Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Nowi fut surprise par l’accueil que lui réserva Karm après lui avoir appris une très bonne nouvelle. Elle sembla à peine prendre conscience de la chose et ne pas totalement partager la joie éclatante de sa camarade. La caméléone aurait pu comprendre qu’un petit souci empêchait justement l’honorable guerrière de partager ce bonheur mais que vouliez-vous de plus ? On ne refaisait pas la petite tête de la maladroite. Aux yeux de la douce rêveuse, la situation était presque catastrophique. Elle qui voulait tant faire ses preuves auprès de sa nouvelle amie et lui donner l’occasion d’être fière d’elle, elle s’était plantée. Pire encore, la féline était tellement agacée qu’elle en ferma les yeux, ne posant même plus son regard sur sa partenaire. C’était un peu démoralisée par ces vilaines pensées et à l’idée de n’être vraiment qu’un boulet pour la lionne qu’elle écouta la petite demande de cette dernière, levant le voile sur cette affaire qui aurait pu durer quelques temps supplémentaires avant que l’usurpatrice prenne conscience de son accoutrement certes très alléchant mais peu présentable. Nowi prit alors pleinement conscience de la situation et se mit à rougir très légèrement et rire un peu bêtement.

- Mince ! Je suis désolée !

Nowi ne semblait pas gênée par ce petit malaise et même assez peu surprise de la remarque qui lui fut faîtes. Et pour cause, ce n’était pas la première fois qu’elle se retrouva dans cette situation. Elle était d’ailleurs chanceuse. En général, cela amenait Nowi dans des situations où les personnes cherchaient à profiter d’elle, ce qui n’était pas si dérangeant pour la faiseuse de fantasmes, elle adorait le sexe et l’assumait pleinement, mais elle devait reconnaître qu’être avec une personne qui ne chercha pas à tourner la situation à son avantage était tout pleinement des plus agréables. Elle s’éloigna donc un peu, tournant le dos à Karm qui pouvait avoir une belle vision de ses fesses, si joliment formées et aussi rondes que fermes, si elle eût le malheur d’ouvrir les yeux. La terranide remit ses vêtements et son armure en beaucoup trop bonne état en un rien de temps. Elle avait tellement pris l’habitude de devoir se changer souvent qu’elle en avait fini par développer une capacité à se vêtir très rapidement. Et ce fut une fois que sa délicate peau fut définitivement recouverte qu’elle revint vers son amie.

- Encore désolée pour ce petit désagrément. J’essaie de faire attention en général mais… je suis encore maladroite comme tu as pu le voir.

Cette fois, la reptile fut accueillit avec un rire plus lourd de sens, visant à ne pas dissimuler un petit côté aussi moqueur que taquin face à ce qu’il venait de se passer. L’incident étant désormais définitivement passé, la femme musclée put révéler un peu plus ce qu’elle pensa de la nouvelle qui lui fut partagée plus tôt. Et le grand sourire qui se dessinait sur le visage de la croisée en disant long sur le bonheur qu’elle eût pu ressentir. Elle avait qualifié sa reconnaissance de boulot d’exception. Elle était donc bel et bien fière de son travail et cela réjouissait beaucoup l’amatrice qui ne souhaitait que faire ses preuves.

Se basant sur l’idée de faire 50/50 dans le travail de chacune, il fut vivement proposé à la métamorphe de se transformer de nouveau pour une forme lui permettant d’être promenée directement par la puissante lionne. Nowi ne chercha pas à contredire la volonté de son amie et trouvait d’autant plus que l’idée était très bonne. Après tout, elle avait eu la journée pour bien comprendre qu’elle ne fit que ralentir l’acharnée. Il aurait été malvenu de jouer les fortes têtes et lui refuser l’idée de définitivement quitter ces bois. Nowi ne perdit donc pas plus de temps à se transformer de nouveau. Cette fois, elle entreprit de se déshabiller avant de se changer, ce qui était ironique puisqu’elle venait à peine de remettre ses habits. Tout au plus, elle ne resta couverte que deux à trois minutes au final. Pourquoi elle se mise à nue avant de se métamorphoser cette fois ? La réponse à cette question se trouvait dans celle que je vais vous poser : Avez-vous déjà vue une sourie capable de transporter des vêtements humains ? Elle rangea donc ses objets dans son inventaire spirituel et, une fois que tout fut préparé, elle se transforma en rongeur, comme convenu précédemment.

Les grandes mains de la lionne vinrent ensuite attraper Nowi la souris et l’amenèrent à… l’impressionnante poitrine de la cuivrée pour qu’elle s’y glisse. Ses petits yeux s’écarquillèrent à la vue plus grandissante et proche de ces deux merveilleux monts de chair qui lui furent présenté. La coquine aurait été une bien vilaine menteuse si elle niait trouver une certaine forme de plaisir à cette nouvelle situation mais il n’était nullement prévu de profiter de la situation plus qu’il n’en fallait. La voix de Karm se vit entendre et, du nouveau point de vue de la caméléone, elle semblait soudainement aussi forte et puissante que sa personnalité ou sa carrure. Elle l’écoutait attentivement lui donner ses indications, la pauvre petite souris ayant la soudaine impression qu’elles furent hurlées. Au moins, tout cela fut reçu cinq sur cinq.

Confortablement installée dans son cocon de poitrine dont la douceur n’avait en rien à envier la chaleur, Nowi aurait bien pu profiter de la sublime poitrine de la guerrière pour y piquer un petit somme mais il aurait été déconvenue de se lasser aller à un prélassage excessif vu la situation. De toute façon, même si elle en eût la volonté, cela lui aurait été impossible tant la vétérante ne fit pas semblant quand elle disait pouvoir foncer au travers des bois. En effet, après avoir gonflé sa poitrine, écrasant un peu plus la douce souris contre ses globes mammaires, elle s’élança avec une telle férocité que Nowi eut l’impression qu’elle allait finir balayée par le souffle des déplacements à chacune de ses foulées. Voilà donc ce dont Karm était capable. C’était tout bonnement incroyable et l’idée de s’offrir une forme permettant tant de puissance germa peu à peu dans l’esprit de la cheffe de tribu.

Après quelques minutes pour retrouver sa concentration et se faire aux déplacements et à son moyen de locomotion, la petite souris put enfin prendre son rôle de co-pilote et indiqua par moment à la féline de changer de direction en tapotant sur l’un de ses seins. Plus elles avançaient dans l’immensité de ces bois et plus la vitesse à laquelle elles avançaient augmentait. À l’image de Nowi qui se fit peu à peu à sa position, Karm sembla être de plus en plus à l’aise dans ses mouvements, les enchaînant toujours plus rapide et avec toujours plus de vélocité. Clairement, peu importe ses efforts pour y parvenir, la changeforme n’aurait jamais pu rivaliser avec une telle vitesse. La lionne était décidément une véritable force de la Nature. Après de nombreuses foulées et autres bonds, le bout de la forêt se dessina sous le regard des demoiselles et celle qui avait fait l’éclaireuse reconnaissait, au loin, le col qu’elle eût repéré plus tôt. Prise d’une nouvelle forme d’adrénaline en voyant enfin ce qu’elle était venue chercher, l’athlétique se lança dans un ultime saut pour atteindre le sol plus rocheux de cette nouvelle zone.

Cependant, ledit saut fut si puissant que la pauvre Nowi se retrouva à glisser au travers des vêtements de Karm, le souffle l’ayant cette fois-ci définitivement balayée mais, par chance, ne la fit pas voler dans les airs ou pas trop en tout cas. Le petit rongeur se trouva finalement au niveau de la ceinture de son amie, dissimulé sous une nouvelle couche de tissu. Par chance, elle ne se retrouva pas non plus dans son sous-vêtement, la situation aurait alors pris une tournure bien dérangeante. Bloquée entre le vêtement et la hanche de sa partenaire, plus précisément au niveau du flanc gauche, l’aventurière minuscule put entendre son nom crié, Karm semblant la chercher sans prendre conscience de sa nouvelle position.

Il fut à la petite boule quelques instants pour se repositionner dans une position plus avantageuse pour elle et la porteuse des vêtements devait pouvoir sentir quelque chose bouger contre elle. Et, finalement, une petite frimousse se montra en sortant la tête de la taille, puis finalement tout son corps, avant de descendre le long de sa jambe et filer derrière un imposant rocher non loin afin de pouvoir reprendre forme humaine, mais en ayant bien pensé à ne pas finir nue devant le regard de sa collègue aventurière cette fois-ci. Après quelques courtes minutes, la croisée illusoire fut de retour et bien habillée cette fois-ci.

- Tu étais si puissante que j’ai bien cru que j’allais finir par m’envoler dans les airs.

Elle riait, amusée, avant de porter ses émeraudes sur le Soleil couchant. Il allait falloir envisager de camper, s’élancer dans l’exploration de ces nouveaux lieux semblant une mauvaise idée pour la caméléone. Mais… que pouvait en penser la plus expérimentée des deux aventurières ?

- Je pense que nous devrions camper de nouveau pour la nuit, tu ne trouves pas ? Je pourrais effectuer un nouveau périmètre de sécurité. Mais il faudrait trouver de quoi se sustenter.

Le plus logique aurait été de faire quelques cueillettes pendant leur traversée des bois mais… cela ne fut pas fait et désormais, ce fut un désert de roches qui entourait les filles. Peut-être allaient-elles pouvoir trouver quelque chose dans les environs après un nouveau repérage ?
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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« Dernier message par Anéa le lundi 24 février 2025, 16:05:46 »
Qui sait, mon VDD...Il y a fort longtemps que je n'ai pas porté de chemisier...La dernière fois, c'était lorsque je travaillais en tant que secrétaire...  ::)
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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« Dernier message par Shun le lundi 24 février 2025, 15:18:42 »
MVDD fait une super comparaison qui m'a bien fait rire, mais je suis sûr qu'elle aurait le même problème si elle passait ce chemisier  :P
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Les terres sauvages / Re : In Irons In The Deepest Of Woods -- Jack, Diamant
« Dernier message par Diamant le lundi 24 février 2025, 13:48:58 »
Ces dernières années les journées étaient souvent paisibles, la vie était douce et souvent sans soucis pour la communauté. Et tout cela grâce à leur liberté qu’ils avaient retrouvés après s’être rebellé contre cette ordure d’humain qui les avait mis en esclavage, ce sale type qui se faisait appeler « maître », ce putain d’esclavagiste qui aujourd’hui jouait enfin au poker avec les verres de terre.

Oui, tout cela était fini et loin derrière eux. Ils avaient pu découvrir ou redécouvrir ce qu'était la vie, avec ses joies et ses peines certes, mais ils purent avoir le plaisir de pouvoir jouir de son existence et vivre chacun enfin leur propre histoire. Le village avait connu malgré tout quelques troubles dans leur tranquillité, ayant dû faire face à quelques visites d’impudents qui leur avaient cherchés querelle, avec les mêmes ambitions que leur défunt maître. Mais, grâce au sang-froid et la solidarité sans faille de la communauté, ils avaient pu se débarrasser à chaque fois de ces envahisseurs, avec parfois de l’aide extérieure qu’ils avaient accueillis en leur sein le temps d’un séjour, souhaitant témoigner de leur gratitude envers ceux qui les avaient aidés lors de ces temps difficiles.

Aujourd’hui malheureusement était un de ces jours où leur tranquillité fut interrompue, étant dans l’urgence de devoir faire face de nouveau à une menace inédite pour la communauté. Une partie des villageois, notamment en grande partie des demoiselles et des elfettes, était partie à la cueillette dans les bois. Hélas, ils furent attaqués par une bande de brigands doublé d’ordures d’esclavagistes, les surprenant en plein de leur travail par surprise !

Des habitants des bois avaient assisté à ce drame, et c’est sans plus tarder qu’ils se mirent en route afin d’aller avertir le village de cela, partant en quête de trouver la sorcière de la communauté pour l’informer de qui se tramait en ce fébrile instant. Bêtes à plumes et à poils déguarpisèrent à toute allure, se lançant dans une course effrénée contre la montre pour arriver le plus rapidement possible à leur destination. Et c’est quand ils arrivèrent à l’entrée du village, venant pinailler, crailler et brailler à tout va qu’ils attirèrent ainsi l’attention des villageois, mais surtout de celle qu’ils cherchaient et comprenait leur langage : la sorcière du village.

Ni une ni deux après leur message délivré auprès de Diamant, celle que recherchaient ces charmantes créatures, que l’elfique sorcière donna l’ordre de rassembler toutes les personnes douées en combat, autant le corps à corps qu’à distance, les femmes comme les hommes, que les manieurs d’armes aux lanceurs de sorts, afin de partir sur le champ s’occuper des attaquants qui s’en prenaient aux leurs en ce moment.

C’est avec hâte et brutesque que la petite troupe avança dans la pénombre des bois, prenant des raccourcis pour arriver plus vite au lieu où se trouvaient leurs compères, le tout guidés par leurs messagers animaux afin de ne pas s’égarer pour ce sauvetage. Une fois arrivée sur place, le bataillon put remarquer que des hommes s’enfuyaient à toute allure et en hurlant, pouvant apercevoir quelques corps par-ci et là sur le sol, sans vie ou à la frontière de la mort pour certains qui se vidaient de leur sang. Mais ils en avaient deux dans leur champs de vision en cet instant : un dernier qui fuyait, qui se fit tirer dessus par l’un des « soldats » qui l’acheva, et un autre qui était de dos face à eux, qui ne semblait pas effrayer les leurs qui s’étaient fait attaqués.

Venant l’encercler de dos sans un bruit, ils braquèrent sur lui leurs armes, épées, glaives, haches, arbalètes, arcs, rayons de sorts et tout autres armes lumineusement magiques en tout genre. Ils n’eurent même pas à prononcer un seul mot que l’inconnu prit au piège se rendit docilement, voulant prouver sûrement qu’il n’était pas une menace pour eux en levant ses mains, étant totalement désarmé, tandis qu’il se mettait à genoux. Pendant ce temps, ceux qui avaient été pris en attaque se dirigèrent soulager vers la troupe de sauvetage, certains et certaines se jetant au cou de leur moitié ou d’un membre de leur famille voire même d’un(e) ami(e), témoignant sa joie de les revoirs et d’être sain et sauf.

Constatant que certains avaient été malmener par le désordre dans leurs cheveux, l’aspect de leurs vêtements ou les bleus sur leurs bras ou marque de gifle au visage, Diamant soupira d’agacement par le nez, commençant à marcher pour tourner autour de l’individu qu’ils venaient d’arrêter, allant jusqu’à se mettre face à lui et le regarder de toute sa hauteur pendant qu’il était agenouillé au sol.

« Ne lui faites pas de mal Dame Diamant ! »

« Oui ! Ils nous a sauvés ! »

« C’est exact ! Il est arrivé à notre secours et il a chassé ces vauriens ! »

Soufflant d’amusement par le nez, l’elfe à la peau de porcelaine et à la longue chevelure de neige lui descendant jusqu’aux mollets jeta un regard impassible en haussant légèrement un sourcil en regardant l’homme à genoux au sol, docile comme un agneau et qui n’avait pas encore pipé un seul mot.

« C’est vrai tout cela ? »

Demanda l’elfique demoiselle toute de noir vêtue, avec une voix au timbre si doux qui ne manqua surement pas de rappeler celui d’une demoiselle que l’étranger avait rencontré lors de ses voyages, mais dont l’intonation était bien plus sec et moins sympathique, malgré son visage de marbre qui ne laissa pas transparaître ses émotions.

« Dieu ne joue pas aux dés… Il parait qu’il est plutôt joueur d'échecs… Donc, si on se base sur cette logique, le hasard n’hésite pas et tout est dû à un plan bien orchestré… » penchant doucement sa tête en le regardant, Diamant croisa les bras en haussant un sourcil, poursuivant avec une intonation de voix moqueuse « Comment es-tu donc arrivé jusqu’ici humain ? »

Venant s’accroupir pour être à la même hauteur que leur prisonnier on pouvait dire, la belle sorcière ne le quitta pas un instant du regard, le regardant face à face, tête à même hauteur que la sienne, poursuivant d’une voix inquisitrice sans changer d’expression.

« Je pense qu’un petit interrogatoire s’impose… Tu ne verras pas d'inconvénient à nous suivre bien gentiment n’est-ce pas ? »

Après cette question, et peu importe la réponse et les explications que cet homme qui venait de sauver les siens lui donna, Diamant fait un signe de tête et de la main aux siens, les invitant à se mettre en marche pour retourner au village. L’elfique sorcière fit signe également à quatre gaillards de venir encercler leur « invité de fortune », des types bien costauds et baraqués dans le lot, trois d'entre eux étaient armés et un étant un lanceur de sorts.

Une fois tout bien orchestré, la belle demoiselle olympienne jeta un dernier regard à cet étranger, avant de le laisser en compagnie des quatres gaillards qui allait l’escorter jusqu’à leur village, avec qui il pourra taper la causette s’il le souhaite, histoire de ne pas rendre trop pesant cette invitation forcée faite par la sorcière. Quant à elle, elle se dirigea en avant de la marche, passant près des personnes qui avaient été attaqués afin d’en savoir un peu plus sur l’attaque et comment cet homme qu’ils ramenaient chez eux les avaient aidés, tout en venant s’enquérir des possibles blessures qu’ils avaient afin de les informer des soins à faire pour soigner tout ça une fois arrivé chez eux.
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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« Dernier message par Anéa le lundi 24 février 2025, 12:20:17 »
Je suis d'accord avec le VDD de MVDD...Il va péter, ce bouton ?! D: C'est stressant ! On dirait Spiderman qui retient le métro pour pas qu'il tombe !
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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Les liens de la destinée [Pv. Brittany]
« Dernier message par Brittany Swampton le dimanche 23 février 2025, 20:43:57 »
Un silence électrique tomba sur la salle, mais cette fois, il vibrait d’une tension malaisante et sourde. Coincée contre Shun, Brittany sentait chaque battement frénétique de son cœur résonner jusque dans sa gorge. Le corps chaud du garçon contre son dos, ses mains agrippées à ses hanches pour maintenir l’équilibre, la pression indésirable mais indéniable contre ses fesses… tout contribuait à faire grimper une chaleur confuse dans ses joues.

"Lâche-moi, idiot !" tenta-t-elle de siffler à mi-voix, sans parvenir à masquer le frémissement involontaire de sa respiration.

Mais Shun, raide comme un piquet, ne répondait pas, paralysé par la proximité et la situation qui lui échappait totalement. Chaque tentative de mouvement ne faisait qu’accroître le chaos. Le tissu froissé de son chemisier à moitié déchiré glissait contre sa peau, exposant une épaule nue qui effleura le torse du garçon. L’étroitesse du placard ne laissait aucune échappatoire. Brittany sentit la bosse pressée contre elle s’affirmer malgré elle, un rappel criant de leur promiscuité. Son souffle s’accéléra, mais elle secoua la tête, cherchant à chasser la chaleur qui montait en elle. Ce n’était pas comme ça qu’elle imaginait… non, elle n’avait encore jamais couché avec un garçon et n’avait certainement pas envie que sa première fois soit un accident ridicule dans un placard exigu.

"Arrête… Arrête ça !" souffla-t-elle, la voix plus haletante qu’elle ne l’aurait voulu.

Elle voulait reprendre le contrôle, retrouver son masque de perfection, mais son corps la trahissait. Chaque frottement involontaire déclenchait des frissons gênants qui laissaient son esprit embrouillé. Derrière la porte, les voix de ses rivaux résonnaient encore, ignorant tout du drame qui se jouait à quelques mètres d’eux.

Personne 1 : "Bon, dépêchons-nous de nettoyer avant que quelqu’un ne nous accuse du bazar…"

Personne 2 : "Tu crois que Brittany traîne dans le coin ? Elle a le don de surgir quand on s’y attend le moins…"

Cette pique, lancée avec une pointe de moquerie, ralluma une étincelle de fierté vexée chez la jeune fille. Ce n’était pas le moment de perdre la face, surtout pas pour un accident ridicule. Serrant les dents, elle tenta de bouger sans provoquer davantage de malentendus, mais le chaos déjà bien installé ne fit qu’empirer. Sa jupe remonta légèrement sous la pression, la forçant à se figer.

"Si quelqu’un ouvre cette porte, je te jure que je te fais bouffer ta planche de skate", grinça-t-elle entre ses dents, plus pour masquer son propre trouble que par réelle colère.

Mais au fond, une pensée insidieuse la traversa : et si cet incident jouait finalement en sa faveur ? Après tout, chaque faiblesse de Shun était une opportunité…

Prenant une grande inspiration pour maîtriser les battements affolés de son cœur, Brittany décida de reprendre la main. Elle se retourna brusquement, faisant face à Shun. Son regard croisa celui du garçon, un mélange de confusion et de désir muet. Son chemisier entrouvert dévoilait ses courbes encore plus qu’elle ne l’aurait voulu, sa poitrine frôlant le torse du garçon à chaque respiration. Leurs souffles courts se mêlèrent, suspendus à l’instant.

"Arrête de trembler comme une feuille…" murmura-t-elle, un sourire en coin trahissant sa volonté de reprendre le contrôle.

Et avant qu’il ne puisse réagir, elle se hissa sur la pointe des pieds et captura ses lèvres dans un baiser aussi inattendu qu’ardent. Ses seins fermes et pointants s’écrasèrent contre lui, déclenchant une vague de chaleur incontrôlable. L’étroitesse du placard les maintenait collés l’un à l’autre, et cette proximité devenait presque suffocante. Brittany sentit le frisson parcourir  Shun alors que sa main gauche glissait dans la nuque du garçon, ses doigts s’enroulant dans ses cheveux, et que sa main droite descendait sur sa hanche, le maintenant contre elle avec une détermination qui ne laissait plus place au doute.
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Le quartier de la Toussaint / Re : Une Nuit sans Fin au Pandemonium - PV Enothis
« Dernier message par Celeste Hendricks le dimanche 23 février 2025, 12:26:34 »
"Qui êtes-vous, mystérieux et grandiloquent présentateur ? Un honnête péon, un avatar de quelque haut seigneur ?"

Malfée reprend les mots d’Emaneth en comptant sur ses doigts, l’air faussement pensif :
"Changer les lois… Les former à mes désirs pour ceux qui ont mes faveurs… Génie... Dites donc, Emaneth, nous voilà nombre de points communs. Vous cherchez à cocher des cases pour me plaire c'est ça ? Mais nous ne sommes pas les sujets de cette soirée qui s'annonce plutôt bien partie."

Il laisse planer un silence, son sourire carnassier illuminé par les projecteurs. Puis, d’un geste théâtral, il s’adresse au public :
"Alors, pourquoi vous avoir invitée ? Qui suis-je ?"

Le silence d’abord. Puis la clameur s’élève comme une vague :
"MALFÉE ! MALFÉE ! MALFÉE !"

"C’est ça ! Malfée, pour vous servir. Dieu unique de Ghuntzel."

Son rire résonne comme un écho irréel. Il pivote légèrement pour faire face à Emaneth :
"À vrai dire, même si votre présence au sein d’Enothis m’a interpellé — et je dois avouer, intrigué —, c’est avant tout votre hôtesse que j’ai voulu inclure dans mon petit scénario. Et je ne regrette pas. Regardez-la donc avec Céleste, ne sont-elles pas mignonnes ?"

D’un claquement de doigts, un écran géant surgit dans les airs. La foule retient son souffle tandis que les images défilent : un plan serré montre le dialogue entre les deux jeunes filles, le tumulte de l'Enfer en arrière-fond.

"C’est la première fois que j’viens dans une boîte… J’devais retrouver du monde mais j’crois qu’ils sont pas arrivés. Moi, c’est Enothis et euh… J’peux… Enfin, ça t’irait de m’accompagner ?"

"Ben, moi aussi, on m’a plantée. Je devais retrouver ma copine..."
Céleste rougit aussitôt, le cœur battant, consciente de ce que pourrait imaginer Enothis. Elle s’empresse de rectifier :
"Enfin, je veux dire, une copine ! C’est ma meilleure amie. On est pas ensemble, hein, pas en couple ! Bon…"
Elle inspire profondément, autant pour calmer ses émotions que pour se donner une contenance.
"Je t’offre un verre ?"

Sans attendre de réponse, elle amorce un pas vers le bar… mais la densité de la foule la bouscule légèrement. Son bras effleure celui d’Enothis, un contact bref, presque accidentel. Presque. Le fin duvet sur la peau d’Enothis glisse contre son avant-bras, et un frisson la traverse de la nuque jusqu’au creux des reins. Son cœur manque un battement, puis s’emballe. Elle se retourne vers Enothis, tendant la main pour l’encourager à la suivre. Leurs doigts se frôlent à peine, mais le contact suffit à accélérer un peu plus les battements de son cœur.
Elles avancent tant bien que mal entre les métaleux, les corps enfiévrés et la musique assourdissante. À plusieurs reprises, leurs épaules et hanches s’effleurent, chaque contact laissant une chaleur diffuse enflammer Céleste.

Enfin, elles atteignent le comptoir du bar, mais l’espace restreint les oblige à se serrer l’une contre l’autre. Le parfum d’Enothis, aux notes légères et épicées, flotte dans l’air. Céleste inspire discrètement, troublée par cette proximité inhabituelle. Leurs épaules se touchent, leurs bras se frôlent. Un frisson parcourt la gothique lorsqu’Enothis tourne légèrement la tête, son souffle effleurant la peau nue de son cou.

"Qu’est-ce que tu prends ?" demande-t-elle, la voix légèrement rauque.

Céleste, elle,  hésite, la gorge nouée par un mélange d’émotions.
"Moi je vais prendre un… Un cocktail, euh… Surprise ?" souffle-t-elle, son regard cherchant celui d’Enothis, captivée par l’éclat doré de ses yeux.

Sur l’écran, l’image se fige, capturant l’instant précis où leurs regards se croisent, éclat de bleu arctique contre la profondeur dorée du regard d’Enothis.

La foule murmure, intriguée.

Malfée laisse le silence s’installer avant de clamer, théâtral :
"Ah ! La jeunesse… L’innocence des premiers frissons. Mais dites-moi, Emaneth, votre précieuse Enothis est-elle prête à vivre ce qui l'attend ?"

Leur commande passée, l’attente devient presque insoutenable, chaque seconde faisant grimper la tension. Le bruit du bar semble s’atténuer alors que le monde autour d’elles se fait flou. Leurs doigts reposent sur le comptoir, si proches qu’il suffirait d’un mouvement pour qu’ils s’effleurent.

Malfée s'était approché de sa machine et faisait à présent face au rack "Romantisme".
"Ah mes amis ! J'ai comme une furieuse envie de tourner ce bouton à fond pour voir le résultat, mais quelque-chose me dit que nous sommes déjà bien partis pour cette version de la soirée, qu'en dites vous ?"
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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Les liens de la destinée [Pv. Brittany]
« Dernier message par Shun le samedi 22 février 2025, 20:52:00 »
Bien évidemment, dans cet établissement dirigé aussi surement que chaotiquement par une entité aussi fantasque que Malfée, tout ne pouvait qu'aller de travers. Bien souvent, c'était la subtilité qui prédominait mais quand cela était nécessaire, voulu et calculé, les choses pouvaient déraper en phénomènes de grande ampleur.

Shun prit de plein fouet mais sans surprise le corps tiède de Brittany. Il aurait préféré être plus chevaleresque, moins empoté, plus ... viril. Mais non, une orientation déviée par Malfée, spectateur invisible, alla dans le sens de l'adorablement gênant. Une main tendue, initialement prévue pour se poser sur une épaule, prit et engloba un sein magnifiquement constitué. Entendez par là, rond et de taille et forme idéales, consistant sans être lourd mais suffisamment arrogant pour ne pas passer inaperçu.

Bien que légère, Brittany fut entrainée par son poids et cet orbe symbolisant la femme s'écrasa dans la main de Shun qui ne put que s'y agripper, naturellement, par réflexe, suivant un instinct très masculin.

Le temps sembla s'arrêter sur cette étreinte disproportionnée par rapport aux prétentions originelles, de l'un comme de l'autre. Si Brittany rougit, alors Shun passa de vivant à cramoisi, proche de la fonte et de la dissolution ... Et pourtant, il maintint sa prise deux secondes de plus que ce qu'il aurait dû. "Moi ... Moi aussi ..." parvint-il à articuler en écho au commentaire rassurant de sa flamboyante hôtesse. L'esprit du garçon tergiversait entre deux options: ouvrir la fenêtre et sauter, ou bien fuir le plus vite possible et ne jamais revenir. Non, en vérité, le maelstrom de pensées qui venait d'envahir sa caboche incitait à de toutes autres choses et bien sûr, qui en était responsable?

Brittany fit ce qu'elle pouvait pour cacher le désastre mais elle ne vit pas que c'était loin d'être suffisant. Une courbe affriolante ou un bout de peau se dévoilait à chacun de ses mouvements. Elle eut la gentillesse d'être ... gentille et compatissante ... même si Shun n'y était pour rien. De bons réflexes? Oui il en avait mais ne les travaillait pas de cette manière d'habitude. Et pour la tenue de skate, il se voyait mal à cet instant proposer à Brittany ce que les filles de ce milieu portaient en général. "Euh ... oui, on verra pour la tenue et ..."

Un bruit de pas dans le couloir, des voix qui annoncent une proximité dangereuse, la tragédie qui continue, l'heure de Satan, la gloire de Malfée ... Normalement personne n'aurait dû venir aussi tôt, ni venir tout court. Deux, voire trois personnes approchaient et Shun regarda Brittany qui mesurait aussi la taille du problème. Le bazar dans la classe, l'égérie de l'établissement presque dévêtue ... Shun se jeta sur elle et la tira derrière lui vers le fond de la classe. Il ouvrit à la volée une porte qu'il pensait donner sur une autre classe mais ce n'était qu'un cellier étroit et encombré. Qu'importe! il s'y engouffra, toujours ballotant sa compagne d'infortune, et referma la porte sur eux. Le loquet cliqueta quand il l'activa. Ne restait plus qu'à espérer que les nouveaux venus n'en ai pas la clé. Ils étaient serrés, bien trop. Non, emboités plutôt. Brittany lui tournait le dos et il la tenait par les hanches. Coup du sort, le chemisier n'avait pas survécu à ce nouvel incident ... Bouger était difficile. Un fatras encombrait le sol et la discrétion était de mise. Un certain popotin vint se loger entre ses cuisses. La lumière diffusée par une toute petite lucarne  suffisait à peine à voir. "Qu'est ce que tu fais ...? Mais là, tu ..."

"POP" Devinez qui s'érige et trouve sa place très confortable? Bon sang!

Les personnes entrent dans la salle de cours. Une voix masculine, grave, retentit.

Personne 1: "Mais quel bazar ici! Quelqu'un range la salle d'habitude non?"

 Une voix plus claire répondit.

Personne 2: "Oui monsieur mais ne vous inquiétez pas, nous allons nous en occuper, ... de fond en comble."

Une fille venait de répondre à l'adulte. Malfée s'était amusé à insérer dans le chaos actuel la meilleure ennemie de Brittany, et son débile de petit copain, un sportif de haut niveau, fierté de l'établissement dans son domaine.

Personne 3: "Ouais enfin, on va pas trainer là non plus ..."

Dans son étroite prison, Shun tenta de se dégager mais rien n'y fit. Au contraire, il renforça sa prise sur Brittany pour ne pas perdre l'équilibre.
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One Shot / Re : Au temps des vers perdus pour un instant d'éternité [Rubis Starling]
« Dernier message par Eva Flynn le samedi 22 février 2025, 18:32:27 »
Je ne m'attendais pas à ce que la participation à ce jeu d'écriture allait réveiller en moi une telle introspection. Aussi décidais-je après un court instant d'hésitation, d'éteindre l'ordinateur. Je me disais finalement que ce n'était pas une bonne idée. Je pensais que cet échange allait rester léger et voila que j'avais l'impression de déballer mes ressentis à une inconnue, même s'il était vrai que le contexte allait un peu dans ce sens là. Laissant passer l'instant de colère, que mes systèmes semblaient vouloir me transmettre pour coller au mieux avec mes ressentis, je décide d'arrêter totalement la session. Je me lève alors du siège et je me dirige vers le lit sans même y retirer les draps. Une fois allongée pour y "dormir", je sélectionne un thème qui apparait devant mes yeux fermés et que je voulais être joyeux et reposant.

C'est ainsi que je suis immédiatement projetée au bord d'un immense lac où se trouvait d'autres personnes qui semblaient rire et s'amuser. Tandis que je regarde la scène, un enfant sorti subitement de l'eau se met à me fixer peu de temps après. Je reste un instant comme mal à l'aise en le regardant, avant que celui-ci n'en sorte à moitié. Sans me quitter des yeux, le jeune garçon me tend une... fleur???... A cet instant, l'étrange enfant retourne dans le lac en marchant à reculons, jusqu'à disparaitre entièrement comme il était subitement apparut. Tandis que je ressentais la douce chaleur du soleil caresser ma peau, je me suis mise à observer la fleur que l'étrange petit garçon sorti des eaux venait de m'offrir. Celle-ci avait la même couleur que mes cheveux. Elle était bleue comme le ciel azuré. A la différence près qu'elle semblait légèrement briller. Tandis que je la tenais toujours dans la main, je continuais d'observer les autres personnes qui s'amusaient aussi bien dans l'eau que tout autour de celle-ci. Toutes semblaient être comme heureuses et épanouies. C'était comme si elles s'étaient libérées de tous leurs tourments intérieurs et qu'il n'y avait plus rien d'autre que ce moment de paix et de joie commune.

C'est alors que je décide de stopper le mode "rêve". Lorsque je rouvre les yeux depuis le lit, le soleil avait commencé doucement à apparaitre à l'horizon. Je tournais alors les yeux vers l'ordinateur éteint... Puis comme prise dans un élan soudain, je me lève et je pars vers ce dernier pour le rallumer. Une fois le chargement terminé, je rentre à nouveau mes identifiants sur le site. Sans plus attendre, j'y écris avec un sentiment de sérénité mêlé avec un zeste de mélancolie le vers suivant, sitôt que j'y ai lu la prose de la jeune femme qui semblait être aussi en proie à quelques regrettables soucis personnels.

"C'est en semant son jardin de vie avec des graines de confiance que germera la fleur du courage qui est en nous."
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Royaume Terranide / Re : Soubrette sous les Tropiques - PV Lloyd
« Dernier message par Lloyd le samedi 22 février 2025, 17:21:29 »
Une allure volontairement provocante saupoudré avec une attitude insolente. Un regard à la fois calculateur et séducteur. Observateur et prudent. Le petit Noa semblait avoir un certain nombre de points communs avec moi en plus de celui d'être beau et mignon. Nul doute que ce devait être un agent à la solde d'une organisation. Mais ce pouvait-il qu'il travaillait lui aussi pour Tekhos et que quelque chose aurait mal tourné entre eux et lui? En attendant le souriceau ne manque pas de répartis pour me plaire, ce qui ne faisait que continuer de me chauffer encore un peu plus.

Et alors que je suis confortablement installé dans ce canapé, la souris qui a compris où se trouvait ses propres intérêts, accepte de jouer le jeu que je lui propose. C'est donc en bon joueur que je le laisse faire et que je le regarde se rapprocher légèrement de moi, dans une démarche volontairement osée. Nul doute que ce n'était pas la première fois qu'il faisait ça. Le petit coquin le confirma lui-même, au vu de la façon de retirer lentement son tablier qui glissa le long de ses hanches ainsi que de ses cuisses, révélant ainsi une robe courte en-dessous. Cela me suffit pour ressentir une première décharge qui se transmet entre mon pieux et ma queue touffue. Je reste d'abord concentré un instant sur ses jambes qui paraissaient vraiment être des plus délicieuses, avant de le regarder lorsqu'il vient poser sa toute première question. Son regard plutôt provocateur semblait comme chercher à sonder le mien. Mais comprenant à qui j'avais affaire, je n'en ressentais pas la moindre gêne. Après tout, il ne pouvait savoir qu'il ne faisait que jouer sur mon propre terrain. Et puis je n'étais pas idiot. Je savais déjà qu'il essaierait de profiter d'une ouverture à un moment où à un autre. C'est d'ailleurs pour ça qu'il me paraissait être confiant, bien que je devinais qu'il essayait de cacher tant bien que mal un certain malaise. Ce devait certainement être le jeu associé au goût du risque que moi aussi je ne connaissais que vraiment trop.

- Moi? Venir saboter ta mission? Allons ma jolie. Je ne faisais rien d'autre que t'observer de loin. Mon but initial n'a jamais été de venir t'approcher de face. Mais c'est juste que... et bien tu as un peu forcé les choses...

Je le regarde de façon aguicheuse, alors que les premières chaleurs entre mes jambes ne semblaient à présent plus vouloir me quitter. Aussi ai-je légèrement du mal à tenir en place, tellement je m'imaginais déjà être en train de le sodomiser à la toute fin. Le délice que cela serait d'être en lui, tout en le laissant porter les vêtements que j'avais volontairement choisi exprès qu'il garde sur lui pour cet heureux événement, ici tous les deux en tête à tête. Mais chaque chose en son temps...

- Oui je crois que toi et moi on va bien s'amuser. Mais pour l'instant, continue de poser tes questions. Après tout étant donné que tu as activé ton brouilleur, mes employeurs ne pourront absolument rien entendre de notre petite conversation. Ne trouves-tu pas cela intéressant de jouer ainsi sans aucun filtre?

Tout en me penchant légèrement en avant, je continue de gouter Noa avec le regard. Je trouvais cette petite souris particulièrement mignonne. Aussi je ne regrettais plus d'avoir pioché cette mission de surveillance. Les événements avaient encore tournés une fois de plus à mon avantage.
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