Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Vahipoe

Pages: [1] 2
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Les terres sauvages / Re : Into the wild [PV]
« le: lundi 26 septembre 2022, 23:01:00 »
Je ne comprenais pas tout quand Clad faisait des longues phrases, je me concentrais pour essayer de deviner le fond de sa pensée et la ligne principale. Les femmes de son époque aiment bien le jus de queue pour avoir une belle peau et autres choses que je n'arrive pas à comprendre et d'après quelque chose elles ont raison de faire. Chez lui les femmes mangent du jus blanc quand elles en ont envie même dans la rue devant tout le monde, je réfléchis en continuant de manger mon jus de mon côté. Pourquoi s'embêter de vêtement si les femmes voulaient boire à la queue des hommes, c'était embêtant de toujours baisser leurs pantalons pour y avoir accès. Les humains sont compliqués, ils pourraient se simplifier la vie sur beaucoup de points. « Femme boire jus de queue Clad souvent ? » Ça devait être dur de toujours se faire attraper par les femmes quand elles avaient faim ou soif, parfois on devait avoir des choses à faire et pas le temps.

Il ne me répond pas tout de suite pour venir attraper mon sein propre en bouche pour l'aspirer. « Hiiiiiiiiii. » Je couine de nouveau en plissant les yeux en me dandinant sur le sol, il y avait un mélange de plaisir et de douleur quand il plantait ses dents sur mon téton et mon mont de chair. Je le sentais insisté dessus avec force pour faire tordre mes chairs et mon téton quand il se mettait à insister dessus. Je me tordais sur place, respirant fort ne sachant pas quoi faire parfois je levais les mains quand il y allait fort pour le repousser avant que le plaisir arrive les laissant retomber. C'était un ascenseur émotionnel jusqu'à ce qu'il arrête pour se reculer regardant avec appréciation son sein.

« Clad faire. » Il me coupe en plein vol pour poser ses lèvres sur les miennes, me penchant en arrière pour plaquer son torse contre mes gros obus humides. Sa langue rentre dans sa bouche pour chercher la mienne, tournant autour comme un jeu. Je me laisse guider par ces mouvements pour faire la même chose, avec lui laissant ma bave couler sur nos lèvres et nos mentons. Clad avait des coutumes bizarres de son époque et j'étais contente de les découvrir avec lui, je le laisse se retirer laissant un filet de bave entre nous deux se détachant pour tomber sur mes seins.

« Vahipoe époque Clad ? » J'avais des étoiles plein les yeux en pensant que j'allais découvrir une autre époque que la mienne avec Clad. J'allais devoir suivre tous ses conseils pour bien me faire intégrer quand je serais chez lui et ne pas lui faire honte avec les autres humains. « Pourquoi Clad mordre mes gros obus ? Et faire ça avec lèvres ? » Je pose mes dernières questions tout en m'installant à côté de lui pour passer la nuit. Je me couche sur le dos sur le lit de feuilles et de branchage, mettant mes mains sur mon ventre, ma poitrine tombant sur le côté, j'écoute Clad répondre à mes dernières questions pendant que les yeux commencent à se fermer.

La journée à été dure avec les esclavagistes, la fuite et ce que Clad avait fait avec ma chatte pour qu'elle arrête de couler. « Demain Clad. » Je murmure tombant de fatigue, l'adrénaline s'est envolée et je me sens toute molle et très bien comme sur un nuage. Je ne mets pas longtemps avant de m'endormir à ses côtés, dans la nuit je dois sûrement bouger à côté de lui pour me coller, passer mes jambes autour des siennes ainsi que mes bras.

Le lendemain au premier rayon du soleil je me réveille comme à mon habitude, je me redresse à côté de Clad qui dort encore à l'ombre de l'arbre le soleil ne doit pas lui arriver dans les jeux. Je me lève doucement pour étirer mes jambes et mes bras, j'ai la peau toute collante, je vais vers la rivière pour me passer de l'eau sur le corps pour être propre pour commencer la journée. Je regarde mon sein qui est plein de marques de morsures avec des couleurs bleues et rouge, il est un peu douloureux au toucher.  En silence, je me rends après dans la forêt pour chercher des baies et des champignons pour ne pas partir le ventre vide à la ville, j'en ramène une bonne quantité pour faire le plein d'énergie. « Clad encore dort. » Il a le sommeil lourd, je le regarde nu ronfler à l'ombre de l'arbre pendant que je mange les baies noires très sucrées.

« Vahipoe plaisir à Clad. Montrer être femme comme époque lui. » Je voulais lui montrer que j'allais faire des efforts pour bien m'intégrer quand je serai chez lui. À quatre pattes je m'approche de lui pour me mettre entre ses cuisses écartées, je mets mon visage en face de son sexe à moitié droit pour le soulever avec ma main pour le mettre dans ma bouche. « Boire jus de queue. » Mes lèvres avancent sur son gland pour le sucer, ma langue tourne autour comme hier soir quand Clad avait mis la sienne dans ma bouche.

J'avance ma tête sur sa queue, levant les yeux vers lui pendant qu'il dort encore pour attendre qu'il me donne à boire comme les femmes de son époque.

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Les alentours de la ville / Re : Sauvage et sauvage. * Tani Rei *
« le: lundi 26 septembre 2022, 22:52:44 »
« Argent ? » Même sur terre on devait avoir de l’argent pour acheter des choses, je n’avais jamais ce problème dans ma jungle on utilisait le troc pour avoir ce qu’on voulait. C’était bien plus pratique et il y avait moins de différences sociales entre les personnes. Tout le monde avait une spécialité, moi j’aimais bien la chasse et les récoltes, j’en profitais pour ramener des plantes ou du gibier pour avoir des bijoux par exemple. Et ceux qui préféraient le manuel avaient de quoi manger où se soigner, on trouvait toujours le moyen de s’arranger entre nous pour que tout le monde soit au même niveau. Les humains de la ville se compliquent bien la vie pour rien en créant des inégalités. « Vahipoe manger dans boîte rue. » Je ne savais pas le nom que portaient les poubelles.

« Manger bâton jaune et sauce rouge. » Des restes de frites avec du ketchup dans une boîte pleine de graisse que j’avais trouvée dans une poubelle. « Bon. » Je continuais en même temps de parler de m’amuser sur le cheval en bois, pour garder mon équilibre du mieux que je pouvais pendant que je voyais Tani relever mon défi en montant sur le cheval. « Hiiiiiiiiiiiiiii ! » Je manquais de tomber en basculant sur le côté devant me pencher pour faire contrepoids pour remonter de l’autre côté. « Récompense Tani ? Vahipoe aller dans buisson. » Il avait envie que j’y aille, alors j’allais lui faire plaisir même si j’avais envie de continuer de jouer avec les jeux d’enfants.

Je le regarde dompter l’animal en bois plus facilement que moi. « Tani habitude de cheval bois. » Il devait avoir l’habitude de venir ici pour s’amuser avec les jeux je ne voyais que cette solution pour qu’il puisse tenir si facilement dessus. Je donne le meilleur de moi pour me concentrer et ne pas tomber, quand je finis par perdre l’équilibre en me penchant trop en arrière, je tombe les jambes en l’air lâchant les poignées du cheval. Les jambes en l’air dans la poussière du terrain de jeu, je me redresse sur mon postérieur pour le regarder toujours sur son canasson. « Toi gagné. »

Je me relève en frappant mes fesses pour enlever la poussière qu’il y a dessus me dandinant devant lui pour ne rien oublier, tirant sur mes muscles fessiers vers le haut pour pouvoir passer plus facilement ma main sur mon postérieur généreux. « Récompense. » Les yeux remplis de malice, je cours en direction du buisson tournant ma tête vers l’arrière pour crier à Tani. « Toi attraper moi. » Je n’allais pas y aller sans ajouter une règle, cette découverte de la terre me mettait dans un état d’excitation sans nom.

Je ne pouvais pas m’empêcher de sautiller, de courir partout, de tout toucher, je sentais mon coeur s'emballer dans ma poitrine sans que je puisse y faire quelque chose. Je soufflais fort après ce rodéo, un peu de sueur marquait mon visage et mon corps à la lumière des étranges arbres de métal pendant que Tani avait une vue sur mes grosses fesses qui ondulaient pendant ma course. Je saute par-dessus le premier buisson, pour me cacher derrière à la manière d’un chat attendant sa proie pour lui sauter dessus et c’est ce que je comptais faire quand Tani allait pointer le bout de son nez vers moi. « Hiiiiiii. » C’était la première fois depuis longtemps que je prenais autant de plaisir à m’amuser sans me sentir en danger avec quelqu’un.

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Centre-ville de Seikusu / Re : La grande découverte. * Bando *
« le: lundi 26 septembre 2022, 22:40:11 »
Je m'attaque à un pot, mes dents glissent sur le plastique blanc arrachant du papier que j'enlève de ma bouche trouvant que ce n'était pas très bon et d'un coup je viens percer l'opercule du dessus sentant quelque chose couler dans ma bouche. « Bon. » J'écarte le trou avec mes doigts pour passer ma langue dans ce qui se trouvait être un simple yaourt, je colle ma bouche contre le pot pour aller chercher le liquide crémeux qui coule sur mes joues cuivrées. Je me régale, je n'avais jamais trouvé cette chose dans les poubelles de la rue, c'était le meilleur aliment que j'avais mangé depuis que j'étais sur terre. Je lève la tête tapant sur le pot pour récupérer tout ce que je peux, déjà prête à en prendre un autre quand j'ai fini.

Dommage pour moi, mon festin va avorter plus tôt que prévu, trop contente de pouvoir enfin me remplir l'estomac je n'avais pas entendu que je n'étais plus seule dans la cuisine et que le propriétaire avait fait son apparition derrière moi à me regarder dévorer les provisions stockées dans la boîte froide. Je suis surprise quand j'entends une voix m'interpeller, je lâche le pot de yaourt par terre éclaboussant le sol me retournant d'un coup pour me coller les fesses dans le frigo. « Vahipoe désolée. » Je sais que je n'ai pas le droit d'être ici, que j'étais rentrée par effraction dans la maison pour voler de la nourriture.

Avec la panique je n'arrive pas à comprendre ce qu'il me dit, la langue des humains est difficile pour moi et avec la peur j'en perds tout le sens. « Moi avoir faim. Pas méchante. Tout remettre. » Je me penche en avant mes fesses venant s'enfoncer encore un peu plus dans le frigo pour déboiter les éléments qui étaient dedans pour tout faire tomber dans mon dos. « Hiiiiiii. Non. Pas cassé. » Je me retourne furtivement pour voir les dégâts essayant de remettre d'une main ce que je venais de faire tomber et gardant en vue le propriétaire de la maison s'il décide de trop s'approcher de moi. C'est un beau bazar à côté de moi, avec tout ce que j'avais essayé d'ouvrir et manger plus les meubles que j'avais retournés avant.

« Vahipoe rendre oreilles. » Je lève une main vers mes cheveux pour tirer sur une des manivelles du batteur électrique que j'avais encore dans mes mèches pour lui lancer à ses pieds. « Pas punir Vahipoe. » Avec les esclavagistes sur terra j'avais l'habitude de me prendre des roustes quand je faisais des bêtises et là c'était le cas. J'avais vraiment mis le foutoir, les fesses toujours au frais je me dandinais de panique mes seins déclenchant un mouvement de balancier hypnotisant devant l'homme à la serviette.

C'était bien la première fois que je voyais un homme de la terre avec si peu de vêtement, ils n'avaient pas l'habitude de se promener nue comme moi, ils préféraient s'encombrer de tissu inutile qui gratte et qui ne sont pas beaux. « Vahipoe réparer si toi demande. » Il devait sûrement se poser des questions sur mon langage simpliste et mon attitude plus que surprenante. À mon avis, ce n'était pas le moment de lui expliquer toute ma vie sans savoir ce qu'il allait me faire.

4
Centre-ville de Seikusu / La grande découverte. * Bando *
« le: jeudi 22 septembre 2022, 23:08:08 »
Je sentais mon ventre se plier dans tous les sens, j'avais faim, sur terre s'était compliqué de chasser quand on se trouvait dans la ville. Le soir je pouvais bien capturer des rats pour manger, sauf que je ne pouvais pas les faire cuire, faire un feu allait amener des gens vers moi ce qui était une mauvaise idée. Des étranges camions avec des lumières jaunes étaient passés aujourd'hui pour vider les bacs à reste, dans les poubelles s'il n'y avait plus rien de comestible. J'avais déjà regardé, j'avais juste trouvé une boîte avec du gras au fond que j'avais léché pour découvrir le goût. Je m'étais approché des vendeurs de nourriture qui m'avaient fait fuir avec des balais en me criant dessus.

Partout où j'allais avec ma cape abîmée, mes pieds nus, on me prenait pour une mendiante qui fallait faire partir. Même dans la rue, les gens changeaient de trottoir pour éviter de trop s'approcher de moi, les gens de la terre n'avaient rien de gentils. Je marchais dans les rues de la ville en regardant le sol pour espérer trouver de quoi manger, un passant qui aurait fait tomber de la nourriture quand une odeur me fit lever le nez. J'avais encore mon odorat de terranide et il ne se trompait que rarement, je reniflais de la nourriture au milieu de ce quartier. Il était bientôt l'heure de souper pour les hommes de la terre, je me laissais guider à l'odeur arrivant dans un jardin derrière une fenêtre ouverte.

C'était une cuisine avec une casserole sur le feu, je me lèche les lèvres en sentant encore l'odeur. Mon ventre se tord de faim, je regarde dans la pièce voyant qu'il n'y a personne, je sais que ce n'est pas bien. « Vahipoe trop faim. » Et je passe par la fenêtre pour tomber dans la cuisine pour aller vers la casserole sentir la bonne odeur, c'est trop chaud pour que je puisse y tremper mes doigts pour goûter. Je sais que les humains d'ici gardent dans la nourriture dans un objet qui fait du froid pour la conserver, maintenant que je suis là.

« Manger, manger, manger. » J'ouvre tous les placards pour chercher de la nourriture, je mets les affaires par terre m'interrogeant sur ce que je trouve.  « Oreilles ? » Les manivelles d'un batteur électrique sont dans mes mains et je les mets sur ma tête pour m'en faire des fausses oreilles, je tourne mes cheveux autour pour les faire tenir en guise de décoration. « Habits. » Je sors des serviettes d'un tiroir, regardant les belles couleurs et les motifs, j'enlève ma cape dévoilant mon corps nu pour essayer de les poser sur moi. Je les pose sur mes seins essayant de les faire tenir sans y arriver, ça doit être pour les petits humains.

J'ouvre une porte tombant sur l'objet froid avec de la nourriture dedans, je me mets à genoux devant, heureuse de pouvoir me mettre quelque chose sous la dent. J'attrape le premier aliment que je trouve, une plaquette de beurre et je croque dedans avec le papier. « Hiiiiiii. » Je crache ce que je viens de prendre, ce n'était pas bon et j'en avais plein les dents et la langue. J'attrape un emballage avec de la viande à l’intérieur pour croquer dedans pour faire passer le goût, je me débats pour libérer la nourriture tirant de toutes mes forces sur le plastique sans y parvenir. Les humains de terre font de drôles de choses avec les aliments à les emballer pour les protéger.

Je suis toujours à genoux derrière la porte du frigo à chercher de la nourriture comestible, mes fesses nues rebondies ressortent de l’ouverture, derrière moi la scène de crime de mon passage. Tout est sens dessus dessous, j’ai vidé presque tous les tiroirs et les placards éparpillant les objets sur le sol et les meubles y cherchant des utilités. J’ai oublié que je m'étais incrustée dans cette maison sans y avoir le droit et que le propriétaire n’était peut-être pas très loin.

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Le coin du chalant / Re : Les péripéties de Galadriel et de sa troupe.
« le: mercredi 21 septembre 2022, 21:11:57 »
VAHIPOE
Les trames que je propose avec Vahipoel :

Un refuge :

Vahipoe souhaite trouver un refuge, pour quelques jours, plusieurs mois… Une maison, une auberge.
Découverte de la terre :

Vahipoe aime aller sur terre grâce à ses boucles d’oreilles qui ouvrent un portail, se promener nue attire souvent l’attention.
Le marché des esclaves :

Vahipoe est sur le marché aux esclaves, le vendeur se demande si profiter d’elle avant la vente ne serait pas une bonne idée.

Puis la vente aura lieu pour lui trouver un Maître. (j’accepte les futas)

À savoir : Vahipoe ne veut pas de cette vie, ne veut pas se faire contrôler, elle va chercher à fuir ou à se rebeller pour retrouver sa liberté. Je cherche quelqu’un de ferme, dominateur, manipulateur.

Un ancien scientifique : 

Vahipoe retrouve un ancien scientifique qu’elle avait attaqué, il n’a pas encore eu l’occasion de se venger et c’est le moment.


Objet précieux : 

Vahipoe trouve un objet avec lequel elle s’amuse, le problème c’est que c’est le vôtre et qu’elle n’a pas envie de vous le rendre. Enfantine, il ne sera pas facile de le récupérer. 
Aventure : 

Vahipoe va accepter une quête dans une taverne sans comprendre ce qu'il se passe réellement, avec de la pitié vous allez l'aider dans son aventure.

À savoir : trame avec des combats.

À votre convenance :

Découverte des créatures qui peuplent Terra, démons, anges, fantômes, ǧinn.
Découverte de la Terre, de l’environnement, des habitants.

...
...

LES RPS EN COURS :



Lexique de Vahipoe :

Poitrine : mes gros obus
Sexe masculin : queue
Sperme : jus de queue ou lait


6
Les terres sauvages / Re : Into the wild [PV]
« le: mardi 20 septembre 2022, 01:50:18 »
Ma jouissance ne voulait pas se calmer en sentant la langue de Clad venir insister sur mon clitoris, ses dents serrer les lèvres de ma chatte, je sentais la pression partir pour mieux remonter en flèche d’un coup entre mes jambes. Je voulais le dire à Clad pour savoir ce qui se passait, pourquoi je ressentais cette sensation de brûlure entre mes jambes et je ne pouvais toujours pas sa queue toujours dans ma bouche qui n’allait pas sortir tout de suite m’empêchait de parler. Je sentais ses bras me ceinturer le buste pour me maintenir contre lui, les yeux ouverts je vois le sol s’éloigner de moi pendant qu’il se lève sur ses jambes. Je me mets à pousser des cris étouffés plus fort, évitant de m’agiter pour qu'il ne me lâche pas sur le sol. C’est impressionnant sous ce sens, si je baisse mes yeux vers le sol, je vois mes longs cheveux caresser ses pieds et si je fixe devant moi j’ai une vue sur ses boules qui s’agitent.

Clad à la force de bouger les hanches en même temps qu’il me porte et me ceinture, les yeux rivés sur lui, je vois sa queue sortir et rentrer de ma bouche ses testicules se collant à mon visage quand il revient vers moi. Je vois et je sens, son sexe qui ramone ma bouche sortant pour mieux me perforer allant au fond de ma gorge me forçant à saliver beaucoup plus que d’habitude. Je n’arrive pas à avaler ma salive et je manque d’air, m’obligeant à baver sur sa queue et ses couilles qui luisent de ma bave pour s’étaler après sur mon visage quand il s’enfonce. Ses boules claquent sur le haut de mon visage, laissant des traces rouges à force de me marteler avec, ne diminuant pas le rythme une seule seconde. Un mélange de sperme et de salive coulait déjà sur mon visage et pour rendre l’union sauvage encore plus lubrique on m’entendait m’étouffer sur sa queue.

Ma respiration se coupait de manière régulière pour laisser entendre sa queue perforer ma gorge dans des sons humides et lubriques, j’avais parfois des relents croyant que j’allais vomir quand il allait trop loin. Il pouvait le remarquer quand je venais à me crisper entre ses bras comme si je me retenais de vomir sur sa queue, j’avais tellement de fluides sur mon visage que mes cils venaient à se coller entre eux et je n’arrivais plus à ouvrir les yeux comme il faut voyant flou. Pour la deuxième fois, je sentais une énorme bouffée de chaleur s’accumuler dans mon bas-ventre pour exploser d’un coup dans un feu d’artifice de fluide sortant de ma chatte sur le visage de mon partenaire. Je venais de jouir une deuxième fois avec la langue, les dents et surtout les doigts de Clad qui m’ouvrait l’anus, je les sentais remuer et ça me faisait perdre la tête.

Gigotant entre ses bras, la tête en bas et toujours avec sa queue dans ma gorge la faisant grossir sous sa taille je ne pouvais pas contenir mon orgasme et celui de Clad arrivait, encore une fois je le sens se vider dans ma bouche. Son jus chaud, onctueux et gluant me brûle la gorge, je n’arrive pas à avaler à cause de son gros gland qui crache son sperme et le gros de son foutre vient sortir de ma bouche pour me couler dessus. Je ne peux pas retirer ma tête dans cette position, je le sens appuyer sur mon corps pour me maintenir empaler sur sa queue, me serrant aussi fort qu’il le peut pendant qu’il se vide dans ma bouche jusqu’aux dernières gicler de son lait.

Quand il finit, il me retourne pour me poser par terre sur les genoux, je me retire de sa queue en crachant encore du sperme qui me restait dans la bouche qui coule sur ma poitrine et mes cuisses. Je passe mes mains sur mon visage pour me dégager les yeux des fluides pour y voir quelque chose, je n’arrive pas bien à les ouvrir voyant quand même que je suis couverte de son lait et mes cuisses sont toutes humides à cause de ma chatte. « Chatte Vahipoe va mieux. » Je me sentais mieux, comme sur un petit nuage, je prenais des grandes respirations venant faire une bulle de sperme avec ma narine qui éclate d’un coup pour me faire sursauter.

« Super Vahipoe. » Je réponds à sa question, pendant que je laisse mettre ses doigts sur mon visage pour prendre son jus et me les enfourner dans la bouche pour que je les lèche. Ma langue tourne autour pour les nettoyer et je les fais glisser en dehors de mes lèvres charnues pour les faire sortir. « Pas gâcher ! » J’attrape mes seins pour les lever vers mon visage pour commencer à lécher ce que j’avais craché quand j’avais retiré sa queue de ma bouche. Je m’aide de mes mains pour faire couler le jus vers ma bouche, laissant ma langue tourner autour de mes tétons encore tendus sous tout ce que j’avais vécu. Je m’arrête seulement pour parler avec Clad, relevant ma tête couverte de sperme et mon petit regard innocent qui contraste avec ce qu’on venait de faire. « Pourquoi seulement femme manger lait chez toi Clad ? »

En attendant sa réponse je retourne m’occuper de mes seins pour les nettoyer, il en reste un peu que j’étale de mes mains pour nettoyer ma peau, maintenant je dois essayer de laver mon visage, je tends la langue sur les côtés pour récupérer ce que je peux. « Vahipoe trouve jus de queue Clad bon. » Je passe mes mains sur mon visage pour racler son jus et l’apporter entre mes lèvres pour me lécher les doigts.

7
Centre-ville de Seikusu / Voyage au bout de la terre. * Grayle le pérégrin *
« le: mardi 20 septembre 2022, 01:44:23 »
Vivre sur terre était aussi compliqué que sur terra, il y avait des gens méchants qui voulaient m’attraper pour me mettre dans des cages, j’avais envie de découvrir ce monde en me promenant dans les rues et je n’avais pas le droit sans me prendre des regards glaçants des passants. Je gardais ma cape pour me couvrir, j’avais compris qu’ici que je n’avais pas le droit de me promener toute nue et je n’avais pas le choix de la mettre pour me cacher. Juste d’être pieds nus, je pouvais entendre les gens me faire des remarques, je ne comprenais pas tout, des mots m’étaient inconnus comme clocharde, SDF mais vu les regards je comprenais que ce n’était pas gentil envers moi et je partais souvent en courant pour me cacher.

Sur terre je me cachais le jour pour sortir la nuit quand il y avait moins de monde dans les parcs et dans rues, à la tombée du voile noir je pointais le bout de mon nez avec ma cape sur les épaules pour découvrir le monde. Je m’approchais des étranges calèches sans chevaux, je regardais les lumières qui clignotaient sur les murs ne comprenant pas comment ça fonctionnait, je volais des restes dans des poubelles pour manger, j'aimais bien la sauce rouge que les humains mettaient sur les pommes de terre. Ce soir, ce n’était pas comme d’habitude, il y avait beaucoup d’agitation dans la ville. Des humains déguisés avec des instruments de musique qui criaient au milieu de la route, il y avait des immenses machines en forme d’animaux et des personnes sur le côté qui applaudissaient sur leur passage.

Par terre je ramasse un masque que je mets sur mon visage comme la majorité des gens qui étaient là, tout le monde semblait content de voir les chars au milieu de la route, c’est vrai que c’était bon. Il y avait beaucoup de couleur, la musique était entraînante et des petits hommes dansaient en mangeant des choses de toutes les couleurs. Cette soirée était surprenante sans pour autant être désagréable, je ne recevais pas d’insultes pour une fois, je me dandinais sous ma cape quant au bout d’une ruelle je remarquais des lumières bleues avec des hommes en uniforme. « Police. » Je n’aime pas la police, ils sont méchants, ils veulent m’attraper pour me mettre dans une grosse cage comme les esclavagistes sur terra.

Je prends mes jambes à mon cou pour ne pas me faire repérer, je passe dans une autre ruelle pour tomber encore sur eux, je commence à paniquer pensant qu’il me cherchait sans comprendre que c’était la sécurité de l'événement. Je bouscule les passants pour me frayer un chemin dans la foule, je traverse devant les chars en panique et je commence à escalader des balustrades pour éviter les rues. Je me retrouve au milieu de différentes maisons, voyant encore au loin des lumières bleues tournoyer dans le ciel et des détonations éclatent pour me faire encore plus peur alors que c’était des pétards que des enfants s’amusaient à faire exploser. Je reprends mes jambes à mon cou, pour courir vers une maison, ma cape s’accroche à des pierres sur un muret et je suis obligée de m’en débarrasser pour continuer.

Nue, je m’approche d’un arbre pour grimper dessus facilement, allant me cacher dans les branches pour avancer dessus et me diriger vers une fenêtre ouverte d’une maison, je me laisse tomber à l’intérieur atterrissant lourdement dans un grenier. « Vahipoe cachée. Pas police. » Je regarde où je viens d'atterrir, il y avait plein d’objets, de la poussière partout, des toiles d’araignée, je n’ai pas le temps de trop de m'éterniser car j’entends du bruit venir vers moi, ma chute avait dues se faire remarquer. « Cacher moi. » Je dois vite me trouver une cachette dans cette pièce pour pas me faire découvrir, je commence à tout retourner, ouvrir les meubles, attraper les objets pour me camoufler derrière, je prends un abat-jour de lumière que je mets sur ma tête. « Chapeau. » C’est autour de vieux rideaux avec encore les crochets que j’attrape pour les passer autour de ma taille en guise de paréo, ce n’est pas assez on voit encore que c’est moi. J’ouvre un meuble pour attraper des étranges papillons en tissu avec un élastique, je ne sais pas ce que c’est à quoi ça peut servir, je passe mes bras dans les élastiques, sur le gauche j’ai cinq noeuds papillon le droit trois, j’en passe un autour d’un de mes seins.

Ce n'est pas encore assez et j’entends les bruits de pas arriver plus près de la porte, je n’ai pas le choix je saute sous un lit, ma tête et mon buste passent quand je me retrouve bloquée par des cartons m’empêchant d’avancer plus. J'essaye de pousser les encombrants quand la porte s’ouvre m'arrête de bouger d’un coup les fesses et les jambes encore en dehors du lit, avec le rideau j’ai peut-être une chance de ne pas me faire voir. S’il n’était pas remonté dévoilant mon postérieur arrondi, ainsi que mes lèvres intimes un peu ouvertes juste à ma position avec mes jambes un peu écartées.

8
Les alentours de la ville / Re : Sauvage et sauvage. * Tani Rei *
« le: mardi 20 septembre 2022, 01:33:55 »
Non je ne savais pas faire apparaître mes oreilles et ma queue, je l'aurais déjà fait si c'était le cas. Mes attributs me manquent, j'aimerai biens les retrouver, pour revenir comme avant, je n'aime pas les scientifiques avec leurs opérations, ils devaient me les faire repousser et ça n'a pas fonctionné.

« Vahipoe pas réussir à faire revenir oreilles. Méchants hommes pas réussir. Personne réussir. » Je regardais le sol toujours allongée sur la montagne de métal, la tête en bas, me disant que Tani avait de la chance de pouvoir encore avoir ses oreilles et de les cacher quand il le voulait. Je tourne ma tête sur le côté l'entendant se rapprocher de moi pendant qu'il m'expliquait à quoi servait la montagne et la police. « Parc pour enfants. » Pourquoi ils n'y avaient pas d'enfants si c'était pour eux, j'ai une idée sur la question, ce n'est pas amusant et ils devaient avoir peur si la police venait pour les mettre dans des cages.

« Police comme esclavagistes, méchants. » Au fond de moi je croyais que les policiers venaient capturer les enfants quand ils n'arrivaient pas à monter la montagne de métal ou quand ils ne voulaient pas s'amuser. Le tout était compliqué pour moi à absorber et à différencier comme il le fallait. « Vahipoe pas aimer cage, moi vivre dans cage car esclavagistes attraper moi. Aujourd’hui Vahipoe libre. » Les quelques phrases que je venais de lui dire pouvaient donner à Tani des explications sûr d'où je venais et ma condition de vie avant d'arriver ici, s'il était familier avec ces termes.

« Me sauter dessus. » On voyait sur son visage que quelque chose clochait laissant apparaître un air interrogateur. « Même sans oreilles, Vahipoe jouer avec autres terranides » Le mot sauter n'avait pas de connotation sexuelle pour moi, c'était un terme utilisé pour le jeu quand on s'amusait à se courir après et à se renverser pour savoir qui allait gagner. Le premier qui arrive à plaquer les deux épaules de son partenaire de jeu au sol gagne la partie, dans ma jungle j'étais une des plus fortes j'arrivais même à battre des garçons de mon âge. « Tani jouer avec Vahipoe ? » Je pensais qu’il voulait jouer avec moi quand il me demanda d’aller derrière le buisson pour se mettre tout nu pour chercher un moyen de me rendre les oreilles.

« Tani peur police ? » Pourquoi il voulait aller derrière un buisson pour enlever ses vêtements et ne pas le faire ici tout de suite avec moi. « Tani enlève habits ici mieux ? Police pas là. » Il n’y avait personne dans le parc, il n’allait pas se faire attraper. « Si police arrive, nous fuir pour pas être dans cage. Vahipoe connaît bien fuir. » Depuis que je m'étais faite capturer je passais mon temps à fuir les esclavagistes pour ne pas me retrouver dans une cage et me faire vendre, je connaissais tous les moyens de les semer rapidement. C’était des gros bonhommes qui n’avait pas beaucoup de matière grise, même sur cette planète je suis certaine que je pouvais réussir à me cacher.

« Chercher oreilles après. Vahipoe s’amuser et manger. » J’avais encore faim, je comptais retourner fouiller dans la poubelle pour trouver encore quelque chose à manger, la sauce rouge était bonne j’espère en retrouver. Et j’avais envie de découvrir les lieux, je voulais trouver d’autres jeux plus durs à faire, ici c’était trop simple. Je me redresse de la montagne en métal, passant à côté de Tani pour aller caresser le cheval en bois pour le regarder remuer et monter dessus. J’étais trop grande pour ce jouet j’avais les cuisses écartées pour réussir à mettre mes pieds sur les poignées montrant mon intimité ouverte devant Tani, mes genoux remontaient jusqu’à écraser ma poitrine et je devais me pencher pour pouvoir tenir comme il faut la tête de l’animal en voir. Pencher ainsi, le jouet bascule sur l’avant avec moi dessus. « Hiiiiiiii. » Je fais contrepoids sur le côté m’accrochant de toutes mes forces pour ne pas tomber de ce cheval fou, qui me fait faire un rodéo sans que je ne puisse m’arrêter sauf en me laissant tomber. « Hiiiiiii. » C’était déjà plus marrant que la montagne en métal, je continuais de me tordre pour garder l’équilibre sur le cheval, gardant la même position pour ne pas tomber. « Tani venir aussi ! Si tomber, Tani enlever habits ici. » Je voulais le forcer à enlever ses vêtements sans devoir se cacher derrière les buissons, la police n’allait pas venir ici, il n’avait pas besoin d’avoir peur.

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Les alentours de la ville / Re : Sauvage et sauvage. * Tani Rei *
« le: mercredi 14 septembre 2022, 17:14:21 »
« Tuer ? » Je le regarde d’un air interrogatif, dans ma jungle nous tuons des animaux pour nous nourrir, pour récupérer des ressources et même si nous devons nous défendre en cas d’attaque les restes de l’animal seront utilisés. Avec un humain c’est dur de faire quelque chose, je ne me voyais pas faire cuire un humain à la broche ou utiliser sa peau pour me protéger du froid. « Méchant tuer pour rien. » La vengeance était un concept qui m’échappait pour pouvoir la mettre en place, dans la jungle règne la loi du plus fort, si nous devons trépasser c'est que nous sommes trop faibles pour survivre. Avec les scientifiques qui m’avaient capturé c’était pareil, j’avais été trop faible pour me protéger et j’en avais subi les conséquences, j’avais de la chance d’être encore en vie.

Je le regarde m’expliquer qu’il pouvait faire disparaître ses oreilles et sa queue pour se cacher chez les humains, j’ouvre grand la bouche quand je le vois faire son tour de magie. « Fort ! » Je n’en reviens pas, peut-être que je pourrais faire repousser mes oreilles de cette façon si je connaissais cette technique, je devrais essayer de l’apprendre. J’agite la tête quand il me dit que porter des habits devient une habitude avec le temps, je ne veux pas y croire, je n’aime pas ça, ça gratte toujours, on doit les payer pour en avoir, ils s'abîment avec le temps, on doit les laver et se laver pour être propre. Je ne vois que des désavantages à porter des vêtements, c’est une invention d’humain qui ne sert à rien, une de plus.

« Va-hi-po-e. PO-E. » J’articule en ouvrant grand ma bouche pour le faire répéter après moi, sans succès. « D’accord Tani et Vahi et… » Je regarde l’animal sur ressort, j’aimerais bien savoir son nom aussi quand Tani m’explique que c’est une fabrication des humains pour que les enfants puissent jouer dessus. « Pas vivant ? » Je m’approche de nouveau pour toucher l’animal qui rebondit sous la pression que je mets sur la tête, comprenant pas comment les enfants peuvent s’amuser avec, ce n’est pas drôle à regarder. Je me tourne pour voir Tani monter sur la structure. « Tani pas monter montagne métal ? » Il utilise les marches derrière pour s’aider se retrouvant au-dessus sans difficulté. « Trop simple ! » Il n’y avait pas de challenge en utilisant les escaliers et il descendait la montagne sur les fesses en glissant. « Vahipoe pas comprendre quoi sert montagne. » Il n’y avait rien à gagner, l’animal était faux, la montagne servait à descendre, je sentais une certaine déception en regardant le tout.

« Police au trou ? C’est quoi police ? Et trou ? » Il me disait trop de mots compliqués, depuis le début j’essayais de me concentrer pour comprendre ce qu’il me racontait, là c’était trop pour moi mon cerveau n’arrivait pas à assimiler les informations et à faire des relations logiques. Le temps qu’il m’explique je vais derrière le toboggan pour monter les marches et me retrouver en haut regardant Tani depuis ma hauteur. « Montagne petite. Dans jungle Vahipoe grand arbre pour grimper. » Je saute sur les planches de bois, m’amusant sur le pont de singe à le faire basculer de chaque côté me tenant aux cordes tout en avançant pour me retrouver devant la montagne en métal.

« Enfant amuser avec montagne ? » Dans ma jungle, les enfants s’amusaient à monter le plus haut dans les arbres, à chevaucher des animaux pour faire la course, à se peindre avec des fruits pour faire peur aux adultes. Ici ce n’était pas très drôle, il n’y avait pas beaucoup d’apprentissage pour vivre dans la nature et se débrouiller. « Pas bien. » Je me mets à genoux au-dessus de la montagne, pour me mettre sur le ventre pour descendre la tête en avant les bras tendus arrivant en bas en quelques secondes. Je reste la tête vers le sol, mes seins tombant contre le bord du toboggan et mes fesses en l’air toujours sur la montagne en métal. « Pas amusant. »

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Les terres sauvages / Re : Into the wild [PV]
« le: mercredi 14 septembre 2022, 11:10:08 »
Je continue de lécher ma chatte, passant ma langue sur mes lèvres, dedans et sur mon clitoris c’est l’endroit où je ressens le plus de sensation et qui me fait gémir le plus fort. Je sens même mes jambes se relever quand je viens insister un peu trop dessus jusqu’au moment où je sens quelque chose se poser sur ma cuisse, me redressant aussi nette surprise voyant Clad à côté de moi. Ma bouche, mes joues et même le bout de mon nez sont couverts de mon liquide, je brille sous les rayons de la lune. « Vahipoe encore mouillée. Pas réussir nettoyer. » J’y avais mis de la bonne volonté en donnant des grands coups de langue, sans y arriver, j’avais l’impression qu’il y avait même plus de liquide qu’avant. De nouveau Clad me proposait de l’aide en passant ses doigts sur ma chatte pour me faire gémir sans que je ne puisse me retenir, apportant mes doigts à ma bouche pour les mordiller me tordant dans tous les sens. « Clad gentil avec Vahipoe. » Je me laisse tomber sur le côté comme il m’a demandé, tremblotante ne comprenant pas ce qui se passait. « Moi nettoyer toi. »

Il écarte mes cuisses pour venir presser son visage contre ma chatte pour continuer ce que je faisais, il y arrive mieux que moi et sans attendre. « Hiiiii. Hiiiiiiii. » Je pousse des cris en me tortillant sur le sol, mes cuisses écartées pour ne pas l’écraser contre moi. Je ne dois pas oublier que je dois le nettoyer moi aussi et avec difficulté je viens glisser ma bouche sur sa queue pour poser mes lèvres autour de son gland. Dans cette position je n’arrive pas à approcher mes gros obus de sa queue, j’arrive seulement à recouvrir ses testicules, je vais devoir la faire disparaître à l’aide de ma bouche, je ne vois que cette solution. « Hiiii espère que bouche aller hiiiiiii. »

J’ouvre plus la bouche pour le faire rentrer, sa queue glisse entre mes lèvres jusqu’à la moitié, j’avance et je recule pour essayer de la faire avancer un peu plus à chaque moment mais sa queue est si longue que je n’y arrive pas. Mon visage se déforme, essayant de l’avaler complètement pour le nettoyer, essayant de contrôler ce qui se passe un peu plus bas. Ce nettoyage me fait beaucoup d’effet au niveau de ma chatte, mon bassin ondule sans que je puisse l’arrêter appuyant ma chatte contre le visage de Clad pour qu’il continue encore et encore ce qu’il fait avec sa langue. Quand il vient tourner autour de mon bouton rose, je me trémousse plus brutalement, je reçois comme des électrochocs dans mon corps qui me font du bien.

Je le sens attraper mes cuisses pour me soulever dans les airs, venant à me retrouver la tête en bas sa queue toujours en bouche, je panique un peu ne sachant pas ce qui m’arrive. J’ai peur de tomber à la renverse, sentant alors le bras musclé de Clad passer derrière mon dos pour me retenir d’aller vers l’arrière. J’ai le temps de placer mes bras sur le sol, pour me stabiliser alors que dans cette position j’arrive mieux à descendre sur sa queue. Je n’arrive plus à remonter par contre, continuant seulement de descendre avalant les centimètres de sa queue. Les yeux grands ouverts je la vois disparaître dans ma bouche jusqu’à arriver à ses testicules, mon nez venant s’appuyer dans ses poils et la chair molle.

J’agite mes jambes qui balancent au-dessus de sa tête, sentant ses doigts entrer dans mon petit trou pour l’écarter, je couine avec sa queue dans sa bouche en quelques secondes je sens la pression que j’avais depuis une heure s’envoler. Une libération soudaine quand je me mets à jouir sans savoir ce qui m’arrive réellement, mon corps ne me répond plus et je m’agite sur les côtés, retenu seulement par le bras de Clad, ne pouvant pas me retirer de sa queue empaler dessus jusqu’au bout. Je sens ma chatte exploser, du liquide coule en grande quantité au point de dégouliner sur mon ventre, j’ai encore fait une bêtise il devait me nettoyer et je viens d’en mettre partout… Mais je me sens mieux, la pression continuant de s’échapper pendant que je continue de couiner comme je peux. Je serre mes lèvres autour de la queue de Clad, qui s’enfonce jusque dans ma gorge si bien qu’elle est grande, un vrai homme de la ville comme je lui ai dit.

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Les terres sauvages / Re : Into the wild [PV]
« le: mardi 13 septembre 2022, 20:20:38 »
Je l’entendais m’encourager à continuer ce que je faisais, j’avais la bonne technique, il était content de moi et je voulais encore plus m’appliquer pour réussir à prendre sa queue entièrement entre mes gros obus. Elle devait disparaître entièrement pour réussir ce qu’il me demandait, la base était couverte appuyant ma poitrine contre ses testicules, je remontais mes mains le long de sa queue pour la faire disparaître laissant encore un bout visible en dehors de ce qui était dans ma bouche. J’en avais marre de ne pas y arriver, je marmonne des choses gardant le gland en bouche ce qui était complètement incompréhensible à entendre et à comprendre.

Ma langue s’active dans ma bouche pour nettoyer en continue la queue de Clad, il n’arrête pas de lâcher du liquide parfois un peu plus que d’habitude. C’est chaud et plutôt bon à avaler j’ai de la chance, malgré que le reste m’énerve j’essaie de rester concentrée sur ce que je fais pour y mettre du mien. Et je me mets à avaler un peu plus la queue de Clad dans ma bouche, ce n’est pas entre mes gros obus mais ça peut fonctionner avec cette technique. Je m’avance un peu plus sur sa verge, mes lèvres glissent dessus se déformant avec les veines jusqu'à ce que je ne vois plus un seul morceau de chair libre. Il devait toujours en avoir, mais je ne le voyais plus en louchant alors j’étais contente de moi. Et c’est là que je pouvais me concentrer à mon maximum, j’appuyais sur mes seins pour bouger et le compresser entre. Mes lèvres le seraient pour ne surtout pas le lâcher après le mal que j’avais eu pour arriver là et ma langue tournait activement autour de son gland.

Je poussais des bruits humides avalant ma salive avec difficulté, je bavais sur les côtés plus le temps passait, me demandant quand ça allait se finir ! Je faisais bien les choses et je n’avais pas l’impression qu’il se passe quelque chose au niveau de ma chatte qui était toujours humide, je pensais à ça quand je fus surprise par la quantité importante de liquide qui sortit de sa queue. Je ne comprenais pas ce qui se passait, ma langue ne pouvait pas suivre la cadence des rafales de sperme qui sortaient, je suis obligée de me retirer les joues gonflées de liquide, je lâche mes seins pendant que je me fais asperger. « Hiiiii que fait Clad ? » Il ne voulait pas s’arrêter, son liquide coule sur mon visage couvrant mes yeux, mes joues, mes lèvres j’agite mes mains sur le côté ne sachant pas quoi faire. « Vahipoe faire bêtise. » Je croyais vraiment que j’avais fait n’importe quoi, il s’arrête au bout d’un moment finissant de cracher son liquide chaud sur mes seins.

« Moi réussir ? » Je suis étonnée de l’entendre me dire ça, alors que je croyais avoir tout fichu en l’air quand il se mit à cracher tout son liquide de sa queue. Il m’explique que c’était le but, grâce à ça je vais pouvoir me laver et arrêter de mouiller entre les jambes, je dois l’étaler sur mon corps pour que tout s’arrête, il me montre en commençant à le faire sur mes seins et autour de mes pointes encore sensibles. « Hiiiii. » Avant de dire qu’il était l’heure d’aller se coucher, sortant de l’eau pour rejoindre le campement me laissant toute seule dans l’eau, dans un état très particulier. Je n’avais pas envie de dormir, il y avait quelque chose en moi qui me disais que ce n’était pas le moment de dormir mais de faire autre chose.

« Vahipoe arrive. » Avant de le rejoindre je venais étaler comme il m’avait dit son liquide sur le corps, formant une couche bizarre qui séchait rapidement sur ma peau pour craquer et tomber dans l’eau. J’attends que tout disparaisse de mon corps, pour me rincer une dernière fois avant de sortir à mon tour, je me rends compte que je suis encore humide entre les jambes et que ça me travaille beaucoup, je sens de la chaleur à ce niveau. Quand j’arrive au camp je m’assois à côté du lit en tailleur regardant Clad qui avait déjà les yeux fermés.

« Clad dormir ? Vahipoe toujours mouillée et pas fatigue. » Je marmonne pour ne pas faire trop de bruit s’il dort je ne veux pas le réveiller avec mes histoires, il a déjà fait plein de choses pour essayer de régler le problème. Je devrais essayer de faire comme il a fait la première fois, ça va peut-être fonctionner maintenant que j’ai eu son liquide sur la peau. « Vahipoe nettoyer seule. » J’écarte les jambes au maximum que je peux et je me penche en avant, ma race de panthère me permet d’être souple jusqu’à approcher ma tête de ma chatte en me contorsionnant un peu. « Hiiii. » Je couine dès que je pose ma langue dessus pour commencer à me lécher, ma langue un peu râpeuse passe sur moi pour me nettoyer, ça ne fait pas le même effet qu’avec Clad mais c’est bon quand même. La position n’est pas pratique, je fais plein de bruits humides en me léchant insistant sur mon clitoris car ça me fait vraiment du bien. « Hiiii, hiiii, hiiii. » Mes gémissements sont plus rapides, au fur et à mesure alors que je suis toujours juste à côté de Clad qui lui est sur le lit, ne sachant pas ce qu’il fait.

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Les alentours de la ville / Re : Sauvage et sauvage. * Tani Rei *
« le: mardi 13 septembre 2022, 20:14:44 »
Je ne vais pas me laisser faire par une pente en acier, je me laisse quelques secondes de repos pour retenter ma chance, je me tiens sur les côtés pour m’aider, mes pieds glissent encore et encore avant que je lâche prise me retrouvant les fesses en l’air. « À quoi sert ? » Je ne comprenais pas à quoi servait cette structure si c’était si dur de monter dessus par la pente en métal, il fallait faire des marches c’était plus simple à grimper, j’espérais que réussir à monter me donnerait une récompense. J’allais retenter ma chance quand une voix me surprend sur le côté, j’étais si occupée à grimper que je n’avais pas fait attention aux alentours.

« Toi faire peur à moi ! » Je grogne en me relevant pour me tourner dans sa direction, depuis qu’on m’a coupé mes oreilles de terranide pour me greffer des oreilles humaines mon ouïe n’est plus aussi précise qu’avant et je me laisse facilement surprendre. Je courbe un peu le dos pour me mettre en position de défense prête à prendre la fuite où lui sauter dessus et c’est là que je vois sur sa tête deux petites oreilles. « Toi comme Vahipoe ! » Je passe instantanément d’une position de méfiance à une position très ouverte, levant les bras au-dessus de ma tête pour mimer des oreilles de chat.

« Vahipoe avoir oreilles avant ! Méchants hommes couper oreilles, queue et limer dents pour pas mordre. » Le petit chat pouvait comprendre que j’avais des difficultés à parler le langage des humains et la compréhension n’était pas facile non plus. Je n’avais rien compris à ce qu’il m’avait dit, j’étais surprise, il avait parlé trop vite, ce n’était pas le bon timing avec ma chute. « Toi me dire quoi ? » J’étais trop excitée de rencontrer quelqu’un qui avait la même race que moi, sur terre en plus ! Sur terra ce n’était que des femmes dans des cages avec qui je ne pouvais pas échanger, ici il avait l’air libre et j’avais plein de questions en tête, ne lui laissant pas le temps de parler.

« Toi libre ? Terranide droit libre ici ? » Je m’approche de l’inconnu, avec une gestuelle très énergique excitée comme une puce, je sautillais, agitaient les bras sur le côté devant lui pour pointer encore ses oreilles et sa queue. En même temps, mon corps réagissait, ma poitrine suivant mes mouvements en se levant, balançant dans tous les sens, mes fesses apparaissant quand je me mettais de profil ou quand je tournais sur moi-même. « Pourquoi toi pas nu comme Vahipoe ? Animaux être nus toujours, habits pas bien. » Pourquoi il imite les humains en portant des tissus pour cacher son corps et ne pas faire corps avec la nature. « Humains obliger toi ? »

C’était possible, les humains étaient méchants, ils voulaient toujours que je porte des vêtements alors que je ne voulais pas, c’était pour me rendre sexy et cacher mes formes pour que l’acheteur puisse les découvrir en privé. « Nu mieux. » Et je me rends compte qu’en parlant de tout ça je n’avais pas fait le principal. « Moi oublier… Moi être Vahipoe ! » Je me tourne pour montrer l’animal en bois sur ressort. « Lui je sais pas, pas parler avec moi. » Je rapproche mon visage vers le chat pour parler plus doucement. « Vahipoe pense que magicien méchant casser animal, moi sauver lui en montant sur montagne métal. » La structure était le toboggan où je n’arrêtais pas de tomber, si c’était si dur c’est qu’il y avait quelque chose de caché au-dessus.

Avec tout ça, le chat devait comprendre que je ne venais pas d’ici ne parlant pas bien, ne connaissant pas les choses basiques et encore il ne m’avait pas vu manger le papier d’emballage de la poubelle, je n’avais pas peur de sa race et je lui avais expliqué que moi aussi j’étais comme lui avant qu’on me coupe mes attributs d’animaux. Et je lui avais parlé de magicien s’il n’était pas prêt à faire une rencontre ce soir, il n’allait pas être déçu.

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Les alentours de la ville / Sauvage et sauvage. * Tani Rei *
« le: dimanche 11 septembre 2022, 22:10:10 »
J'avais passé une grande aventure avec Clad qui m'avait libéré des esclavagistes sur terra, je l'avais aidé à réparer son objet qui lui permettait de retourner sur terre avec l'aide d'un magicien de la ville pour qu'il puisse rentrer dans son monde. Il m'avait emmené avec lui pour que je découvre la terre, je ne pouvais pas me déplacer sans lui et la curiosité de voyager dans son monde me piquait au vif. Après une longue cohabitation avec lui, j'étais retournée sur terra et j'avais fait fabriquer des boucles d'oreilles qui allaient me servir de portail pour voyager entre les deux mondes. J'avais mis du temps à me les procurer auprès du magicien qui voulait de l'argent en échange, j'avais dû faire les poches des passants pour réussir à amasser assez de sous.

Je quitte nexus aujourd'hui avec mes boucles d'oreilles portatives pour voyager entre les deux mondes. Je ne mets pas longtemps à les utiliser en les frottant, le magicien m'a dit qu'elle marchait avec de l'énergie et que j'allais devoir attendre qu'elles se rechargent pour faire mon retour sur terra. Ce n'est pas ce qui va m'empêcher de les utiliser, je me fais aspirer dans un vortex sombre pour me faire cracher sur l'autre planète. Il fait sombre où je suis, quelques lumières attachées à des poteaux éclairent le passage, au fond je reconnais le nuage lumineux de la ville où j'étais avec Clad quand il m'avait ramené.

« Vahipoe réussi. » Je suis contente, sautillant comme une gazelle dans l'herbe humide du soir. J'arrache le nœud de ma cape pour qu'elle tombe au sol dévoilant mon corps nu, harmonisé de mes formes généreuses, j'aime toujours autant être dans mon plus simple appareil. Je me roule par terre, en rigolant, tournant sur moi-même sur plusieurs mètres. Je suis dans un parc en dehors de la ville, il n’y a personne à cette heure et je vais en profiter. Je me redresse pour me balader dans les environs, je cours après des papillons de nuit pour essayer de les manger, je vais boire dans l’eau dans une fontaine pour m'hydrater et me mouiller le visage, dans les poubelles je trouve des restes de nourriture que je ne connais pas.

Je lèche un papier avec une sauce rouge dessus, avec des bâtons jaunes dedans. « Vahipoe aime. » Je viens même manger le papier sans savoir que ce n’était pas comestible. Je continue ma découverte du parc pour m’arrêter devant un étrange animal en bois, monté sur le ressort. « Moi, Vahipoe. Toi comment ? » Je me mets en face du jeu pour enfants en le regardant, attendant une réponse, le vent le fait légèrement vaciller le jouet en bois. « Toi pas parler ? » Je lève la main pour lui caresser la tête, attendant une réaction du soi-disant animal, remarquant au toucher que c’était du bois comme les arbres. Je me demande si c’est un animal qui s'est fait transformer par un magicien en guise de punition, je préfère m’en éloigner un peu m’arrêtant devant un monument.

Je fais le tour de la structure, il y a une descente en métal, des murs sur les côtés pour escalader avec des pierres, un filet que je viens saisir pour voir tester la solidité. Je regarde en hauteur pour voir un pont de singe avec des barrières sur les côtés, en réalité je suis à côté d’un toboggan géant pour les enfants. Je reviens devant la pente en métal, mettant les pieds à l’arrivée pour commencer à monter à l’envers, je fais quelques pas avant de m’étaler pitoyablement en glissant sur le métal humide glissant à plat ventre jusqu’au sol. Les fesses en l’air, je lève la tête pour regarder le sommet du monument, je vais retenter ma chance après mettre remise de ma chute.

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Les terres sauvages / Re : Into the wild [PV]
« le: dimanche 11 septembre 2022, 22:05:54 »
« Vahipoe avoir mes gros obus ! » J’avais encore des progrès à faire pour savoir quel adjectif utiliser au bon moment, je ne faisais que répéter ce que Clad me disait maladroitement, mais j’étais très contente d’apprendre des nouveaux mots. « Mes gros obus propres avec Clad. » Il continuait de les laver, en les caressant, attestant de leurs rondeurs, de leurs douceurs et de leurs fermetés avec ses grosses mains. Les pressions qu’il exerçait dessus me donnaient des frissons par moments en fonction d’où il appuyait. Il arrêta se retenant pour ne pas rigoler, se glissant entre mes jambes pour les écarter. « Moi dire bêtise ? »

J’écoute attentivement Clad qui m’explique que je n’ai pas une queue entre les jambes et je comprends pourquoi il avait envie de rigoler. « Queue pour homme, chatte pour femme comme Vahipoe. » Pendant que je parlais il venait se baisser entre mes cuisses les écartant pour pouvoir y passer sa tête, son souffle chaud qui glisse contre mes lèvres me fait prendre une grande inspiration. « Clad faire quoi ? » Ma voix tremble et sur la fin de la phrase je pousse un cri sentant sa langue se coller contre ma vulve. « Hiii Clad ! » Sur mon rocher, je laisse descendre un peu mon bassin en gigotant le haut de mon corps, pour qu’il puisse me nettoyer comme il faut avec sa langue.

Je sens son membre chaud et visqueux glisser contre ma vulve, ondulant de haut en bas, ouvrant un peu plus mes lèvres pour y pénétrer, il peut sentir qu’il y a beaucoup de liquide à nettoyer, je suis toute mouillée. Et j’ai l’impression que ça ne va pas s’arrêter tout de suite, j’ai de plus en plus chaud sur mon rocher, je ne sais pas comment me tenir allant vers l’arrière manquant de tomber ou me courbant en avant posant mes seins sur la tête de Clad. « Hiiiiii ! » Des cris arrivent quand il tourne autour de mon clitoris, je découvre des nouvelles sensations que je n’avais jamais connues jusqu’ici, je viens même lever mon bassin pour m’appuyer plus contre sa langue, claquant mes fesses contre la roche. « Aime Clad ce que fait à chatte hiiiii. »

Mon clitoris se gorge de sang à son tour, mon capuchon s’enlève pour laisser sortir ma perle rose bien gonflée au-dessus de mes lèvres pour que la langue de Clad puisse s’enrouler plus facilement autour et me faire tortiller plus brusquement. J’ouvre la bouche pour mieux respirer, cherchant l’air frais vers le haut quand sa langue rentre dans ma fente venant à me nettoyer l’intérieur. « Hiiiiiiiii. » Je pousse des cris plus fort, plissant les yeux tout en haletant, laissant ma poitrine rebondir à mon rythme cardiaque. Je ne trouve pas le temps long, je ne vois pas le temps passer et quand Clad se retire j’ai l’impression que seulement quelques secondes sont passé.

Mon visage est couvert de sueur, à travers ma peau mate on voit des rougeurs sur mes joues et je me laisse tomber vers l’arrière me retenant avec mes bras contre des roches pour ne pas basculer totalement. « Vahipoe aimer nettoyage chatte de Clad même si pas marcher. » Je me sentais encore plus mouillée entre les jambes, j’en avais maintenant sur les cuisses et je sentais comme une rigole couler entre ma raie. Mes yeux s’ouvrent de nouveau quand j’entends que Clad à une autre solution pour me nettoyer comme il faut, soufflant encore très fort. « Vahipoe écoute. » J’ai beau me concentrer, je ne comprends pas la moitié des mots : événement, bite, branler, Clad le déduit en voyant ma tête.

Il se redresse pour me montrer sa technique attrapant mes mains pour les poser sur mes gros obus et passant sa queue au milieu pour la compresser. « Je comprendre. » Je devais bouger mes mains sur mes gros obus et appuyer dessus pour faire disparaître la queue de Clad qui était au milieu. « Nettoyer chatte avec ça ? » Je ne comprenais pas comment ça pouvait marcher, et il m’explique avec des mots plus simples que c’est une technique qu’il a l’habitude d’utiliser à son époque avec les femmes pour les nettoyer de la chatte et que ça fonctionnait. Comme on ne venait pas de la même époque, ça pouvait ne pas fonctionner sur moi, mais il fallait essayer pour être sur et je devais bien faire les mouvements.

J’appuie sur mes gros obus pour bien compresser la queue de Clad dedans et je la frotte bougeant mon bassin pour essayer de la faire disparaître entre eux. Quand j’avance, le bout de sa queue sort au-dessus de mes monts de chair pour me taper le menton et quand je recule je peux voir la base de sa queue avec sa touffe de poils. On ne doit rien voir pour que ça fonctionne, j’appuie plus fort sur mes seins pour déformer mes gros obus pour qu’ils prennent plus de place sur la longueur, mes doigts et mes griffes s’enfoncent dans ma chair avec toute la force que je mets. J’avance et je recule plus rapidement pensant que ça va aider à me nettoyer, pour le moment je ne ressens pas de changement, j’ai encore plus de liquide entre les jambes.

Je m’avance venant toucher ses testicules avec mes gros obus, la tête penchée sur l’avant son gland monte contre ma joue pour m’étaler du liquide dessus, je regarde pour voir un liquide blanc sortir. « Clad sale aussi. » Je ne faisais pas assez bien les choses et il se passait le contraire de ce qu’il devait arriver. On pourrait penser que j’étais niaise sur cette technique, mais les esclavagistes ne prenaient pas le temps de me faire ça quand ils me violaient c’était du rapide dans un coin il me prenait la chatte de devant et de derrière, en quelques minutes l’affaire était pliée et on me remettait dans une cage enchaînée sans que je comprennent ce qui m’était arrivé. Le plus souvent j’étais sous cachets pour que je sois dans un autre monde pour éviter de me défendre, ne voyant qu’après du liquide sortir de moi ne sachant pas ce que c’était. Les esclavagistes prévenaient les acheteurs pour qu’il me drogue avant de faire ce qu’ils avaient à faire, répétant le même cycle.

« Nettoyer queue comme toi faire avec moi. » J’avance pour que sa queue remonte contre mon menton, le bout arrivant à mes lèvres que j’ouvre pour sortir ma langue et nettoyer le liquide qui sort. Je secoue ma langue sur le petit trou pour aspirer ce qui sortait, plus je passais plus il y en avait et je me mets à gober son bout rouge pour aspirer le liquide. Je continue d’agiter mes seins sur la base de sa queue pour continuer la technique qu’il m’a dit de faire, louchant dessus pour être sûr de bien faire les choses. Je ne vais pas arrêter tant qu’il me le dit pas.

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Les terres sauvages / Re : Into the wild [PV]
« le: dimanche 11 septembre 2022, 00:31:08 »
« Vahipoe pas avoir pierre pour laver, moi connaître mousse et algues pour aider ! Clad vouloir que moi aller chercher ? » Le second degré, je ne connaissais pas, j’avais déjà du mal avec la langue des hommes alors comprendre toutes les subtilités était trop compliqué. C’est pour ça que je répondais le plus sérieusement possible, j’étais capable d’aller chercher de la mousse entre les pierres pour en faire une crème pour le corps. Ça n'allait pas mousser comme le savon que les hommes de la ville utilisaient pour se laver, c’était plutôt une crème pour détendre le corps, enlever les saletés et soigner les blessures. « Toi trouver eau chaude ? » Encore une fois c’était trop limite pour moi de comprendre que la température de l’eau influençait mes tétons, je pensais que c’était une réaction naturelle avec l’eau quand j’allais me baigner.

Je laisse Clad s’approcher pendant qu’il pose ses mains sur moi, commençant à me frotter le ventre pour remonter vers mes seins. « Clad veut pas mousse ? » Je me redresse dans l'eau arrêtant de faire la planche pour me mettre face à lui. « Tourner dos pour être plus simple ? » Ça n’avait pas l’air de déranger Clad qui venait passer ses bras autour de moi pour me frotter le bas du dos, remontant le long de mes hanches pour modeler ma poitrine de ses larges doigts. Je ne me doutais pas de ce qu’il avait dans la tête, jusqu’à présent il m’avait aidé, c’était montré gentil dans la réalisation de la récolte et du campement, j’étais loin de m’imaginer que c’était juste pour me culbuter.

« Clad veut vraiment que Vahipoe soit propre ! » Je le sens insister sur autour de ma poitrine, pour venir la saisir à pleine main, la compressant entre ses doigts pour faire sortir ma chair entre ceux-ci. Mon visage se crispe un peu, quand il attrape mes tétons pour tirer dessus, avant qu’ils reviennent en place quand il les lâche légèrement déformer par la pression. « Je crois être propre de là. » Après mes seins c’est autour de mes fesses de se faire laver, ses mains soupèsent mon fessier sous l’eau le remontant pour passer dans ma raie atteignant presque mon anus.

« Vahipoe presque propre. Finir sur caillou. » Je me détache de l’emprise de Clad pour me rapprocher du bord en nageant, pour pouvoir me mettre assise sur un rocher moussu, laissant presque l’intégralité de mon en dehors de l’eau, seulement le bas de mes jambes et de mes pieds étaient encore submergés. « Plus facile là. » Le vent frais me donnait des frissons, laissant mes pointes se gorger de sang à m’en faire sentir des picotements, à moins que ce ne soit les caresses de Clad qui m’avait chauffée.

Avec les esclavagistes je n’avais pas l’habitude qu’on me caresse autant, c’était souvent des coups et des ordres pour leur faire plaisir sans prendre le mien en compte. Les mains de Clad ne m’avaient pas laissé de marbre avec ses caresses. « Crois être sale encore là ! » Je pointe mes seins du doigt pour que Clad recommence à me les laver. « Comment appeler ça dans language toi ? » Je parlais encore de ma poitrine, quand les hommes me parlaient de mon corps j’avais tendance à tout mélanger, il y avait trop de mots pour la même chose, ils parlaient vite sans que je puisse comprendre marmonnant dans leurs barbes. Et il allait vite comprendre que je n'étais pas au point sur le langage de l’anatomie.

« Après Clad nettoyer ul encore, me mettre allonger sur pierre pour plus simple. » Je parlais de mes fesses, me souvenant plus comment prononcer cul comme il faut. Je voulais me mettre sur le ventre pour qu’il puisse plus facilement les nettoyer. « Clad si veut nettoyer queue Vahipoe. » J’écarte les jambes pour lui montrer ma fente rose, je n’avais pas de queue à proprement parler, je croyais juste que ce soit le sexe de l’homme ou de la femme c’était le même mot. Et ici les hommes aimaient bien parler de leurs queues assez régulièrement, alors pour moi j’avais aussi une queue. « Avoir liquide entre les jambes à nettoyer. » Je glisse un doigt entre mes lèvres pour lui montrer qu’un liquide blanc presque transparent commence à se former. « Moi nettoyer Clad après si toi veux. » S’il y avait le temps de le faire et que Clad ne se jetait pas sur ce qu’il allait avoir à nettoyer.

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