Mélinda savait que le jeune Matsu avait suivi une formation pré-sexuelle classique. Sa mère et ses amies lui avaient enseigné la théorie : la puberté, la libido, l’érection, les zones érogènes... Mélinda préparait toujours ses futurs esclaves, et Matsu avait également eu droit à de longues et terribles séances voyeuristes destinées à renforcer sur le long terme ses performances sexuelles. Il était tout simplement attaché dans un placard, bâillonné, et contraint de voir, pendant des heures, sa mère faire l’amour. Un spectacle terrible, qui donnait ensuite lieu à de longues séances de masturbation. Pour le surplus, Matsu avait une garde-robe exclusivement féminine. Il se parfumait et se coiffait avec des parfums de femmes, et avait même une posture féminine. C’était un délicieux neko trap’, une rareté que Mélinda aimait beaucoup, et qu’elle avait hâte d’offrir à disposition de ses clients. Dans un premier temps, toutefois, il le ferait en duo, avec sa mère. Coucher avec un couple incestueux parent/enfant attirait toujours énormément les clients.
Au sein du harem, Matsu avait laissé s’exprimer sa part de féminité, et était, de fait, un neko très joueur, qui recevait toujours beaucoup de câlins, et qui était aussi gourmand. Il avait l’habitude de venir ronronner près des cuisinières pour obtenir une part de gâteau, et ne se masturbait jamais. Katya avait été la première à le masturber, et elle lui avait dit de ne pas le faire, et de laisser les autres le caresser. Depuis lors, Matsu avait pris ça aux pieds de la lettre. Mais aucun baiser n’avait touché son sexe. Ce privilège était réservé à Mélinda, et, les derniers jours, Katya avait rapporté à Mélinda que son fils était très agité, rêvant visiblement de cette séance avec sa Maîtresse, qu’il idéalisait depuis l’enfance. Il n’était pas exagéré de dire que Mélinda avait développé un véritable culte de personnalité au sein de son harem, se posant comme la gardienne et la mère aimante des pensionnaires. Elle n’hésitait pas à leur montrer comment les choses se passaient auprès d’autres esclavagistes, où les nekos étaient battus, humiliés, parqués dans des cages à poules, afin qu’ils prennent conscience de toute la chance qu’ils avaient d’être ici.
«
Je n’en doute pas, Matsu, tu es très apprécié au sein du harem, tu sais... »
Matsu se rapprocha d’elle,
dans une magnifique robe légère à bandes bleues et roses, et frotta sa tête contre ses jambes. Mélinda sourit, comprenant très bien ce qu’il voulait, et elle tendit sa main, venant l’attraper par les épaules, et le fit grimper sur ses jambes.
«
Ne me dis pas que ta Maîtresse te fait peur, Matsu... »
Elle le coucha sur ses jambes, et commença à caresser son dos, l’une de ses mains remontant sur son crâne, caressant et grattant ses cheveux entre ses oreilles pointues. Très rapidement, des ronronnements s’échappèrent du corps de Matsu, et Mélinda sentit également, contre ses cuisses, une belle bosse commencer à apparaître, tandis que sa queue caudale se redressait. La main de la vampire fila sur lui, et elle s’amusa à caresser la queue caudale de Matsu, tirant doucement dessus.
«
Là, là, mon petit Matsu... Si tu es nerveux, mes câlins vont te faire du bien... Tu sais combien j’aime te câliner, hein ? »
La vampire sourit lentement, et se pencha ensuite, venant l’embrasser dans le creux du cou, et continua ensuite à le caresser, et à le gratter.
«
Ta peau est vraiment incroyablement douce, tu sais... Quel bonheur de te câliner ! » jubila la vampire.