Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Vahipoe

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Centre-ville de Seikusu / La grande découverte. * Bando *
« le: jeudi 22 septembre 2022, 23:08:08 »
Je sentais mon ventre se plier dans tous les sens, j'avais faim, sur terre s'était compliqué de chasser quand on se trouvait dans la ville. Le soir je pouvais bien capturer des rats pour manger, sauf que je ne pouvais pas les faire cuire, faire un feu allait amener des gens vers moi ce qui était une mauvaise idée. Des étranges camions avec des lumières jaunes étaient passés aujourd'hui pour vider les bacs à reste, dans les poubelles s'il n'y avait plus rien de comestible. J'avais déjà regardé, j'avais juste trouvé une boîte avec du gras au fond que j'avais léché pour découvrir le goût. Je m'étais approché des vendeurs de nourriture qui m'avaient fait fuir avec des balais en me criant dessus.

Partout où j'allais avec ma cape abîmée, mes pieds nus, on me prenait pour une mendiante qui fallait faire partir. Même dans la rue, les gens changeaient de trottoir pour éviter de trop s'approcher de moi, les gens de la terre n'avaient rien de gentils. Je marchais dans les rues de la ville en regardant le sol pour espérer trouver de quoi manger, un passant qui aurait fait tomber de la nourriture quand une odeur me fit lever le nez. J'avais encore mon odorat de terranide et il ne se trompait que rarement, je reniflais de la nourriture au milieu de ce quartier. Il était bientôt l'heure de souper pour les hommes de la terre, je me laissais guider à l'odeur arrivant dans un jardin derrière une fenêtre ouverte.

C'était une cuisine avec une casserole sur le feu, je me lèche les lèvres en sentant encore l'odeur. Mon ventre se tord de faim, je regarde dans la pièce voyant qu'il n'y a personne, je sais que ce n'est pas bien. « Vahipoe trop faim. » Et je passe par la fenêtre pour tomber dans la cuisine pour aller vers la casserole sentir la bonne odeur, c'est trop chaud pour que je puisse y tremper mes doigts pour goûter. Je sais que les humains d'ici gardent dans la nourriture dans un objet qui fait du froid pour la conserver, maintenant que je suis là.

« Manger, manger, manger. » J'ouvre tous les placards pour chercher de la nourriture, je mets les affaires par terre m'interrogeant sur ce que je trouve.  « Oreilles ? » Les manivelles d'un batteur électrique sont dans mes mains et je les mets sur ma tête pour m'en faire des fausses oreilles, je tourne mes cheveux autour pour les faire tenir en guise de décoration. « Habits. » Je sors des serviettes d'un tiroir, regardant les belles couleurs et les motifs, j'enlève ma cape dévoilant mon corps nu pour essayer de les poser sur moi. Je les pose sur mes seins essayant de les faire tenir sans y arriver, ça doit être pour les petits humains.

J'ouvre une porte tombant sur l'objet froid avec de la nourriture dedans, je me mets à genoux devant, heureuse de pouvoir me mettre quelque chose sous la dent. J'attrape le premier aliment que je trouve, une plaquette de beurre et je croque dedans avec le papier. « Hiiiiiii. » Je crache ce que je viens de prendre, ce n'était pas bon et j'en avais plein les dents et la langue. J'attrape un emballage avec de la viande à l’intérieur pour croquer dedans pour faire passer le goût, je me débats pour libérer la nourriture tirant de toutes mes forces sur le plastique sans y parvenir. Les humains de terre font de drôles de choses avec les aliments à les emballer pour les protéger.

Je suis toujours à genoux derrière la porte du frigo à chercher de la nourriture comestible, mes fesses nues rebondies ressortent de l’ouverture, derrière moi la scène de crime de mon passage. Tout est sens dessus dessous, j’ai vidé presque tous les tiroirs et les placards éparpillant les objets sur le sol et les meubles y cherchant des utilités. J’ai oublié que je m'étais incrustée dans cette maison sans y avoir le droit et que le propriétaire n’était peut-être pas très loin.

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Centre-ville de Seikusu / Voyage au bout de la terre. * Grayle le pérégrin *
« le: mardi 20 septembre 2022, 01:44:23 »
Vivre sur terre était aussi compliqué que sur terra, il y avait des gens méchants qui voulaient m’attraper pour me mettre dans des cages, j’avais envie de découvrir ce monde en me promenant dans les rues et je n’avais pas le droit sans me prendre des regards glaçants des passants. Je gardais ma cape pour me couvrir, j’avais compris qu’ici que je n’avais pas le droit de me promener toute nue et je n’avais pas le choix de la mettre pour me cacher. Juste d’être pieds nus, je pouvais entendre les gens me faire des remarques, je ne comprenais pas tout, des mots m’étaient inconnus comme clocharde, SDF mais vu les regards je comprenais que ce n’était pas gentil envers moi et je partais souvent en courant pour me cacher.

Sur terre je me cachais le jour pour sortir la nuit quand il y avait moins de monde dans les parcs et dans rues, à la tombée du voile noir je pointais le bout de mon nez avec ma cape sur les épaules pour découvrir le monde. Je m’approchais des étranges calèches sans chevaux, je regardais les lumières qui clignotaient sur les murs ne comprenant pas comment ça fonctionnait, je volais des restes dans des poubelles pour manger, j'aimais bien la sauce rouge que les humains mettaient sur les pommes de terre. Ce soir, ce n’était pas comme d’habitude, il y avait beaucoup d’agitation dans la ville. Des humains déguisés avec des instruments de musique qui criaient au milieu de la route, il y avait des immenses machines en forme d’animaux et des personnes sur le côté qui applaudissaient sur leur passage.

Par terre je ramasse un masque que je mets sur mon visage comme la majorité des gens qui étaient là, tout le monde semblait content de voir les chars au milieu de la route, c’est vrai que c’était bon. Il y avait beaucoup de couleur, la musique était entraînante et des petits hommes dansaient en mangeant des choses de toutes les couleurs. Cette soirée était surprenante sans pour autant être désagréable, je ne recevais pas d’insultes pour une fois, je me dandinais sous ma cape quant au bout d’une ruelle je remarquais des lumières bleues avec des hommes en uniforme. « Police. » Je n’aime pas la police, ils sont méchants, ils veulent m’attraper pour me mettre dans une grosse cage comme les esclavagistes sur terra.

Je prends mes jambes à mon cou pour ne pas me faire repérer, je passe dans une autre ruelle pour tomber encore sur eux, je commence à paniquer pensant qu’il me cherchait sans comprendre que c’était la sécurité de l'événement. Je bouscule les passants pour me frayer un chemin dans la foule, je traverse devant les chars en panique et je commence à escalader des balustrades pour éviter les rues. Je me retrouve au milieu de différentes maisons, voyant encore au loin des lumières bleues tournoyer dans le ciel et des détonations éclatent pour me faire encore plus peur alors que c’était des pétards que des enfants s’amusaient à faire exploser. Je reprends mes jambes à mon cou, pour courir vers une maison, ma cape s’accroche à des pierres sur un muret et je suis obligée de m’en débarrasser pour continuer.

Nue, je m’approche d’un arbre pour grimper dessus facilement, allant me cacher dans les branches pour avancer dessus et me diriger vers une fenêtre ouverte d’une maison, je me laisse tomber à l’intérieur atterrissant lourdement dans un grenier. « Vahipoe cachée. Pas police. » Je regarde où je viens d'atterrir, il y avait plein d’objets, de la poussière partout, des toiles d’araignée, je n’ai pas le temps de trop de m'éterniser car j’entends du bruit venir vers moi, ma chute avait dues se faire remarquer. « Cacher moi. » Je dois vite me trouver une cachette dans cette pièce pour pas me faire découvrir, je commence à tout retourner, ouvrir les meubles, attraper les objets pour me camoufler derrière, je prends un abat-jour de lumière que je mets sur ma tête. « Chapeau. » C’est autour de vieux rideaux avec encore les crochets que j’attrape pour les passer autour de ma taille en guise de paréo, ce n’est pas assez on voit encore que c’est moi. J’ouvre un meuble pour attraper des étranges papillons en tissu avec un élastique, je ne sais pas ce que c’est à quoi ça peut servir, je passe mes bras dans les élastiques, sur le gauche j’ai cinq noeuds papillon le droit trois, j’en passe un autour d’un de mes seins.

Ce n'est pas encore assez et j’entends les bruits de pas arriver plus près de la porte, je n’ai pas le choix je saute sous un lit, ma tête et mon buste passent quand je me retrouve bloquée par des cartons m’empêchant d’avancer plus. J'essaye de pousser les encombrants quand la porte s’ouvre m'arrête de bouger d’un coup les fesses et les jambes encore en dehors du lit, avec le rideau j’ai peut-être une chance de ne pas me faire voir. S’il n’était pas remonté dévoilant mon postérieur arrondi, ainsi que mes lèvres intimes un peu ouvertes juste à ma position avec mes jambes un peu écartées.

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Les alentours de la ville / Sauvage et sauvage. * Tani Rei *
« le: dimanche 11 septembre 2022, 22:10:10 »
J'avais passé une grande aventure avec Clad qui m'avait libéré des esclavagistes sur terra, je l'avais aidé à réparer son objet qui lui permettait de retourner sur terre avec l'aide d'un magicien de la ville pour qu'il puisse rentrer dans son monde. Il m'avait emmené avec lui pour que je découvre la terre, je ne pouvais pas me déplacer sans lui et la curiosité de voyager dans son monde me piquait au vif. Après une longue cohabitation avec lui, j'étais retournée sur terra et j'avais fait fabriquer des boucles d'oreilles qui allaient me servir de portail pour voyager entre les deux mondes. J'avais mis du temps à me les procurer auprès du magicien qui voulait de l'argent en échange, j'avais dû faire les poches des passants pour réussir à amasser assez de sous.

Je quitte nexus aujourd'hui avec mes boucles d'oreilles portatives pour voyager entre les deux mondes. Je ne mets pas longtemps à les utiliser en les frottant, le magicien m'a dit qu'elle marchait avec de l'énergie et que j'allais devoir attendre qu'elles se rechargent pour faire mon retour sur terra. Ce n'est pas ce qui va m'empêcher de les utiliser, je me fais aspirer dans un vortex sombre pour me faire cracher sur l'autre planète. Il fait sombre où je suis, quelques lumières attachées à des poteaux éclairent le passage, au fond je reconnais le nuage lumineux de la ville où j'étais avec Clad quand il m'avait ramené.

« Vahipoe réussi. » Je suis contente, sautillant comme une gazelle dans l'herbe humide du soir. J'arrache le nœud de ma cape pour qu'elle tombe au sol dévoilant mon corps nu, harmonisé de mes formes généreuses, j'aime toujours autant être dans mon plus simple appareil. Je me roule par terre, en rigolant, tournant sur moi-même sur plusieurs mètres. Je suis dans un parc en dehors de la ville, il n’y a personne à cette heure et je vais en profiter. Je me redresse pour me balader dans les environs, je cours après des papillons de nuit pour essayer de les manger, je vais boire dans l’eau dans une fontaine pour m'hydrater et me mouiller le visage, dans les poubelles je trouve des restes de nourriture que je ne connais pas.

Je lèche un papier avec une sauce rouge dessus, avec des bâtons jaunes dedans. « Vahipoe aime. » Je viens même manger le papier sans savoir que ce n’était pas comestible. Je continue ma découverte du parc pour m’arrêter devant un étrange animal en bois, monté sur le ressort. « Moi, Vahipoe. Toi comment ? » Je me mets en face du jeu pour enfants en le regardant, attendant une réponse, le vent le fait légèrement vaciller le jouet en bois. « Toi pas parler ? » Je lève la main pour lui caresser la tête, attendant une réaction du soi-disant animal, remarquant au toucher que c’était du bois comme les arbres. Je me demande si c’est un animal qui s'est fait transformer par un magicien en guise de punition, je préfère m’en éloigner un peu m’arrêtant devant un monument.

Je fais le tour de la structure, il y a une descente en métal, des murs sur les côtés pour escalader avec des pierres, un filet que je viens saisir pour voir tester la solidité. Je regarde en hauteur pour voir un pont de singe avec des barrières sur les côtés, en réalité je suis à côté d’un toboggan géant pour les enfants. Je reviens devant la pente en métal, mettant les pieds à l’arrivée pour commencer à monter à l’envers, je fais quelques pas avant de m’étaler pitoyablement en glissant sur le métal humide glissant à plat ventre jusqu’au sol. Les fesses en l’air, je lève la tête pour regarder le sommet du monument, je vais retenter ma chance après mettre remise de ma chute.

4
Prélude / Une terranide amochée. [Vanéalidée !]
« le: lundi 29 août 2022, 22:02:49 »
Identité : Vahipoe
Âge : 20 ans
Sexe : Femme
Race : Terranide
Sexualité : Hétérosexuelle

Physique :

Sauvage, est le terme qui me décrit le mieux, vivre dans la forêt tropicale a fortement influencé ce côté. Je n'ai jamais coupé mes cheveux qui m'arrivent au niveau de mon postérieur… Postérieur qui attire bien des regards à la vue du galbe provocant puis de mes petites hanches que les hommes aiment bien serrer entre leurs mains. Et c'est au tour de mes seins, lourds qui dépassent de chaque côté de mon buste quand je suis de dos. J'ai des tétons plutôt petits qui remontent vers le haut quand je pointe, l'auréole autour est à peine plus claire que ma peau cuivrée à force de me prélasser au soleil presque tous les jours. On me dit souvent que j'ai un sourire malicieux qui cache bien des choses sur ce que je pense, ainsi que des yeux de lionne qui vous dévorent du regard. Je n'y crois pas car j'ai souvent la tête dans les nuages.

Mon style vestimentaire est très simple puisque j'aime le plus souvent me promener totalement nue. Depuis que je suis arrivée en ville je dois parfois porter des habits à cause des températures froides de certaines saisons. Dans la jungle je n'avais pas ce problème je pouvais exhiber mon corps quand et comme je le voulais.

Caractère :

Quand j'étais dans ma forêt, je me souviens que j'aimais bien partir tôt le matin pour aller me promener et surtout éviter les tâches chiantes de notre village. Chercher de la nourriture, des ressources pour construire ou réparer les habitations, confectionner des armes, prier les anciens etc. Mes parents m'ont souvent pris la tête pour ça et le chef du village aussi. Quand ça arrivait j'aidais quelques jours avant de reprendre mes vieilles habitudes, aller flâner vers une rivière, me poser dans les branches hautes des arbres, regarder les animaux qui passaient par là. Quand je suis seule j'aime bien la tranquillité qui m'entoure, quand je peux éviter les disputes et les bagarres je le fais. Quand je commence à monter dans les tours j'ai du mal à me calmer, j'ai le cœur qui palpite, je tremble, je dis souvent des choses que je ne souhaite pas et je me montre violente.

Je sais combattre, autant attaquer que me défendre pour vivre seule dans la forêt entourée des bêtes j'ai dû apprendre différents styles de combat. Ce n'est pas ce que je préfère mais depuis que je suis arrivée dans la grande ville, je n'ai pas le choix de me montrer agressive avec ceux qui s'approchent de moi. Je sens que je suis sous une tension permanente et ça me déplaît… Moi qui avais une belle vie sous le soleil, prêt des rivières je dois m'adapter pour survivre. J'ai dû apprendre le langage des hommes de la ville, j'ai encore du mal à comprendre et à le parler. Les vêtements que je dois porter me grattent le plus souvent et je les arrache pour m'en débarrasser quand je le peux… Je n'aime pas la ville, je préfère ma forêt.

Histoire :

Comme je l'ai dit plus haut, j'ai grandi dans une forêt tropicale sur terra, j'ai toujours été une enfant qui échappait aux regards de ses parents pour aller explorer seuls les environs. Je me souviens qu'un jour j'ai failli me faire manger par une plante carnivore et que mes parents m'ont retrouvé la tête la première dans la gueule de ces majestueuses plantes de plusieurs mètres. Heureusement pour ma vie en grandissant je suis devenue plus méfiante de ce qui m'entoure et surtout j'ai appris à reconnaître les dangers. Adieu les plantes carnivores, les féroces fauves, les sables mouvants qui peuvent nous faire disparaître en quelques secondes.

Je vivais ma vie dans la forêt comme je l'entendais je partais tôt le matin et parfois je ne rentrais pas le soir préférant dormir à la belle étoile. Mon moment préféré était de voir la lune quand elle était pleine, les étoiles qui filaient dans le ciel devant le bal des oiseaux nocturnes. Une poignée de baies, des rongeurs au feu de bois et j'étais heureuse. Je cherchais toujours à aller de plus en plus loin, jusqu'aux fameux jours où je ne suis jamais rentrée. Je suis tombée sur une bande d'hommes que je n'avais jamais vus, ils étaient bizarres avec leurs vêtements, les armes, les cages et pourtant ils ressemblaient aux hommes de mon village. Je me suis approchée et je me suis fait capturer par surprise par un homme camouflé dans la végétation…

Je ne comprenais pas ce qu'ils disaient, ce qu'ils me voulaient. Je me suis retrouvée dans une cage en direction de la ville, le paysage venait à changer la végétation disparue pour laisser place à des bâtiments de pierre. Je me suis faits vendre dans un laboratoire, des hommes en blanc m'ont fait passer des tests, c'est ici que j'ai commencé à apprendre la langue des humains de cette ville. Au début, mon sort était passable, je n'aimais pas cet endroit mais je pouvais le supporter et trouver un moyen de m'échapper. Sauf que quelques mois après, on a commencé à faire des expériences sur moi… Injections de produits avec des effets secondaires épouvantables, viols des scientifiques, on m'a même coupé mes oreilles et ma queue d'hybride. J'étais mi-humaine mi-panthère je n'ai même plus mes crocs car on m'a lissé les dents pour que j'arrête de mordre. Je ne garde que mes griffes qui repoussent constamment.

Quand les scientifiques en ont eu marre, ils m'ont vendu sur le marché des esclaves contre quelques pièces. Mon côté sauvage plaisait aux hommes qui m’achetaient avant de se rendre compte que ça n'allait pas être si facile que ça de me dresser et de me garder. J'ai fait plusieurs fuites, on m'a retrouvé pour retourner sur le marché, on m'a acheté et vendu. Un cycle qui ne se termine pas je vacille entre une pseudo-liberté quand j'arrive à fuir et des chaînes quand on me retient chez un pseudo maître.

Comment avez-vous connu le forum ? Le deuxième compte :)

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