Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Jaded Future (PV)

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Jaded Future (PV)

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Eyia

Créature

Re : Jaded Future (PV)

Réponse 120 samedi 17 mai 2014, 15:29:48


Eyia suivit tous ses gestes du regard. Ainsi emmitouflée dans sa couette, les yeux brillants, muette, elle ressemblait à un petit chaton inoffensif. L'immortelle recula un peu, quand il vint s'asseoir à côté d'elle. Elle l'écoutait attentivement, hochant la tête silencieusement. Oui, elle le rencontrerait, ce pauvre connard qui avait volé ses pierres. Elle et son armée d'ombres lui feraient beaucoup de mal, elle se l'était jurée. Mille vengeances étaient déjà dessinées, dans son esprit, toutes violentes et sanglantes. Eyia ne vivait pour ces émotions vivaces, celles qui la terrassaient. C'était tout ce qu'elle avait réussi à sauver de l'éternité, si longue, si plate. Chaque époque avait eu son charme, sa façon de torturer, de venger, de mener à bien de petites guerres et d'asseoir son pouvoir. C'était ça, qu'elle aimait.

Eyia appuya sa tête contre l'épaule d'Arctos, posant une de ses mains dans son dos. Ses petits doigts se baladèrent sur sa peau.

- Je le rencontrerais. Je lui ferais regretter chacune de ses décisions. Il me rendra mes pierres, puis je le tuerais. Putain oui, je le tuerais.

Elle avait plantée ses ongles dans le dos du Russe, en prononçant ces derniers mots, poussée par un élan de rage. Dieu merci, malgré les années, la rage qui habitait Eyia n'avait pas bougé d'un cil. Elle restait cette petite reine-guerrière increvable, pleine de ressources. On lui reprochait d'être trop enflammée, mais elle préférait se dire qu'on ne l'était jamais trop. Ses doigts caressèrent la peau rougie par les griffures.

- Je te remercie de m'aider. Tu aurais pu me tuer dans mon sommeil, mais tu n'en as rien fait. Je trouve ça admirable.

Certes, ses ombres seraient intervenues, mais elle n'en fit pas mention. Il n'avait pas besoin de savoir qu'elle était suivie en permanence par sa petite armée.

Bougeant sur le côté, la jeune femme se plaça derrière lui, sa tête appuyée sur son épaule, ses mains glissant sur le ventre du Russe. Sa poitrine était plaquée contre son dos. Apaisée, elle respirait doucement. La souveraine se sentait parfaitement en confiance. C'était une sensation qu'elle ne connaissait que trop rarement. Elle le griffa à nouveau, cette fois de façon plus vive, joueuse.

- Ne t’inquiètes pas, cette nuit restera entre nous. Ce sera un secret. Les autres le seront aussi, je te le promets.

Les autres ? Oh. Ooooooooooh Eyia. Voilà qu'elle lui disait clairement qu'ils se reverraient - ce n'était ni une proposition, ni une question, mais bel et bien un ordre - comme si elle n'en avait pas eu assez. Enfin, dans son cas, elle n'en avait jamais assez. Elle en voulait encore, des nuits secrètes. Sur ce plan-là, l'éternité n'avait aucune emprise. Le temps passait mais elle restait, sur bien des points, toujours aussi vive. Et sexuellement, elle demeurait ... increvable, oui. Eyia.

- Quand le rencontrons-nous, dis-moi ?





"Un cri s'écarquille dans la nuit. Et le voilà. Le fantôme de la Reine des pierres, au corps lisse comme une roche polie par les flots battants et salés. La lumière vomissante de cette nuit striée d'éclats devient crémeuse sur sa peau laiteuse. Son nom sonne comme une prière : Eyia."


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Jaded Future (PV)

Réponse 121 dimanche 18 mai 2014, 02:39:04

Elle le griffa tendrement en lui annonçant qu’elle tuerait cet homme. Une marque d’amour, une confidence... Et une marque de haine. Les deux sentiments qui caractérisaient une femme, non ? Amour et haine... Dit comme ça, on dirait le synopsis d’un de ces films débiles sur l’amour impossible entre un homme et une femme. Lui ne disait rien, tandis qu’elle parlait, lui tournait autour. Il fronça légèrement les sourcils quand elle l’avait griffé, et, sentit, quand elle glissa dans son dos, et qu’elle l’enlaça, une vigueur remonter entre ses jambes. Ah, la vieille rengaine ! Elle revenait toujours à lui, cette raideur... Elle était le centre du monde, après tout, non ? Arctos hocha lentement la tête, savourant son contact, appréciant cette présence. Un zeste de folie et une once de glamour ; il avait le cocktail du bonheur sous les yeux. Pour ce genre de femmes-là, on avait envie de se damner, et on regrettait ces femmes plus simples, celles qui se contentaient juste de vouloir de l’argent, ou qui savouraient les hommes forts. Elles étaient plus simples, moins surprenantes. Elle, Eyia, elle était comme une bombe instable, prête à exploser au moindre moment. Elle amenait le Russe hors de sa forteresse, hors des sentiers battus, elle l’obligeait à affronter la face sombre de cette ville, elle l’obligeait à défier les ombres, à défier les menaces et les silhouettes qui ensemençaient le monde des rêves, elle l’amenait à la frontière indicible entre le crime organisé et cette couche, plus profonde encore, où même les pistolets étaient inutiles.

D’autres nuits... Il hocha lentement la tête, la tournant légèrement, vers elle. N’avait-elle pas dit qu’elle ne resterait ici qu’une seule nuit, et qu’elle disparaîtrait pour de bon ?

*Souvent, femme varie, Arctos... Comme la Russie.*

Elle lui posa alors une autre question. Elle restait proche, câline, tactile. Il aurait été moins froid, il se serait dit qu’elle avait le feu au cul, et qu’il était la bûche dont elle avait besoin, mais elle parlait des affaires... Et, tout en y pensant, il avait une nouvelle envie de baiser. C’est sûr, quelque chose n’allait pas avec cette femme. Elle exerçait une trop grande influence sur lui, ce qui était d’autant plus anormal qu’il ne la connaissait quasiment pas... Pourtant, il avait le sentiment d’être plus proche d’elle que de n’importe qui, même de Sergeï. Arctos n’avait jamais cru aux contes de fées. Il ignorait ce qui se passait, si ça venait du fait qu’elle chiait des diamants, qu’elle était aussi bonne au lit qu’une vingtaine de mannequins russes, ou qu’elle avait en elle ce... Ce truc que les autres n’avaient pas. En tout état de cause, il était sûr d’une chose : il avait foutrement envie de la revoir... Mais ils avaient un petit détail à régler auparavant.

Il se retourna donc, et se montra tout aussi proche. Il posa une main sur sa nuque. Elle était aussi frêle qu’une poupée, mais elle avait la détermination d’un général russe. Son autre main se posa sur l’une de ses jambes, dans le croisement entre le haut et le bas de la jambe, et il l’amena contre lui, caressant ensuite sa jambe, remontant le long de cette délicieuse peau de bébé.

« Cet après-midi, je suppose... Le plus tôt possible, en tout cas. J’ai contacté Sergeï, c’est lui qui se chargera de nous mettre en contact. Ce type... Il est généralement dans un entrepôt désaffecté de la zone industrielle. »

Il n’y avait rien de plus qu’il pouvait dire sur lui. Rien de ce qu’il dirait n’arriverait à l’ébranler, à la convaincre de renoncer à son entreprise. Il l’embrassa donc, terminant sa réponse, et goûta pendant plusieurs secondes à ses lèvres. Sa bouche était toujours silencieuse, et le frisson entre ses jambes se réveilla à nouveau, perçant à travers les draps. Difficile de dire si elle sentirait la bosse ou pas, mais l’homme ne pouvait pas vraiment la retenir.

« Et... Tant mieux si personne ne le sait. J’aime conserver les femmes comme toi pour moi... Même si je ne devrais pas employer le pluriel. Tu es une femme exceptionnelle, Eyia, et je pense que tu pourrais bien déclencher ma perte... Pour autant, et même en sachant ça, je me sens bien incapable de te repousser. Je crois même que j’en souffrirais, si je devais te refuser à nouveau d’entrer chez moi. »

Le pire était sans doute qu’il était sincère.
DC d’Alice Korvander.

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Eyia

Créature

Re : Jaded Future (PV)

Réponse 122 mercredi 21 mai 2014, 20:09:05




Finalement, elle avait toujours eu ce qu'elle voulait. Là encore, rien ne venait entraver son chemin. Elle s'était arrangée pour, certes, mais constater qu'elle parvenait toujours à ses fins mettait du baume au cœur d'Eyia. Pour le coup, après avoir entendu les paroles d'Arctos, elle n'arbora pas ce petit sourire mesquin, celui qui dit « toi aussi, tu ploies devant moi, regarde ». Réussir à séduire cet homme, à devenir inégalable à ses yeux était une victoire personnelle, oui. Mais elle avait enfin rencontré quelqu'un à sa hauteur. Celui-là n'était pas un simple petit con avec lequel elle s'était amusée. C'est le Russe, c'était lui. Elle s'était reconnue en lui, et ça lui faisait du bien. Seules les personnes étranges, hors-norme, qui vivent en deçà du réel, voire même bien au-dessus, méritaient son attention. Et lui faisait partie de ces personnes, elle n'en doutait pas.

Eyia répondit à un joli soupir à son baiser, venant se presser plus franchement contre lui. Quand il s'était retourné, un de ses bras était venu remonter la couverture, cachant sa poitrine avec plus ou moins de pudeur – quand on connaît Eyia et sa capacité à ne rien craindre, on se doute qu'elle n'est pas plus pudique que ça – bras qui avait brusquement lâché la couette au moment du baiser. Elle se positionna de telle sorte que ses cuisses entourent le bassin d'Arctos. Elle se lova contre lui un petit moment, avant de l'embrasser à son tour.

- Cet après-midi ? Très bien, nous avons encore un peu de temps devant nous.

Sourire, doux mais coupant.

- Je veux profiter d'être encore entre tes mains.

Souffla t'elle, venant embrasser son cou. Dans cette position, Eyia avait senti cette raideur, entre ses cuisses. Si elle n'en avait pas fait fi pour le moment, là, tout de suite, maintenant, il put sentir son corps remuer une fois. Puis une autre. D'avant en arrière. Avant de chuchoter :

- J'aime beaucoup savoir que tu es à moi autant que je suis à toi.

Le ton utilisé n'était pas celui d'une petite romantique de base, mais celui d'une déesse meurtrière joueuse, qui sait exactement ce qu'elle veut et ce qu'elle fait. Elle le dévisagea, un moment, une de ses mains remontant dans la nuque du Russe, ses doigts s'enfonçant dans ses cheveux. L'embrasser, là, alors que leurs visages étaient à dix centimètres l'un de l'autre ? Nooooon. Elle préféra jouer un peu, sa bouche s'occupant de son cou, son mouvement des hanches continuant doucement, de façon rythmée, régulière. Danser ainsi tout contre lui, elle adorait. Ce n'était peut-être que des caresses, mais elles seraient suffisante pour réveiller quelque chose d'encore plus fort.


"Un cri s'écarquille dans la nuit. Et le voilà. Le fantôme de la Reine des pierres, au corps lisse comme une roche polie par les flots battants et salés. La lumière vomissante de cette nuit striée d'éclats devient crémeuse sur sa peau laiteuse. Son nom sonne comme une prière : Eyia."


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Jaded Future (PV)

Réponse 123 jeudi 22 mai 2014, 01:32:31

Elle se blottit contre lui, jouant à nouveau avec le feu. Il sentit sa belle bouche glisser contre son cou, il sentit ses seins s’enfoncer contre son torse, heurtant ses muscles... Et, surtout, il la sentit danser contre ses cuisses. Elle s’enlaça contre lui, sensuellement, avec un talent magnifique, glissant le long de sa raideur. Le Russe ferma brièvement les yeux, sentant un frisson remonter le long de son échine... Oui, ce frisson, ce délectable frisson qui annonçait de jouissifs moments à venir. Ce frissons qu’il ne comptait sûrement pas repousser rapidement. Elle se blottissait contre lui, sensuelle, câline, imprévisible, se faisant étrangement sentimentale, et... Joueuse. On ne le piégerait pas facilement. Elle était comme lui. Elle ne croyait pas à l’amour. La Russie n’était pas Hollywood, cette machine à rêves inutiles. Lui ne croyait pas en l’amour, mais il croyait aux vertus du sexe féminin, il croyait à l’osmose, à l’union des corps, il croyait à ce genre de choses. Et il croyait aussi qu’il ne fallait pas jouer avec Eyia. Elle était plus petite que lui, il aurait pu la briser entre ses bras, mais il savait qu’elle n’était pas que ça. Instinctivement, il sentait qu’elle était dangereuse, et que l’affrontement qui aurait lieu cet après-midi vaudrait son pesant d’or. Il ne se contenterait pas que de la conduire, il y assisterait... Dans la mesure du possible, il l’aiderait. Pas pour les affaires. Simplement parce qu’il l’aimait bien. Et, après tout, un Russe n’était pas un chien d’Américain. La fierté était une chose qu’Arctos connaissait.

Tandis qu’elle se faisait câline, qu’elle mimait un coït en remuant contre lui, flattant sa verge, excitant cette dernière, il caressait son dos avec l’une de ses mains, l’autre sur sa nuque, ses doigts glissant dans ses beaux cheveux. Sa seconde main, celle qui glissait sur le dos, descendit davantage, et vint se presser contre l’une des délicieuses fesses rebondies de la femme. Il serra cette dernière, tout en lui répondant.

« Sensuelle... Dangereuse... Cruelle... Un brin sentimentaliste... »

Il se pencha à son tour. Tout en caressant son bassin, en savourant cette délicieuse rondeur, sa bouche vint se frotter contre son visage. Leurs lèvres jouaient entre elles, elles se cherchaient sans jamais réussir à se trouver, tournant l’une autour de l’autre, dans une danse langoureuse et sensuelle.

« Tu es une matriochka, Eyia... À chaque fois que je pense arriver à te cerner, je découvre une nouvelle facette de toi. »

C’était exactement comme ces fameuses poupées russes qu’on pouvait emboîter. Ayant travaillé au sein du KGB, Arctos savait que les matriochkas avaient été fréquemment utilisés par les espions. Il suffisait juste de sceller l’avant-dernière poupée. Des fonctionnaires peu attentifs ne faisaient pas forcément attention, et on pouvait ainsi transmettre des renseignements importants. Elle était comme ça : à chaque fois qu’il retirait une poupée, il en découvrait une autre.

Les caresses de la belle poupée réveillaient sa raideur, et il commençait à soupirer, à grogner, à se montrer impatient, assoiffé. Sa main se déplaça de ce confortable fessier pour saisir sa verge, et il la guida, la soulevant. Elle heurta les cuisses de la femme, il força un peu, la releva, glissant contre sa peau, et donna un coup de reins.

« Haaa... Voilà... »

Il reposa ensuite sa main dans le dos de la femme, mais, depuis sa position, il ne pouvait pas faire grand-chose. La gravité jouait contre lui.

« Danse, ma belle... »
DC d’Alice Korvander.

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Eyia

Créature

Re : Jaded Future (PV)

Réponse 124 dimanche 25 mai 2014, 15:07:20




Une jolie poupée dangereuse et un homme au moins aussi venimeux qu'elle, mais à la carrure plus imposante. Charmant. Eyia aimait le danger, elle avait toujours aimé sentir l'adrénaline courir sous ses muscles, courir vers la peur sans jamais parvenir à l'atteindre. Là encore, entre ses bras, elle aurait pu tout connement crever. Un coup de sa part, et elle volait littéralement. Mais non, elle restait là, accrochée à lui, le bassin plaqué contre le sien, sa bouche cherchant la sienne quand l'air était trop doux. La main d'Eyia glissa, sans aucune crainte, dans les cheveux du Russe, tandis qu'elle appuyait son front contre le sien, commençant à danser par à-coups. Les coups de reins étaient réguliers, amples, et creusaient son dos à chaque mouvement. Elle faisait en sorte d'augmenter la cadence … Mais petit à petit. La petite reine faisait partie de ceux qui pensaient que priver un homme d'une chose lui permettait de mieux l'apprécier ensuite.

Sa bouche glissa vers son oreille, tandis qu'un coup de bassin très lent agitait son petit corps blanc.

- Ça te manquait déjà, mh ?

Un sourire de satisfaction planait sur ses lèvres, quand elle revint l'embrasser. Un coup de rein plus vif accompagna ce baiser, avant qu'elle ne reprenne un rythme plus souple.

- Est-ce que je danse assez bien pour toi ?

Souffla t'elle, avant de laisser de petits baisers, très doux, parsemer le cou d'Arctos. Son corps remuait avec une certaine grâce. Rien de vulgaire, tout de subtil. Les fins soupirs qu'elle poussait pour ponctuer ses mouvements, son ventre qui caressait vivement le sien à chaque vas-et-vient, sa poitrine qui s'écrasait contre son buste avant de s'en détacher.

- … Ou est-ce que tu veux m'apprendre quelques pas ?

Subtil aussi, le fait de prendre appui sur lui pour mieux s'en détacher. Certes, son bassin continuait à remuer contre le sien, mais elle n'était plus plaquée pour lui. Une main sur le lit, comme appui, une qui griffait le torse du Russe lui permirent de prendre du recul … Et de se faire désirer, par la même occasion. Il voulait l'embrasser ? Il n'avait qu'à fondre sur elle, ou l'attirer contre lui. En tout cas, il n'avait qu'à se servir. De là où il était, il avait une vue directe sur tout le corps d'Eyia, sur ses mouvements, sa poitrine ronde, son visage toujours souriant. Un beau spectacle, sans nul doute.



"Un cri s'écarquille dans la nuit. Et le voilà. Le fantôme de la Reine des pierres, au corps lisse comme une roche polie par les flots battants et salés. La lumière vomissante de cette nuit striée d'éclats devient crémeuse sur sa peau laiteuse. Son nom sonne comme une prière : Eyia."


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Jaded Future (PV)

Réponse 125 lundi 26 mai 2014, 02:30:39

Curieux. Il ne la connaissait depuis même pas une journée, et, pourtant, il avait l’impression d’en savoir tant sur elle... Tant, et à la fois rien. Une matriochka, tout simplement. Il l’imaginait femme fatale, le genre de femme qui rendrait fous amoureux les hommes convaincus que rien ne pouvait briser leur cœur de glace, et qui perdaient ensuite la raison en la voyant partir. Comment retrouver du plaisir auprès d’une simple femme, quand on avait connu une tornade comme ça ? Elle était à la fois paradis et enfer, offrant un bonheur exquis, pour le rendre ensuite avec la plus exquise et la plus délicieuse des cruautés. Arctos était certes une brute épaisse, un individu qui n’hésitait pas à utiliser de ses poings pour se faire respecter, mais il savait aussi que, dans ce milieu, on ne durait pas en n’ayant que des poings et en cassant la figure à tous ceux qui vous gênaient. Bien souvent, il réglait la situation en envoyant des mandales et en laissant derrière lui quelques cadavres ayant subi un peu de chirurgie esthétique personnelle, mais, parfois, il avait des approches plus subtiles, plus fines. Tout simplement, l’homme aussi avait ses facettes, ses contradictions apparentes, ce qui faisait que, en un sens, il comprenait Eyia. En un sens, toutefois, car cette femme réservait son lot de surprises, mais il appréciait sa soif. Il appréciait le fait de savoir qu’elle avait encore envie de lui, que leurs ébats n’avaient pas été motivés que par sa volonté de retrouver ses précieux rubis. Il aurait pu se sentir énervé qu’elle n’ait pas peur de lui, effrayé même qu’elle puisse le toucher en son antre, mais la réalité était bien plus simple, bien plus matérialiste. Elle l’excitait.

Joueuse, mutine, elle continuait sa danse du ventre, glissant, remontant, s’abaissant. Il restait planté en elle, une main sur son dos. Elle se glissait vers l’arrière, s’écrasant contre lui pour mieux s’écarter, griffant son torse. Arctos soupira lentement, un frisson de plaisir venant remonter le long de son corps. Il fallait bien l’admettre : c’était très agréable. Cette femme avait un talent indéniable, et ses mots glissaient comme des rivières de perles sur lui. Elle voulait continuer à jouer, et il ne pouvait que confirmer.

« Ça ne me manquait pas... Avant que tu ne recommences », précisa-t-il.

Il tendit son autre main, et compressa son sein. Elle pouvait le griffer, et même le mordre. Il aimait ça, ce mélange de sauvagerie et de sensualité. C’est ce qu’elle était : un gant de douceur dans une main de sauvagerie. À l’image du sexe, sophistiquée et simple, belle dans sa noblesse et magnifique dans cette espèce de sauvagerie et de souplesse primaire et primale qui se dégageaient d’elle. Sérieusement, comment ne pas l’apprécier ? Comment ne pas fondre sous elle ? Arctos n’était qu’un homme, ne l’oublions pas, il n’avait pas les moyens de lutter. Elle était souple, cette petite beauté, et son sein glissait impeccablement contre sa main. Elle se tirait contre lui, s’écartant, ses jambes continuant à se maintenir contre son corps, faisant preuve d’une souplesse dont notre brave Russe était irrémédiablement privé.

Arctos remonta sa main de son dos pour attraper sa nuque, et s’avança d’un coup. Il sentit son membre glisser à nouveau, heurtant un fond flasque et tendre, le lit craqua, et il se retrouva sur elle, l’écrasant sous sa masse, leurs têtes jaillissant hors du lit. Il posa sa main sur le sol, et l’embrassa à nouveau, plus sauvagement, plus sensuellement, fourrant sa langue, jouant avec les dents de cette femme, tirant sur sa lèvre. Il remuait son corps, dansant à son tour, se joignant à la fête, de haut en bas, les draps s’entremêlant autour de leurs jambes. Son autre main, elle, continuait à pétrir cette bosse tendre et chaude. Elle était tellement petite contre lui qu’il craignait de l’étouffer, mais ils avait que ce n’était pas le cas. Ce petit bout de femme était bien plus fort qu’elle n’y paraissait. Sous lui, il entendait le lit grincer avec bonheur, et continuait à remuer son corps.

« Hunn... Apprécies-tu ce couplet, ma belle ? »

Le Russe rompit son baiser, et embrassa sa nuque, la mordant à son tour... Pas trop fort. Mais assez quand même. Il remonta lentement contre sa nuque, son nez filant le long de sa peau, son souffle sur sa peau s’accélérant légèrement.

« Puis-je seulement t’apprendre quelque chose ? C’est un challenge intéressant... »
DC d’Alice Korvander.

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Eyia

Créature

Re : Jaded Future (PV)

Réponse 126 lundi 02 juin 2014, 17:23:03






- Mh, Arctos …

Elle susurrait son prénom avec ce qu'il fallait de sensualité. Les mots glissaient, limpides, hors de sa bouche, et se teintaient d'une tonalité particulière ; celle qui faisait d'Eyia la femme joueuse et tentatrice qu'elle était. Un baiser, encore un autre. Son souffle chaud qui se baladait sur sa peau l'enflammait littéralement. Dans cette posture, elle se reposait un peu. C'était à son tour de subir les assauts de son amant. La petite reine savait qu'elle attaquerait à nouveau, mais là, là, sentir son poids sur elle et sa peau qui se presse contre la sienne … Elle était émerveillée.

Eyia remonta ses jambes, histoire de l'encercler de ses cuisses. D'un mouvement, elle s'étira, sous lui. Le lit subissait leurs poids et leurs mouvements. Elle avait hâte de l'entendre grincer plus vite, plus fort. En attendant, c'étaient ses propres gémissements qui gagnaient en ampleur.

- Oui, oui … Tu peux m'apprendre beaucoup de choses.

Son doigt dessina, un moment, les contours de la bouche du Russe, avant qu'elle ne lui prenne un baiser. Un long, un beau, le temps qu'elle attrape une des mains de son amant, et qu'elle ne la serre, très fort. Puis elle la dirigea vers son visage de poupée, y calant sa tête. Il avait des mains immenses, comparées aux siennes. Et pourtant, l'un comme l'autre et l'un pour l'autre, ils étaient dangereux. Cela l'émerveillerait toujours.

Eyia tourna son visage, un instant, pour venir capturer, avec ses lèvres, l'index du Russe. Elle jouait, et elle adorait ça. Simuler une fellation de cette façon rendait les hommes fous, et elle trouvait justement ça très amusant.

- Mmmh, vas-y, oui … Impressionne-moi. Fais-moi peur.

Et encore des mots qui se perdaient dans des gémissements, tandis que, lascive, elle continuait à jouer avec son doigt, ne le lâchant pas du regard.





"Un cri s'écarquille dans la nuit. Et le voilà. Le fantôme de la Reine des pierres, au corps lisse comme une roche polie par les flots battants et salés. La lumière vomissante de cette nuit striée d'éclats devient crémeuse sur sa peau laiteuse. Son nom sonne comme une prière : Eyia."


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Jaded Future (PV)

Réponse 127 mercredi 04 juin 2014, 01:18:32

Le doigt de la femme remuait sur ses lèvres, et elle lui avoua qu’il pouvait lui apprendre « beaucoup » de choses. Il en était moins sûr, mais il n’allait pas contredire la dame. Si ce qu’elle disait était vraie (et il avait toujours du mal à le croire), cette femme vivait depuis un temps incalculable. Qu’avait-elle donc fait que lui n’avait pas eu l’occasion de faire ? Il n’osait l’imaginer. Arctos était partagé. D’un côté, son côté rationnel lui disait qu’il était impensable que cette femme soit réellement aussi vieille. D’un autre côté, il sentait qu’elle disait la vérité, que cette femme était trop anormale pour être normale. Elle jouait avec son index, glissant sur ses lèvres, et le Russe, après avoir laissé planer quelques secondes d’hésitation, retourna cette belle poupée, la couchant sur le ventre.

« Te faire peur... Hum... »

Voilà qui le faisait réfléchir. C’était grisant. Une femme vraiment atypique. Mais l’homme devait réfléchir, peser le pour et le contre. Il finit par laisser filer ses idées, et par suivre ses envies. Sa main se posa sur la nuque de la femme, et il se redressa légèrement, allant chercher un bandeau noir en soie.

« Le mieux me semble de commencer par te masquer la vue, ma belle... »

Arctos tira sur le bandeau, puis le fit passer devant la femme, l’enroulant autour de ses yeux. Il en tint chaque extrémité dans sa main, les tirant, avant de les nouer à hauteur de sa nuque. Il vérifia le nœud, puis alla embrasser sa nuque, mordillant tendrement sa peau. Il continuait à parler, tendrement, se glissant contre son corps, ses mains filant le long de ses hanches. Contre son corps, Eyia pouvait sentir sa virilité. Ils avaient fait l’amour une bonne partie de la nuit, mais ça ne comptait plus. Il était toujours aussi impatient, toujours aussi assoiffé, et, puisqu’elle voulait lancer de nouvelles expériences, il comptait bien lui faire plaisir.

La peur... Il n’y avait pas énormément de moyens de la développer dans un rapport sexuel, surtout avec une femme expérimentée. Arctos n’était pas un grand adepte du bondage, du fétichisme et de tout ce genre de choses, mais, parfois, il fallait bien savoir innover... Surtout avec une femme pareille. Il alla chercher des cordes. Elles étaient solides, et il les utilisait généralement dans d’autres circonstances. Eyia ne pouvait pas le voir, mais certaines avaient des traces rouges. Il les utilisait généralement pour attacher des types qu’il fallait cuisiner. Tout en liant les poignets d’Eyia, il parlait à nouveau.

« La peur, hein... Tu ne devrais pas jouer à ça avec moi, ma belle... La peur, c’est quelque chose d’infiniment simple à obtenir selon certaines circonstances. Mon expérience m’a permis de réaliser que le sentiment de peur était indubitablement lié à la notion de liberté corporelle. »

Il serrait les cordes, plutôt solidement. Arctos avait l’habitude de le faire. Les nœuds étaient solides, et il embrassa ensuite la femme dans son dos, glissant sa bouche le long de sa peau, filant le long de son corps, jusqu’à atteindre son délicat postérieur. Sa langue avait glissé le long de son corps, éprouvant la douceur de sa peau. Il finit ainsi par rejoindre le milieu de son corps, son bassin, et l’embrassa, le léchant, glissant dessus. Le dos de cette femme était aussi fabuleux que le reste, mais il fallait bien avouer qu’il avait quelque chose de plus. Il n’aurait pas vraiment su dire quoi, mais c’était ça.

Sa langue se faufila, parcourut sa croupe, glissa dans cette raie étroite et intime, et il lécha sa peau, pressant ses fesses, les malaxant, les écartant l’une de l’autre. C’était une partie du corps de cette femme qu’il n’avait pas encore, à son goût, suffisamment exploré. Un oubli que l’homme comptait bien réparer de suite. Il se redressa un peu, et sa langue glissa contre la rondelle de la femme, titillant cette partie de son corps. Il ignorait si la sodomie faisait partie des choses qu’Eyia avait l’habitude de faire ou non. Peut-être bien que ça lui ferait peur... Mais, en toute honnêteté, lui-même n’y croyait pas.

Du moment qu’elle se faisait plaisir, fondamentalement, il n’en demanderait cependant pas plus.
DC d’Alice Korvander.

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Eyia

Créature

Re : Jaded Future (PV)

Réponse 128 jeudi 26 juin 2014, 12:51:18

Quand le morceau de tissu s'était posé sur ses yeux, Eyia avait souri. Priver un être humain d'un de ses sens menait souvent à la panique. La vue était son sens le plus précieux. Eyia était observatrice et son regard analysait toujours le moindre détail, à la recherche d'une explication. C'était parce qu'elle savait regarder - et donc anticiper- qu'elle était considérée comme une prédatrice. Elle ravala sa fierté et s'efforça d'être confiante. Il pouvait l'écraser comme un petit insecte, certes, mais il ne le ferait pas. La petite reine avait fait en sorte d'être inoubliable ou, en tout cas, de hanter son esprit pour un bon moment. Derrière cette légère crainte qu'elle ne montrait pas - dans l'état actuel des choses, elle n'était pas en position de supériorité et donc un peu craintive - se cachait une certaine excitation, excitation qu'elle avait bien envie de cultiver.

Aussi se laissa t'elle faire. Un petit soupir se fit entendre quand les liens se refermèrent autour de ses poignets. Aveugle et privée de toute capacité à se défendre. Dieu merci, il ne l'avait pas bâillonné. Les ombres auraient rappliqué immédiatement, en sentant leur souveraine emprisonnée. Ces petites créatures étaient très protectrices.

- Tu as l'air de savoir de quoi tu parles.

Souffla t'elle, pour lui répondre.

La suite des événements, Eyia la devinait facilement. Et, ma foi, cela lui plaisait. Elle aimait aller loin, et même encore plus loin. Elle avait vécu un long moment en étant sage, avant d'apprendre à apprivoiser l'adrénaline et le danger. De lents frissons percèrent sous sa peau.

- Mh ... J'ignore si j'aime être ta petite poupée, ou si cela m'effraie.

Sa voix, chaude, caressante, n'était qu'un entrelacs de soupirs. Un frisson, plus fort, agita ses membres au point de faire crisser les liens. Elle ne s'agitait pas comme un chaton effrayé, mais sa perte des repères était ... inhabituelle. Elle sentait bien qu'elle n'était pas à l'aise, et ce sentiment faisait bouillir son excitation. De nouvelles vagues tièdes glissaient le long de son épiderme, se posant dans le creux de son ventre et de ses cuisses. La souveraine se mordit la lèvre inférieure à plusieurs reprises.

Peu d'homme osaient la prendre de cette façon, parce que beaucoup pensaient la choquer ou avaient peur de la casser en petits morceaux. Eyia admirait ceux qui la défiaient. En agissant ainsi, Arctos rentrait dans son jeu. Elle était désormais sûre et certaine qu'il serait dans ses petits papiers, ce beau Russe. Et c'était un avantage, d'être apprécié par une immortelle aussi redoutable qu'elle. C'était comme une bénédiction. Sa fortune lui permettait d'être mécène, c'était connu, mais là, il s'agissait d'autre chose. Il s'agissait d'un homme, d'un mortel, qui réussissait à s'ancrer dans l'esprit de la jolie petite reine. Un exploit, pour elle qui effaçait facilement les gens qui n'étaient pas comme elle. Elle détestait l'impulsivité des humains. Elle détestait leurs erreurs, la façon qu'ils avaient de ne pas réfléchir alors qu'ils en avait la capacité. L'être humain n'avait rien d'un animal, à ses yeux. Arctos était le modèle typique de l'homme qu'elle appréciait : celui qui sait penser et puiser dans ses moindres réserves pour s'élever.

- Tu ... Mmh, tu réserves ce traitement à toutes les jolies filles qui demandent à te rencontrer, dis-moi, ou est-ce que je dois me considérer comme privilégiée ?

Sa voix amusée ne déchantait pas, bien au contraire. On sentait bien que son esprit s'échauffait. Il pouvait clairement deviner qu'il était sur le bon chemin pour lui plaire encore plus qu'il ne lui plaisait déjà.





"Un cri s'écarquille dans la nuit. Et le voilà. Le fantôme de la Reine des pierres, au corps lisse comme une roche polie par les flots battants et salés. La lumière vomissante de cette nuit striée d'éclats devient crémeuse sur sa peau laiteuse. Son nom sonne comme une prière : Eyia."


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Jaded Future (PV)

Réponse 129 samedi 28 juin 2014, 02:22:45

Le Russe variait les plaisirs avec elle, s’enfonçant le plus loin possible dans le plaisir et dans la luxure. Ils continuaient à jouer ensemble, à prendre des risques, des risques qu’il assumait totalement. C’était un joueur, dans le fond. Il l’avait bien prouvé en venant ici, en acceptant d’aider son ami, et en acceptant que cette femme vienne ici. Il avait continué à lui faire l’amour, alors même qu’elle avait avoué être venue ici dans des intentions hostiles à son égard. C’était son côté joueur qui le stimulait, et le forçait à prendre des risques. Il aurait pu tout simplement la pénétrer, retourner au traditionnel coït, sans surprise, et il savait qu’il en aurait joui... Et probablement elle aussi. Elle remuait lentement contre le lit, sa voix résonnant dans les oreilles de l’homme. Contre son derrière, contre la forme arrondie de ses fesses, il les embrassait et les léchait, ses doigts glissant dessus. On ne s’expliquait pas ce genre d’attirances. Elles existaient, voilà tout.

Sa langue remuait dans ce trou étroit, cette ligne fine qui circulait entre ses deux fesses, son nez venant ensuite s’y frotter. Ses deux mains malaxaient chacune de ses fesses, les écartant l’une de l’autre, les pressant, appuyant dessus, la préparant à quelque chose de plus en plus intense. Elle était suffisamment intelligente pour savoir comment les choses se passeraient, et ce qui allait arriver d’ici quelques minutes. Le Russe prenait son temps, tâtait le terrain... Instinctivement, il s’était attendu à ce que cette femme accepte, qu’elle ne s’oppose pas à ce désir. Arctos voulait explorer toutes les parties de ce corps divin, aux courbes parfaites.

Elle lui posa une question qui le fit sourire. Il se redressa légèrement, rapprochant ses mains de son trou. Les fesses d’Eyia revenaient entre elles, mais il put glisser un doigt, près de son trou, appuyant sur sa peau, sentant un inexplicable attrait vers ce trou étroit.

« Je pense que tu connais déjà la réponse à ta question, Eyia... »

Il continua à remuer légèrement son doigt, sentant le trou de cette femme, et poursuivit sa phrase, en le titillant, l’enfonçant légèrement en elle :

« Tu es la première femme avec laquelle j’offre ces prolongations, Eyia. Et c’est moi qui me sens privilégié. »

Dans sa bouche, ce n’était pas une fausse flatterie, car Arctos flattait rarement. Il ne faisait que dire la vérité, et continua à remuer son doigt, l’enfonçant légèrement. C’était un trou étroit, très étroit... Les femmes appréciant une sodomie étaient bien plus rares que ce qu’il pensait, et, pourtant, c’était l’un des fantasmes du Russe. Il était donc on ne peut plus heureux de pouvoir se soulager avec elle. Au diable Zolder et les diamants de cette femme, il retrouvait le même désir vibrant et excitant que celui qu’il avait ressenti la veille, en lui faisant longuement l’amour.

Son cul était délicieux, superbe, et son doigt s’enfonçait de plus en plus en elle, remuant d’avant en arrière, tournoyant sur lui-même. Il le retira, et s’humecta ce dernier avec sa salive, avant de retourner l’enfoncer en elle, cherchant à lubrifier son corps. Sentait-elle sa virilité glisser sur sa jambe, remuant sur son beau corps ? Elle était vraiment d’une beauté incroyable, mélange exquis de sensualité et de bestialité.

« Je te promets de t’assister autant que tu le voudras... Plus je te vois, plus j’ai l’impression de voir en toi une Reine... Et moi, j’ai plutôt le profil d’un chevalier que d’un Roi. »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


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