Rhian était face à une amante redoutable. Elle le savait depuis qu’elles avaient fait l’amour pour la première fois, et qu’Eris avait terminé dans la salle de bains. Sa partenaire était une redoutable amante, qui aurait pu donner des complexes aux concubines du harem royal, des femmes entraînées et expérimentées dans ce domaine. Il y avait avec Eris un mélange de bestialité, de sauvagerie, de violence, et, tout de même, de beauté et d’élégance, qui rendait ces séances exquises. Après lui avoir fait goûter la trique d’un chien affamé, qui avait baisé Rhian pendant plusieurs heures, Eris passait maintenant aux choses sérieuses. Elle lui bourrait sévèrement la bouche, laissant Rhian en pilotage automatique. La Princesse était bien incapable de pouvoir imposer une quelconque mesure à ce rythme effréné, tandis que son amante continuait à la pilonner, tout en lui déformant le cul. Parfois, de puissantes claques la faisaient gémir et cligner des yeux, et elle essayait surtout de ne pas mordre involontairement. Une morsure sur cette partie du corps était tout simplement extrêmement douloureuse, et Rhian n’avait pas envie de faire souffrir inutilement sa magnifique partenaire. Au contraire, elle voulait que cette séance dure, et dure encore, qu’Eris la pousse jusqu’à l’épuisement !
Elle se faisait donc bourrer, les cheveux filant d’avant en arrière, sa salive coulant le long de ses lèvres. Le membre d’Eris se perdait en effet dans sa bouche, remontant jusqu’au cou. Sous un tel rythme, Rhian n’arrivait même plus à retenir sa salive, qui glissait sur son menton quand Rhian se reculait.
« Hnnnn… !! Gnnnnhh… !! »
Papillonnant des yeux, Rhian sentait les coups de reins se poursuivre, sans relâche. Imperturbables, les Eris la labouraient énergiquement, allant vite, accélérant pendant plusieurs minutes, avant de ralentir doucement. Rhian sentait alors des mains gifler son cul, et couinait, puis sentait la queue d’Eris s’enfoncer d’un coup sec dans sa gorge, en harmonie avec celle du clone. Les deux queues se mouvaient dans son corps, la remplissant, lui arrachant de longs couinements étouffés. Sous l’effort, quelques larmes glissèrent même de ses yeux. Ce n’était pas des larmes de souffrance, même si la douleur était présente, mais une conséquence de toute l’intensité qu’elle ressentait en ce moment.
« Hmmmmmmmm… !! »
Les deux Eris n’allèrent pas jusqu’à jouir en elle, et s’arrêtèrent lentement… Ou, du moins, l’Eris originelle. Elle retira sa grosse queue de la bouche de Rhian, qui recracha encore de la salive sur le lit, et s’appuya sur ses bras, évitant de s’affaler sur le lit. Le clone se retira provisoirement, fléchit les genoux, soulevant un peu Rhian, puis s’enfonça alors de nouveau dans son cul, le plus profondément possible, si bien que Rhian pouvait sentir, contre ses fesses, les bourses de la femme… Et elle cessa de bouger, le temps que l’Eris originelle ne se positionne.
Rhian, elle, n’avait d’yeux que pour la verge d’Eris, un énorme mandrin trempé, qui luisait du fait de sa salive. Elle se déplaça tranquillement, et s’allongea sous son corps, se déplaçant lentement, puis déplaça ses mains… Et le clone appuya sur le cul de Rhian, abaissant son bassin sur sa verge. Rhian, elle, se tortillait alors doucement sur place, du fait de cette verge immobilisée dans son cul, ce qui avait également amené le clone à l’immobiliser en la giflant et en serrant ses mains aux ongles pointus sur sa croupe.
« Haaaa… HAAAAAAAAAAAAAANNN… !! » hurla-t-elle d’un coup.
Elle avait désormais une queue nichée dans son fondement et une autre dans son vagin, tandis que la Eris située derrière elle rythmait leurs ébats, amplifiant ses coups de reins. Rhian couinait et gémissait, ses mains se crispant sur les épaules de la Eris face à elle, venant l’embrasser goulûment et énergiquement, avant qu’Eris ne morde son sein, la faisant hurler encore.
« Oh bon sang, Eris, HAAAAAA… !! Bordel, hmmm… !! BAISE-MOI ENCORE, HAAAANNN… !! SALE PUTE, ALLEZ, BAISE-MOI, BORDEL !!! »
On pouvait le dire clairement : Rhian était totalement survoltée.