Achat et soumission [PV Alice et Betty]

Andros observa la jeune furry se faire sauvagement empaler par le membre du centaure qui s'en donnait à coeur joie. Les centaures étaient traditionnellement moins hédonistes que les satyres, mais Andronicos avait toujours été un peut différent du commun des centaures. Plus libre et libidineux, il avait été ravie de s'installer à Raghose. Et il ne regrettait aucunement son choix malgré son statut de non citoyen il avait été capable de s'enrichir grâce au patronage d'Andros, et de pouvoir s'offrir quelques petits plaisirs à côté. Ce qu'il était actuellement entrain de faire.

-Ah, cette chienne est si étroite !! Hmm... Et elle inonde comme un barrage brisé ! Qu'elle salope.

Andros observa son esclave qui hurlait de plaisir à se faire ainsi violée dans le magasin de son partenaire, elle bavait et en jubilait suppliant pour qu'on continue de la prendre avec violence et profondeur. mais la vue de cette belle petite bouche pendante et haletante lui donna une idée.

-C'est vrai qu'elle est bien jolie et est une bonne petite trainée.

Il saisit la furry par les cheveux pour mettre sa tête à hauteur de son membre.

-Mais elle parle trop.

Et sur ce il se mit à enfourner son membre dans la gueule de la furry à coup de puissant va et vient.

Le satyre et le centaure besognèrent assidument la pauvre terranide pendant plusieurs minutes avant de se soulager en elle, innondant son con et sa gorge de semence. 

Se retirant Andronicos sourit à son protecteur.

-Merci beaucoup prince Andros, vos visites sont toujours un plaisir.

-De même pour moi mon ami. Répondit Andros en observant l'état dans lequel était son esclave.

Un grand centaure, avec un membre de cheval puissant, viril, sauvage ! Elle couinait de plaisir en se faisant arracher des cris de plaisir également. Toute sa chatte était remplie, il pénétra même l'utérus sans aucun mal, hormis la résistance naturelle de cette partie du corps de la femelle. Car oui, elle n'était plus qu'une femelle à présent, bavant de plaisir, agitant la queue quand cette dernière n'était pas écrasée par le bassin du mâle contre le sien. On pouvait même suivre la trajectoire de son gros engin à travers le corps de la femelle lorsqu'il rentrait puis sortait lentement. Bien sûr elle était trop étroite pour un tel chibre ! Après tout celui de son mâle naturel ne devait même pas faire un sixième de cette longueur, et moins d'un tiers de sa largeur... Elle bavait littéralement, de douleur et de plaisir sa langue pendant a chaque fois qu'il se posait bien au fond.

Quand elle vit son maitre lui prendre la tête, elle comprit bien vite, elle tenta de se taire, mais les gémissements étaient encore là. Elle se prit la bite plus petite, mais néanmoins respectable du satyre dans la bouche. Le bec clos, rempli plutôt, elle avala l'engin qui s'y était installé sans pouvoir dire quoi que ce soit. Elle fut sauvagement baisée encore de longues minutes, puis put sentir un horrible gout en bouche, en même temps qu'un énorme plaisir dans son petit con. Elle jouit avec eux, et toussa un peu après avoir avalé autant de sperme chaud. Elle baissa le regard restant en position de peur de se faire châtier au moindre mouvement. Elle était fatiguée, pas au point de ne plus marcher, mais elle ne risquait pas de s'enfuir tout de suite. Elle nettoya l'engin de son maitre rapidement, puis se retourna pour en faire autant avec celui du centaure espérant que ça lui évitera un second tour. De même elle ne parla pas, son maitre semblait la trouver trop bruyante déjà.

Andros sourit en voyant son esclave désormais soumise, après qu’elle eut nettoyer le membre d'Andros et de son compagnon elle se tint à genoux et le regard baissé en signe de soumission. Et pour cela Andros lui caressa affectueusement la tête, une petite récompense pour le fait qu'elle était devenu soumise. Ce n'était pas tout de se montrer dure, il fallait aussi les récompenser quand ils se montraient obéissants.

Andros remercia alors son ami pour gérer si bien ses affaires et ce dernier le remercia pour cette distraction.

-Suis moi. Ordonna ensuite le satyre à la furry.

Nue, souillée de semence la terrannide suivit le satyre jusqu'à sa villa, encore une fois sous le regard des passants qui heureusement pour elle n'étaient pas très nombreux. Une fois arrivé Andros demanda à une servante d'amener l'esclave aux bains.

-Tu as été très bien. va te laver et repose toi, je te ferai convoquer plus tard.

Betty fut donc amenée jusqu'aux bain où elle avait eut son premier rapport avec le satyre. On la laissa se nettoyer avant de l'amener à une chambre o elle put se reposer quelques heures. On la réveilla ensuite en lui donnant une courte toge avant de l'envoyer faire ses taches domestiques, un rappel de sa condition. Puis on lui apprit que le maitre voulait la voir. Comme la nuit précédente. 

Betty avait tout nettoyé commune grande, elle était maintenant fatiguée de cette journée de marche et de "négociation" façon moyen âge ! Mais bon, brisée comme elle l'était, sans espoir de retour un jour, elle ne luttait pas. Elle venait de se faire prendre par un centaure et avait bien d'autres choses à penser qu'à se rebeller... Comme craindre que cela n'empire, ou qu'elles doivent être prises par d'autres animaux tels que ce centaure ! Caressée sur la tête elle attendait surtout de partir d'ici en silence, d'être loin de cet enfoiré qui lui à écarter la chatte en deux ! Elle le suivit à sa demande se redressant pour ne pas finir par le ralentir. Après tout à quatre pattes elle serait bien plus lente que sur deux, elle n'était pas une chienne après tout !

En chemin elle ne cacha même plus ses orifices humides et les traces de sperme, à quoi bon ? Si le satyre le demandait, elle devrait s'offrir au premier homme venant. Elle marche donc vers la maison à nouveau, la grande villa d'Andros avec toutes ses servantes, sans doute sexuelles aussi dans le fond. Elle hoche la tête gardant le silence, puis va aux bains et a un haut-le-coeur. Elle se retint de vomir, se lave et vérifie que son pelage soit bien soyeux quand elle est sèche.  Elle se reposa ensuite dans une chambre qu'on lui confia pour quelques heures, reposée elle se relève et s'étire, presque en forme, si ce n'est encore quelques dérangements après des rapports si sauvages.

Voyant la toge elle l'enfile, sans discuter, puis constate bien vite que sa queue soulève l'arrière de sa toge au-dessus de ses fesses. Le moindre moment où il faudra se pencher en avant, sera une honte totale, mais elle n'en était plus à cela. Ignorant l'heure exacte elle va vers la chambre du maitre, toque à la porte et attend la permission pour y pénétrer en silence le regardant et attendant la suite. Sans doute encore une nuit de baise sauvage, non ?