Cul relevé, la tête de Lise s’était abaissée considérablement, heurtant le sol. De cette manière, Mélinda avait une amplitude importante, et pouvait la baiser avec une force incroyable, et une énergie exceptionnelle. Elle ignorait encore il y a une demi-heure beaucoup de choses sur Lise, mais, maintenant, elle avait acquis l’intime conviction que cette bimbo blonde ferait une magnifique amante, soumise… Esclave. Mélinda la voulait pour elle, à coucher toute la journée avec les autres esclaves de la vampire, puis avec les clients. Lise avait une voie toute tracée, car, quand on avait une telle trique, une telle libido, on ne pouvait pas vouloir faire un emploi normal et sans intérêt. Lise était destinée à travailler dans le sexe, et Mélinda, tout en lui bourrant le cul, envisageait déjà, dans un recoin de son esprit, le futur magnifique de cette jeune femme. Mais, de cela, il ne fallait pas en tirer la conclusion qu’elle ne profitait pas du moment présent. C’était même tout le contraire !
Là, enserrée dans la cabine étroite de ces toilettes, Mélinda avait le corps en sueur, haletant profondément, régalée par les coulissements de sa queue dans l’étroit cul de Lise, par les hurlements de cette dernière, et, surtout, par tout ce contexte sonore qui était, tout simplement, jouissif. Elle entendait la chair claquer, la peau se heurter à la peau, son latex crisser contre le corps de Lise. Dans sa magnifique tenue de dominatrice sadomasochiste, Mélinda donnait d’épais coups de reins dans le corps de la Futa. Inutile de vouloir la ménager, quand on voyait ce que Lise faisait avec ses amantes. Cette femme aimait le sexe brutal, ardent, sauvage, et, tandis que Mélinda la prenait, elle étirait sa queue, comme elle l’avait fait préalablement.
« Hmmmm… Haaaaa… Hnnnnn… !! »
Mélinda gémissait, hurlait, sa salive glissant parfois le long de ses lèvres, tant le plaisir qu’elle ressentait était fort, tant cette vague était intense. Oh, que c’était bon ! Mélinda soupirait encore, longuement, et gifla encore une fois le cul de Lise, faisant claquer sa main dessus.
« Oui, ma pute, tu… Hmmmm… Tu… Es… Ma… Puuuteuuuhhh !! »
Elle hurlait, grognait, mais sans encore jouir. Le corps de Lise finissait par se rapprocher de la porte, surtout sa tête, qui la frôlait de plus en plus, car, du fait de cette mare de sperme et de mouille, son corps glissait lentement vers l’avant. Mélinda enfonça ses mains contre ses fesses, la griffant, et fila encore en arrière, puis en avant. Le cul de Lise s’était plutôt bien dilaté, de telle sorte qu’il était maintenant très facile de pouvoir la sodomiser, sa queue se mouvant avec aisance, frottant bien entendu contre les parois, mais en pouvant aller vite.
Le temps défila encore, au fur et à mesure que Mélinda venait la pénétrer, jusqu’à approcher le point de jouissance. Elle sentit la vague la traverser, et se redressa alors, en hurlant encore, puis soupira longuement. Le sperme remonta dans sa queue, puis, au terme d’ultimes secousses, s’expulsa dans le corps de Lise.
« Hmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm… !! »
Ce fut un magnifique orgasme, en réalité. Le corps de Mélinda se relâcha, et, pendant une bonne minute, elle éjacula, balançant des filaments de foutre. Sa queue semblait ne jamais devoir s’arrêter, expulsant du foutre, la vitesse de Mélinda ralentissant progressivement. Lors de l’orgasme, son corps était dans une sorte d’incontrôlable transe, et elle se laissait pleinement aller, sans tenir compte du reste, ne pensant qu’à jouir. Le sexe avait cette capacité d’aliénation incroyable, qui atteignait sa quintessence ultime au moment de la jouissance.
Mélinda se relâcha donc dans le corps de la jeune femme, et reprit peu à peu son calme, en retrouvant sa respiration. Son sexe lui donnait l’impression de pulser chaudement, et elle resta là, dans le dos de la belle blonde, le mandrin encore planté en elle, caressant maintenant tendrement ses fesses.
« Tu es magnifique, Lise… Vraiment, je suis sûre que tu feras une incroyable esclave. Mon manoir est rempli de beautés qui ne demanderont qu’à s’empaler sur ta queue, mais… Rassure-toi, nous ferons plein de choses. Le sexe va devenir le pilier central de ta vie en ma compagnie, ma chérie, ma délicieuse petite pute… »
Le ton de Mélinda s’était radouci, signe qu’elle était rassasiée… Et heureuse.