un collier avec une laisse.
Sans guère attendre davantage, la succube, qui était très excitée par tout ce qu’elle avait vu, se rapprocha de la vampire, et la sodomisa brutalement. Mélinda déglutit sur place, et crispa ses doigts sur la couverture, ses griffes s’enfonçant dans le drap. Elle ferma les yeux pendant quelques secondes, avant de pousser un hurlement, redressant le visage, et entendit Vierna la narguer, lui assurant qu’après ça, elle allait avoir du mal à marcher droit. Elle y alla sans préparation, et, rapidement, sa queue s’enfonça dans son cul, remontant violemment le passage, déchirant les parois anales internes de la vampire, ce qui amena cette dernière à hurler de nouveau, un cri long et puissant, tout son corps venant se crisper sur place. Mélinda claqua nerveusement des dents, avant de sentir Vierna se remuer encore contre elle, la cravache venant la fouetter régulièrement sur les fesses ou sur le dos, tapant sa peau, laissant de belles marques rouges.
Et cette queue, oh, cette queue... Une sodomie intense et lourde, voilà tout ce à quoi Mélinda avait droit ! Elle hurla encore, se mordillant furieusement les lèvres, fermant les yeux. En sueur, elle laissa la femme la prendre encore, déglutissant doucement sur place, sa salive coulant nerveusement de ses lèvres, et continua à la laisser agir, gémissant, mouillant sur place.
«
En-Encore, Vierna, aaaah... O-Ouiii, hmmm... Encore !! »
Elle sentait les mains de Vierna se crisper sur ses hanches, entaillant volontiers sa peau, lui arrachant des larmes de souffrance à chaque fois que sa queue s’enfonçait dans son cul, remontant jusqu’à la garde.
Mais c’était aussi terriblement bon, et même incroyablement
jouissif ! Ah, quel pied !