Harley était en tout point à la hauteur de ce que la Lapine avait vu dans son esprit, et de ce qu’elle s’était imaginée avant. Une femme énergique, passionnée, qui ondulait énergiquement et avidement sur son sexe, s’empalant sur sa queue. Un plaisir intense régnait entre les deux femmes... Ou, plutôt, entre les trois femmes. Après tout, Harley avait la chance d’avoir deux Lapines rien que pour elle ! Le clone de White Rabbit se dandinait dans le dos de la femme, faisant frotter sa verge contre ses fesses. Elle ne la sodomisait pas encore, même si la chose était tentante. Rien ne pressait, après tout, et, avec une femme comme Harley Quinn, White Rabbit comptait bien prendre son temps. Elle lui avait après tout expliqué que cette femme l’avait toujours intrigué. Dans une certaine mesure, Harley Quinn avait même été une sorte de modèle pour elle lorsqu’elle était venue à Gotham, une criminelle qui avait su s’émanciper du Joker, et qui avait su se faire un nom dans la ville réputée pour être la plus dangereuse des États-Unis. Comment ne pas être impressionnée par un tel pedigree ? Et, au cas présent, il fallait tout de même admettre qu’Harley Quinn était d’une incomparable beauté. Elle dansait donc sur elle, s’empalant longuement, gémissant, tandis que ses seins enflaient et grossissaient, se gorgeant progressivement de lait au fur et à mesure qu’elle prenait son pied.
La clone pinçait donc ses tétons, pour accélérer le processus, tandis que la Lapine, elle, baignait dans une intimité étroite, remplie de mouille. Sa queue avait graduellement grossi dans le con de la femme, comme si elle se fertilisait avec la mouille d’Harley. Les mains de White Rabbit se crispèrent sur ses hanches, et elle soupira encore, se pinçant les lèvres, avant de soupirer, relâchant à chaque fois des nuages d’un gaz rosâtre, un souffle aphrodisiaque qui aiderait encore plus Harley à se relâcher. Avec une femme pareille, la barre était placée à un très haut niveau, vu son expérience avec Poison Ivy... Ce qui excitait encore plus la belle bunny girl.
« Hmmm.. Haaa... Harley, hmmm... Ouuiii, hmmm... Ta... Ta petite Lapine, ma... Ma Harley... »
L’amour envers un autre était encore un concept très nébuleux pour White Rabbit, mais, s’il y avait bien une femme qu’elle était susceptible d’aimer, c’était clairement elle. Et c’est d’ailleurs sur cette idée qu’elle se relâcha. Sa queue tressauta, et un premier orgasme vint saisir la Lapine, qui se mit à jouir dans l’intimité d’Harley Quinn, balançant des chapelets de foutre dans son corps, avant de progressivement se calmer. Harley avait également joui, et ses seins étaient désormais gorgés de lait, ce qui l’amena, tout en reprenant son souffle, à demander qu’on la soulage.
La solution était évidemment toute trouvée, et, dans un sourire, White Rabbit vint donc se redresser, conservant son sexe dans le vagin d’Harley. Elle remonta avec ses mains, pendant que le clone, qui avait servi de soutien, descendait au contraire les siennes, s’appuyant sur ses hanches. Harley pouvait ainsi sentir sur son corps une double paire de mains élégamment gantées glisser sur sa douce peau. Et, effectivement, le corps de la Lapine était tendre, très doux, une douceur de bébé, ce qui rendait ces contacts encore plus stimulants. La bouche de la Lapine rejoignit ainsi la poitrine de la femme, tandis que l’autre White Rabbit se penchait en arrière. Elle souleva légèrement le corps d’Harley et l’amena à se cambrer, relevant ses fesses, ce qui lui permit de mettre sa verge à hauteur de ses fesses.
« C’est à moi de m’occuper de tes seins, ma belle, glissa la Lapine originaire, celle qui venait de jouir.
- Et à moi de m’occuper de ton petit cul... Car crois bien que nous allons très longuement te baiser ce soir !
- Car je sais que tu peux l’endurer, Harley... »
Et, sur ce, la Lapine posa ses lèvres sur l’un de ses seins, et appuya dessus. Au même moment, son clone enfonça sa trique dans le beau petit cul d’Harley, et soupira sur place. Elle avait replié ses genoux, et se balançait en arrière, revenant ensuite en avant, cherchant ainsi à donner du rythme à sa sodomie sportive, pendant que la Lapine, elle, sentit rapidement, et avec bonheur, le lait d’Harley affluer dans sa bouche.
« Hmmm... Mmhmmm... »
Elle se mit donc à téter, s’attaquant longuement à un sein, pour ensuite s’attaquer à l’autre, car la Lapine était plutôt gourmande, et le bon lait d’Harley était tout simplement délicieux ! Elle en redemandait donc volontiers, pendant que le clone de la Lapine, en sodomisant Harley, et en accélérant graduellement le rythme, renforçait la production de lait. C’était donc un délicieux cercle vertueux de vice !