Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Miruku

Pages: [1] 2
1
Il retira finalement son doigt et je soupirai de soulagement, ravie que ce soit terminé. Il revint sur mon clitoris mais je ne réagis pas de suite, encore effrayée par ce qu'il avait fait tout à l'heure. Les larmes qui menaçaient de tomber finirent par le faire, roulant le long de mes joues jusqu'à ce qu'il les chasse de ses doigts.

- Le... plaisir que procure ma petite chatte...?

Je n'eus pas le temps de réfléchir. Ni une ni deux, il vint me saisir par la taille et je plaquais mes oreilles en arrière, enfonçant mes ongles dans ses épaules pour rester accrochée. Puis il me déposa sur le sol et je m'allongeai dans le foin sans trop avoir le choix. Mes prunelles apeurées le fixaient, cherchant à comprendre quelles étaient ses intentions.

Puis il retira ma robe et je l'écoutai brièvement, trop perturbée par ce visage qui s'approchait de mon entrecuisse.

- M-m-mais qu'est-ce vous faites ?

Mon souffle s'accélérai et je fermai très fort les yeux en sentant sa langue brûlante contre mon bouton de plaisir. Tremblante comme rarement, je commençai à me dandiner sous lui jusqu'à ce qu'il cesse, me montrant son membre qui se tenait fièrement devant moi.

J'ouvris la bouche pour dire quelque chose mais la porte de la grange s'ouvrit brutalement, révélant un vieil homme particulièrement costaud. Otoosan ! Il fixait l'humain qui se tenait au dessus de moi avec une haine indescriptible. Oh noooon ! Je savais qu'il serait furieux. Il se rua sur Clad, l'attrapant sévèrement par le cou pour l'éloigner alors que j'attrapai ma robe pour cacher ma nudité.

- Sombre petite merde ! Qu'est-ce que tu comptais lui faire, HEIN ?!!

- O...Otoosan ! Il ne m'a pas fait mal !

Ignorant mes paroles, il le fit sortir et l'accompagna jusqu'à l'extérieur de sa propriété, fusil en main. Impossible pour lui de revenir, ni même d'envisager de tenir tête au vieux bonhomme. Pas de petite vachette au menu !

2
Je le sentis forcer pour atteindre mon petit fruit malgré mes suppliques. Pourquoi tenait-il absolument à toucher cet endroit ? Personne encore n'y avait touché, pas même Otoosan qui, pourtant, me palpait les seins tous les jours pour avoir du lait.

Sceptique, je résistai quelques secondes avant de le laisser faire, tressautant quand ses doigts atteignirent mon bonbon. La sensation de ses doigts qui frottaient me procuraient à bien fou et je me surpris à onduler légèrement du bassin, allant moi même à l'encontre de ses caresses.

- Ah ! U...Une chatte ? C'est bon... sur... ma chatte... !

Lui dis-je en gémissant, pantelante. Mais le plaisir fut de courte durée. Ses doigts quittèrent mon petit bouton pour descendre plus bas et la sensation n'était pas agréable du tout. Mais qu'est-ce qu'il fichait ? Je compris qu'il pénétrait mes chairs et me crispai aussitôt, gênée par la douleur. C'est que je suis très serrée, moi ! Mes parois compressent ce doigt impétueux avec force et je couine d'inconfort alors qu'il commence à remuer en moi.

- Nyaaaa ! J'ai mal !

Deux grosses larmes ne tardèrent pas à faire surface, humidifiant mes yeux qui fixaient mon bas ventre. Je continuai à forcer sur son poignet pour l'inciter à retirer son doigt. Il comptait lui prendre sa virginité ? La tâche ne serait pas aisée.

3
Je continuai de l'embrasser, gémissant contre ses lèvres à mesure qu'il s'amusait à caresser mes grosses mamelles. Elles étaient vidées de leur précieux nectar mais toujours bien lourdes et moelleuses au toucher. Le fait qu'il joue avec mes tétons me faisait délicieusement frémir, provoquant en moi des sensations encore inconnu. Je me dandinai d'inconfort, d'ailleurs, gênée par cette impression que mon minou était en feu.

L'humain face à moi mit fin au baiser, me laissant haletante et sans-voix. Je restai là, hébétée, ma petite langue toujours hors de ma bouche malgré les filets de bave qui s'en échappaient.

- C-Clad...? Je... J'ai le minou qui me brûle... avouai-je difficilement, d'une voix tremblante.

Docile, je montai sur ses genoux sans me faire prier, écrasant ma poitrine opulente contre son torse. Sa langue revint chercher la mienne et je l'embrassai avec un peu plus d'agilité cette fois, ne réalisant que trop tard qu'il avait fait tomber ma robe, révélant une grande partie de mon corps. Embarrassée, je rougis mais n'eut pas vraiment la possibilité de me cacher puisqu'il me pétrissait les seins, m'arrachant de petits couinements de plaisir.

Puis se fut le tour de mes cuisses. Je le laissai les écarter mais les serrai aussitôt en sentant ses doigts titiller mon petit abricot.

- Nooooon... C'est sale ici. C'est là que je fais pipi...!

Maintenant rouge pivoine, j'attrapai son poignet pour le faire cesser malgré la douce chaleur qui me tiraillait le bas ventre.

4
Mes n'oreilles plaquées en arrière, j'attrapai la sucette entre mes petits doigts tout en remerciant celui qui me l'avait offerte. D'ailleurs, je ne connaissais toujours pas son prénom ! Mais qu'importe. Je retirai l'emballage papier de ma précieuse confiserie, m'en débarrassant ensuite pour sucer la grosse perle de sucre avec appétit.

Je tressaillis en sentant ses doigts sur ma peau de velours, redoutant qu'il ne recommence à me faire mal. Mais il se contenta de me caresser gentiment, me faisant sourire et même meugler de bonheur.

- Mrooo ! 🐮

Il n'en fallait pas plus pour faire de moi la plus heureuse des vachettes ! Je le laissai manipuler ma cloche jusqu'à ce qu'il me demande si je savais ce qu'était un baiser, ce à quoi je répondis en secouant la tête. Il s'approcha dangereusement et je fermai les yeux avec force, tremblotant comme si il allait me frapper. Pourtant, je ne ressentis aucune douleur. J'eus plutôt la sensation qu'une grosse guimauve venait de s'écraser contre mes lèvres. Surprise par cette sensation nouvelle, j'écarquillai un peu les yeux avant de retirer la sucette de ma bouche pour prendre la parole.

- C'est ça, un "baiser" ? J'aime bien ! Vous pouvez m'en faire d'autres, même si ils durent plus longtemps !

Préparée pour un autre baiser, je lui tendis mes lèvres bien sagement jusqu'à ce qu'il vienne y coller les siennes. Puis sa langue vint titiller mes dents, m'incitant à ouvrir la bouche pour l'accueillir. Je fis donc comme il avait dit, coinçant son petit muscle humide entre mes lèvres pour le sucer alors que ses mains vinrent saisir mes gros seins, me faisant couiner malgré le bisou.

Je ne le repoussai pas cependant, retrouvant cette drôle de sensation en bas du ventre alors que je m'efforçai de faire tourner ma langue autour de la sienne, maladroitement.

5
Recroquevillée derrière un gros tas de paille, je sursautai légèrement lorsque j'entendis la porte de la grange grincer. Oh, non ! Il voulait encore me faire mal à la gorge ? Redoutant le pire, j'attrapai ma cloche pour éviter qu'elle ne sonne tout en tendant l'oreille pour savoir où il se trouvait exactement. Mais il ne fit plus un bruit et je dus forcer pour tenter de l'entendre.

Il prit la parole et je l'écoutai, fronçant les sourcils quand il me présenta ses excuses. Comme si ça allait suffire ! Ses gentils mots me firent rougir mais je ne bougeais pas, bien décidée à bouder jusqu'à ce qu'il m'offre mes sucreries que je méritais. Je ne comprenais pas pourquoi il ne voulait pas partir, ni pourquoi il me trouvait si jolie. Otoosan et Oniichan me traitaient toujours d'idiote mais lui, nion. Il me trouvait "très jolie" et ça me faisait plaisir.

Je décidai donc de bouger légèrement, relevant la tête pour l'observer sans qu'il puisse me voir. Mon regard se posa instantanément sur la sucette qu'il agitait entre ses doigts, titillant mes sens et mon envie de sucre. Méfiante dans un premier temps, j'attendis qu'il se taise complètement pour sortir de ma cachette et pointer le bout de mon nez.

A quatre pattes, je le regardai au loin, une petite moue apeurée au visage.

- Je n'ai plus de lait à donner. Mais j'aimerais bien avoir la sucette... J'ai fais ce que vous avez dit, non ?

Je m'approchai doucement, toujours à même le sol jusqu'à me retrouver entre ses jambes. Là, je posai mes petites fesses moelleuses dans le foin, essuyant les larmes qui me brouillaient la vue tout en remuant faiblement la queue, attendant qu'il daigne me donner ma friandise.

- Sniff...

6
Mes oreilles bougeaient dans tous les sens, captant les différents sons qu'il produisait. Mince, alors ! Plus je m'appliquai, plus il tremblait et soupirait. Je n'arrivais pas à comprendre ce que j'étais en train de faire mais son rythme cardiaque s'emballait dangereusement, me laissant perplexe. Puis il vint titiller ma lourde poitrine, mettant fin à toutes mes réflexions. Le lait devint de plus en plus rare mais ça ne m'empêchait pas de couiner, surtout lorsqu'il se permit de claquer mes seins. Choquée, j'envisageai de reculer mais il maintins fermement la tête, m'empêchant de fuir.

Par la suite, il me fit comprendre qu'il fallait qu'il jouisse et que si je refusais de boire son lait, je n'aurai pas droit à ses bonbons. Jouir ? C'est le nom qu'on donne quand le lait sort ? Alors j'ai jouis, moi aussi ? Ses doigts me pincèrent les tétons avec une violence considérable, me faisant geindre et même chouiner à cause de la douleur. MAIS ZUT ! Il me faisait mal, à la fin !

Je le sentis forcer subitement sur ma gorge, l'écartant pour se frayer un chemin tout au fond. Impossible de respirer et encore moins de fuir la situation. Je plongeai mes prunelles toutes humides dans les siennes avant que son lait ne vienne me remplir la gorge. BERK ! Ce truc n'avait pas DU TOUT le goût du lait ! Dégoûtée, je fus prise d'un haut-le-coeur et cherchai à reculer sans succès. Noooon ! C'était pas bon du tout et en plus je ne pouvais plus respirer ! Je plantai mes ongles dans ses cuisses et avalai toute sa semence tant bien que mal. De grosses larmes coulèrent le long de mes petites joues et je reculai pour reprendre mon souffle, agacée d'avoir à faire tout ça.

- Ah ! Aaahh... NON ! Je ne veux plus de bonbon...! dis-je, à bout de nerf.

C'était quoi ces pratiques bizarres ? Furieuse, je me redressai pour retourner dans la grange et m'y cacher en attendant le retour d'Otoosan. Je ne voulais plus jamais refaire ça de toute ma vie !

7
Je repris doucement mon souffle, baissant les yeux pour observer ce mince filet de bave qui reliait mes lèvres à sa queue. Heureusement, le goût était bien meilleur maintenant ! Je toussai un peu et replaçai quelques mèches de cheveux qui me barraient la vu avant qu'il ne m'attrape la tête, me faisant baisser les oreilles.

- Me montrer ? J-... Hmpff !

Coupée par cette grosse sucette qui entrait dans ma bouche, je ne parvins pas à terminer ma phrase. Je le regardai de mes grands yeux bleus, sans comprendre ce qu'il fallait que je fasse exactement. Pourquoi est-ce qu'il ne me donnait pas mes bonbons directement ?! Je le sentis forcer sur ma tête et me laissai faire, non sans grimacer à cause des sensations qui n'étaient pas très agréables. Il continuait à me secouer comme une poupée, faisant sonner ma cloche à chaque vas et viens.

- Mmnn ! Nfff...!

Je couinai contre son chibre, peu habituée à faire ça. Quel type bizarre, quand même ! Après quelques minutes, je compris ce qu'il fallait que je fasse. Il me suffisait de faire coulisser ma petite bouche le long de ce gros bâton, ce que je m'empressai de faire avec soin. Je ne savais pas trop à quoi cela servait mais à en juger par les petits bruits qu'il faisait, ça avait l'air très très agréable.

Le mot "bonbon" me fit dresser les oreilles et je remuai la queue, trop pressée d'y avoir droit une fois que tout ceci serait terminé. Quand est-ce que ça allait finir, d'ailleurs ? J'accélérai subitement le rythme, observant cette paire bien ronde qui pendait tout en bas. Est-ce qu'il y avait du lait là dedans aussi ? Curieuse, je posai mes doigts dessus pour les presser doucement, comme si je cherchai à en extraire le contenu sans même savoir ce qu'il y'avait dedans.

8
Mal à l'aise, je le regardai comme une petite chatte apeurée. Il n'allait quand même pas recommencer ? Mon regard se posa sur sa "bite" qui retombait lentement et je poussai un petit cri de stupeur. Ça alors ! Cette chose était vivante ?! Je m'interrogeai sur le pourquoi-du-comment lorsque le mot "bonbon" fit tilt. Aussitôt, je redressai les oreilles et levai les yeux vers l'humain face à moi. Mais ouii ! Il avait une sucette dans sa poche donc il pouvait m'en donner d'autres ! Le regard pétillant, je me redressai légèrement pour mieux m'asseoir devant lui, docile et curieuse.

- Oh, c'est vrai ?! Otoosan m'interdit de trop en manger normalement... Il ne faudra rien lui dire, hein ?

Piquée par une guêpe nommée "impatience", je m'approchai de lui pour savoir combien il avait de bonbons à m'offrir.

- Est-ce qu'il y'en a beaucoup ? J'aime beaucoup les sucettes à la fraise ! Et aussi ceux à l'orange ! Euh... celles à l'orange.

J'étais si proche de lui à présent que des gouttes de lait tombèrent directement sur ses cuisses. Mince ! J'étais en train de le salir à nouveau. Je voulus m'excuser mais ses mains puissantes vinrent presser mes mamelles, me faisant couiner. Puis se fut le tour de ses lèvres et, à nouveau, je ressentis cette drôle de chaleur. Pourquoi avais-je chaud à l'intérieur dans mon petit ventre ? Je posais une main dessus comme si j'attendais une réponse tandis que l'inconnu prit la parole, me sortant de ma réflexion.

- Mettre mon lait dessus ? C'est un peu bizarre...

Je savais quel goût avait mon lait et je savais qu'il était particulièrement sucré. Mais quand même...! C'était mon lait. Mon lait à moi. Il me fallut quelques secondes pour prendre ma décision mais l'appel des friandises était bien plus fort que tout le reste. Aussi, je le repoussai vivement pour qu'il tombe sur le dos et observai la colonne de chair qui se dressait devant moi, plus grosse encore que tout à l'heure.

- J'ai juste à la sucer comme une sucette, c'est ça ? Vous avez intérêt à me donner tout pleins de bonbons après ça !

Assise entre ses jambes, je saisis mes pis et les pressai pour en extraire la substance laiteuse. Ni une ni deux, j'attrapai sa queue à la base et la glissait entièrement dans ma petite bouche pulpeuse, d'un coup, comme je l'aurai fait pour une sucrerie géante. Aussitôt, je sentis mon gosier se déformer et me retrouvai dans l'incapacité de respirer. Cette chose était bien plus grosse que ce que je pensais ! Les parois de ma gorge étroite se mirent à palpiter et je reculai doucement pour reprendre mon souffle, un filet de bave pendant à la commissure des lèvres.

- Fuaah...! C'est vraiment trop gros ce truc !

9
Il se caressait devant moi et je le regardai, perplexe. Nom d'une pis ! Il pensait vraiment que j'allais croire à son histoire ? Cette chose n'avait rien d'une sucrerie ! Ce n'était qu'un gros morceau de viande dont le parfum, douteux, ne rappelait en rien celui du sucre. Il me prenait vraiment pour la reine des idiotes ! Vexée, je gonflai les joues et reculai encore à mesure qu'il approchait. Très bonne ? Mon oeil !

A genoux devant lui, je plaquai mes oreilles en arrière et fermai fermement la bouche pour lui faire comprendre que je ne voulais pas goûter à sa "bite". Mince alors ! Il voulait vraiment que je mette cette chose odorante dans ma bouche ? Mais pourquoi faire ? Ses doigts vinrent caresser mon menton et je fronçai les sourcils lorsque le bout de son bâton vint s'écraser contre mes douces lèvres. On avait beau me répéter que j'étais idiote à longueur de temps, j'étais sûre que cet humain l'était tout autant ! Il fallait être complètement noeud-noeud pour vouloir mettre une chose de cette taille dans la bouche d'une inconnue.

Et, alors que je m'apprêtai à meugler pour me plaindre, je le sentis forcer pour rentrer à l'intérieur. Choquée, j'écarquillai les yeux et fut dégoûtée par le goût salé qui vint s'installer sur ma langue. Oh non, mais quelle horreur ! Du SEL ! Je l'entendis me dire qu'il voulait que je la lèche comme une sucette... Mais il en était absolument hors-de-question ! Pourtant, la chose gagnait en profondeur et je manquai de m'étouffer à plusieurs reprises à cause de ses mains qui forçaient sur mon crâne. C'en était trop ! Furieuse, je remuai frénétiquement la tête et me dégageai de son emprise, à bout de souffle.

- Aaahh... C'est pas une sucette et... en plus... c'est pas bon du tout... ! Vous m'avez menti !

Zut, alors ! Je savais quand même reconnaître le goût du sucre ! Cet humain était complètement fou.

10
De toute ma vie de vachette, jamais personne ne m'avait encore touchée ainsi. Je n'étais pas habituée à me faire littéralement téter mes lolos, et encore moins à me retrouver assise sur un homme que je ne connaissais ni d'Ève ni de... de... qu-que je ne connaissais pas TOUT COURT ! Je me mordis timidement la lèvre, frissonnant en sentant ses lèvres chaudes contre mon menton. Il ne voulait quand même pas qu'on s'accouple, si ? Je ne pouvais pas m'accoupler avec un humain ! Ah ça non ! Il me demanda mon prénom et je répondis presque à voix basse, embarrassée.

- Je... je m'appelle Miruku. M-mais je...

Je m'arrêtai, le regardant se redresser. Même s'il avait extrait une partie de mon lait, il y en avait encore beaucoup trop ! J'attrapai donc mes seins pour les sous-peser, évaluant la dose qu'il restait à l'intérieur avant qu'il n'enlève son pantalon, me faisant devenir rouge pivoine. M-m-m-mais... Qu'est-ce que c'était que ça ?! Les yeux écarquillés, je fixai cette énorme chose qui se dressait devant moi. Mon petit coeur se mit à palpiter et je reculai, effrayée sans trop savoir pourquoi.  Qu'est-ce qu'il voulait faire avec ce gros bâton entre ses jambes ? Il n'allait quand même pas me frapper ? Oh, non !

Mon oreille gauche pivota pour mieux l'écouter et je déglutis, le regard fixé sur ce gourdin.

- Ma bite ? C'est comme ça que ça s'appelle ?

Il s'approcha et je reculai, couinant comme une petite femelle apeurée.

- Hiiii ! Non ! J-je ne sais pas ce que je dois faire et ça ne sent même pas bon ce truc ! dis-je, grimaçant légèrement à cause de l'odeur qui s'en dégageait.

Mettre ça dans ma bouche ? Pas question ! Plutôt me remplir l'estomac de bonbons que de goûter à cette chose !

11
Me traire sur lui ? Je le regardai sans comprendre jusqu'à ce qu'il attrape mes seins pour me traire à même le sol. Mais... Il n'allait quand même pas gaspiller tout mon lait ? Otoosan allait me tuer ! J'envisageai de m'échapper mais la sensation était si agréable que je décidai de profiter. Juste un peu. Poussant un soupir de soulagement, je le laissai faire avant qu'il n'ouvre la bouche pour y goûter.

- A...Attendez ! Vous ne pouvez pas le boire comme ça ! Il faut le décontaminer avant !

Le bougre ne m'écoutait pas, trop occupée à savourer le nectar tout chaud qui sortait de mon opulente poitrine. Il avait beau en extraire une bonne quantité, celle-ci ne diminuait pas pour autant. Elle était enflée, lourde et encore bien pleine. Rouge de honte, je le regardai faire en me mordillant la lèvre inférieure. Jamais personne ne m'avait traite ainsi et son regard était si enflammé que j'en étais toute troublée.

Je m'excusai de salir son tee-shirt lorsque je sentis quelque chose se presser contre mon fruit défendu. Gênée, j'ondulais du bassin sans même prendre conscience qu'il s'agissait d'une belle et jolie trique. Son compliment me fit rougir d'avantage et quand il se mit à me sucer les tétons, je ne pus m'empêcher de gémir. De petits couinements s'échappaient de mes lèvres entrouvertes tandis qu'une douce chaleur semblait s'installer dans mon bas ventre. Que se passait-il ?

- Aaawn...! Ne sucez pas si fort...! lui dis-je, posant mes doigts délicats contre son torse pour l'inciter à ralentir.

Mon souffle s'accélérait  à mesure qu'il me tétait et sans vraiment me contrôler, je commençai à me frotter contre cette bosse qui m'agaçait l'entrecuisse.

12
Le fixant de mes grands yeux de biche, je le laissai m'attraper la main pour sentir les battements de son coeur. Ouf ! Il était encore en vie ! A présent soulagée, je me détendis progressivement avant de l'observer de plus près. Finalement, il n'avait pas l'air d'un fou dangereux, ni d'un mangeur de vache ! Est-ce qu'il mangeait des veaux ? Ou même de la viande ?! Il fallait que je lui demande.

L'idée de me retrouver avec un carnivore ne me plaisait pas du tout et je baissai les oreilles, fouillant dans ses poches pour m'assurer qu'il n'avait ni fourchette ni couteau. Heureusement, je ne trouvai rien de tout ça et tombai même sur une sucette à la fraise qui me fit rougir de plaisir. Une sucrerie ! Je ne pouvais pas rêver mieux. Sans vraiment lui demander son avis, je retirai l'emballage et glissai le bonbon entre mes lèvres roses et charnues, sur ma petite langue avide de sucre.

Une friandise dans la bouche et me voilà calmée. Et, alors que je savourai cette merveilleuse douceur, je réalisai que j'étais en train de salir celui qui se trouvait sous mon corps pulpeux. C'est vrai ! Mes ballons étaient pleins à craquer et Otoosan n'était pas venue me traire. Aussi, je tirai sur ma robe, dévoilant la belle paire de miches qui se trouvaient dessous. Deux gouttes de lait perlaient de mes petits tétons roses, me faisant rougir d'embarras. Peut-être pourrait-il me traire ?

- Normalement c'est Otoosan qui s'occupe de mes mamelles... Mais j'ai vraiment trop mal. murmurai-je, affichant une petite mine tristounette.

Désespérée, je m'approchai de lui jusqu'à ce que nos visages ne soient plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Il pouvait sentir une odeur de foin mêlée au sucre que j'avais encore dans la bouche. Soudain, je me trémoussais contre lui, remuant le fessier comme le ferait une petite chienne pour supplier son Maître.

- Vous voulez bien m'aider, gentil Monsieur ? Il y'a un seau dans la grange. Dites oui, s'il vous plaiiiit...

13
Je tendis les oreilles, réalisant avec effroi que l'intrus s'approchait dangereusement. Non, non, non ! Il allait m'attraper et m'arracher les cornes pour en faire des gobelets ! Et si il me découpait la queue pour faire un pot-au-feu ? Je reculai à mesure que l'odeur de l'humain s'approchait, redoutant le moment où il me mettrait la main dessus. Vilaine Miruku ! Si je ne m'étais pas enfuie de la grange comme une idiote, je n'en serais pas là !

Ne sachant que faire, je me creusai le dos pour m'approcher du sol. Je n'étais pas apte à me défendre mais je pouvais lui bondir dessus comme un fauve. Concentrée comme rarement, j'agitai frénétiquement la queue, fouettant l'air avec celle-ci en attendant qu'il s'approche suffisamment. Puis, sans crier gare, je lui sautai dessus en rugissant comme un félin.

- ROAAAAAARRRR !

Ni une ni deux, je me retrouvai sur lui, mes grosses pis écrasées contre son visage. Le choc fut douloureux et, mélangé à la peur, je me mis à sangloter comme une petite gamine. Impossible de me retenir.

- Ne me tuez paaas ! Je ne veux pas mourir !

Je me pressai contre lui avec force sans réaliser que j'étais littéralement en train de l'étouffer. Ma poitrine imposante et moelleuse sur son visage l'empêchait de respirer et quand je le sentis trembler à cause du manque d'air, je me redressai légèrement pour comprendre ce qu'il se passait. Oh non ! Finalement c'est moi qui allait le tuer ! Perturbée, je me redressai un peu plus, posant mon fessier bien rond contre son bas ventre. Assise sur lui, je le regardai avec appréhension tout en essayant de prendre son pouls.

- Votre coeur ne bat plus ! dis-je d'une voix étranglée, pressant son avant bras à l'aide de mes petits doigts.

Pourquoi n'arrivais-je pas à sentir son coeur battre à travers son bras ? C'était pourtant bien là qu'il fallait chercher, non ?

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Les alentours de la ville / Oh, non ! Mes pis sont pleins de lait >w< ! [PV]
« le: mercredi 08 août 2018, 11:22:36 »
Zut ! C'est pas vrai ! L'heure de la traite était déjà passée et Otoosan n'était toujours pas là ! Angoissé, j'attrapai mes gros coussins et les massai avec attention pour tenter d'atténuer la douleur. Il n'était jamais en retard et je ne comprenais pas pourquoi il m'était autant de temps à revenir ! Assise sur une petite botte de paille, j'observai l'entrée de la grange en espérant qu'il fasse son apparition. Mais rien ! Non ! Pas d'Otoosan à l'horizon pour satisfaire sa pauvre petite vachette souffrante.

Une petite moue au visage, je m'allongeai et décidai de compter les moutons pour passer le temps. Un mouton, deux moutons, trois moutons... trois ? Qu'est-ce qu'il y'a après, déjà ? Six ? Je ne sais plus ! Incapable de compter les petits agneaux laineux, j'observai le plafond en remuant doucement la queue. Mes seins lourds continuaient d'enfler et la douleur devint rapidement insupportable. Pourtant, je n'avais pas le choix ! Il m'était strictement interdit de quitter la grange et même de parler à des inconnus. Chaque fois que j'avais demandé pourquoi, Otoosan m'avait répondu que des brigands traînaient dehors et qu'ils s'en prendraient à moi si ils me voyaient.

- Meuuh, quand même... J'ai mal, moi...! dis-je pour moi même, meuglant comme une petite génisse.

Ignorant que je pouvais me traire moi même, je me redressai et décidai d'ouvrir la porte de la grange pour voir si il était revenu. Je passai d'abord le bout du nez puis la tête toute entière ! L'air frais était des plus agréables et je me surpris à me retrouver entièrement dehors, simplement vêtue d'une adorable petite robe à fleurs. Oh non ! Et si Otoosan me voyait ? Craignant de me faire repérer, je m'agenouillai puis me mis à quatre pattes, faisant sonner la belle cloche que j'avais autour du cou.

- Roooh, zut ! Ça fait trop de bruit ce truc...!

Puis, un bruit de pas se fit entendre, me poussant à me cacher derrière un gros buisson. Et si les brigands étaient là pour m'enlever ?! Effrayée, je restai sans bouger alors que mes seins me faisaient toujours souffrir.

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Thanks :3

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