Était-il si surprenant que ça de voir ces trois magnifiques bombes sexuelles s’offrir à leur ennemi juré ? Sheoldred les observait, en peinant à dissimuler son excitation, se rappelant encore le nom de ces super salopes :
Cryska, qui se trouvait dans son ventre, à subir le plaisir suprême,
Irisdina, qui se retourna vers les deux Xénomorphes, et
Beatrix, qui s’approcha d’elle à quatre pattes. Sheoldred sentait des frissons remuer tout son corps. Il était en effet fréquent que des Tekhanes contournent le blocus de sécurité pour s’offrir à eux. Ce n’était donc pas si étonnant que ça, car Tekhos était une société hyper-sexualisée. Or, tout le monde savait, maintenant, que, au sein de la Fourmilière, les femmes ne faisaient que l’amour. Sarah avait pu constater combien de gens aimaient se rendre volontairement, mais il fallait bien admettre que ces trois beautés étaient des lots particulièrement rares. Dans son corps, Cryska trépignait d’excitation. Il y avait trois tentacules qui la pénétraient rudement, et une multitude de langues la caressant. De la pointe de ses cheveux à ses orteils, il n’y avait tout simplement pas un centimètre carré de sa peau qui ne fasse pas l’objet des attentions de la femme. C’était un spectacle aussi horrible que fascinant.
Irisdina se mit devant les deux Xénomorphes, gourmandes, et s’attaqua à leurs verges. Effectivement, ces monstres avaient des phallus gros et durs, avec une peau qui était à la fois gélatineuse et solide. La peau d’un Xénomorphe était très particulière, car elle était légèrement gluante, recouverte d’une sorte de substance, mais, sous cette substance, on sentait un corps particulièrement dur. Ils avaient d’épaisses queues, et Irisdina alla rapidement en sucer une, masturbant l’autre. Les mains du Xénomorphe, épaisses et griffues, se posèrent sur ses cheveux, et il commença rapidement à la pilonner, filant d’avant en arrière en elle, tout en grognant profondément. Ses mains étaient comme des étaux, heurtant les cheveux de la femme, se crispant dessus, et il fila en elle, la baisant sans ménagement, maltraitant sa gorge, la baisant jusqu’à la garde, glissant dans son larynx.
Sheoldred, de son côté, esquissa un sourire ravi quand Beatrix glissa qu’elles allaient être de bonnes putes.
«
Oh, je n’en doute pas... C’est une nouvelle vie qui vous attend, mes beautés. Une vie faite de stupre et de bonheur, où vous ferez des bébés, tout le temps des bébés... Oui, vos corps fermes feront de magnifiques pondeuses. »
Sheoldred sourit à nouveau, et la gueule du monstre se referma sur le corps de Beatrix, qui était légèrement avancé en elle. La partie haute se referma donc, et le corps de Beatrix s’aplatit, coincé entre ses lèvres, ses jambes et son bassin venant ressortir, tandis que son buste était coincé dans sa bouche, posé sur sa langue. Un tentacule s’enfonça rapidement dans sa bouche, la violant sur place, tandis que, sortant de la langue du Formien, des tentacules prirent la forme de mains, palpant et pinçant ses seins à travers sa combinaison. De plus, Beatrix se retrouva rapidement couverte de bave, une salive épaisse qui lui tombait sur toute la partie du corps coincée dans la gueule du monstre.
Ses fesses ressortaient à l’air libre, et la partie humaine de Sheoldred s’abaissa vers elle, ses mains venant masser ses fesses, les pinçant, avant qu’elle n’approche également ses lèvres, venant les embrasser. Beatrix avait un cul merveilleux, musclé et bien charpenté. Elle l’embrassait donc, tandis que d’autres tentacules sortaient du corps de Sheoldred, et elle ouvrit sa combinaison, voyant, à hauteur du bassin, une ouverture à l’avant, une fine armature métallique. Elle l’ouvrit, dévoilant l’accès à son intimité, et un tentacule phallique s’y enfouit rapidement. À l’arrière, elle vit une autre ouverture, à hauteur de la croupe, et l’ouvrit également. Cependant, au lieu de laisser un tentacule venir dans ses fesses, Sheoldred préféra y fourrer sa langue... Une langue qui, à l’image du reste de son corps, changea rapidement de forme, pour grossir et gonfler, prenant ainsi une apparence plus phallique, plus profilée, tout en la sodomisant sur place.
Pour réussir cela, Sheoldred attrapa ensuite les jambes de la femme, et se redressa, l’emmenant avec elle. Dit autrement, le corps de Beatrix se retrouva presque à la perpendiculaire, avec son tronc coincé contre la langue de la partie formienne du corps de Sheoldred, et ses jambes filant en hauteur, ce qui permit à la Cérébrate de se redresser un peu, maintenant la femme par les jambes, dans une position athlétique qui mettait à l’épreuve son corps.
«
Hmmm... »
Quant à Irisdina, très rapidement, le premier Xénomorphe jouit en elle, mais elle eut à peine le temps de reprendre ses esprits que le second Xénomorphe, grognant furieusement, s’empressa de fourrer sa queue, aussi monstrueuse que l’autre, dans sa bouche, et la baisa vigoureusement à son tour.
Et tout ça n’était qu’un prélude, un délicieux prélude, avant de rencontrer leur Reine...