Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Prélude / Re : La fille aux mille ailes - Séliane Noctelume
« Dernier message par Kilian Piers le lundi 24 novembre 2025, 20:49:05 »
Bienvenue à toi :D une fée ! tu vas t'entendre avec Deirdre
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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Hadrian Kensley le lundi 24 novembre 2025, 19:22:43 »
"C'est vrai que vous aviez mentionné ne jamais avoir eu de… partenaire."

Certains pourraient croire que parce qu'elle n'avait pas connu les affaires de la chair qu'elle n'avait jamais eu de relation amoureuse, mais c'était une idée fort naïve. Beaucoup de femmes, même de la connaissance d'Hadrian, n'éprouvaient que peu d'intérêt pour la chose, et d'autres même préféraient simplement infliger à d'autres les plaisirs plutôt que les recevoir.

Hadrian sembla presque surpris quand elle lui attrapa les cheveux et l'attirant contre elle, pressant sa tête contre cette poitrine aguicheuse et chaude. Au début, il pensait qu'elle cherchait à le provoquer, mais au contraire, elle semblait plutôt juste rechercher sa proximité. Quelle relation étrange commençait à s'établir entre ces deux personnes qui, déjà rare par eux-même, venant de deux pays forts éloignés, s'étaient retrouvé dans un monde encore plus lointain et étrange. Un baiser de lèvres vermeilles se posa sur son front et, de réflexe, il l'enlaça plus fermement, fermant les yeux pour un bref moment, pour profiter de cette intimité, de ce moment fragile qu'il sentait ne pas pouvoir perdurer.

Elle lui explique qu'il semblait avoir gagné l'approbation des gorgones, et que le fait qu'elles se tenaient tranquille ne faisait que le prouver. Il eut un petit sourire à l'égard des serpents qui, pour leur part, serpentinaient, et le mot est faible, sur le corps et les épaules de Cypress pour profiter de la douche pluvieuse. Il se dit que, vraisemblablement, quand elle les disait "calmes", elle parlait d'une autre forme de calme, car il ne pouvait s'empêcher de les trouver plutôt excitées, au contraire.

"Et ai-je marqué quelques points avec vous?"

Comme toute réponse, il la sentit le ceinturer de ses jambes, et le tirer plus près. Il sentit le contact de son bas-ventre contre son abdomen, et ses bras se resserrèrent sur elle à son tour, avant qu'il ne lève les yeux pour la regarder et croiser ses beaux yeux derrière ses verres d'émeraude. Il remarque alors à son air un brin lubrique et excitée, qu'il avait encore quelques buts à marquer avant qu'elle ne se fasse une idée.

N'étant pas homme à faire languir –du moins pour le moment, car c'est absolument faux–, il se redressa sur les genoux, faisant glisser ses jambes de ses flancs à sa hanche avant de se pencher de nouveau sur elle. Devant une telle invitation, la faire patienter pour un nouveau baiser lui semblait presque grossier, et donc il vint à sa rencontre, posant ses lèvres contre les siennes, et laissant sa langue envahir sa bouche et trouver sa camarade pour l'entrainer dans une valse passionnée. Hadrian avait dû bouger un peu vite, car il sentit un frétillement contre son torse qui n'était assurément pas dû aux seins de Cypress, avant de remarquer le pauvre reptile qui, dans son approche soudaine, s'était retrouvé coincé entre le sein de la gorgonne et le torse du vampire. Une fois la pression relâchée, le serpent se fit rapidement violence avec un sifflement qu'Hadrian ne parvint pas à discerner comme étant gêné, excité ou agacé. Ses talents de décryptage des expressions faciales étaient, tristement, bien inutile devant des reptiles.

Il souffla un petit rire, puis il ramena son attention sur Cypress, venant poser des baisers à ses lèvres, sa mâchoire et son cou, ses doigts remontant doucement ses cuisses pour qu'une se glisse sous ses fesses et s'empare de la droite pour la malaxer délicatement et l'attirer plus près, l'autre gravissant lentement son flanc, le frôlant des doigts, jusqu'à remonter sur son sein et faire de même. Il la poussa dans l'alcove jusqu'à ce que le dos de la jeune femme soit bien adossé au dossier.

La pauvre gorgone n'allait pas finir cette soirée en étant capable de marcher où que ce soit par elle-même, et quelque chose lui disait, intérieurement, qu'elle courait précisément après ce résultat.
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Prélude / La fille aux mille ailes - Séliane Noctelume [Vanéalidée !]
« Dernier message par Séliane Noctelume le lundi 24 novembre 2025, 19:15:13 »
Identité : Nom : Noctelume
Prénom : Séliane
Surnom* : “La Fille aux Mille Ailes”, “Professeure Noctelume”, “Madame Nox”
Titres : Princesse de la Cour Nocturne, Héritière des Lueurs Vivantes, Gardienne du Voile Astral
Âge : (apparence et réel) 27 ans en apparence, 1120 en âge réel
Sexe : Féminin
Race : Fée
Sexualité : Elle n’en a aucune idée

✦ Physique de la Gardienne du Voile Astral

Elle apparaît d’abord comme une femme jeune, d’une beauté si silencieuse qu’on la remarque avant même de la regarder. Séliane Noctelume est grande (1m75), délicate et presque aussi légère qu’une plume (ne s’est jamais pesée). Chaque geste est mesuré avec cette grâce presque irréelle que seuls les êtres anciens possèdent sans le savoir. Sa silhouette se drape dans des robes profondes comme la nuit, où des éclats de lumière semblent s’être pris au fil du tissu, non pas cousus, mais comme s’ils s’y attardent volontairement. Lorsque la lumière glisse sur elle, on croit parfois apercevoir des fragments de constellations brodées dans l’ombre.

Ses cheveux, d’un noir soyeux, sont relevés en un chignon souple d’où s’échappent quelques mèches indociles. Elles brillent par moments, comme si le clair de lune s’y reflétait même en plein jour. Lorsqu’elle les lâche, on pourrait penser qu’un bout de la Voie Lactée s’est détachée pour venir l’en parer. Ses yeux, eux, sont une énigme : d’ambre tranquille lorsqu’elle parle doucement, mais traversés par des éclats bleutés dès qu’une émotion affleure ou qu’un fragment de sa véritable magie tente d’émerger. Sa peau, claire avec une chaleur presque dorée, semble toujours légèrement éclairée de l’intérieur, comme si une lanterne invisible veillait sous sa chair. Son buste n’est pas à envier des autres jeunes femmes car sa poitrine est tout à fait respectable et honorable. Ni volumineuse, ni inexistante. Juste de quoi remplir les mains d’un honnête homme comme dirait la Reine, sa mère un peu espiègle. Ses bras longs sans muscles dessinés, se terminent par des doigts fins manucurés sans effort particulier. Même chose pour ses jambes et leur terminaison.

Pour les mortels, elle est humaine, étrange, élégante, hypnotique peut-être, mais humaine. Pourtant, il flotte constamment autour d’elle un frémissement subtil : un papillon lumineux posé sur son épaule, un autre qui traverse la pièce sans que personne ne puisse dire d’où il vient. Dans les couloirs de l’université, on dit que c’est un enchantement décoratif. Ceux qui sont plus sensibles comprennent que ce n’est pas une fantaisie, mais un secret.

Car Séliane ne porte pas seulement un corps humain : elle le revêt. Et lorsque l’eau touche sa peau, une goutte, un éclat, une larme trop honnête, le sortilège vacille.

Le monde semble alors retenir son souffle.

Sa silhouette se contracte, se plie dans une lumière douce, et dans un chuchotement d’étoiles, la forme humaine se délite, se dissipe comme une brume. À la place apparaît une créature minuscule, haute d’à peine une trentaine de centimètres, délicate au point de sembler sculptée dans un halo. Sa peau devient translucide, presque cristalline, parcourue de reflets bleutés qui évoquent l’aube sur les eaux d’un lac. Ses yeux ne sont plus que deux lueurs pures, sans pupille, couleur de lune pleine.

Elle n’a pas d’ailes, pas vraiment. À son dos, dans l’air, naît une nuée de papillons luminescents, chacun vibrant d’une couleur propre : bleu astral, or brûlant, violet profond, rouge crépusculaire. Ils se rassemblent, se dispersent, reviennent, et forment autour d’elle une parure vivante plus majestueuse que n’importe quelle aile matérielle. Chaque battement crée une pulsation de lumière, comme si le monde respirait avec elle. Quand elle bouge, sa robe n’est plus un tissu : c’est un voile d’ombre liquide, parcouru de scintillements mouvants, un vêtement qui semble tissé de nuit et de magie ancienne.

Dans cette forme féerique, tout en elle est plus vrai, plus intense, plus fragile aussi. Son parfum devient celui de la rosée nocturne, de l’encens léger, de quelque chose de vieux comme les étoiles. Les papillons qui l’entourent sont sensibles à sa moindre émotion : ils s’agitent lorsqu’elle s’inquiète, se regroupent lorsqu’elle a peur, s’élèvent lentement lorsqu’elle rêve.

Et s’il arrive, sous sa forme originelle et sa forme d’emprunt, que quelqu’un prononce le mot “amour” en sa présence… un éternuement cristallin la traverse, pur et involontaire, et la nuée entière explose en gerbes de lumière, se dispersant comme une pluie d’étoiles avant de revenir se poser contre sa peau translucide.

Séliane Noctelume est ainsi : une femme dans le monde des mortels, une lueur vivante dans celui des fées. Deux formes, l’une maîtrisée, l’autre essentielle. Deux visages, mais un seul cœur, celui d’une princesse nocturne que la lumière suit partout, comme un serment ancien.


✦ Caractère de la Princesse de la Cour Nocturne

Séliane Noctelume possède cette douceur silencieuse des êtres anciens, une façon de marcher dans le monde qui ne fait jamais de bruit, mais qui imprime toujours une trace. À première vue, elle semble calme, presque effacée, comme une jeune professeure timide et réservée, celle dont le regard se perd parfois dans les rayons de poussière qui traversent un amphithéâtre. Mais derrière cette façade délicate se cache l’élégance immobile d’un être qui a vu plus de saisons que la plupart des royaumes n’en ont jamais connus.

Elle parle peu. Non par froideur, mais parce qu’elle choisit ses mots avec un soin presque rituel. Sa voix, douce et basse, est toujours un peu trop belle, un peu trop maîtrisée pour appartenir à une simple humaine. Chaque phrase semble chargée d’un sens caché, d’un sourire retenu, d’une mélancolie ancienne qu’elle dissimule avec une grâce infinie.

Séliane n’est pas distante : elle est prudente.

Ses précepteurs féeriques lui ont appris depuis longtemps que le silence protège mieux que la parole, et que l’information donnée trop vite peut devenir une arme contre soi. Ainsi, elle observe. Elle écoute. Elle attend. Les mortels, fascinants et imprévisibles, la surprennent chaque jour par leur honnêteté brutale, leur fragilité flamboyante, leur capacité à aimer sans se soucier du prix. Cela la touche plus qu’elle ne l’avouera jamais.

Sous ses airs de princesse éthérée, il y a aussi une part de curiosité enfantine, une étincelle féérique que mille siècles n’ont jamais éteinte. Elle s’émerveille encore d’un simple rire, d’une étincelle de magie nouvelle, du bruit de la pluie contre une fenêtre… même si cette dernière représente une menace bien réelle pour elle. Lorsqu’elle apprend quelque chose, elle se penche en avant, les yeux brillants, comme si une part d’elle retrouvait l’enthousiasme d’une très jeune fée découvrant le monde pour la première fois.
Elle est douce, oui. Mais pas fragile. Sa douceur est une décision, pas une faiblesse.

Séliane peut être redoutablement ferme lorsqu’il le faut. Une princesse féerique n’élève pas la voix : elle la fait résonner. Ses colères sont rares, mais lorsqu’elles se manifestent, les papillons autour d’elle deviennent des éclats de lumière vive, l’air lui-même semble vibrer, et son regard prend cette intensité lunaire qui rappelle à quiconque la regarde qu’elle n’est pas de ce monde.

Elle éprouve des émotions fortes, mais les exprime avec retenue. La mélancolie la suit souvent, comme une ombre à peine visible, celle d’une vie trop longue pour un cœur trop sensible. Elle s’attache lentement, très lentement, mais lorsqu’elle le fait, c’est un lien indéfectible, presque sacré. Sa plus grande peur ne vient pas de l’eau ni des mortels… mais de perdre ceux qu’elle apprend à aimer malgré elle.

Et il y a, bien sûr, cette faiblesse adorable et cruelle que les mortels ignorent : ce mot qu’elle ne peut entendre sans trahir son sang. Amour ou "Je t'aime". Un simple son, et son corps la trahit avec un éternuement cristallin, ridicule et féérique, qui la fait rougir comme une enfant. Elle déteste ce réflexe, mais il trahit peut-être l’essentiel de sa nature : derrière mille années de maîtrise, le cœur de Séliane est encore pur, encore tendre, encore vibrant.

En somme, elle est un paradoxe vivant : une princesse puissante et une jeune femme maladroite, une érudite patiente et une fée émotive. Une observatrice royale et une âme qui cherche, parfois, simplement un endroit où se sentir en sécurité.

Séliane Noctelume, sous ses ombres et ses lumières, est un être qui a passé mille ans à apprendre à ne pas se briser, et qui, pourtant, pourrait fondre au son d’un rire sincère.


✦ Histoire intégrale de l’Héritière des Lueurs Vivantes

Princesse de la Cour Nocturne — Gardienne des Fées Endormies — Exilée du Royaume Éteint

Le Royaume Nocturne n’a pas toujours été un lieu d’ombres et de murmures. Autrefois, c’était un sanctuaire suspendu entre lumière et nuit, un domaine où les fées vivaient sous la bénédiction de la Lune Ancienne, nourries par la magie sacrée du Flux Stellaire.

L’histoire commence ici. Là où est née Séliane Noctelume. Troisième enfant du roi Aeonar et de la reine Lysanthéa, héritière d’une lignée dont la pureté lumineuse est si intense que sa naissance illumine le palais trois nuits durant.


✦ La Cour Nocturne

Le royaume est dirigé par la lignée Noctelume et sa structure est aussi ancienne que les étoiles.

Aeonar, le roi, est le Gardien du Flux Stellaire, dépositaire de l’art le plus sacré :
la Stase Arcanique, un rituel capable de figer une fée dans la lumière vivante sans altérer son essence.
Il maintient l’équilibre entre les éclats féeriques et les ombres qui tentent parfois de s’immiscer aux frontières du royaume.

Lysanthéa, la reine, est la Voix des Mille Destins, celle qui ne voit pas l’avenir, mais tous les futurs possibles.
Elle garde les rites, les archives, les pactes oubliés, et sent les courants du destin comme d’autres sentent le vent.

La Cour elle-même se divise en trois cercles :
Les Astres, les anciens luminescents, conseillers du trône.
Les Chants, diplomates, tisseurs de savoir, érudits.
Les Lueurs, la garde royale et les veilleurs frontaliers.


Séliane appartient aux trois, chose rarissime, symbole d’un destin plus vaste que celui d’une simple princesse.


✦ Le commencement de la fin

L’harmonie du Royaume Nocturne se fissure le jour où les étoiles cessent de répondre.

Une dissonance parcourt le Flux Stellaire. Une ombre silencieuse, un froissement noir qui rampe entre les constellations féeriques. Les courants d’énergie se déforment, pervertis comme rongés de l’intérieur.

Puis… La faille apparaît.


Une déchirure dans la magie. Un lieu sans lumière.

Dans les archives de Lysanthéa, on parlait d’une entité ancienne, un être oublié : le Mange-Lumen, créature enfermée jadis dans les profondeurs du royaume, affamée de lumière.

La faille lui ouvrit une brèche.

Alors les symptômes se font sentir partout : les champs de lumière s’éteignent, les ailes des fées pâlissent, les papillons-lumière se désagrègent dans l’air, certains enfants cessent littéralement… de briller, les frontières magiques tremblent. La Cour Nocturne comprend trop tard l’ampleur du danger.


✦ Le choix impossible

Aeonar, dans un élan de désespoir et d’amour pour son peuple, prend une décision que l’Histoire n'oubliera jamais.

Il rassemble les fées les plus vulnérables et les plus puissantes : enfants, guérisseurs, artistes de lumière, membres du sang royal. Dans la salle du Trône-Étoile, sous les constellations vivantes, il invoque la Stase Arcanique.

Le palais tremble.

Des dizaines de fées sont plongées dans un sommeil cristallisé, protégées de la corruption, mais totalement dépendantes de celui qui veille sur elles. Mais ce sanctuaire ne peut rester dans leur monde. La faille cherche la lumière. Le Mange-Lumen sent les cœurs féeriques comme des lanternes dans la nuit.

Il faut les cacher ailleurs.


✦ La mission confiée à Séliane

Lysanthéa, l’esprit encore embrumé de visions, posa sa prophétie sur le destin de leur fille :
"Ceux qui dorment doivent se réfugier là où les arbres n’ont pas de fin,
où la brume chante et où les morts n’osent s’approcher.
Là, la luminescence survivra."

Aeonar place un fragment du Flux Stellaire dans le cœur de Séliane, un poids immense, une source de lumière… et une porte potentielle pour l’ombre. Elle est choisie parce qu’elle seule possède : la lumière vivante, la maîtrise du Voile Nocturne, l’autorité royale, la force de supporter l’exil, et la discrétion d’un papillon nocturne.

Son départ n’est pas une fuite. C’est un sacrifice. Le roi pose sa main sur son front.  La reine incruste sous sa peau la lumière vivante, symbole de leur lien. Le portail est ouvert.

La princesse traverse. Et la Terre, vaste, dense, étrangère, la reçoit comme une goutte de lumière dans un océan d’ombres.


✦ Aokigahara — Le sanctuaire des endormis

Séliane arrive avec son fardeau : des dizaines de pierres-lueurs, chacune battant comme un cœur endormi. Elle erre plusieurs jours, guidée par l’instinct féérique vers un lieu où la magie respire encore. Elle trouve Aokigahara, la mer d’arbres, au pied du Mont Fuji.

Une forêt où les racines s’entremêlent comme un vieux sort, la lumière tombe en filets d’argent, la mousse recouvre tout d’un velours ancien, les chemins changent, les boussoles s’égarent, les brumes semblent écouter.

L’endroit est parfait : mystérieux, vivant, intemporel. Elle enfouit les fées en stase : au cœur des arbres les plus anciens, sous des couches de brume luminescente, dissimulées par des illusions n’apparaissant qu’aux cœurs purs. Elle scelle le sanctuaire. Un sceau qu’elle seule peut briser.


✦ Les conséquences

Mais rien n’est jamais sans prix. L’entité qui ravage leur monde sent encore le Flux Stellaire. Aokigahara est devenue un masque, mais aussi un aimant.

Les failles peuvent s’y rouvrir. Elles apparaissent comme : des papillons d’encre, des lueurs noires entre les troncs, des étoiles éteintes tombant du ciel. Certains humains sensibles peuvent s’y perdre… et devenir les vecteurs involontaires de la corruption.

La prophétie de Lysanthéa hante Séliane :
"Quand mille ailes se briseront sur la neige, la fin te rejoindra. Quand la lune saignera, l’espoir renaîtra."

Et plus elle use de la magie royale, plus le Mange-Lumen peut la repérer. Elle porte en elle une part du Flux… mais aussi une porte.

Réveiller les fées trop tôt les condamnerait. Le faire trop tard les éteindrait pour toujours. Elle marche donc sur un fil ténu, une frontière entre le devoir et l’impossible.


✦ Son masque humain

Sous ses gestes gracieux, sous son sourire doux,  nul ne devine que derrière ses yeux se cache : une princesse en exil, la gardienne de vies endormies, la dernière héritière d’un royaume suspendu, la veilleuse de la mer d’arbres, une lumière qui refuse de s’éteindre.

Chaque nuit, lorsqu’elle regarde la lune, un frisson passe dans ses yeux. Car elle sait ceci : son peuple ne dort pas. Il attend. Et tant qu’elle n’aura pas trouvé comment guérir la Nuit Fendue,  les fées de Noctelume reposent sous les racines d’Aokigahara, dans leur berceau de lumière fragile.


✦ Le Diplôme d’Aokigahara & l’arrivée à la Faculté

Après avoir scellé le sanctuaire des fées endormies, Séliane demeure quelque temps dans Aokigahara, comme absorbée par le murmure ancien de la forêt. Mais la Terre a ses lois, et pour protéger les siens dans ce monde, elle doit adopter ses règles : pour enseigner, il faut un diplôme reconnu. Les humains parlent de “formation”, de “validation”, de “certification”. Des mots lourds, rigoureux, qui tissent un filet administratif autour du savoir.

Alors, au cœur de la mer d’arbres, dans un clairière où l’air vibre comme un souffle retenu, Séliane entreprend l’examen de Professeur pour la matière Histoire & Origines de la Magie.

Les examinateurs, des érudits liés à d’anciens sanctuaires oubliés, arrivent un par un, guidés par un appel qu’ils ne peuvent expliquer. Ils la trouvent debout entre les troncs, la lumière nocturne glissant sur elle comme un voile liquide.

Son épreuve dure trois jours humains… mais ceux qui en sont témoins jurent ensuite que le temps n’y a pas tout à fait la même texture. Les heures s'étirent, puis se contractent. Les pages des grimoires tournaient d’elles-mêmes. Les mots gravés sur les parchemins pulsent comme s’ils reconnaissent en elle une ancienne alliée.

Elle répond sans hésiter, avec une justesse irréelle sur les lignées magiques, les résonances des rituels antiques, les fractures entre les mondes. Parfois, lorsqu’elle aborde un sujet touchant au Flux Stellaire ou aux civilisations féeriques, un souffle lumineux traverse la clairière, si discret que nul n’ose vraiment dire qu’il a vu.

Les érudits échangent des regards lourds de sens. Un mortel a besoin de plusieurs années. Elle, quelques jours. Ils lui remettent son diplôme en silence, comme s’ils craignent de profaner un rite plus ancien qu’eux.

L’un d’eux murmure :
- Ce n’est pas que vous apprenez vite… C’est que la connaissance vous connaît déjà.

Et Séliane s’incline, humble, mais le regard un instant voilé par une lueur profonde, presque trop ancienne pour ce monde.



Quelques semaines plus tard, elle descend du bus qui mène à Seikusu, vêtue sobrement d’une robe d’un violet si profond qu’on pourrait la croire noire, piquetée de minuscules éclats de lumière, son allure humaine parfaitement maîtrisée.

La Faculté s’élève devant elle, moderne, tranquille, sans imaginer qu’une princesse du Royaume Nocturne vient d’en franchir le seuil.

La lumière du matin glisse sur ses cheveux sombres, puis sur la plaque d’or clouée à la porte de sa salle :
Professeure S. Noctelume
Histoire & Origines de la Magie

Elle inspire doucement, sentant l’écho du Flux Stellaire vibrer sous sa peau. Puis elle entre.
C’est son premier jour de son enseignement sur Terre. Le début de sa mission silencieuse. Le commencement d’un nouveau masque… et peut-être, quelque part, la première pierre du salut de son peuple.

✦✦✦✦✦✦✦✦✦✦✦✦✦

✦ MAGIES DE LA PRINCESSE DE LA COUR NOCTURNE ✦

Magies Royales

Héritage d’Aeonar — Flux Stellaire
Séliane possède une bonne résonance du pouvoir de son père, le Gardien du Flux Stellaire. Elle peut percevoir la magie vivante, renforcer de façon limitée les Stases Arcanique qu’il a créées, et sentir lorsqu’elles se fissurent.
Chaque utilisation affaiblit la lumière de ses papillons et fatigue son corps.

Héritage de Lysanthéa — Souffle des Mille Destins
De sa mère, la Voix des Mille Destins, elle tient une sensibilité aux chemins possibles. Elle perçoit parfois des fragments d’avenirs probables au contact d’êtres ou de lieux, et peut infléchir légèrement le cours d’un événement mineur.
Un usage excessif provoque vertiges ou désorientation, et attire des créatures sensibles aux lignes du destin.

Magies Féériques (non royales)

Loi de l’Eau
Une simple goutte sur sa peau dissipe son apparence humaine et révèle sa forme féérique.
C’est une règle immuable, propre aux fées de sang pur originaires de la Cour Nocturne.

Papillons-Ailes
Ses ailes ne sont pas matérielles : ce sont de petits papillons lumineux qui forment une nuée vivante.
Ils réagissent à ses émotions, servent de support à sa magie, et se dispersent lorsque son pouvoir fluctue.

Magie Naturelle
Séliane manipule subtilement la vie, les émotions et la nature :
faire éclore une fleur, illuminer une pièce, guider une créature douce. Elle ne peut créer de destruction : la magie féerique refuse d’être une arme.

Malédiction du Mot “Amour”
Lorsque quelqu’un prononce le mot “amour” (ou “je t’aime”) en sa présence : un éternuement cristallin la traverse, et ses papillons explosent brièvement en gerbes lumineuses avant de revenir vers elle.
Pendant un instant, ses émotions deviennent impossibles à masquer.

Lien aux Fées en Stase
Séliane est chargée de protéger et de maintenir les fées placées en sommeil profond par Aeonar.
Elle veille à leurs stases dans la forêt cachée et sent instinctivement lorsque l’une d’elles s’affaiblit. Une seule goutte de son sang pur peut maintenir la stase en cas d’affaiblissement. Une goutte de sang hybride ou démoniaque dissout la stase et réveille la fée trop tôt puis la fait choir du côté plus ténébreux.


Possession : aucune pour le moment.

Comment avez-vous connu le forum ? par les Astres

Avez-vous des doublettes ? Pas à mon souvenir
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Catalina Taylor le lundi 24 novembre 2025, 18:56:43 »
Un frémissement d'anticipation courant contre sa peau, la jeune femme sourit de toutes ses dents en écoutant la réponse de Tank. Elle ne se fait pas prier quand il soulève sa cuisse pour la caler contre ses hanches, et elle s'accroche à ses épaules afin de l'y aider. Un petit halètement d'impatience souligne le moment où sa culotte se retrouve arrachée, ruinée par la force du criminel, et c'est un gémissement d'extase qui glisse hors de ses lèvres entrouvertes pour saluer l'introduction du chibre dans sa fleur trempée.

« Oooh, oui… Souffle-t-elle en se hissant complètement sur lui à l'aide de ses mains, venant enrouler ses jambes autour de sa taille alors qu'il est calé bien au fond de son intimité. Et si vraiment je ne peux plus marcher… Mmh, alors peut-être que je te détacherais pour que tu me ramènes chez moi… »

Lui offrir ainsi de découvrir où elle habitait ne lui faisait pas peur. Son sixième sens, verrouillé sur sa personne, la préviendrais bien vite de toutes « représailles » qu'il pourrait avoir envie d'exécuter. Le pire qui pourrait arriver serait de dévoiler son identité civile. Mais même ce détail ne l'embêtait pas.

Le genre qui… aaah, oui ! Qui aime vraiment ça ! S'exclama-t-elle dans un gémissement tandis que ses reins accompagnent les mouvements de bassin du colosse. Le genre… Ooh, oui, comme ça ! Le genre qui n'a pas peur de te supplier de la ravager avec ta grosse queue, Tank, mmmh… »

Oui, peut-être bien que Calamity était nymphomane sur les bords. Elle n’avait en tout cas aucun scrupules à se montrer docile et obéissante quand il s'agissait d'avoir ce qu'elle voulait. Ou agressive et déterminée. Peut-être que ce n'était pas très héroïque de sa part, mais elle était humaine avant tout.

Ses hanches se balançaient, cognant contre le bassin de l’homme, tandis qu'elle l'aidait à la ruiner comme une petite chienne en chaleur. Elle profita de sa position, accrochée aux épaules et à la taille de Tank, pour pousser contre le mur, l'incitant à se tourner et à la coincer contre le mur auquel il était attaché. A la plaquer contre la roche pour mieux lui casser les reins avec ses coups de butoir brutaux.

« Ah, putain, oui ! Défonce-moi Tank, gémit-elle en arquant ses reins. Remplis-moi jusqu’à ce que j’en dégouline, s’écria-t-elle crûment alors qu’elle griffait les épaules de l’homme en s’accrochant férocement à lui. »

A cet instant, elle ne pensait plus du tout au collier qu’elle lui avait subtilisé. Elle ne songeait qu’à la sensation absolument délicieuse, indécente, de son chibre qui la fourrait sans merci. Elle ne pouvait penser qu’à la sensation de son corps contre le sien, à la manière dont ses hanches cognaient contre les siennes, la faisant se sentir remplie, complète et absolument décadente.
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Base Spatiale / Re : Je te trouverai aux confins de l'univers [Jack Marston]
« Dernier message par Anéa le dimanche 23 novembre 2025, 23:46:47 »
Que cette ange était gourmande. Si elle avait été pure durant sa longue vie céleste, cela remontait à tellement longtemps qu'on ne l'aurait jamais cru. Tout au contraire, Anéa, délicieusement positionnée entre les cuisses de Jack, démontrait là tout son « potentiel » démoniaque, semblable à une succube, ou même une tigresse prête à dévorer sa proie. Et puis, quelle proie ! La chasseur de primes était plus que bel homme, en plus d'être un amant des plus passionnés. Les yeux de glace de la guerrière brillait d'une lueur plus vicieuse, plus perverse, lorsqu'elle le sentit accompagner les caresses buccales de la demoiselle. Intérieurement, sur le moment, la déchue avait gagné selon elle, même si au fond, il n'y avait clairement aucune compétition. Ils n'étaient là, ensemble, que pour assouvir leurs désirs de la soirée, et peut-être même plus, qui sait.

Anéa est joueuse. C'était toujours ainsi qu'elle fonctionnait : tout faire pour frustrer « son homme » et qu'il finisse par craquer et se jeter sur elle. Rien que cette partie-là valait tout l'or du monde, tellement le moment n'était que jouissance. Mieux que la bouffe !

Gouluement, l'ancienne archange, encore ruisselante de perles d'eau, comme si sa peau était couverte de petites pierres précieuses, aspira le membre du mercenaire galactique. Doucement, elle avala, dégusta même tout ce que Jack avait à lui offrir. Plus fort. Plus profond. La demoiselle lui notifiait parfois en pressant son tendre et musculeux fessier, jusqu'à lui en laisser de délicieuses marques de griffure. Lorsqu'il quittait la chaleur de sa bouche, la semi-démone en soupirait d'aise, pour ne pas dire d'extase, mais ça serait s'avouer déjà vaincue. Elle reprenait son souffle alors qu'un fin filet de salive la reliait à ce vît pulsant et tendu qui lui ravageait la gorge. Et à chaque fois qu'il y replongeait, elle n'en perdait que plus la tête.

Son esprit perverti par la luxure, Anéa offrit, sans rien dire, une petite « surprise » à son amant du moment. Elle fit apparaître un très léger pan de son physique démoniaque, en la présence de son piercing sur la lèvre inférieure. Celui-ci amena de nouvelles et nombreuses sensations à cette fellation, qu'on pourrait même appeler « séance de ramonage ». Bien que légèrement contrainte de subir ses assauts consentis, la guerrière espérait que chaque partie moite explorée était un bon fourreau que le chasseur galactique n'oublierait pas de sitôt.

La jeune femme à la chevelure de jais sentait chaque veine caresser, frotter contre ce nouveau jouet, qu'elle fit pourtant disparaître aussi vite qu'il n'était apparu. Encore et toujours de la frustration, pour lui comme pour elle en réalité. Si le sang pouvait lui faire atteindre un point de non-retour au niveau de son insanité démoniaque, ce jeu de frustration ne la conduisait que vers une folle luxure encore plus délirante, et elle aimait s'y complaire.

Furtivement et avec douceur, Anéa repoussa Jack de ses mains appuyées sur ses cuisses, se défaisant de cette puissante et savoureuse emprise. Son visage, pourtant à la peau diaphane, était rougi de l'ivresse du moment, de la chaleur des ébats, tout juste martelé des vas et vient. Le regard de glace de la jeune femme brûla d'une toute nouvelle étincelle. Taquine, elle se détacha de lui, pour lui faire face. Presque dansante devant lui, une main espiègle descendit jusqu'à son intimité et se faufila entre ses lèvres intimes, jouant un peu, avant de remonter ses doigts trempés jusqu'à sa propre bouche. Doigt par doigt, sans jamais quitter des yeux son fabuleux amant, l'archange déchue vint les suçoter avec envie. Vile tentatrice qu'elle était !

Ce n'est qu'après cet instant gourmandise que la jeune femme se retourna avec grâce, avançant félinement à quatre pattes sur le sofa, laissant à Jack le loisir d'observer les ondulations de ses hanches et de son derrière de nacre. Elle abaissa son buste contre le tissu du canapé. Sa croupe resta fièrement dressée. Qu'il la matte, la touche, la goûte...Qu'il fasse tout ce dont il avait envie de faire. Le visage un peu recouvert de mèches brunes trempées, ses iris perçants, la demoiselle secoua lascivement les hanches, pour appeler son compagnon de soirée à continuer de se donner du plaisir mutuellement, encore et toujours...Il avait le choix.
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Les terres sauvages / Re : Vois plus loin que ce que tu regardes. [Guillot de Belloy]
« Dernier message par Calypso Wymfire le dimanche 23 novembre 2025, 23:46:04 »
Pour la demoiselle Calypso, il n'y avait pas trente-six solutions : si ce jeune homme se prénommant Guillot se trouvait dans cette grotte, ce n'était clairement pas le fruit du hasard. Même si Miss Wymfire était une vampire, donc une chasseuse de par nature, elle n'en avait clairement pas les instincts. Si le chevalier avait su remonter jusqu'à la grotte, c'est sûrement que ses empreintes de pas y menaient. Il est certain qu'en temps normal, la jeune femme prenait des précautions, mais avec le changement d'endroit, de cachette, et les événements récents dans le secteur, elle se hâtait toujours lorsqu'elle devait quitter la sécurité de sa sombre grotte humide. Visiblement, il n'avait fallu qu'une seule sortie pour qu'elle soit finalement découverte.

Même si ce Guillot semblait bien intentionné, il n'en restait pas moins un homme protégé de son armure et donnant la sensation de clairement savoir se servir de cette épée attachée à la taille. Un mot de travers et la sang-froid n'était plus...Et peut-être que finalement, ce n'était pas si mal. Peut-être que c'était ce qu'elle souhaitait du plus profond de son âme. En-a-t-elle encore une ?

- Je...Je suis une vampire. Cependant, je ne vois que du sang animal. Je vous le jure...

Même avec de telles paroles, Calypso doutait de convaincre l'homme qui lui faisait face. Les individus de son espèce avaient la réputation d'être manipulateurs, sadiques et obsédés sexuels. Sûrement que ce chevalier devait être au courant de ces aspects connus de buveurs de sang. La demoiselle rajouta, incapable de mentir.

- J-je n'ai tué personne...Ni kidnappé personne. Je suis trop faible pour ça. Mais...Il y a quelque chose par ici, que je ne saurai identifier...C'est sûrement ça qui s'en prend à ces gens !

Calypso inspira longuement, cherchant un peu ses mots, ses yeux d'un vert pâle glissant sur ses pieds nus et abîmés.

- Si...Si vous chassez cette chose, faites vraiment attention...Même moi, qui suis pourtant, enfin, vous savez...J'ai peur.

Était-ce réellement une valeur à indiquer ? Pas vraiment, vu que Calypso n'aimait et ne savait clairement pas se battre. Bien qu'elle soit une immortelle, que les années n'avaient plus d'effet sur elle, Miss Wymfire était plus semblable à une petite souris effrayée et inoffensive, qu'à une meurtrière assoiffée de sang, comme certains aimeraient le croire.

- Je ne sais pas ce que c'est...Je ne suis pas...Je suis qu'une piètre chasseuse qui ne s'attaque qu'aux petits mammifères...Mais ça, ça là, ce qui traîne dehors, dans les bois, ce n'est pas à prendre à la légère. J'en ai presque des frissons rien qu'à imaginer cette chose s'en prendre à moi...

La piteuse vampire s'était montrée sincère dans ses propos. Tout ou presque avait été mis sur la table. Cependant, la décision finale revenait à celui qui possédait la meilleure arme, ainsi que la meilleure défense, et ce n'était clairement pas Calypso. C'est toujours recroquevillée sur elle-même, les yeux sur sa propre apparence des plus pitoyables que la sang-froid lança d'autres mots.

- Qu'allez-vous faire de moi, maintenant ?
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Les alentours de la ville / Re : Pour le biquet de Harley
« Dernier message par Harley Quinn le dimanche 23 novembre 2025, 23:45:23 »
Ouuuuh...Il est fort dangereux de prononcer le nom du Joker en présence de Harley. Cette blondasse folle n'avait beau être qu'une pauvre cinglée, une amnésique qui croyait être un personnage célèbre, celle-ci était persuadée d'être amoureuse de son Biquet. Pour elle, son idylle, bien que tumultueuse pour ne pas dire chaotique, restait l'une des choses les plus réelles et les plus belles sur Terre. De toute façon, qui oserait dire le contraire, surtout lorsque l'on sait que l'Arlequin imprévisible et prêt à éliminer le moindre moucheron qui oserait la contredire. Quiconque osait critiquer Mister J se devait de savoir qu'il risquait gros, très gros. Qu'il risquait de crever, tout simplement.

Bon, sauf si vous vous retrouvez comme ce cher Lance qui avoua avoir des informations sur le fameux Biquet de Harley. Oh ? Oooooh ! Voilà qui était fort intéressant, sauf que la folle aux grelots, et on ne le répètera pas assez, n'avait aucune putain de patience et prit l'unique survivant du massacre au maillet, le secouant comme un vulgaire prunier. Pas certaine que ça fonctionnera correctement ainsi mais c'est la meilleure -et surtout la seule- méthode qu'elle connaisse ! Et visiblement, ça fonctionnait. Ne cherchant pas à provoquer davantage la folle aux grelots et ne souhaitant guère subir son courroux -promis, ce n'est pas le nom de son maillet.-, il se débarrassa de sa fichue cigarette. Et hop, un bon point  de survie pour le monsieur ! Un ! Bon, il faudrait peut-être le relâcher, Harley. En plus, il s'est excusé...sinon il ne parlera jamais et ça, ça voudrait dire ne pas avoir les infos pour trouver notre Biquet d'amour !

Ah. FAUDRAIT SAVOIR, LANCE ! T'as les infos pour Mister J ou pas ?! Oh ho. Y'a Harley qui gronde là. Oh qu'elle est pas contente ! Ça sert à quoi de lui dire que t'as des renseignements si c'est pour lui avouer que finalement, c'est ton patron qui a tout ce qu'il faut pour trouver le Joker ? Hein ? HEIN ? Elle grogne, ça vibre dans sa gorge, et malgré son maquillage blanc, on peut clairement voir que son visage rougit de colère...Pendant un moment, elle se retient. On dirait une grenade qui va péter, mais étrangement, tout en fixant Lance, elle ne bouge pas. Ses yeux bleus pourraient lancer des éclairs sur Lance...Lancer, Lance...HA AH ! Pardon. Un coup, elle penche la tête à gauche, puis à droite, faisant un peu balancier, l'écoutant déblatérer tout le touin-touin du pourquoi du comment, du jm'en fous, j'veux mon Biquet !

« Mmh...Mouaiiiis...J'vois le deal mais pas d'entourloupe ! Puis, si j'laisse mon maillet ici, faudra m'en payer un tout beau, tout neuf ! Ah, et j'le veux aux couleurs de Biquet ! »

Autant en profiter, hein ! C'était à prendre ou à laisser, mais en vrai, elle allait dire oui dans tous les cas ! Obligée ! Il lui fallait ces informations sur Mister J, coûte que coûte ? Cela faisait bien trop longtemps qu'elle ne l'avait pas vu et, au fond, Harley se demandait même s'il était encore au pays du soleil levant...Peut-être avait-il mis une famille de yakuzas en colère, et Dieu sait qu'il ne faut pas les avoir sur le dos, même pour un gars comme le Joker !

« Bon, hein ! Qu'est-ce qu'on attend ? J'ai pas qu'ça à faire ! Direction votre patron ! »

Instantanément, le faux Arlequin relâcha son gros maillet couvert du sang des hommes de main de Lance, pauvres gars. Il fracassa le sol dans un son lourd...Elle se mit à sautiller vers la sortie, prête à suivre son nouveau copain. Les eaux internationales, hein ? Ça sentait la baston et les emmerdes...Parfait !
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Le coin du chalant / Re : Maeilera - Chaland de rp ~
« Dernier message par Lyli le dimanche 23 novembre 2025, 22:32:58 »
Je dis pas non, mais ça sait nager une licorne ? o_o
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Randal Dragunov le dimanche 23 novembre 2025, 18:06:30 »
Et dire que l'imposant personnage se comparait à un roi plus tôt dans la journée quand il se faisait sucer allègrement par une sorcière aux pouvoirs impressionnant dans cette cabine d'essayage. Ce n'était rien comparé à la vision du moment. Sur ce qu'elles montrent toutes les trois, aucune ne peut égaler Céleste si il fallait les noter de façon personnelle. Sauf qu'avoir trois bouches qui viennent s'occuper de son membre ensemble fait un effet précis au mâle qui savoure l'instant en ne manquant pas de jeter des coups d’œils à sa partenaire qui s'est mise à l'aise non loin de là.

La crainte qui occupait les pensées des filles quand elles ont les dimensions du bout de viande en pleine possession de ses moyens a vite disparue une fois qu'elles y ont goûté. D'une main ferme, Randal enregistre avec précision la scène qui se déroule à ses pieds. Une bouche qui vient lui lécher la hampe par ici, une langue qui passe sous son gland par là... Tout ça est très amusant et aucune d'entre elle ne s'est encore vraiment lancé dans le vif du sujet. Elles sont plutôt occupées à prendre la température et s'échauffer la gorge jusqu'à ce que la patience du richissime mafieux le titille.

Sans trop forcer il pousse tout doucement dans la bouche de la blonde qui se doit de montrer l'exemple. Des trois c'est presque l'aînée dans un sens. Mais un sourcil se lève sur le visage du bonhomme quand il entend Céleste leur prodiguer des conseils... en anglais. Amusé il lui rétorque.


- C'est donc la première chose que tu trouves à dire dans leur langue ? Hahahaha !


Absorbé par cette surprise il en oublie la blondinette qui est en train de s'étouffer sur sa queue. Pas vraiment navré de son geste, il s'excuse pour la forme tandis que sa victime recrache ses poumons. Si les deux autres femmes espèrent qu'il prendra une pause pendant ce temps elle se trompent lourdement. Bite à la main, il la présente à tour de rôle devant leur bouche et s'y enfonce un bon tiers. Les échanges de fluides sont rapides. Ca gicle à chaque fois qu'il passe d'une bouche à une autre. Elles n'ont pas vraiment le temps de reprendre leur souffle non plus.


- Mais-mfffff !
- Dou-mfffffff-ent !
- Tu vas-mnnnnnnn !
- Trop vi-pfffffff !



Et à peine son visage apparu à côté de celui de ses amies alors qu'elle a les joues toutes rouges, la blonde y passe aussi en revenant bouffer cette queue trop grosse pour sa petite bouche dans un son étouffé. Ce jeu continue jusqu'à ce que les trois allumeuses comprennent leur erreur. Les yeux pleins de larmes et le souffle court après cette intense session qui n'aura duré qu'une minute.


- Vous avez eu le temps de vous échauffer. Maintenant on va pouvoir passer aux choses sérieuses. Voyons qui est la plus gourmande du lot.


Les minutes qui suivent son un florilèges de remarques bien dégueulasses entre filles tandis qu'elles s'entraident les unes les autres pour tenter de le pomper en allant au gros maximum jusqu'à un peu plus de la moitié. C'est sale, dégoulinant. Par instant on peut voir la rousse s'amuser à enrouler les filets de bave trop épais avec ses doigts pour les étaler sur la queue veineuse.

Après 5 bonnes minutes le couperet tombe. La fille aux cheveux bleus finis première, la blonde seconde et la rouquine bonne dernière. Un classement qui ne correspond pas forcément à leur dévouement ou leur "slutiness" comme aime le dire la blonde.


- La grande gagnante est donc...
- Shana.
- Et elle a gagné quoi ?
- La plus grosse éjac' faciale de sa courte vie.
- T'en es vraiment capable ?
- Et nous ?
- Vous aurez les miettes. Comme ça vous ferez mieux la prochaine fois.
- Et qui a décidé qu'il y aura une prochaine fois ?
- Moi !
- Ahah, je l'aime bien ton client. Reste à voir si il tient ses promesses.



Durant le quart d'heure qui suit le trio obéit de bout en bout aux demandes de leur mâle pour l'exciter un maximum et le faire éjaculer aussi fort qu'il prétend en être capable. Elles le sucent ensemble, à tour de rôle, se partagent son gland ou ses couilles pour les préparer à leur tâche.

Quand il sent que la fin approche, Randal se tourne vers Céleste qu'il regardait s'amuser dans son coin pour lui dire de le rejoindre d'un signe du doigt. Son regard s'attache autant sur son corps que sur le spectacle de débauche buccale offert par les trois suceuses qui veulent leur récompense.
Dès que la sorcière est assez près de lui le mafieux lui susurre dans l'oreille.


- Touche ma queue. Branle-moi ! Dis-moi si elle n'est pas encore plus grosse, dure et pulsante que tout à l'heure.


Sa réponse obtenue, satisfait, il décide de rappeler sa promesse faites avant leur sortie du bar.


- Quand j'aurais fini de me vider sur ces trois chiennes, ce sera ton tour. Imagine cette bite que tu caresses t'ouvrir le cul encore plus fort que dans le magasin.


Si il y a bien une chose sur laquelle Randal est intransigeant c'est sa parole. Il fait toujours ce qu'il dit. Etc e même si il doit prendre des risques fous ou se mettre dans des situations irréelles.
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Le coin du chalant / Re : Maeilera - Chaland de rp ~
« Dernier message par Maeilera le dimanche 23 novembre 2025, 16:47:28 »
Allez go, je suis sure que c'est Soyeux haha
Plus sérieusement, un rp ?
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