Mélinda était heureuse de voir à quel point sa cour était fidèle à ce qu’elle voulait. Rien n’était épargné à la belle Lise. Elle gémissait, prise dans tous les sens, et sans pouvoir jouir. Ça, plus que tout le reste, constituait sans aucun doute l’estocade qui allait la marquer durablement. Elle ne pouvait pas jouir, bloquée par un anneau posé à la base de sa verge, et qui empêchait le sperme de s’écouler. Une douleur terrible qui se répandait dans le corps de Lise, se concentrant sur ses testicules et sur sa verge, qui devenait dure et longue. Elle oscillait sous elle, remontant entre les seins de Lise, tant elle était volumineuse. Et personne ne comptait l’épargner, bien au contraire. C’était un
bizutage sexuel digne du harem Warren. Lise se tortillait sur place, tandis qu’un homme bien membré s’enfonça en elle, pinçant ses fesses. C’était un semi-démon provenant d’Ashnard, ayant pour mère une succube. Les gènes de la démone coulaient dans ses veines, faisant de lui un terrible étalon.
Si Lise tournait la tête, elle aurait pu voir deux cornes sur la tête de l’homme nu, qui grogna de plaisir. Ici, il était presque une sorte de Roi, au milieu de ses hermaphrodites, avec, comme les autres, une indéfectible passion pour la sodomie. Sa matraque écartela les parois anales de Lise, et la belle
bimbo se dandina sur place, son corps en chaleur. La queue de l’homme remuait dans le sperme des autres filles ayant déjà joui dans son corps.
Autour du groupe, la débauche se poursuivait, et les soumis faisaient l’objet de multiples sodomies. Ils se tortillaient sur les tables, le long de leurs sangles, gémissant ou couinant. Là,
trois femmes dansaient sur le même homme, le sodomisant sans vergogne, ou urinant dans sa bouche ; là,
une femme torturait un homme, l’empêchant de jouir, tout en le titillant avec son corps et ses coups de langue ; là encore,
une femme masturbait un autre homme, suçant longuement sa queue, s’arrêtant à chaque fois qu’elle le sentait proche de l’orgasme. Ici enfin,
une femme s’amusait à faire jouir un homme entre ses seins, se régalant du sperme qui dégoulinait ensuite sur son décolleté, et laissait d’autres femmes nettoyer ses seins.
Mélinda nageait dans cet environnement fait de stupre, et sourit quand l’une de ses esclaves proposa de torturer davantage Lise.
«
Oui... Fais-toi plaisir, ma chérie... »
La vampire, elle, continuait à enfoncer sa verge dans la bouche de la femme, laissant la langue de Lise glisser sur son membre. Elle continuait à la bourrer, arrêtant parfois de bouger, veillant alors à planter son membre aussi loin que possible en elle. Une autre femme approcha donc une cage du corps de Lise, et la lui mit. C’était une longue cage de chasteté, et des harnais se mirent autour du sexe de la femme, une autre femme venant en face pour l’aider à attacher l’objet.
«
Voilà... -
Tu ne jouiras que quand on le décidera, petite pute... »
Mélinda était claire.
Elle voulait la rendre
folle de désir, réveiller des pulsions sauvages, la désinhiber totalement... Et ce ne serait qu’à ce moment que Mélinda lui offrirait son corps, et que Lise pourrait jouir...
En elle !