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Les alentours de la ville / Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina
« Dernier message par Catalina Taylor le dimanche 07 décembre 2025, 19:09:50 »Catalina se retrouvait déjà haletante alors qu’ils avaient à peine commencé. Mais la main dans ses cheveux, sur son crâne, faisant danser dans son esprit les images de ce qui s’était produit dans la voiture. Elle brûlait de désir depuis tout à l’heure et ce feu ne s’éteignait pas. Il se décupla, au contraire. Et quand elle grimpa sur le bar, exposant sa féminité gorgée d’envie, qu’elle l’invita à s’y installer…
« Ooooh, Vance… Soupira-t-elle en adossant ses épaules contre le miroir, offerte, ouverte, palpitante à l’idée de le sentir en elle. Alors ne te retiens pas, encouragea-t-elle dans un gémissement, flattée, avide. »
Et ses gémissements montèrent crescendo tandis qu’il envahissait sa fleur, qu’il s’insérait jusqu’à ce que leurs corps soient parfaitement emboîtés. La brune s’agrippait aux rebords du bar, fermement maintenue contre le miroir, les traits défaits tandis qu’elle se laissait gagner par la délicieuse chaleur du plaisir. Par l’impression d’être complète avec cette trique fichée au fond de ses reins.
Ses lèvres s’ouvrirent de nouveau pour lui répondre, pour l’encourager à la remplir, à la démonter comme il le fallait, mais ce ne furent que des gémissements qui s’en échappèrent, des halètements d’extase alors qu’il entamait ses mouvements, coulissant entre ses cuisses avec ferveur.
« Oooh, put-ain… Oui… Ravages-moi, remplis-moi…, parvient-elle finalement à prononcer tandis que ses parois intimes se contractaient autour du vît. »
Elle n’avait pas trop de latitude, ainsi perchée sur le meuble. Elle pouvait subir -avec délice- et l’encourager. Ses mains relâchèrent les rebords auxquels elle se tenait pour s’agripper aux avant-bras qui la maintenaient, y laissant probablement la marque de ses ongles quand il touchait un point particulièrement sensible au cœur de sa féminité. La tête appuyée contre le miroir, le chemisier ouvert dévoilant sa poitrine qui bougeait au rythme des coups de reins, la veuve devait être la vision de l’indécence personnifiée. Elle ne recherchait la validation de personne et se montrait telle qu’elle était, ne craignant pas de s’exhiber au regard de l’ancien athlète qui la remplissait si bien. Ses lèvres avides formaient des sons de délices alors qu’elle ne croyait pas être capable d’articuler autre chose.
Toute à ces émois, l’ancienne tueuse ne prêtait aucune attention aux ombres qui se dessinaient sous la porte d’entrée. Focalisée sur la silhouette imposante de Vance qui s’affairait entre ses cuisses, qui lui offrait la réalisation de fantasmes pourtant enterrés depuis longtemps, elle n’entendait pas les murmures de l’autre côté de la porte. Et ses gémissements devaient les couvrir également pour l’ex-catcheur devenu homme d’affaire.
« Oooh, c’est si…. Mmmh… Bon ! S’exclama-t-elle en tentant d’arquer ses reins le plus possible pour mieux le recevoir en elle. Encore… Meilleur… Que dans… Mes fantasmes… Halète la trentenaire dont le corps tremblait d’euphorie. »
Ainsi lancée, ainsi embrasée, Catalina en voulait toujours plus. Toujours plus fort. Plus profond. Plus obscène et indécent. Elle détacha l’une de ses mains pour la glisser contre son pubis, descendant un peu plus et frottant son bourgeon de sa paume tandis que son index et son majeur s’installaient de chaque côté du chibre qui allait et venait en son sein. Elle resserrait les doigts contre la chair lubrifiée qui lui faisait ressentir autant de plaisir, le comprimant à chaque entrée et sortie tandis que les mouvements de sa paumes étaient presque frénétiques.
Au moment où elle atteignait l’apogée, l’extase de l’orgasme, la porte de la suite s’ouvrit en trombe pour laisser passer trois hommes armés qui leur hurlèrent de lever les mains tout en refermant la porte d’un coup de pied.
Prise par surprise, le premier réflexe de la brune fut de balancer l’un des verres pleins dans leur direction tandis que son corps était secoué de spasmes d’un plaisir si intense qu’elle n’était pas certaine de ne pas avoir halluciné l’intrusion. Qu’elle se verrouillait autour de la trique qui la pourfendait avec ardeur, le compressant autant de ses cuisses que de ses chairs.
« Ooooh, Vance… Soupira-t-elle en adossant ses épaules contre le miroir, offerte, ouverte, palpitante à l’idée de le sentir en elle. Alors ne te retiens pas, encouragea-t-elle dans un gémissement, flattée, avide. »
Et ses gémissements montèrent crescendo tandis qu’il envahissait sa fleur, qu’il s’insérait jusqu’à ce que leurs corps soient parfaitement emboîtés. La brune s’agrippait aux rebords du bar, fermement maintenue contre le miroir, les traits défaits tandis qu’elle se laissait gagner par la délicieuse chaleur du plaisir. Par l’impression d’être complète avec cette trique fichée au fond de ses reins.
Ses lèvres s’ouvrirent de nouveau pour lui répondre, pour l’encourager à la remplir, à la démonter comme il le fallait, mais ce ne furent que des gémissements qui s’en échappèrent, des halètements d’extase alors qu’il entamait ses mouvements, coulissant entre ses cuisses avec ferveur.
« Oooh, put-ain… Oui… Ravages-moi, remplis-moi…, parvient-elle finalement à prononcer tandis que ses parois intimes se contractaient autour du vît. »
Elle n’avait pas trop de latitude, ainsi perchée sur le meuble. Elle pouvait subir -avec délice- et l’encourager. Ses mains relâchèrent les rebords auxquels elle se tenait pour s’agripper aux avant-bras qui la maintenaient, y laissant probablement la marque de ses ongles quand il touchait un point particulièrement sensible au cœur de sa féminité. La tête appuyée contre le miroir, le chemisier ouvert dévoilant sa poitrine qui bougeait au rythme des coups de reins, la veuve devait être la vision de l’indécence personnifiée. Elle ne recherchait la validation de personne et se montrait telle qu’elle était, ne craignant pas de s’exhiber au regard de l’ancien athlète qui la remplissait si bien. Ses lèvres avides formaient des sons de délices alors qu’elle ne croyait pas être capable d’articuler autre chose.
Toute à ces émois, l’ancienne tueuse ne prêtait aucune attention aux ombres qui se dessinaient sous la porte d’entrée. Focalisée sur la silhouette imposante de Vance qui s’affairait entre ses cuisses, qui lui offrait la réalisation de fantasmes pourtant enterrés depuis longtemps, elle n’entendait pas les murmures de l’autre côté de la porte. Et ses gémissements devaient les couvrir également pour l’ex-catcheur devenu homme d’affaire.
« Oooh, c’est si…. Mmmh… Bon ! S’exclama-t-elle en tentant d’arquer ses reins le plus possible pour mieux le recevoir en elle. Encore… Meilleur… Que dans… Mes fantasmes… Halète la trentenaire dont le corps tremblait d’euphorie. »
Ainsi lancée, ainsi embrasée, Catalina en voulait toujours plus. Toujours plus fort. Plus profond. Plus obscène et indécent. Elle détacha l’une de ses mains pour la glisser contre son pubis, descendant un peu plus et frottant son bourgeon de sa paume tandis que son index et son majeur s’installaient de chaque côté du chibre qui allait et venait en son sein. Elle resserrait les doigts contre la chair lubrifiée qui lui faisait ressentir autant de plaisir, le comprimant à chaque entrée et sortie tandis que les mouvements de sa paumes étaient presque frénétiques.
Au moment où elle atteignait l’apogée, l’extase de l’orgasme, la porte de la suite s’ouvrit en trombe pour laisser passer trois hommes armés qui leur hurlèrent de lever les mains tout en refermant la porte d’un coup de pied.
Prise par surprise, le premier réflexe de la brune fut de balancer l’un des verres pleins dans leur direction tandis que son corps était secoué de spasmes d’un plaisir si intense qu’elle n’était pas certaine de ne pas avoir halluciné l’intrusion. Qu’elle se verrouillait autour de la trique qui la pourfendait avec ardeur, le compressant autant de ses cuisses que de ses chairs.









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