Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Hadrian Kensley le samedi 22 novembre 2025, 01:05:42 »
Ne pouvant pas comprendre les conversations des gorgones, et ne pouvant pas non plus détecter la pensée d'un reptile, Hadrian n'a pas pu renflouer son égo avec les louanges de celles-ci. S'il avait su qu'elles étaient ravies de la première fois de Cypress, il aurait peut-être même osé un sourire un peu crétin du mâle imbu. Mais, à la place, il conserva ce sourire courtois et respectueux de celui qui voulait donner du bon temps à la jeune femme.

Quelque chose Hadrian ne remarqua pas sur le moment, mais que Vanessa lui fera remarquer plus tard pendant la soirée suivante, c'est que Cypress avait réussi l'exploit de lui faire oublier les affronts de la journée; il ne pensait plus à l'assaut qui avait été fait sur sa demeure. Il ne pensait même plus au Livre, ni à ce qu'il représentait, et si elle se garderait bien de faire une comparaison désobligeante, il semblait même avoir redécouvert des côtés plus humains de lui, simplement parce que Cypress semblait se foutre éperdument de sa condition, son charme ou ses ressources, et… eh bien, comme toute créature de sang chaud, il semblerait que le sexe avait cet avantage de calmer les autres émotions.

Il la guida donc vers la douche, ses doigts se resserrant doucement sur ceux de la gorgone en réponse à son geste. Tout comme elle, il en venait un peu à oublier qu'il était censé lui inspirer de la terreur plutôt que de se montrer aussi agréable et docile. Il lut dans son regard sa confiance, et il eut un petit pincement au cœur, car bien qu'il ne la traitât pas aussi mal que d'autres personnes qui avaient eu l'infortune de croiser son chemin, il en aurait été bien autrement si elle avait cherché à s'échapper, ou à lui causer des problèmes. Et maintenant, le voilà qui voulait la contenter, plutôt que de l'intimider ou de la manipuler à faire ce qu'il désirait, comme s'il savait qu'en la contentant, elle chercherait également à le contenter.

Une relation étrange, bien différente de celle qu'il avait normalement avec les autres, incluant les hommes et les femmes qui partageaient ses activités illicites.

D'un geste de la main, le vampire la fit passer devant lui, et ferma derrière eux la porte de verre. Ses bras, musculeux, se refermèrent sur sa taille, pressant doucement son torse contre le dos de la gorgone. Il activa alors le jet de la douche, et un torrent d'eau chaude se déversa sur eux; du plafond, des jets de chaque côté de la douche, même en dessous, arrachant au vampire un grognement agacé. Sa main chercha le cadran de la douche, et après trois secondes de panique, il réduisit la pression à un niveau plus acceptable et ferma les jets, ne conservant que la douche.

"Pfft! J'ai oublié que je m'en étais servis plus tôt."

Rien de tel qu'être assiégé de tous les côtés pour retirer toute trace de sang. En vrai, c'était aussi une belle expérience, mais probablement plus agréable lorsque ce n'était pas infligé sans préavis. Il ajusta les cadrans encore pour activer une pluvieuse douce. La douche, comme mentionnée plus tôt, avait un banc, ou plutôt une alcôve, avec d'autres jets au niveau des épaules, du dos et des flancs, et donc, en bon hôte, il fit asseoir Cypress. Consciente qu'elle était probablement encore sensible, il agrippa le savon et une éponge, et se mit à genoux devant elle, avant de lui prendre un pied et de le frotter doucement avec une éponge savonneuse.

Heureusement, l'eau chaude perlant sur le corps de Cypress ne tarda pas à chasser l'odeur du sang, et bientôt, il sembla un peu plus détendu, et continua son ouvrage.

"Il y a longtemps que je n'ai pas été aux petits oignons pour quelqu'un," remarqua-t-il à voix haute.

Il laissa tomber le savon et posa ses mains sur la jambe de Cypress, s'approchant d'elle en laissant ses doigts courir sur elle, jusqu'à ce qu'il se retrouve devant elle, l'eau chaude perlant sur son corps, ses cheveux collant à son visage et ses épaules. Ses doigts remontent jusqu'à ses hanches et avec une force contrôlée, il les masse de ses grandes mains pendant quelques secondes avant de glisser les mains derrière elle et venir lui masser délicatement le bas du dos, tout en l'attirant un peu plus près, jusqu'à ce qu'elle soit de nouveau contre lui et qu'elle doive baisser la tête pour conserver le contact visuel.
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Prélude / Re : Maeilera - Unicorn Queen [Vanéalidée !]
« Dernier message par Vance Dax le vendredi 21 novembre 2025, 22:20:26 »
Bienvenue à toi avec ta superbe licorne !
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Randal Dragunov le jeudi 20 novembre 2025, 23:32:41 »
Ce qui n'était qu'une hypothèse tantôt est en train de devenir une évidence. Lorsque la blondinette les avait dérangé dans la cabine d'essayage, Randal pensait que Céleste était surtout énervée ou frustrée de ne pas pouvoir profiter de ce moment entre eux. Mais le mafieux parvient à une toute autre conclusion lorsqu'il sent le corps chaud et guidé par l'excitation de la belle se raidir d'un seul coup quand les deux femmes ont décidé de les rejoindre.

Son sourire et sa remarque en disent long sur son état d'esprit. Avec le temps ils ont tous les deux appris à s'apprivoiser et se connaître. C'est pourquoi Randal sait au fond de lui qu'elle n'ira rien faire d'inconsidéré dans un lieu public. Son pragmatisme prendra toujours le dessus et sa promesse de lui faire passer un moment inoubliable sur Terre prendra toujours le dessus au final.

Et pour ce qui est d'être entre de bonnes mains... Celles des deux jeunes femmes ont vite trouvé un nouveau point de chute. Tout en venant se coller à la montagne de muscles, la blonde attrape une de ses mains pour la faire glisser sur son petit derrière ferme. A en juger par le manque de contact à travers sa jupe au tissu fin, elle doit porter un string.
De son côté la rouquine n'est pas en reste car elle vient écraser son opulente poitrine sur le torse musclé de l'homme face à elle tout en venant l'embrasser en faisant comme si elle voulait l'aider à se sentir mieux.


- Désolée, je ne voulais pas la faire partir. J'espère qu'elle ne nous en veut pas trop. Laisse-moi me rattraper.


La jolie rouquine a pris au pied de la lettre la demande de Randal de ne pas l'appeler monsieur en le tutoyant directement. Ses lèvres sont plus charnues que celles de Céleste. En plus de l'embrasser à pleine bouche elle prend la peine de faire frotter ses seins contre lui en forçant la chose de manière légèrement exagérée. Une prise d'initiative qui ne plaît pas à sa copine.


- Hé, pas cool !
- Bah quoi ? T'as pas dis preum's.
- Ouais, mais quand même.



La blonde prend la place de son amie en se faisant peloter allègrement le cul par l'imposante main rugueuse du mafieux. Ce qui vient investir sa bouche cette fois est moins imposant mais tout aussi stimulant à la vue de sa réaction. Elle ferme les yeux et se laisse emporter dans cette danse buccale baveuse à souhait pour laisser sa copine prendre le relai.

A danser, se frotter, s'embrasser et se coller les uns aux autres, le trio fini par se retrouver dans une position assez particulière. Ce bref moment d'accalmie permet à Randal de retrouver sa partenaire du regard alors qu'elle se trouve au bar à siroter son cocktail sans le lâcher d'une semelle. Même séparés de plusieurs mètres ils sont comme connectés l'un à l'autre. Pourtant le mafieux profite outrageusement de cette rencontre.

Sur sa gauche, la blonde se frotte lascivement contre ses hanches et ses cuisses épaisses pendant qu'il continue de frotter son cul comme si de rien n'était. Et sur sa droite, la rouquine a pris la même position que la sorcière plus tôt. Faisant dos au mafieux, on peut voir depuis le bar quelque chose remuer sous le haut de la belle. Elles sont venus s'offrir à lui et il serait de mauvais goût de les repousser. C'est donc avec une main sur les nichons de l'une et la seconde sur le cul de l'autre qu'il s'amuse à venir les embrasser chacune leur tour sans jamais rompre le contact visuel avec Céleste.

C'est à ce moment que la troisième jeune femme décide d'intervenir pour glisser directement les mains sous la chemise du séduisant personnage. De façon subtile, délicate mais passionnée en se tenant derrière lui. Le voilà pris au piège entre les trois jeunes femmes en chaleur.
L'arrivée de leur amie semble les motiver davantage. Tout en continuant d'échanger leur salive avec l'homme le plus chanceux de la soirée, les deux premières instigatrices glissent chacune une main, en même temps, dans son pantalon pour tâter les dimensions de l'objet de leur désir.

Et à en juger par la réaction de la rouquine dont le visage exprime un mélange de surprise et d'envie, elles sont satisfaites.
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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Cypress Thornwood le jeudi 20 novembre 2025, 22:43:23 »
Un sourire éclaira lentement le visage de la gorgone à la mention de bain chaud, rassurée après le recul soudain de son amant.

« Oooh, exhale-t-elle avec le regard pétillant. J'en dis que v-tu lis dans mes pensées, approuve-t-elle en butant un peu sur le tutoiement. »

Tutoyer le vampire pendant l'acte, quand le désir brouillait ses sens, lui avait paru aussi naturel que de respirer. Le tutoyer après, quand le cerveau était remis en état de marche, était une autre paire de manche. La brune avait instinctivement opté pour le vouvoiement, se rattrapant de justesse en se rappelant qu'il avait continué à utiliser le tutoiement. Elle ne voulait pas qu'il pense qu'elle désirait mettre de la distance entre eux. Qu'elle retournait dans sa coquille.

Avec un petit rire, elle se lova dans les pans de la couverture qu'il ramenait autour de son corps alangui. Derrière ses lunettes, elle l'observa se lever et quitter la chambre. Un soupir repu lui échappa tandis qu'elle s'enfouissait un peu plus dans la couverture. Ses ancêtres choisirent ce moment pour se rapprocher, sifflant doucement à ses oreilles. Si Melantho était d'humeur victorieuse, rabâchant des « je te l'avais dire » en ondulant comme si elle dansait de joie, Echione était plus compréhensive. Medusa la félicita pour ne pas s'être entêtée dans son raisonnement et d'avoir accepté le fait qu'elle avait probablement sur-réagit pendant toutes ces années.

Globalement, les âmes des gorgones du passé étaient heureuses pour elle. Et elles ne commentèrent absolument pas sur leurs premières fois et comment celle de Cypress était une franche réussite. C'est sûr que, comparé à celle -tragique- de Medusa…

« Bien sûr, j’arrive, répondit l'étudiante en se déroulant tant bien que mal de la couverture. »

Avec un petit sourire modeste, peut-être même un peu timide, la brunette se leva, nue, pour rejoindre Hadrian. Rougissante, elle glissa sa main dans celle de l'homme, l'invitant à la guider vers la douche. Ses pieds nus ne faisaient guère de bruit dans l'appartement. Si son amant l'observait tandis qu'il l'emmenait sous la douche, il pourrait voir la chair de poule la faire frissonner quand l'air plus frais frappa sa peau échauffée.

Quand le regard de Cypress avisa la baignoire encore fumante, elle ne put s’empêcher de sourire. D'abord la douche, pour se nettoyer des fluides divers qui pourrait s'accrocher encore à eux. Ensuite seulement le bain. Ses doigts se resserrèrent autour de ceux d'Hadrian, comme pour le remercier de tout ce qu'il faisait pour l'accommoder. Il n'était pas obligé de se montrer aussi prévenant. Elle doutait que la plupart des ravisseurs prennent autant soin de leurs otages. Mais son kidnapping n'était pas comme les autres, et ce, pratiquement depuis le début.
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Céleste Trahan le jeudi 20 novembre 2025, 22:42:11 »
Si l'immortelle a l'habitude des danses rituelles ou formelles, elle n'avait jamais vraiment pratiqué ce qu'elle surnommait « les danses récréatives ». Alors son regard observait avec attention les gens autour d'eux, les mouvements qu'ils faisaient et comment ils se tenaient. Elle remarqua rapidement qu’il n'y avait pas vraiment de pas. Alors elle se laissa guider par le colosse et le rythme qui s'infiltrait sous sa peau.

Ses hanches se balançaient tandis qu'elle était presque collée à Randal. Ses bras, dont elle me savait pas vraiment quoi faire, se posèrent contre le torse de l'homme, agrippant légèrement la chemise de ses doigts, jouant parfois avec la chaîne en or autour de son cou.

Un sourire flotte sur ses lippes tandis qu'elle se laisse porter par la musique, par les mains de son amant qui la font ensuite tourner. Elle se fait plus lascive également, cambrant ses reins pour frotter sa croupe contre le bassin mâle. Sa tête se penche sur une épaule, facilitant l'accès à l'autre pour les lèvres de Randal. Déjà, la belle sent les prémices du désir trembler en son sein. De petits soupirs appréciateurs lui échappent, couverts par la musique en grande partie.

« Fascinante, répond la belle en souriant de plus belle. Et déconcertante. Tout est si différent, Sugar ! La magie y est plus puissante, et personne ne l'utilise. Et pourtant, même sans user de magie, il y a tellement de… progrès ? D'innovation ? De technicité ? Je ne saurais trouver le terme exact… »

L’immortelle avait fermé les yeux, profitant des attentions de son amant alors qu'il fait lentement monter le désir. Elle les rouvre soudainement quand des voix féminines se font entendre juste à côté. Peut-être Randal le ressent-il, mais la sorcière se tend légèrement en constatant la présence de la vendeuse et de son amie rouquine. Elle ne comprend toujours rien à leur paroles, et songe qu'il faudrait vraiment qu'elle bosse sur un sort de traduction pour les dialectes de la terre.

Céleste se crispe soudainement quand les mains des deux jeunes femmes viennent découvrir son corps. Son regard se fait menaçant, promettant des tortures aussi alambiquées qu'efficaces si elles continuaient. Mais les jeunettes n'y prêtent pas attention, trop occupées à découvrir avec ravissement les courbes de la sorcière.

Grondant sourdement, la pratiquante vaudou se dégage brusquement, s'éloignant autant de Randal que des demoiselles. Elle se tourne vivement, dardant un regard qui n'augurait rien de bon pour les audacieuses… Avant de se rappeler qu'elle était sur Terre et qu'elle ne pouvait pas faire se putréfier les mains offensantes sans créer la panique et des ennuis. Et puis son amant ne semblait pas rebuté par les jeunes femmes.

« Je vais aller finir mon verre, lui dit-elle en se forçant à calmer les pulsions cruelles qui étaient monté aussi rapidement que pouvait le faire le désir sexuel. Je te laisse t'amuser un peu, tu as l'air… entre de bonnes mains. »

Avec un sourire, elle tourne les talons et se fraye un chemin au travers de la piste de danse qui s'était remplie peu à peu. Elle évita habilement les mains baladeuses -ou foudroyait l'importun du regard- jusqu’à ce qu’elle se retrouve enfin près du bar. Elle se hissa sur un tabouret et retrouva son verre, avant de se tourner vers les danseurs pour voir si elle apercevait le mafieux et les deux jeunes femmes.
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Randal Dragunov le jeudi 20 novembre 2025, 20:00:15 »
A peine ai-je le temps de me redresser en lui tendant toujours la main pour qu'elle me rende l'objet qu'elle m'a subtilisé, que je suis entraîné en arrière par l'impulsion de sa charge. Mon bras se plie et est entraîné dans mon dos sous l'effet de la surprise pour se retrouver attaché à un mur de pierre. La garce a bien joué son coup. Mes yeux ont tout juste été en mesure de suivre ses mouvements. Le fait de me sauter dessus et d'enrouler ses jambes autour de moi tel un serpent a fait son effet.

Entre son bassin qui se frotte contre mon bassin musclé et ses nichons qui viennent titiller mon menton, comment est-ce que je suis censé garder les idées claires ? Je n'ai pas le temps de pester ou de la menacer que la voilà qui vient m'embrasser à pleine bouche. Ses lèvres douces et sucrées ne feront pas retomber ma colère. Elle peut me rouler des pelles aussi longtemps qu'elle voudra que ça ne changera strictement rien. Sentir sa langue vicieuse se faufiler dans ma boucher pour lécher la mienne non plus. Toute la chaleur qui se dégage de son corps. Toute l'excitation qui transparait dans le moindre de ses gestes. Rien ne me fera flancher.

Je suis tellement concentré sur le fait de me libérer que je ne remarque pas immédiatement qu'elle a arrêté ce qu'elle faisait pour descendre d'un étage. Mon corps ne fait que réagir à ses gestes en respirant fort l'air un peu saturé et poussiéreux des lieux. Mon coeur bat plus rapidement et c'est uniquement à cause de ma cavalcade dans les escaliers. Ce n'est pas parce qu'elle...


- Oooouuuuh !


Un courant d'air sur une zone sensible me ramène très vite à la réalité. Comment est-ce qu'elle est passée de sur moi à sous moi en l'espace d'une seconde ? Je n'étais quand même pas perdu dans mes pensées tout ce temps. Si ? Merde, encore un de ses sales tours. Attends un peu que je montre ce que je.... Aaaahn, mais, non ! Mon regard est plongé dans le sien alors que la pointe de ma queue molle disparaît dans sa bouche.


- A-Arrête ! Ca ne marche pas... avec... moi.


En terme de force physique je suis au moins 10 fois plus puissant qu'elle. Alors pourquoi je me sens aussi fébrile dès que sa langue s'agite sur mon gland ? Le pire c'est lorsque je peux la sentir s'insérer sous mon prépuce. Elle le fait exprès ou c'est un accident ? Ma main libre s'approche fébrilement de son front pour se poser dessus et la repousser. Oui, je dois la repousser. Je suis en train de la repousser.

Alors pourquoi elle arrive à continue ? Je me sens tout ramollo à certains endroits. Comme si mes forces se rassemblaient au niveau de ma bite pour lui offrir ce qu'elle veut. En même temps se faire sucer est loin d'être désagréable, même de la part d'une garce qui m'a fait passer pour le dernier des guignols à plusieurs reprises.
Fais chier ! Pourquoi je commence à me sentir assez bien au point de ne plus lui en vouloir ?

La paume de ma main qui était sur son front glisse toute seule dans sa longue chevelure blonde pour s'y ancrer et tirer sa tête dans ma direction. Chaque centimètre de mon chibre qui vient se mettre au chaud dans sa bouche humide prolonge mon soupir d'extase en conséquence. Dans mon état actuel elle pourrait me faire ce qu'elle veut que je m'en contrefous complètement. Le plaisir qu'elle me procure dépasse les moqueries.

Je la garde coincée durant des secondes. De longues secondes. Des dizaines de secondes. Un peu plus longtemps que le temps qu'elle a passé à m'embrasser tout à l'heure. Est-ce qu'elle est en train de manquer d'air et de se débattre ? Impossible à dire car j'ai les yeux fermés et le visage levé vers le plafond du tunnel. Tout ce que je peux sentir ce sont des éclaboussures sur mes cuisses. Allez, dans le doute je vais la relâcher maintenant que je commence à durcir pour lui afficher un adversaire à la taille décente.
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One Shot / Re : Craint le vilain chaperon rouge (PV - Elianora)
« Dernier message par Elianora Valeris le jeudi 20 novembre 2025, 15:22:14 »
La forêt s’ouvre devant moi comme un rideau de givre, et je glisse entre ses fils sans bruit.
Le jeune loup croit avoir gagné.  Il croit que je me suis évanouie avec la brume. Il respire plus fort, se redresse, se rengorge même d’un mensonge qu’il tente de se faire à lui-même.

Pauvre petit.

Je souris, un sourire fin comme une lame. Puis je m’élance.

Les ombres deviennent mes compagnes, les troncs mes complices. Je coupe à travers le bois, légère, rapide, presque irréelle. La brume se plie à ma vitesse. Le vent m’évite. Le monde retient son souffle quand je cours.

Le village n’est qu’une lueur au loin. La maison, petite, chaleureuse, fume déjà d’un parfum de bois brûlé et de soupe simple. Une odeur qui colle à la peau, douce, familière.

Je frappe comme une enfant perdue.

La porte s’ouvre, révélant une femelle lycan au poil tiédi par la chaleur du foyer, les mains encore farineuses. Ses yeux s’arrondissent en me voyant, silhouette rouge au milieu du gel.

Oh, ma douce… mais que fais-tu dehors par un froid pareil ?

Je baisse la tête, juste assez, mes doigts jouant nerveusement avec le bord de ma cape.

Je… je voulais cueillir des fleurs pour mon papa éreinté par le travail… mais j’ai entendu des bruits étranges, dans la forêt. Des bruits… terrifiants. Alors j’ai couru, sans réfléchir. Je suis tombée sur votre maison. Je… je suis désolée…

La femme s’adoucit, instantanément. Les mères ont ce cœur tendre qui se déchire devant la peur d’un enfant.

Ne t’excuse pas, ma chérie. Entre. Tu es gelée !

Elle m’attrape la main, quelle ironie cette chaleur, et me fait entrer.

Je vais te préparer une bonne tasse de thé chaud. Mon fils ne devrait pas tarder, c’est un garçon fort, il pourra te raccompagner jusque chez toi.

Je hoche la tête, docile.

L’intérieur est modeste, mais accueillant. Des herbes sèchent au-dessus du foyer. Deux chaises, une table ronde, une casserole qui mijote doucement. Je retire ma cape rouge et la dépose sur mes cuisses, laissant mes cheveux retomber en boucles humides et sages.

La mère s’affaire, bavarde doucement pour me rassurer. Je souris aux bons moments. Je serre mes mains avec la juste dose de tremblement. Je regarde la porte, à l’occasion, comme si j’espérais voir apparaître un protecteur providentiel.

En vérité, j’écoute.

J’écoute le battement de cœur qui approche. Le froissement nerveux d’un pas qui court. La respiration encore forte d’un jeune loup persuadé d’avoir vaincu ses illusions.

La poignée tourne.

Il entre. Ce jeune mâle aux muscles un peu plus saillants que je croyais avoir vu. La peur est encore dans ses pupilles. La forêt attachée à sa peau. Il relève les yeux, et me voit.

Je suis assise bien droite, mes doigts entourant la tasse chaude que sa mère vient de déposer. Une petite vapeur monte, douce, parfumée. Et je lui offre un sourire.

Juste une étincelle. Une lueur infime, mais inoubliable. Cette flamme qu’il a sentie dans les bois, cette voix sans visage, ce souffle qui a frôlé son âme.

Intérieurement, je me mordille la lèvre inférieure d’entrapercevoir ses muscles se tendre. Son cœur, de  trébucher. Une vague de reconnaissance, impossible, insensée, traverse son regard.
Je baisse légèrement les cils, faussement timide, mais mes yeux brillent d’un éclat qui n’appartient qu’à moi.

La mère se retourne, joyeuse :

Ah, Taren ! Tu tombes bien, mon chéri. Cette petite s’est perdue. Tu vas la raccompagner quand elle aura fini son thé.

Je porte la tasse à mes lèvres. Une gorgée. Un souffle. Un sourire.

Et je murmure, juste assez pour lui :

Quel hasard charmant, n’est-ce pas ?

Une vibration infime, presque imperceptible, traverse la pièce. Un écho de la forêt. Un souvenir de ses frissons.

Je lève la tête. Nos regards se croisent et dans le mien il peut y lire la promesse malicieuse d’un conte qui ne fait que commencer.
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Catalina Taylor le jeudi 20 novembre 2025, 13:04:28 »
Pirouette sur la gauche, lui dit son instinct. Et Calamity ne réfléchit pas plus loin. Elle tourne sur elle-même, se rapprochant du mur, tandis qu'elle descend deux marches de plus. L'imposant criminel plonge, passant à quelques centimètres de ses hanches, et dévale l'escalier tête la première. L'héroïne s'arrête er s'accoude à la rambarde, toisant l'homme qui termine sa chute en bas. Un petit rire lui échappe. Elle ne s’inquiète pas, Tank est résistant. Il lui faudrait bien plus que ça pour se retrouver blessé.

« Tu n'es pas joueur aujourd’hui, mon chaton, soupire la facétieuse blonde. Il faut te détendre un peu. Regardes-moi ça, cette posture rigide… Mais ne t'en fais pas, je sais exactement ce qu'il te faut ! »

Passant une main à sa ceinture, Présage descend quelques marches d'un pas lent, ne semblant pas craindre le moins du monde une quelconque perfidie. Arrivée presque à portée de main du colosse, elle lui offre un sourire qui n'augure rien de bon.

D'un bond, la main qui était à sa ceinture se lance vers celle -tendue- du criminel tandis qu'elle lui saute dessus. Ses jambes s'enroulent autour de la taille masculine, un bracelet métallique bien spécial cliquète au poignet offert de Tank, et l'impulsion donnée par son corps pousse l'homme à reculer de quelques pas. Juste assez pour que la blonde, profitant de l'effet de surprise, parvienne à refermer le second bracelet des menottes contre un anneau fixé sur le mur de pierre derrière lui, juste à hauteur de ses épaules.

Ils ont fier allure, ces deux-là. Elle, arrimée à la taille de son adversaire avec une main contre son épaule et l'autre encore sur la paire de menottes. Lui, une main menottée au mur et une séduisante petite créature collée à son torse. Calamity rit soudainement, sa poitrine se soulevant avec sa cage thoracique et cognant probablement contre le menton masculin alors qu'elle rejette la tête en arrière.

Même s'il récupérait le collier, à cet instant précis, il ne pourrait rien en faire. Elle ne se sent donc pas particulièrement menacée dans cette position qu'ils ont. Elle ne relâche pas son emprise sur lui, remontant sa main doucement contre le bras du colosse pour venir emprisonner sa mâchoire alors qu'elle redresse la tête.

« Tu vas voir, tu seras aussi détendu qu’après de longues vacances quand j'en aurais fini avec toi, susurra-t-elle contre ses lèvres avant de venir l'embrasser voracement pendant de longues minutes, ne rompant le baiser que lorsque le besoin d'air se fit pressant. »

Lestement, elle détacha ses jambes pour se laisser glisser au sol. Ses mains caressent son torse encore couvert et se dirigent diligemment vers une partie bien précise de son costume, défaisant agilement les attaches qu'elle commence à bien connaître pour libérer l'épais mandrin qu'elle sait s'y cacher.

Avec un regard mutin, l'héroïne se laisse glisser jusqu’à ce qu'elle se retrouve à genoux devant le sexe libéré. Elle le ne lâche pas du regard pendant qu'une main vient s’enrouler autour du vît, que ses lèvres s'arrondissent pour venir happer le gland violacé. Elle lui a laissé une main de libre à dessein : pour qu'il l'arrête s'il en avait vraiment envie, ou pour accompagner les mouvements que ferait sa tête pendant qu'elle le sucerait avec appétit. N'était-elle pas aimable de lui laisser ce choix ?
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Blabla / Re : Horloge parlante
« Dernier message par Maeilera le jeudi 20 novembre 2025, 11:56:35 »
11:55 Vu que je dois me lever samedi et dimanche pour taffer , je prends ce que je peux   :P
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Blabla / Re : Horloge parlante
« Dernier message par Randal Dragunov le jeudi 20 novembre 2025, 11:47:33 »
Parvenir à se lever après 7h c'est de la triche. Surtout qu'il est 11h47, l'heure de faire les courses.
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